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dimanche 14 septembre 2025

Humilier et ridiculiser une prisonnière.

Humiliation psychologique lors des interrogatoires.
Humilier toute nue devant les gardiens et gardiennes de prison.

 Ridiculiser et dégrader les détenues.


Dans les murs sombres de la prison d'Abu Ghraib en Irak, pendant la seconde Guerre du Golfe, les troupes américaines détenaient des femmes soupçonnées de liens avec l'insurrection. Ces prisonnières étaient à la merci de gardiens cruels et sadiques, qui avaient carte blanche pour briser leur esprit par l'humiliation et les abus. La discipline était absolue : soumission totale aux règles impitoyables, où la nudité forcée et les fouilles intimes par des mains masculines impitoyables étaient la norme pour maximiser la honte.

Dalila, une détenue musulmane voilée, accusée de soutien à la rébellion, était leur cible favorite. Pudique et fière, elle incarnait la résistance brisée. Confinée dans une cellule exiguë d'un mètre sur deux, vide et oppressante, elle était souvent extraite pour servir d'outil de distraction érotique aux gardiens. Nue en permanence – car pour les "prisonnières de haute importance" comme elle, l'humiliation maximale exigeait une exposition totale –, Dalila devait tourner sur elle-même, exhibant ses courbes sous tous les angles, la peau frémissante sous les regards lubriques. À quatre pattes, elle marchait, l'anus ouvert et vulnérable, bien visible, sentant l'air froid caresser ses parties intimes tandis que les rires moqueurs résonnaient.

Les gardes, mixtes hommes et femmes, savouraient la détresse dans ses yeux sombres, la honte brûlante qui rougissait sa peau mate. "Chienne, tu fais moins la fière comme ça ?", lançaient-ils en riant, profitant de sa pudeur innée pour amplifier leur plaisir sadique. Souvent désignée comme "le clown" de la prison, Dalila était traînée hors de sa cellule pour divertir la troupe. Les soldats dessinaient sur son corps nu des gribouillis pervers : "Spank me" en lettres grasses sur ses fesses rebondies, des insultes dégradantes tracées au marqueur indélébile sur ses seins et son ventre, transformant sa chair en toile vivante d'humiliation érotique.

Forcée à s'humilier verbalement, Dalila devait réciter d'une voix tremblante : "J'aime être nue devant mes maîtres supérieurs, les gardiens et gardiennes. Je suis fière d'avoir enlevé mon voile, mes vêtements et mes chaussures pour être enfin nue et libre." Chaque mot arraché renforçait sa soumission, un mélange enivrant de terreur et de résignation qui excitait les gardes.

 

Lien :  

Discipline stricte en prison. 

mardi 9 septembre 2025

La nudité lors des visites médicales étudiantes obligatoire.

 

Nue pendant la visite médicale.
Une patiente se fait peser nue lors de la visite médicale.

Visite médicale étudiante à l'ancienne.

 

Le couloir du dispensaire universitaire, un boyau glacial aux néons tremblotants, semblait tout droit sorti d’un film d’horreur de série B. Nous étions en 1980, et la visite médicale annuelle des étudiantes était un rite de passage où l’humiliation rivalisait avec la bureaucratie. Alignées en sous-vêtements, pieds nus sur le carrelage gelé, les filles formaient une mosaïque humaine : des origines diverses, des tempéraments allant de la pudeur monacale à l’exhibitionnisme décomplexé, toutes soumises au regard tyrannique de Madame Dubois, l’infirmière en chef. Avec son chignon d’acier et son sourire de guillotine, elle semblait dire : « Vous êtes à moi, et vous allez le sentir. »

Tout commençait dans le gymnase reconverti en annexe médicale, où l’odeur de désinfectant se mêlait à celle de l’angoisse. « En sous-vêtements, mesdemoiselles ! Et plus vite que ça ! » aboya Madame Dubois, claquant des mains comme un metteur en scène sadique. Les aides-soignantes, surnommées les « Cerbères », patrouillaient, prêtes à bondir sur la moindre récalcitrante. Les vêtements s’entassaient sur des bancs : jeans délavés, jupes à volants, chemisiers à motifs psychédéliques, et surtout, les chaussettes – un festival de socquettes blanches, de modèles à rayures fluo, et même de vieilles chaussettes trouées, témoins des budgets étudiants.

