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lundi 8 septembre 2025

Interrogatoire renforcé et nudité totale

 

Prisonnière nue
Nue pendant un interrogatoire.

Une détenue sous statut de "haute sécurité.

Les manuels d'interrogatoire préconisent la nudité totale lors des interrogatoires, et cette technique est appliquée pendant la seconde guerre d'Irak (2003/2011) par les États Unis dans les centre de détention.

Les femmes irakiennes soupçonnées de terrorisme, de liens avec l'ancien régime ou insurrection sont détenues au secret et soumises à des traitements humiliants. comme la nudité forcée.

Elles sont considérées comme des "détenues de sécurité" et donc sont interdites de porter le moindre vêtements et sont interrogées nues et pieds nus.

Comme elles sont musulmanes conservatrices et pudique, la nudité est jugées très efficace pour les humilier et les ramollir. elles sont obligées de se mettre toutes nues devant tout le monde.

La présence d'hommes est requise pour accroitre le sentiment d'humiliation, car enlever ses vêtements devant le sexe opposé est bien plus dégradant.

C'est préférable de faire pression sur elles pour qu'elle retire elles même leurs habits, sinon la force et contrainte physique est utilisée.

Nue et pieds nus, elles disent plus facilement la vérité. En prison la religion et la culture n'ont pas leur place.

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Interrogatoire renforcé.

dimanche 1 juin 2025

Toute nue dans le bar pendant le bizuage.

 

Danser toute nue au bizutage
Elles dansent et se trémoussent nues dans un bar étudiant au bizutage.

Danser et se trémousser à poil au bizutage.

 

Dans une petite université parisienne nichée au cœur du 13e arrondissement, l’automne marque chaque année le retour d’une tradition aussi légendaire que controversée : le week-end d’intégration, ou plutôt, le bizutage déguisé sous ce nom festif. Les anciens, autoproclamés gardiens des coutumes estudiantines, orchestrent une soirée où les nouveaux doivent se plier à leurs règles, dans un mélange d’excès, d’humour douteux et de débordements.

Camille, 19 ans, fraîchement arrivée de son village provençal, est une étudiante en première année de licence de biologie. Réservée, presque timide, elle a grandi dans une famille où la pudeur est une seconde nature. Habituée à porter des vêtements amples et à éviter les regards indiscrets, elle redoute déjà cette soirée d’intégration dont tout le monde parle avec un mélange d’excitation et de crainte. Mais, poussée par la pression sociale et la peur d’être mise à l’écart, elle se rend au vieux bar rock du quartier, un lieu aux murs tapissés de posters vintage et au sol collant de bière renversée.

À son arrivée, l’ambiance est électrique. La musique hurle, les lumières clignotent, et une foule d’étudiants s’agite dans une chaleur étouffante. Mais ce qui frappe Camille, c’est le spectacle qui s’offre à elle : plusieurs nouvelles, déjà intégrées au « rituel », déambulent dans le bar, entièrement nues, certaines riant nerveusement, d’autres visiblement au bord des larmes. Camille sent son cœur s’accélérer. Elle, qui rougit rien qu’à l’idée de porter un décolleté, se sent soudain projetée dans un cauchemar.

Un groupe d’anciens, portant des t-shirts fluorescents marqués « Bizutage Squad », l’intercepte à peine franchie la porte. « Bienvenue, la nouvelle ! » lance un grand barbu avec un sourire carnassier. « Ce soir, tu fais ce qu’on te dit. Et on commence fort : tout le monde à poil ! » Les rires fusent autour d’elle, et Camille, pétrifiée, tente de bafouiller une excuse. « Je… je ne suis pas très à l’aise, je peux peut-être juste… » Mais une fille aux cheveux bleus, une des anciennes, l’interrompt : « Pas de chichi, ma belle. C’est la règle. Si tu veux être des nôtres, tu joues le jeu. »

Camille sent ses joues s’enflammer. À la maison, elle ne se déshabille jamais devant personne, pas même sa propre sœur. Même à la plage, elle garde un paréo bien noué autour de la taille. Mais ici, pas d’échappatoire. Les anciens l’entourent, et elle comprend vite que résister ne fera qu’empirer les choses. Tremblante, elle commence à retirer sa robe à fleurs, un vêtement modeste qu’elle avait choisi pour se sentir en sécurité. Les sifflements et les rires des spectateurs, clients du bar mêlés aux étudiants, résonnent dans ses oreilles comme une tempête. Elle retire son soutien-gorge, puis sa culotte, chaque geste lui coûtant un effort surhumain. Ses mains tremblent, et elle tente de cacher son corps avec ses bras, mais un ancien lui tape sur l’épaule : « Pas de cachette, princesse. On assume ! »

