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mercredi 23 avril 2025

Incident nudité forcée en prison.

 

Nudité forcée en prison
Nue en cellule.

Femme nue dans sa cellule de prison.

Dans les entrailles de la prison militaire d’Abou Ghraib, Mounia, 32 ans, Irakienne, professeure de lycée respectée, gît nue, enchaînée, dans une cellule d’isolement. Cousine d’un ancien cadre du ministère de l’Intérieur, traqué par la coalition internationale, elle est devenue une "prisonnière de sécurité". Son crime ? Rien de prouvé. Son châtiment ? Une nudité imposée, crue, humiliante.

Mounia, femme pieuse, toujours drapée de la tête aux pieds, conforme aux codes de sa foi musulmane, a été dépouillée de tout. Son avocat, sidéré, raconte le choc : "Ma cliente, nue, exposée, enchaînée comme un animal." Officiellement, cette nudité est une mesure de "sécurité" pour prévenir la contrebande. Mais un responsable, sous couvert d’anonymat, lâche une vérité plus sordide : "On les force à rester nues pour les briser, pour les punir." Les femmes musulmanes, en particulier, sont visées, leur pudeur transformée en arme contre elles.

À son arrivée, Mounia a subi une fouille à nue, procédure standard. Mais ce qui suivit n’a rien de standard : on lui a refusé tout vêtement. "Pas d’autorisation", a-t-on justifié. Dans l’Irak brûlant, où la chaleur suffocante rendrait le port de vêtements facultatif selon certains gardes, elle est laissée à vif, sans voile, sans dignité, sans aucun signe de sa culture ou de sa religion. Le statut de "prisonnière de sécurité"

 Liens : Rapport visite prison

samedi 30 novembre 2024

Conditions de vie rustique en prison.

Femme enfermée nue en cellule.
Prisonnière dort nue sur le banc de sa cellule.

Nue en cellule d'isolement.

Nous sommes en avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib tenue par les forces militaires américaines en Irak. 

Dans la section ou sont détenues les femmes irakiennes arrêtées par les États Unis. Elles sont là pour diverses raisons :  Suspectes de soutenir le terrorisme, de liens avec l'ancien régime, de financer la résistance, d'avoir des informations stratégiques etc.

Les prisonnières sont gardées en isolement dans des petits cachots vides sans aucun confort. Il n'y à pas que les cellules qui sont nues, les détenues sont aussi gardées à poil en permanence.

Les prisonnières en arrivant doivent retirer leurs vêtements pour la fouille traditionnelle, bien sur, c'est très humiliant et dégradant, surtout pour des femmes musulmanes très pudiques, les gardes américains obligent les femmes à vivre nues et à s’exposer devant les hommes.

Il faut se dévoiler, tout y passe, le hijab, la robe, les chaussures, les femmes doivent être entièrement nues y compris les pieds nus.

Une femme connue comme étant l'épouse d'un ministre en fuite dort entièrement à poil  sur le banc de  sa petite cellule. Elle ne porte aucun vêtements depuis son incarcération en dehors de ses chaines et menottes ...

Lien :

Zeyna nue en détention.

dimanche 24 novembre 2024

Une détenue nue enchainée d'Abou Ghraib

 

Nudité forcée et humiliation Abou Ghraib
Prisonnière nue en enchainée avec sa gardienne

Nudité forcée et interrogatoire renforcée des femmes.

Nous sommes en Irak, dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Bagdad qui sert de base et de centre d’interrogatoire pour les forces militaires américaine qui occupent le pays.

Les femmes irakiennes capturées par les forces militaires qui sont incarcérées dans cette prison sont contraintes de se dévêtir entièrement, y compris devant des hommes, en contradiction avec leurs valeurs et principes religieux.

Elles sont musulmanes et elles portent toute le voile (hijab), et l'abaya, large robe traditionnelle arabe que portent les femmes du Moyen Orient. 

