samedi 3 mai 2025

Les bizutes à poil lors des soirées d'intégration.

pas de pudeur pendant le bizutage
Deux filles nues et pieds nus pendant le bizutage.

Le bizutage dans les bars

 

 

Dans la France des années 1980, les bars universitaires des villes étudiantes vibrent d’une énergie malsaine à la rentrée. Les néons clignotent, l’air est saturé de fumée et de sueur, et les rires résonnent comme des coups de fouet. C’est la saison du bizutage, un rituel cruel où les nouvelles étudiantes sont livrées à la tyrannie des anciens. Les patrons de bars se frottent les mains : la foule afflue, étudiants en quête de sensations fortes et curieux attirés par l’odeur de la dépravation. Les autorités locales et les directions des grandes écoles, complices silencieuses, laissent faire, drapant cette barbarie dans le voile de la tradition.

Ce soir, dans un bouge crasseux où la bière coule à flots, deux jeunes femmes se retrouvent piégées sous les regards voraces. Claire, une campagnarde élevée dans la rigidité d’un foyer catholique, et Amina, une musulmane discrète, habituée à la modestie imposée par sa culture, sont des proies idéales. Étudiantes en première année d’IUT de techniques de commercialisation, elles sont étrangères à l’ambiance décadente du lieu. Leur timidité, leur pudeur, sont des faiblesses que les anciens flairent comme des prédateurs.

Encadrées par un cercle d’anciens – garçons et filles aux sourires carnassiers –, elles sentent le poids de l’autorité perverse qui s’abat sur elles. « Déshabillez-vous. Maintenant. Tout. » L’ordre claque, implacable. Autour d’elles, une quinzaine d’autres nouvelles, déjà nues, frissonnent sous les spots brûlants. Certaines, brisées, fixent le vide ; d’autres, plus dociles, esquissent un sourire forcé. Quelques-unes osent protester, mais leurs cris sont étouffés par les huées de la foule. Les anciens, inflexibles, imposent leur loi avec une jubilation sadique. « Pas de chichi. Tout le monde à poil, sans exception. »

Claire, pétrifiée, agrippe sa jupe longue comme un bouclier. Amina, le visage fermé, murmure une prière inaudible, ses mains tremblantes serrant son foulard avant qu’on ne le lui arrache. La foule, impatiente, scande : « À poil ! À poil ! » Une ancienne, une blonde au regard glacial, s’avance et attrape Claire par le menton. « Tu crois que t’as le choix, petite sainte-nitouche ? Enlève tout, ou on le fait pour toi. » Amina, poussée par un garçon au rictus malsain, vacille mais obéit, ses doigts maladroits défaisant les boutons de son chemisier.

Chaque vêtement qui tombe est une capitulation. Soutiens-gorge, culottes, chaussettes – rien n’est épargné. Nues, exposées, elles tentent de se protéger, bras croisés, mains plaquées sur leur intimité. Mais les anciens ne tolèrent aucune résistance. « Redressez-vous ! » aboie un garçon, sa voix chargée de mépris. « Vous cachez rien. On veut tout voir. » Une ancienne, amusée, tire les bras d’Amina en arrière, exposant sa poitrine à la foule hilare. Claire, rouge de honte, est forcée de lever les mains, sous les sifflets et les flashs des appareils photo jetables.

Pour briser leur esprit, on les oblige à défiler, pieds nus sur le sol collant, à travers le bar bondé. « Avancez, montrez-vous ! » ordonne une voix, tandis qu’une main claque sur les fesses d’Amina, arrachant un sursaut. La foule, déchaînée, savoure leur humiliation. Les anciens, maîtres d’un jeu pervers, imposent des règles tordues : interdiction de se couvrir, obligation de sourire, de regarder les spectateurs dans les yeux. « Vous êtes à nous ce soir, » ricane un ancien, son souffle chargé d’alcool. « Et vous restez à poil jusqu’à l’aube. »

Dans ce bar, sous les lumières crues des années 80, Claire et Amina découvrent la brutalité d’un monde où la pudeur est une offense et l’obéissance, une sentence. Le bizutage, avec son parfum de tradition, n’est qu’un prétexte à une domination malsaine, un spectacle où la perversion se pare de rires et de cris, sous les applaudissements d’une foule complice.

 

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Humiliée en pensionnat.