Le pire arrive quand une fille lui ordonne d’enlever ses petites ballerines blanches, son dernier rempart contre l’humiliation. « Pieds nus, c’est la règle ! » Camille proteste faiblement : « Mais… le sol, il est dégueulasse… » Un éclat de rire général lui répond, et un ancien renchérit : « T’inquiète, ça forge le caractère ! » À contrecœur, elle pose ses pieds nus sur le sol poisseux, sentant la crasse et les éclaboussures de bière sous ses orteils. Elle grimace, mais n’a pas le temps de s’appesantir : on la pousse vers le centre de la piste.

Là, sous les regards avides des clients et les éclats de rire des anciens, Camille doit défiler, nue comme au premier jour, ses petits seins exposés et son corps frêle frissonnant dans l’air moite du bar. Les sifflets fusent, certains clients lèvent leur verre en riant, et elle entend des commentaires graveleux sur ses courbes. « Pas mal pour une coincée ! » lance un type au comptoir. Camille, rouge de honte, baisse les yeux, fixant le sol pour éviter les regards. Chaque pas est une torture, la sensation du sol sale sous ses pieds nus amplifiant son malaise.

Mais les anciens ne s’arrêtent pas là. Pour pimenter la soirée, ils imposent un jeu : les nouvelles doivent danser en duo, corps contre corps, sous les acclamations de la foule. Camille se retrouve collée à une autre fille, tout aussi mal à l’aise, leurs corps nus glissant l’un contre l’autre dans une chorégraphie imposée par les cris des anciens. La musique techno fait vibrer le sol, et Camille, au bord des larmes, tente de se concentrer sur les pas pour oublier les regards lubriques qui la transpercent.

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Déshabiller au bizutage. 

dimanche 20 avril 2025

Humiliée pour paques

 

Bizuter en pensionnat catholique
Anus exposée pour humilier.

Dans un pensionnat catholique.

Dans le centre de la France, dans un établissement catholique , la cruauté prospère et la perversion prospèrent sous couvert de défendre la foi et les traditions. 
 
Pour les filles pensionnaires dans ces établissements, une hiérarchie impitoyable règne, où les faibles sont brisés pour le plaisir des forts.
 
 Éloïse, une jeune femme de 20 ans, douce réservée, est la victime désignée. Dès son arrivée, elle est devenue la proie d’un trio de pensionnaires sadiques mené par Victoire, une jeune femme charismatique à la cruauté raffinée, secondée par Adèle, brutale et impulsive, et Margaux, sournoise et observatrice.
 
Les bonnes sœurs, dirigées par Sœur Gertrude, une femme au regard d’acier, ferment les yeux sur ces sévices, qu'elle trouve amusant. Le père Anselme, prêtre autoritaire et énigmatique, va plus loin : il voit dans ces humiliations une forme perverse de « purification » et y participe indirectement, renforçant l’emprise des bourreaux. Sous leur autorité, Éloïse endure un calvaire quotidien.
 
Chaque soir, dans les dortoirs du pensionnat, Victoire, Adèle et Margaux convoquent Éloïse pour leur rituel d’humiliation. La jeune femme, pieds nus sur le parquet glacé, sent son cœur s’accélérer dès que Victoire claque des doigts. L’ordre est toujours le même : se déshabiller entièrement, sans exception. Éloïse, pudique, tremble à l’idée de se retrouver nue, exposée aux rires et aux regards cruels. Mais la moindre hésitation est punie.
 
 
Au début, Éloïse tentait de résister, serrant sa culotte contre elle ou gardant ses chaussettes dans un réflexe de pudeur. Ces supplications déclenchaient une avalanche de moqueries et de violences. 
 
Une fois, alors qu’elle pleurait, « S’il vous plaît, laissez-moi garder ma culotte, je vous en supplie… », Victoire s’était approchée, un sourire aux lèvres. « Oh, la petite sainte veut cacher ses fesses ? Trop tard, tout le monde va voir va les voir ! Enlève ça, !» 
 
Adèle, impatiente, avait arraché le sous-vêtement d’un geste brusque, giflant Éloïse au passage. « Ferme-la et vire tout, ou je te tabasse ! » Margaux, plus subtile, ajoutait en ricanant : « Tu crois que ta culotte va te servir ?»
 