Chaque femme est soumise à une fouille à nue en arrivant, c'est difficile à vivre mais ici pas de voile, les hijab sont confisqués, et il faut tout retirer. Les femmes fières et dignes sont terriblement humiliées de se retrouver entièrement nues pour y être inspecter dans la nudité totale. 

Aucune négociation n'est possible sur ce sujet. En cas de refus elles sont déshabiller de force, battues, et fouettées et misent en isolement dans le noir avec des musiques assourdissantes et désagréables en permanence pendant des semaines.

Les surveillants inspectent les cheveux, les oreilles, les bouches, sous les seins et les aisselles, contrôle du nombril, et inspection du vagin et de l'anus avec une lampe torche et un doigt ganté et lubrifié, et même les doigts de pieds des prisonnières sont examinés !

Leurs vêtements sont découpés et détruit, et elles sont obligées de rester nues, aucun vêtements ni uniformes de prison ne leur est fournis.

Elles doivent défiler nues et pieds nus jusque à leurs cellules, pour "être présentées"  comme de la viande fraiches à tout le personnel de la prison (gardiens, interrogateurs, staff administratif etc.) mais aussi s'humilier devant les autres prisonniers, y compris les hommes.

La nudité totale est obligatoire et permanente. Les femmes musulmanes entre les mains des forces américaines sont nues pour être formatée et formée à perdre toute pudeur et modestie, comme elles arrivent voilées et couvertes de la tête aux pieds, par pudeur et convictions religieuses et qu'elles n'ont jamais été nues en publique et bien tout le monde doit pouvoir les voir à poil.  Elles doivent abandonner toute espoir de porter des vêtements.

Lien : 

Malika soumise à une fouille gynécologique.


vendredi 25 octobre 2024

Scandale des tortures et humiliations en prison.

Nue et enchainée dans une cellule de prison.
Nudité totale en cellule de prison.

 

Les responsables de la CIA et du renseignement militaires demandent aux gardiens de déshabiller les détenus de la prison d'Abou Ghraib et de les priver de vêtements, tout cela fait partie du processus. Les femmes irakiennes musulmanes détenues dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib ne sont pas exemptées de mauvais traitements.

Elles sont gardées en isolement dans une des parties dures de la prison, dans une aile avec les autres prisonniers dit "de sécurité" ou de "haute valeur". La plupart des prisonnières irakiennes sont comme Warda  sur la photo, elles  sont emprisonnées pour avoir des liens familiaux avec des personnes recherchées et utilisées comme moyens de pression et de chantage pour inciter leurs maris, pères ou frères à se rendre.

Le processus mis en place est très humiliant : Dès l'arrivé, Warda est soumise à une fouille complétement nue. Les détenues musulmanes doivent retirer leurs voiles, robes, abaya, jupe, sous vêtements, chaussures et même leurs bas ou chaussettes pour celles qui en portent.

Pour augmenter l'humiliation et la dégradation ressentie par les femmes, les autorités ordonnent aux gardes d'assister aux déshabillage des femmes musulmanes pour utiliser leur pudeur et croyances religieuses contre elles, plusieurs hommes ont assisté à la fouille et l'inspection de Warda à poil.

Warda est passé du voile quasi intégrale à la nudité totale en quelques minutes après avoir mis ses pieds dans cette terrible prison.

Elle est nue et pieds nus en permanence.

Lien :

Incident nudité forcée.

dimanche 7 janvier 2024

Nudité, contrainte, humiliations en prison.

Nue et enchainée en isolment dans la prison.
Prisonnière nue et enchainée en confinement solitaire.

 Femme prisonnière nue en confinement solitaire.

 En 2004, pendant la seconde guerre du golfe ou les USA ont envahi l'Irak, un scandale concernant le traitement des prisonniers irakiens et irakiennes à éclaté dans la prison d'Abou Ghraib dans la région de Baghdad.

Dans partie isolement de la prison ou sont retenus les "détenus de haute valeurs", c'est à dire toutes personnes suspectées de liens avec l'ancien régime, de lies avec des groupes terroristes, de détenir des informations stratégiques sur des personnes recherché, des sources de financement de la rébellion, sur des membres de l'ancien régime en fuite, sont regroupées dans une aile de la prison en isolement dans des conditions de détentions très strictes.