Aïcha, voilée et réservée, incarnait la gêne absolue. Elle ôtait son foulard avec des gestes lents, comme si chaque mouvement était une trahison. Ses chaussettes grises, qu’elle tenta de garder comme un ultime bouclier, furent vite repérées. « Les chaussettes, mademoiselle ! On n’est pas chez les nonnes ! » siffla une Cerbère. Aïcha, rouge de honte, se retrouva en culotte blanche et soutien-gorge démodé, ses pieds nus crispés sur le sol. À l’opposé, Valérie, la rebelle peroxydée, faisait un show. Elle laissa tomber son haut avec une lenteur calculée, révélant une lingerie noire audacieuse, et lança ses chaussettes léopard comme des confettis. « Profitez du spectacle, les filles ! » lança-t-elle, déclenchant des rires.

Marie, la catholique fervente, marmonnait des prières en défaisant sa jupe, ses chaussettes beiges montant jusqu’aux mollets, un choix d’une austérité biblique. « Dépêchez-vous, ce n’est pas l’heure de la messe ! » railla Madame Dubois. Sonia, d’origine antillaise, était déjà en culotte, ses chaussettes arc-en-ciel à moitié baissées, chantonnant du zouk. « C’est pas un défilé de mode ! » grogna une aide-soignante, mais Sonia riposta : « Mes chaussettes, elles ont plus de style que votre blouse ! »

Les internes, jeunes médecins en herbe, observaient depuis un coin, prétendant consulter des dossiers. Pierre, le plus culotté, lançait des piques : « Jolies chaussettes, mademoiselle… un cadeau de grand-mère ? » dit-il à Marie, qui vira écarlate. Valérie contre-attaqua : « Occupe-toi de ta stéthoscope, docteur, mes chaussettes ont plus de fans que toi ! » Aïcha, elle, fixait le sol, priant pour disparaître.

Mais Madame Dubois veillait. Quand elle surprit Leila et Claire en train de glousser tout en bataillant avec leurs chaussettes dépareillées, sa voix claqua : « Vous deux ! Baissez vos culottes, et vite ! » Les filles, pétrifiées, furent traînées au centre, forcées de se dévêtir sous les regards mi-choqués, mi-amusés. Leurs chaussettes – à pois pour Leila, une vieille grise pour Claire – ajoutaient une note comique à leur humiliation. « Retournez dans le rang ! » ordonna Madame Dubois. Leila, mortifiée, se cacha derrière Claire, qui haussa les épaules : « Au moins, nos chaussettes font jaser ! »

Une fois déshabillées, les étudiantes furent alignées dans le couloir, en culotte, soutien-gorge et pieds nus, exposées comme des trophées dans une vitrine perverse. Les chaussettes, abandonnées sur les bancs, semblaient narguer leurs propriétaires, vestiges d’une dignité envolée. Aïcha serrait ses bras contre sa poitrine, son regard fuyant les passants – étudiants égarés ou techniciens de surface – qui jetaient des coups d’œil curieux. Valérie, elle, bombait le torse, sa culotte en dentelle rouge défiant quiconque de la juger. Marie triturait un chapelet imaginaire, tandis que Sonia lançait des blagues osées, indifférente aux regards.

« Silence ! » hurla Madame Dubois, brandissant une règle en bois. Malheur à celles qui osaient parler. Fatima, surprise en train de chuchoter, fut tirée du rang. « Vous trouvez ça drôle ? » siffla l’infirmière, avant de lui administrer une fessée théâtrale, sous les rires nerveux. Puis, dans un élan de cruauté, elle ordonna à Fatima de remettre sa culotte… sur la tête. « Et vos chaussettes sur les mains, pour faire bonne mesure ! » ajouta-t-elle, sadique. Fatima, rouge mais hilare, obéit, ses chaussettes à rayures pendant lamentablement.