Les chaussettes, dernier rempart de dignité, étaient tout aussi intolérables pour le trio. 
Une autre fois, Éloïse, en larmes, avait murmuré : « Juste mes chaussettes, s’il vous plaît… Le sol est froid… » Victoire avait éclaté de rire. « Des chaussettes ? À poil, ça veut dire tu vire tout, donc les pieds nus, et plus vite que ça !» Adèle l’avait forcée à retirer ses chaussettes en la bousculant, puis l’avait frappée sur les cuisses pour « lui apprendre à obéir ».
 
Face à ces supplications, les bonnes sœurs, lorsqu’elles assistaient à la scène encourageaient les anciennes à éduquer la nouvelle.
 
Désormais conditionnée, Éloïse obéit presque mécaniquement. Pieds nus, elle se déshabille sous les ricanements, ses mains tremblantes défaisant chaque bouton. Mais l’humiliation ne s’arrête pas là. Victoire l’oblige à ramper à quatre pattes, imitant un animal, tandis qu’Adèle claque ses seins ou pince ses fesses, riant de ses cris. Margaux, toujours en retrait, consigne chaque détail dans son carnet, qu’elle lit à voix haute lors des « réunions » du trio pour prolonger la honte d’Éloïse. 
 
 
Les sévices d’Éloïse ne sont pas un secret. Les bonnes sœurs, menées par Sœur Gertrude, y voient une belle traditions pour endurcir les faibles. « Les faibles doivent porter leur croix », répète-t-elle lors des messes, jetant un regard appuyé sur Éloïse, qui baisse les yeux, rouge de honte. 
 
Le père Anselme, figure charismatique du pensionnat, est encore plus troublant. Lors des confessions, il interroge Éloïse sur ses « faiblesses », insinuant que son sort est une punition pour son manque de force. « Soumets-toi, être soumise et lesbienne n'est pas un péché», murmure-t-il, un sourire ambigu aux lèvres. Parfois, il observe les humiliations depuis l’ombre, prétendant « superviser » pour maintenir l’ordre.
 
Chaque année, à Pâques, l'établissement organise une cérémonie dans la chapelle, réservée à un cercle restreint de pensionnaires, de sœurs et du père Anselme. Officiellement, c’est une célébration de la résurrection du Christ. En réalité, c’est un rituel cruel où la victime désignée – cette année, Éloïse – est humiliée publiquement sous le couvert de la foi.
 
 
La nuit de Pâques, Éloïse est conduite dans la chapelle, pieds nus sur la pierre glacée, ses pas résonnant dans le silence. Les vitraux projettent des ombres inquiétantes, et les autres pensionnaires, forcées d’assister, forment un cercle muet. Victoire, vêtue d’une robe blanche parodiant la pureté, déclare : « Éloïse doit expier ses péchés de lesbienne possédée » Le père Anselme, brandissant un crucifix, approuve d’un signe de tête.
 
Sous ses ordres, Éloïse est déshabillée. Lorsqu’elle tente, dans un sursaut de désespoir, de garder sa culotte, elle murmure : « Pitié, juste ça… » Victoire la coupe d’un rire cruel : « Tu oses ? Enlève tout, ou je te fais laver le sol avec ta langue ! » Adèle arrache le vêtement, ajoutant : « Pleure encore, et je te fais ramper jusqu’à l’aube ! » 
  Sœur Gertrude, présente, intervient : « Cesse cette rébellion, Éloïse. Tu aime trop être la chienne des anciennes et te promener à poil !. »
 
Pieds nus, Éloïse est forcée de s’agenouiller, tremblante, sur le sol froid. Les bonnes sœurs entonnent un chant latin, leurs voix graves couvrant ses sanglots. Victoire verse de l’eau glacée sur son corps, prétendant la « purifier ». 
 
Adèle, un fouet d’orties à la main, inflige de légères brûlures sur ses épaules, sous les murmures approbateurs de Sœur Gertrude. Margaux encourage les autres filles à jeter des tomates et autres déchets pour lapider symboliquement satan incarné dans cette diablesse soumise.
 
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samedi 12 avril 2025

Une bonne fessée et des humiliations pour une jeune fille pudique.

 

Punir et fesser les filles pudiques
Les filles doivent être reprises en main par des éducatrices sévères et strictes.

 Aïcha une étudiante punie par une éducatrice.