 

26 commentaires:

  1. C'est un peu ça dans les années 80. Les filles, quelles soient catholiques, musulmanes ou juives étaient bizutées. Toutes nues et défilé dans tout le campus, mais pas dans les bars, ou alors à la fermeture, à l'arrière salle dans un cercle privé. C'est à ce moment-là qu'il y avait bizutage plus hard comme la chatte passée au cirage ou au dentifrice, ou introduction de liqueurs fortes dans le vagin. Excitant pour les anciens.
    Milky 2

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  2. Dans mon cas, le bizutage hard avait lieu au foyer avec la complicité du concierge et de quelques surveillants.
    Mise à poil totale, et défilé claques sur les fesses, tricotage et palpations avant les séries de gages dont le barbouillage au bleu de methylene

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    1. Et vous étiez barbouillées sur la chatte,les seins et les fesses ?Les bizuteurs vous en introduisait aussi dans le vagin ?
      Milky 2

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  3. Oui directement au pinceau, dans le vagin et dans l'anus. Toute la vulve et le pubis, la raie des fesses.
    Autour des mamelons, sur le front, le nez.
    Nelly

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    1. Et est-ce qu'il y avait une nana qui a été bizutée devant son copain avec du bleu de méthylène dans le vagin ?
      Milky 2

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  4. Oui c'est arrivé, le copain quand à lui a eu la bite et les couilles au bleu.
    La honte c'est quand on les a obligé à baiser devant nous...
    Nelly

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    1. La gêne pour le copain quand vous avez certainement déshabillée sa nana. Quand il a vu sa nana à poil devant tout le monde, et que lui aussi était à poil. Il devait falloir le tenir quand sa nana a été déshabillée et qu'elle s'est faite passée toute sa vulve au bleu de méthylène. C'était un mec qui l'a barbouillées ?
      Milky 2

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  5. Oui un ancien qui a passer la nana au bleu et une ancienne qui c'est occupée du mec en le branlant pour le faire bander avant.. Le bleu n'était pas encore sec quand on l'a forcer à penetrer sa nana

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    1. Waouh !Humiliation totale pour les deux. J'imagine quand il a été obligé de pénétrer sa nana, la bite toute bleue et sa nana le vagin bien enduit de bleu aussi, ainsi que toute sa vulve. Je ne sais pas s'il a pu réussir à le faire devant tout le monde. C'était déjà assez humiliant qu'ils soient passés au bleu tous les deux, alors le reste, hum!
      Milky 2

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  6. Non seulement il l'a fait, il bandait comme un âne, sa nzna chialait de honte.. et on leur claquait les deux culs nus pour qu'ils restent bien colles ensemble

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  7. Une question :avez-vous déjà bizutée une femme en reprise d'études ?Si tel était le cas, est-ce que vous l'avez déshabillée, mise à poil, et passer sa vulve au bleu de méthylène ?
    Milky 2

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  8. Lui a jouis dans la honte et ejaculé dans le vagin de sa nana, par contre elle visiblement non, totalement affolée et certainement la pire expérience de sa vie.
    Je regrette de n'avoir pas été amenée à voir où participer à une femme en reprise d'étude. Cela m'aurait beaucoup intéressée et excitée

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    1. Vous l'auriez certainement mise à poil. Mais vous lui auriez quand même
      passé sa vulve au bleu de méthylène ?Vous ne pouvez pas savoir le plaisir que l'on a quand on déshabille une femme en reprise d'études. Quelle ait entre 30 ou 40 ans, ou jeune maman, quand on lui enlève son slip, qu'on lui met sa chatte à l'air, on ne peut pas s'empêcher de la tripoter. Et le clou du plaisir, c'est quand on lui passe toute sa vulve au cirage, c'est un moment d'excitation intense.
      Milky 2

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  9. L'excitation dépends aussi beaucoup de la réaction de la femme bizutage, des manifestations de pudeur qu'elle manifeste.
    La voir défiler toute nue au milieu des jeunes filles m'aurait beaucoup amusée ainsi que lui claquer les fesses exposées. Bien sur elle aurait été passée au bleu comme les autres.
    Mise sur le dos sur une table, tenue par des anciens qui lui écartent les cuisses et relèvent les jambes.
    Voir le pinceau badigeonner sa vulve, sa raie des fesses, ses nichons.
    Et entendre ses réactions effrayée de maman humiliée
    Nelly

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    1. Mais je suis à peu près sûr que ça vous excitait quand même de badigeonner la vulve des jeunes bizutes, malgré que vous ne l'ayez pas pu le faire à une femme en reprise d'études. Dommage, car c'est une expérience qui mérite d'être vécue. Qu'est-ce qui vous excitait le plus :de déshabiller une nana pour la mettre à poil ou de lui passer sa vulve au bleu de méthylène en y introduisant le pinceau dans son vagin ?
      Milky 2