La salle d’examen était un autre cercle de l’enfer. Pierre, l’interne à peine diplômé, jouait les apprentis sorciers avec un zèle suspect. « Tout nu, mesdemoiselles, on n’a pas toute la journée ! » lançait-il, un sourire narquois aux lèvres. Poids, taille, tout était noté sous l’œil de Madame Dubois, qui cherchait la moindre faille. « Trois kilos de trop, mademoiselle Leclerc ? Trop de croissants ? » ironisait-elle, provoquant des ricanements.

L’examen devenait plus vicieux. Pierre palpait les seins avec une lenteur exagérée, son « Tout va bien ici » sonnant comme une provocation. La prise de température rectale, annoncée comme une sentence, faisait grimacer les plus aguerries. « Baissez-vous, ce n’est qu’une formalité, » assurait-il, mais son ton trahissait un amusement malsain. Aïcha, qui avait débuté la journée en tremblant, lança un regard de défi à Pierre, comme si sa pudeur s’était muée en audace. Valérie, fidèle à elle-même, plaisanta : « C’est un thermomètre ou un accessoire de cinéma, docteur ? »

Les touchers rectaux et vaginaux, administrés avec une froideur clinique, étaient le clou du spectacle. « Détendez-vous, » murmurait Pierre, mais les filles grimaçaient sous ses sarcasmes.

Ceux et celles qui ont vécu ces visites médicales collectives en gardent un souvenir indélébile, mélange de malaise, d’absurde et d’une étrange nostalgie. Entre l’autorité implacable des soignants, les chaussettes abandonnées comme des reliques, et les rires nerveux, c’était un théâtre où la pudeur était mise à nu. Aïcha, qui était arrivée voilée et tremblante, quitta le dispensaire en riant avec Valérie, son voile légèrement de travers, ses chaussettes soigneusement rangées dans son sac. « Si je dois être à poil, autant que ça vaille le coup, » glissa-t-elle, un sourire espiègle aux lèvres. Valérie tapa dans ses mains : « T’es une championne ! » Même Madame Dubois, en les voyant partir, esquissa un rictus, comme si, l’espace d’un instant, elle reconnaissait leur victoire.

 

Nue à la visite médicale de la fac
Examen clinique d'une étudiante nue à la visite médicale.

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Visite médicale autoritaire et humiliante. 


jeudi 13 juillet 2023

Prisonnière de guerre humiliée en prison.

Histoire d'humiliations et nudité forcée en prison.
Deux femmes prisonnières enchainées nues.

 

Des sévices et  la nudité forcée pour les femmes en prison.

Leyla Z, 28 ans a été capturée lors d'une opération de ratissage des Marines contre les rebelles  en novembre 2004 dans le quartier de Baghdad ou elle habite. Sur le terrain son interrogatoire est resté correct et courtois, les soldats lui ont posé des questions simples sur son identité, son âge, sa profession, et pris note de ses informations personnelles.

Seulement cette jeune professeure irakienne est considérée comme une détenue pouvant avoir des informations stratégiques pour la coalition du fait qu'elle enseigne dans un lycée fréquenté par les enfants des élites de l'ancien régime, dont beaucoup d'ancien ministre. 

Le renseignement militaire et la CIA ont donc décider qu'elle devait être retenue pour vérification, et elle a été placée dans un véhicule militaire et transférée dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib dans les environ de Baghdad, que l'armée américaine utilisent comme centre de détention et d'interrogatoire.


En arrivant dans la sinistre et tristement réputée prison, elle a été soumise aux procédures standard très humiliante et dégradantes que les militaires imposent aux prisonniers.


Dans un premier temps, il y a la fouille, qui doit être approfondie et qui se déroule nue, même pour les femmes comme Leyla. D'autres femmes  irakienne  comme Houda 31 ans sont aussi été incarcérées en même temps qu'elle, elles portent toute  sauf Houda qui est en pyjama, une robe amples et large  traditionnelle arabe, et un voile islamique (hijab) couvrant leurs chevelure. C'est des personnes culturellement pudique, réservées, et les gardes les ont regroupé ensemble pour les "accueillir".


Les gardiens ont reçu comme consigne d'être intraitable sur le déshabillage, c'est un élément clé du processus d'accueil. L'égo et la dignité de Leyla et des prisonnières doivent y prendre un coup.