Dans un pensionnat isolé, où des jeunes filles de toutes origines sont envoyées pour corriger leurs écarts de conduite ou leurs lacunes académiques, l’ordre règne en maître. Les règles, gravées dans un règlement validé par une ordonnance ministérielle, prônent une discipline inflexible, où l’humiliation et la soumission sont des outils privilégiés. Les éducatrices, dotées d’une autorité incontestée, veillent à ce que chaque infraction soit châtiée avec une précision presque rituelle.

Aïcha, 21 ans, est une jeune musulmane au caractère bien trempé. Toujours vêtue de vêtements amples et d’un hijab impeccablement noué, elle arbore sa pudeur comme un étendard. Placée dans ce foyer par la justice pour absentéisme à l’université et comportement rebelle, elle défie les règles avec une insolence calculée : retards, remarques cinglantes, refus de se plier aux consignes. Mais ce soir, c’est une autre faute qui attire l’attention : son hijab, qu’elle porte ostensiblement malgré les rappels répétés sur la laïcité imposée dans l’établissement.

Dans le réfectoire, l’atmosphère est lourde. Madame Claire, l’éducatrice en chef, se tient au centre, imposante. Son tailleur strict et son regard perçant lui confèrent une aura de domination froide. Elle savoure ces moments où elle peut briser les résistances, surtout celles des filles pudiques comme Aïcha, dont la retenue l’agace autant qu’elle l’inspire. Les autres pensionnaires, assises en silence, savent qu’un spectacle se prépare.

« Aïcha, tonne Claire, tu as encore manqué tes cours, tes notes sont désastreuses, et tu persistes à défier la laïcité de cet établissement avec ce voile. Sans parler de cette pudeur excessive qui te pousse à te croire au-dessus des règles. Ce soir, tu vas apprendre ce qu’il en coûte. »

Aïcha, adossée à une chaise, croise les bras, un sourire narquois aux lèvres. « La laïcité ? Vous voulez juste me contrôler. Et ma pudeur, c’est pas votre problème. J’suis majeure, Madame, vous pouvez pas me forcer à quoi que ce soit. »

Un frisson parcourt l’assemblée. Les filles échangent des regards, impressionnées par l’audace d’Aïcha. Claire, loin d’être déstabilisée, esquisse un sourire cruel. « Oh, Aïcha. Tu penses que ton petit numéro m’impressionne ? Le règlement que tu as signé autorise des mesures… disons, éducatives. Et j’adore corriger les filles dans ton genre. Déshabille-toi. Complètement. »

Aïcha écarquille les yeux, feignant l’indignation. « Quoi ? Hors de question ! Vous savez que je porte le voile, que je suis pudique. Vous voulez m’humilier, c’est ça ? »

Claire s’approche, sa voix devenant un murmure menaçant. « Exactement. Les pudiques dans ton genre ont besoin d’une leçon d’humilité. Retire tout, y compris ce hijab. Ou je m’en chargerai moi-même. »

Aïcha hésite, jouant la révolte. Elle secoue la tête, lance un « C’est abusé ! » théâtral, mais au fond d’elle, une part secrète s’éveille. La sévérité de Claire, son autorité implacable, éveillent en elle une étrange fascination. Elle proteste pour la forme, mais son cœur bat plus vite à l’idée de céder. Lentement, elle commence à dénouer son hijab, ses doigts tremblants trahissant un mélange de honte et d’excitation. Le tissu glisse, révélant ses cheveux noirs. Puis viennent la tunique, le pantalon, les chaussettes. Elle marque une pause devant ses sous-vêtements, lançant un regard de défi à Claire.

« Continue, ordonne l’éducatrice, impatiente. Une soumise ne cache rien. »

Aïcha soupire bruyamment, mais obéit, laissant tomber ses derniers vêtements. Nue, elle croise les bras sur sa poitrine, jouant la gêne. « Satisfaite ? » lance-t-elle, provocatrice.

Claire la toise, savourant sa victoire. « Pas encore. Les bras le long du corps. Montre-toi. »

Aïcha obéit, un éclat rebelle dans les yeux, mais son souffle s’accélère. Elle sent tous les regards sur elle, et l’humiliation, orchestrée avec soin par Claire, la trouble plus qu’elle ne veut l’admettre. Claire désigne une chaise au centre de la pièce. « Viens ici. Sur mes genoux. »

Aïcha avance, chaque pas amplifiant cette tension délicieuse entre résistance et soumission. « Vous êtes malade, marmonne-t-elle, mais elle s’allonge sans trop protester, son corps frémissant d’anticipation. La position, humiliante, la ramène à une vulnérabilité qu’elle feint de détester.