Le cas d'une ancienne fonctionnaire irakienne du ministère des finances, Warda J, incarcérée plusieurs mois en confinement solitaire pour des liens familiaux avec un ancien ministre recherché est révélateur. Âgée d'une trentaine d'années, la détenue en arrivant a été soumise à une fouille à nue très stricte avec examen des cavités. Les gardiens obligent chaque femmes  arrivante à se mettre nue et leur  examinent l'anus, le vagin, la bouche, sous les seins, sous le aisselles, le nombril, les plantes des pieds, les orteils etc. pour s'assurer qu'elles ne dissimulent rien d'illégal ou de dangereux.


Les responsables de la prison, les interrogateurs de la CIA et de la police militaire  incitent les gardiens à laisser nus et enchainés les prisonniers. Pour Warda, une femme irakienne assez pieuse et conservatrice, la nudité est quelque chose de difficile à vivre et à supporter.

La technique d'interrogatoire dite de "nudité forcée" est appréciée des gardes et responsables, c'est officiellement une technique recommandée de coercition physique et psychologique pour rendre docile et coopératifs les prisonniers, et des vêtements ou des objets de confort peuvent être remis contre des informations (une forme de chantage).

Les dirigeants du secteur d'isolement ont décider que Warda et les autres femmes incarcérées devaient être soumise à la nudité complète et permanente , après la fouille aucun vêtements ne doivent être remis aux détenues.

Warda doit passer son séjour en détention nue, pieds nus et enchainée. Le régime de détention est une épreuve difficile à passer. Les décideurs insistent pour que Warda ait l'interdiction de couvrir son corps ou même de porter des chaussures minimalistes comme des tongs. La nudité est imposée aux femmes musulmanes pour accroitre  le sentiment d'humiliation et montrer la domination américaine.


Liens : 


Mise à nue, discipline, humiliation comme pratiques officielles pour les prisonnières.



vendredi 14 juillet 2023

Femme retrouvée séquestrée nue dans une cave.

Bondage BDSM et sequestration
Femme nue et ligotée séquestrée dans une cave de cité.



Séquestrée,  ligotée et laissée nue dans une cave.

Selon des informations révélées par la police, ce vendredi 14 juillet 2023, une femme d'une trentaine d'année aurait été enlevée, humiliée puis conduite dans la cave d'une cité de banlieue parisienne pour y être dressée.

Les faits se seraient déroulées jeudi 13 juillet au soir, en rentrant du bal des pompiers, une femme, Claire, a été victime d'un véritable guet-apens. La jeune femme se serait montrer arrogante et prétentieuse envers plusieurs hommes qui tentaient de la séduire pendant la soirée. Elle s'est plusieurs fois vanter d'avoir poser des râteaux à plusieurs mecs.

Manque de chance pour elle, un groupe d'homme a décider de lui faire payer ce comportement sexiste anti homme. 

Ils auraient forcer la jeune femme a monter dans le coffre de leur voiture, avant de s'arrêter dans un bois isolé, ou ils ont déshabiller Claire. Elle s'est débattue et  a crier, les ravisseurs pour calmer les témoins ont distribuer l'argent liquide qu'elle avait dans son porte monnaie.


Claire s'est retrouvée à poil dans un bois, pieds nus, les fesses et les seins à l'air entre les mains de la bande de pervers et devant des témoins ravis de voir ce spectacle d'humiliation.


La jeune femme s'est faite fessée et a du écarter les fesses et sa chatte de pute sous les rires des passants.


Elle a du sautiller pour que ses  gros seins soit secoués et fassent rire l'assistance.


Les mecs ont ensuite ligotée Claire et l'ont mise dans une cave, la police ne l'a découverte que le lendemain après midi.

Ce type de règlement de compte est de plus en plus fréquent et la police ne poursuit pas sérieusement les responsables selon les organisations féministes.


Liens :