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  10. On ordonnant aux bizuter de se mettre à poil. La majorité obéissait et elles se deshabillaient toutes seules.
    Les quelques unes qui refusaient, des garçons on les tenait et on les déshabillais malgré elles.
    C'était très excitant de déboutonner les vêtement, desgraffer et ôter les sg, et le must ôter la culotte. Pincer les nichons, les fesses, la vulve, et tirer les poils de chatte.
    Idem pour le badigeonage, beaucoup plus excitant avec les rebelles pudiques, on les badigeonner partout y compris sur le visage.
    Des vraies stroumpfettes.
    Et on les obligeait à se prosterner et à nous lecher les godasses
    Nelly

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    1. Nous, pour les nanas rebelles ou pudiques, on les déshabillait nous même. Le pied quand on enlevait le sg, et le summum, quand on lui enlevait son slip, pour lui mettre la chatte à l'air. On tirait sur les poils, ensuite badigeonnage de sa vulve au dentifrice, qu'on introduisait aussi dans son vagin. Même les fesses, les seins étaient badigeonnés.
      Milky 2

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  11. Cela se passait de la même façon pour nous.
    La honte pour la fille qui regrettait d'avoir refuser d'obéir. C'était pire comme humiliation pour elle.. c'est cela que pour mon bizutage j'ai obeis avec le sourire et avait pitié de celles qui ne voulait pas se denuder..
    Mais c'était bien fait pour elle.
    Et quand j'étais bizuteuse, je ne me gênait pas pour bien humilier les rebelles.. bien exposées vicieusement et passage au dentifrice beaucoup plus douloureux que le bleu.
    Nelly

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    1. Vous passiez aussi le dentifrice sur la chatte des filles rebelles ?Il n'y avait pas que le bleu alors ?
      Milky 2

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  12. Le dentifrice était rare , le bleu est ce qu'il y a de moins irritant et c'était donc le plus utilisé.

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  13. Mais ça arrivait que le dentifrice était passé sur la chatte des filles. Ça devait être pour les rebelles que vous l'utilisiez. Moi, pour le bizutage des filles, c'était plus le cirage liquide ou compact pour brosser la vulve. Mais le dentifrice était aussi appliqué sur les lèvres et le clitoris, pour les récalcitrantes. Le piment était rare, mais cela s'est fait quelquefois, surtout pour les femmes en reprise d'études.
    Milky 2

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  14. Le piment a été utilisé comme punition des rebelles tout comme le dentifrice
    Il fallait être a plusieurs pour tenir les cuisses de la fille écartées et ka laintenir sur la table..
    J'ai vu faire avec du piment antillais, coupé et frotté sur les lamelles, sur la langue, puis sur la vulve, contre le clito de capuchons, les lèvres, avant d'être enfoncé dans le vagin et dans l'anus..
    Amusement garanti ensuite de voir la fille ou la femme en reprise d'étude se contorsionner, essayer de retirer les morceaux de piments, supplier les garçons de les aider et les soulager
    C'était très cruel, on ne le ferait plus maintenant
    Nelly

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    1. Ça c'est sûr qu'on aurait plus le droit de le faire maintenant. Pourtant, certaines nanas mériteraient d'être bizutées comme à notre époque, ça leur ferait le caractère. Quand je vois toutes ces pimbeches irrespectueuses ,impolies, qui se croient tout permis, ça leur ferait du bien de connaître le bizutage à poil et la chatte passée au dentifrice.
      Milky 2

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    2. Est-ce que ça t'es déjà arrivé de passer du dentifrice sur la vulve d'une fille rebelle ou simplement de lui montrer le tube juste pour l'impressionner?
      Milky 2

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  15. Nous, on ne faisait pas qu'impressionner la nana surtout devant son copain. Après l'avoir mise à poil, on lui mettait direct le dentifrice sur sa vulve qu'on étalait bien ensuite sur toute sa vulve, clito compris. On l'enduisait avec une brosse à dents pour irriter ses lèvres que le dentifrice brûlait après. Quand le copain voyait sa nana se faire frotter la chatte au dentifrice, il était comme tétanisé. Pour une femme en reprise d'études, c'était dans le vagin qu'on introduisait le dentifrice, même à une jeune maman de 25 ans, on lui ouvrait sa fente en grand et introduction du dentifrice dans son vagin. On en mettait une bonne dose pour qu'elle sente bien la brûlure dans son conduit vaginal jusqu'au col de l'utérus. Excitant mais il fallait bien la tenir cuisses écartées.
    Milky 2

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