Claire pose une main ferme sur son dos. « Ceci est pour ton bien, Aïcha. Pour ton insolence, ton voile, ta pudeur mal placée. » Sa voix est un mélange de reproche et de satisfaction. La première claque s’abat, vive et sonore. Aïcha sursaute, un gémissement lui échappe. Les coups suivants s’enchaînent, méthodiques, chaque claque ponctuée d’une leçon : « Tu apprendras… à obéir… à respecter… mon autorité. »

Les fesses d’Aïcha rougissent, la douleur se mêlant à une chaleur qu’elle refuse d’admettre. Elle serre les dents, jouant la rebelle, mais ses larmes, quand elles coulent, sont autant de honte que de relâchement. Claire, experte, sait exactement jusqu’où pousser. Quand elle s’arrête, Aïcha tremble, à la fois brisée et étrangement apaisée.

« Relève-toi, ordonne Claire. Au coin, mains sur la tête. Deux heures. »

Aïcha se redresse, lançant un dernier regard de défi. « Vous êtes dure, quand même, » murmure-t-elle, mais elle obéit, prenant place face au mur. Nue, exposée, elle sent l’humiliation peser sur elle, mais au fond, une part d’elle savoure cette discipline stricte, cette perte de contrôle orchestrée par Claire. Les autres filles observent, certaines intimidées, d’autres intriguées. Claire arpente la salle, triomphante. « Que ceci soit une leçon pour vous toutes. Défiez-moi, et vous connaîtrez la même correction. »

Le pensionnat, avec ses méthodes controversées, affiche un taux de réussite inégalé. Les filles, même les plus rebelles, finissent par plier, façonnées par la main de fer de Claire. Aïcha, elle, commence à comprendre qu’elle pourrait bien aimer ces jeux de pouvoir, même si elle ne l’admettra jamais à voix haute.

Lien : 

La maison de correction.

dimanche 2 février 2025

Suspecte de terrorisme interrogée nue

Détenue nue et interrogée.
Nue lors de l'interrogatoire.

Nadia arrêtée et interrogée le renseignement militaire américain en Irak.


Une jeune femme prénommée Nadia a signaler avoir été arrêtée en mars 2004 lors d'un raid dans sont quartier par les forces américaines et était soumises à un interrogatoire humiliant entre les mains des forces américaines sur la base militaire d'Abou Ghraib, bien qu'elle ait été détenue sans charge que quelques jours, par simple mesure de vérification.

Elle a été arrêtée lors d'une rafle, assez fréquente à cette époque, avec un groupe de jeunes comme elle. Bien qu'elle ne soit ni frappée ni torturée, elle a du se soumettre au processus jugé  particulièrement humiliant et dégradant.

C'est difficile pour une jeune femme respectable et pudique de se déshabiller, surtout devant des hommes, pour les fouilles et la confiscation des vêtements qui dure quelques heures le temps de vérifier.

Nadia doit suivre les ordres et enlever ses vêtements pour la fouille obligatoire et systématique dans ces circonstances, elle est contrainte de retirer ses vêtements devant les soldats américains, tout bien sur, y compris sa culotte et ses chaussettes.

Pour les américains c'est la procédure normale dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, et Nadia doit s'y soumettre comme les autres malgré sa honte.

Il ne faut pas être coincée, ni pudique lui disent les soldats, ici faut tout montrer et tout dire lors de l'interrogatoire.

Liens :


Nue en garde à vue.


vendredi 25 octobre 2024

Scandale des tortures et humiliations en prison.

Nue et enchainée dans une cellule de prison.
Nudité totale en cellule de prison.

 

Les responsables de la CIA et du renseignement militaires demandent aux gardiens de déshabiller les détenus de la prison d'Abou Ghraib et de les priver de vêtements, tout cela fait partie du processus. Les femmes irakiennes musulmanes détenues dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib ne sont pas exemptées de mauvais traitements.

Elles sont gardées en isolement dans une des parties dures de la prison, dans une aile avec les autres prisonniers dit "de sécurité" ou de "haute valeur". La plupart des prisonnières irakiennes sont comme Warda  sur la photo, elles  sont emprisonnées pour avoir des liens familiaux avec des personnes recherchées et utilisées comme moyens de pression et de chantage pour inciter leurs maris, pères ou frères à se rendre.

Le processus mis en place est très humiliant : Dès l'arrivé, Warda est soumise à une fouille complétement nue. Les détenues musulmanes doivent retirer leurs voiles, robes, abaya, jupe, sous vêtements, chaussures et même leurs bas ou chaussettes pour celles qui en portent.

Pour augmenter l'humiliation et la dégradation ressentie par les femmes, les autorités ordonnent aux gardes d'assister aux déshabillage des femmes musulmanes pour utiliser leur pudeur et croyances religieuses contre elles, plusieurs hommes ont assisté à la fouille et l'inspection de Warda à poil.

Warda est passé du voile quasi intégrale à la nudité totale en quelques minutes après avoir mis ses pieds dans cette terrible prison.

Elle est nue et pieds nus en permanence.

Lien :

Incident nudité forcée.

mardi 24 septembre 2024

Les interrogatoires renforcés

Nudité forcée, stress position et interrogatoire renforcé.
Prisonnière nue en position de stress lors d'un interrogatoire renforcé

Le système d'interrogatoire renforcé à Abou Ghraib

Irak en 2004.

Lorsque l'armée américaine arrêtent des suspects irakiens, ils sont placés en rétention temporairement au niveau du bataillon les ayant arrêtés. Puis le renseignement militaire détermine si les personnes arrêtées peuvent avoir de la valeur en matière de renseignement ou sont raisonnablement susceptibles d'être liés a des activités menaçant le sécurité. 

Les personnes que le renseignement militaire estime être dangereuses sont transférées dans des prisons spécialisées dans les interrogatoire comme le célèbre camp d'Abou Ghraib.

Dans la section gérée par le renseignement militaire d'Abou Ghraib, les procédures de coercition physique et psychologique visent à soumettre et humilier les captifs afin de les faire parler rapidement.

Les officiers militaires reconnaissent que mètrent complétement nus les prisonniers fait partie de ce processus afin de s'assurer de leur "coopération".

Les techniques d'interrogatoires officielles inclus :

- L'utilisation de cagoules pour désorienter les prisonniers et les empêcher de voir et d'entendre.

- Port de menottes en entraves permanentes

- Le fait d'être garder dans de petites cellules vides en isolement complet avec privation de sommeil, limitation d'accès à l'eau et à la nourriture, interdiction de parler, refus d'accès à l'air libre, et limitation de l'hygiène.

- La nudité forcée, même pour les femmes irakiennes musulmanes qui sont interdites de porter des vêtements et des chaussures au même titre que les hommes.

- Les obligations de parader et de marcher nues et pieds nus en dehors des cellules et en présence des gardiens des visiteurs et des autres personnes privées de liberté.

- L'obligation de prendre des postures inconfortables et humiliantes, comme rester débout à poil pendant plus de 8 heures d'affilée, ou de rester dans des positions de stress. 

- Une prisonnière nue devaient rester et faire la chaise pendant plusieurs minutes sous la menace d'être battue et fouettée.


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Humiliation et interrogatoire musclé.


vendredi 20 septembre 2024

Histoire BDSM : L'humiliation d'une prisonnière pudique en prison.

Nudité forcée et conditionnement des prisonnières musulmanes.
Nue et pieds nus dans une position stressante et dégradante.

Humilier et dégrader pour faire parler.

 

Les femmes irakiennes qui sont faite prisonnières par nos forces armées et qui arrivent dans la prison militaires d'Abou Ghraib sont des cibles importantes : elles peuvent détenir des informations stratégiques et vitales ou être impliquées dans des actes de rebellions ou de terrorisme. Il est important que les gardes n'aient aucune pitié ni aucun états d'âmes à leur imposer le traitement qu'elles méritent.

Les gardes doivent être sans aucun scrupules et appliquer les consignes des responsables de la prison et des interrogatoires, c'est crucial pour la réussite de la mission qui est de collecter des informations.

Ces femmes sont souvent assez importantes dans leurs société d'origines : professeur, scientifique, pharmacienne, journaliste, femmes d'affaires ou femmes de riche famille, bref la plupart sont issue de la bourgeoisie de l'ancien régime.

Elles sont aussi pour la plupart musulmanes sunnites avec quelques fois des chiites, et ont des valeurs très conservatrices et suivent  une religion qui leur enseigne la pudeur et la modestie depuis leur petites enfance. Elles n'ont jamais ne serait ce que porter un maillot de bain en public à la piscine ou à la plage, ni porter de mini jupe débardeur par exemple. Elles portent des voiles (hijab) pour couvrir leurs cheveux et cou, et de longues robes arabe traditionnel appelé "Abaya", certaines sont même quasiment couverte de la tête aux pieds ou d'autre portent des grand ensemble noir appelé tchador.

Tout ces attirails de vêtements ont une valeur morale et religieuse aux yeux de ces femmes, ceux sont des marqueurs identitaires. Alors nos responsables ont décider d'utiliser les tabous culturelles et religieux des détenus contre eux, nous devons exploiter leurs faiblesses.

Par exemple cette professeur de lycée que vous pouvez voir sur la photo,  Houda D, c'est la cousine d'un ancien ministre et une femme très pudique, pieuse et respectée qui à former beaucoup d'élèves à la langue anglaise, qui a beaucoup voyager dans le monde arabe et en Europe, elle parle arabe et l'anglais, mais se débrouille aussi en allemand et en français.

C'est très humiliant pour elle quand elle a mis les pieds dans la prison d'Abou Ghraib. Les gardes l'ont dépouiller de ses papiers d'identité, de sa montre, de ses bijoux,  de son argent, de ses effets personnels, de ses boucles d'oreilles avant obliger à se déshabiller.

Comme 95% des femmes incarcérées ici, elle a coopérer,  il n'y a pas besoin d'utiliser la force car les femmes comprennent qu'elles n'ont pas le choix, les gardes sont nombreux et trop costauds et n'hésiteront pas à les frapper si nécessaire.

Le déshabillage doit être public et avoir lieu devant des hommes, car les femmes musulmanes ont le droit de se dévoiler devant d'autre femmes dans leur vie privée, d'aller voir une gynécologue etc. Alors il faut les humilier en présence d'homme. Certains gardes préfèrent obliger les femmes à d'abord enlever leurs voiles, d'autre laissent les femmes enlever un à un leurs vêtements, pour ça nous recommandons aux gardes de suivre leur feeling.

Les gardes ont fait enlever le voile d'Houda en premier, l'une des gardiennes est très hostiles au hijab qu'elle voit comme un signe d'arriération et de domination des femmes. Ensuite il faut qu'elle enlève tout, c'est bien de rire, d'insulter et se moquer d'une prisonnière dans cette situation pour accroître son malaise et son embarras. Des hurlements comme "à poil" "montre ton cul" sont toujours sympa pour l'ambiance.

Obligez là à regarder les gardes dans les yeux quand elles enlèvent leurs vêtements et qu'elles se font traiter de putes.

Une fois déshabillée, faite quand même attention à ne pas oublier de confisquer les chaussettes ou les tongs (flip flop) car même si ça n'a pas été le cas pour Houda à qui les gardes ont découvrir ses pieds, par le passé certaines prisonnières ont pu garder leurs chaussettes et ce n'est pas permis.

Houda, une fois nue et pieds nus a été pris d'une crise de panique, toute rouge et s'est mise à pleurer.

Elle doit suivre les ordres et tourner sur elle même lentement pour que les gardes puissent voir ses seins, ses fesses, sa chatte à l'air. Elle doit prendre des poses obscènes et dégradantes; ouvrir ses fesses et sa chatte, lever les seins, remuer ses orteils. Les gardes l'a traite de singe et de vaches pendant l'opération. "Elle mange trop" "sa chatte pue" voilà le genre de commentaire à faire dans ce type de situation.

La fouille des cavités est très importante, il faut toujours que les gardes insèrent leurs doigts dans l'anus et la chatte des captives, pour la sécurité bien sur, mais aussi pour marquer la domination et le contrôle.

Les femmes doivent avoir le sexe lisse donc le pubis rasé, les touffes de poils sont interdites.

Les photographies sont très importantes, tant pour remplir le dossier, que pour mieux les humilier en affichant les images des prisonnières nues un peu partout dans la prison avec leurs noms, age, date de naissance, lieu de résidence pour les humilier devant leur peuple.

Faite la ensuite se promener nue pour que le staff puisse découvrir la viande fraiche. Dites lui qu'elle n'est qu'une pute qui s'exhibe à poil sans voile.

C'est le processus de base qu'il faut pour dépouiller la prisonnière de tout ses droits, de sa liberté, et surtout de sa dignité.


Lien :

Une détenue promenée à poil dans les couloirs.

mardi 17 septembre 2024

Deux femmes humiliées et misent nues en prison.

 

Toute nue et pieds nus, les gardes ne blague pas avec les prisonnières.
Deux femme se déshabillent en prison.

Les prisonnières et la nudité forcée.



Durant l'été 2003, Le scandale du traitement des prisonniers dans la prison militaire américaine en Iraq à Abou Ghraib a ébranlé les Etats Unis et jeté l'opprobre sur les pratiques de l'armée américaine et de la CIA (Service de renseignement américain).

La presse internationale a révélé des photos et des vidéos prises par les soldats américains, des gardiens et des policiers militaires en train d'imposer des sévices, tortures, et humiliations envers les prisonniers irakiens.

Mais ce qui différencie cette prison des autres sinistres centre de détention et d'interrogatoire dans le monde, ce que là bas, d'après tout les témoignages, interview d'ancien captifs,  dans les compte rendu d'enquête, c'est que la nudité était imposée de façon quasi systématique aux détenus pour les humilier, les rendre coopératifs et les préparer aux interrogatoires et que cette pratique a été généralisé à l'échelle de toute la prison.

De plus l'immense majorité des photos et des vidéos révélées, les prisonniers sont nus.

La nudité comme technique d'interrogatoire et d'asservissement a toujours existé durant les guerres, mais jamais au point d'être généralisée et d'être devenue omniprésente. Si naturelle que tous les gardiens considèrent que de garder à poil les prisonniers est tout à fait normal et légitime et ne constitue pas un abus.

Le cas de Madame Abir J, et de sa fille Naima est édifiant. La mère et la fille ont été arrêtée pour liens avec la résistance et pour avoir exercer un role dans l'ancien régime, Abir était responsable d'un service financier du ministère de l'économie, et sa fille stagiaire dans la haute fonction publique, bien qu'elle ne soit pas la cible, les américains ont capturer aussi la fille, ne serait ce que pour faire pression sur sa mère.

Durant les premières semaine de détention, les deux femmes ont été relativement bien traitée et préservées des outrages et respectées même si les conditions de détention sont difficiles (petite cellule d'isolement, peu d'activité)  et sans confort, l'alimentation est correcte mais réduite au minimum.

Leur intimité était globalement respectée, lors des fouilles, seuls les gardiennes pouvaient être présente, c'était interdit au gardiens hommes. Ces fouilles n'étaient pas à nue, dans 80% des cas c'était simplement des palpations, et pour la fouille d'accueil une simple mise en sous vêtements, avec le droit de garder les chaussettes sous prétexte que le sol est sale et froid. De plus elles avaient le droit de conserver leurs vêtements civils, ainsi que leurs voile (hijab).

Dès juillet 2003, les gardes ont pris l'habitude de déshabiller les prisonniers jugés dangereux et important sur ordre de la police militaire et de la CIA. Puis la pratique s'est généralisée petit à petit en quelques semaines, si bien qu'en octobre et novembre 2003 la pratique était généralisée.

Pour un prétexte ou pour un autre, les hommes et les femmes détenus ont été déshabillés, et nos deux prisonnières ici n'ont bien sur pas échappées à la nudité forcée.

Abir est élégante , elle a la quarantaine, mais fait plus jeune.
La maman est vêtue d'une longue tunique noir brodée et élégante, avec un foulard blanc enroulé autour  de sa tête et drapé sur le haut de sa poitrine, elle porte un saroual beige et  est pieds nus une paire de sandales couleurs or. Sa fille Naima, 19 ans est habillée en jean, basket, chaussettes, et porte un large T Shirt et a un foulard   noir sur la tête. 

Les deux détenus entretiennent leurs apparences en prison et prennent soin de leurs affaires comme de leurs cellules qui sont parfaitement propre.

Des gardes sont allés sortir les deux femmes de leur cellule, et ont exiger qu'elles retirent tout leurs vêtements. Abir répond "Vous ne pouvez pas nous demander ça, je suis un maman  musulmane mariée et avec ma fille, on veut pas être toutes nues devant vous !". 

Les militaires expliquent aux captives que quoi qu'il arrive, leurs vêtements seront retirés, de gré ou de force et qu'elles finiront nues. Qu'il vaut mieux coopérer et obéir pour que tous ce passe bien.


Le surveillant dépose une sorte de sot, de bac dans laquelle les deux femmes doivent déposer leurs vêtements comme l'ordonne le surveillant..

Il commence par leur faire retirer leurs hijabs,c'est désormais totalement interdit sur décision du général Miller, et de lâcher leurs cheveux. Puis d'enlever leurs chaussures et chaussettes pour se présenter pieds nus. 

Elles sont des jolis pieds, soignés et bien entretenus qui paraissent doux. Ensuite le reste des vêtement y passe, les ordres sont les ordres, les deux femmes doivent bien sur aussi enlever leurs culottes.
 
"Vos vêtements et vos chaussures vous sont confisqués jusque à nouvel ordre, probablement jusque à votre sortie".

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