Quelques semaines avant l'arrivée de Leyla et d'Houda, lors de l'arrivée des premières femmes dans cette prison, les gardiens américains se sont montrer plus respectueux avec les femmes qu'envers les hommes détenus. Les femmes lors des fouilles avaient la possibilité de garder leurs sous vêtements pour respecter les normes culturels et religieuses alors que les mâles étaient à poil, et  elles avaient la possibilité de garder leurs vêtements civils et leurs voiles, et certaines femme placées en isolement pouvaient garder leurs culottes.

Quant aux chaussettes, c'était l'anarchie niveau réglementaire, une jeune détenue irakienne  avaient pu conserver ses chaussettes lors des inspections  en prétextant avoir froid aux pieds et les surveillants en question avaient accepté pour lui faire plaisir et ne pas l'embarrasser., Mais d'autre gardes, considéraient que ça peut être  utiliser comme arme par destination et donc que c'est dangereux, obligeaient les prisonnières a les enlever lors des fouilles.

Mais depuis la visite du général Miller, l'ordre a été instaurer et les femmes sont soumises aux même conditions strictes que les hommes. Les prisonnières ont donc perdue tous leurs privilèges et obéissent  au même régles que les hommes : la nudité totale.

Leyla et les autres détenues sont très choquée de se voir ordonner  sévèrement par une grande soldate  américaine  blonde en anglais et en arabe de déshabiller. 

La surveillante militaire en uniforme ordonne d'abord "Retirez vos voiles, vos chaussures et vos effets personnels c'est a dire  vos montres, bijoux, boucles d'oreilles, papiers d'identité  et mettez les dans la boite en carton, on vous les rendra à votre sortie ..." 


Les femmes sont brièvement soumises à des relevées d'empreintes digitales et un soldat remplit leurs fiches administratives avant que la gardienne en chef donne l'ordre terrible "enlevez les robes, , les chaussettes, les bas,  les culottes, les soutiens gorges et tout le reste immédiatement !"

Les nouvelles détenues ont été surprise par le fait de devoir se dévêtir tout de suite, en public, les unes devant les autres sans aucune intimité, et surtout devant des soldats hommes qui ricanent. Elles appréhendent toutes d'être exposées nues devant d'autres personnes que leurs maris.


C'est une très grande honte et une terrible humiliation pour une femme arabe conservatrice  et respectable de devoir enlever ses vêtements, et de surcroit devant l'occupant qui montre sa domination.

Pendant qu'elles ôtent leurs robes, la gardienne leur dit en arabe et en anglais sur un ton ironique et cruel "Ne soyez pas timide mes petites, les garçons ici présent vous pouvoir se rincer l'oeil et se délecter de votre mise à nu. Ils sont curieux de voir vos gout en matière de sous vêtements. Certaines femmes ici se sont présenter avec des dessous très sexy sous leurs abayas et grand voile, et si vos chattes sont poilues ou rasées, de la forme de vos seins, bref vous n'aurez plus aucun secrets !"

"Mieux vaut ne pas être pudique" ajoute elle.

Leyla n'a jamais imaginer devoir tout enlever, surtout que les gardiens regardent les femmes avec insistance et rigolent en voyant leurs gêne.

Leyla enlève  d'abord ses chaussettes Houda est déjà pieds nus, les américains l'ont arrêtée en pyjama, elle n'a plus que sa petite culotte blanche. 

Les autres pleurent en retirant leurs soutien gorges devant les soldats qui se moquent d'elles.

La dernière instruction concerne les culottes, les prisonnières doivent les baisser sur leurs chevilles et les donner aux surveillants.

Elles sont entièrement nues, mains sur la tête, et exposées comme des bêtes aux regarde de tous, les américains les inspectent comme des bêtes en riant et prenant des photos des détenues dans des positions obscènes et dégradantes, Leyla a du se pencher en avant et toucher ses orteils pendant qu'on lui écarte les fesses et lui met un doigt dans l'anus pour vérifier qu'elle ne cache rien !

La fouille intrusive oblige aussi les femmes a ouvrir leurs chattes pour se faire doigter, leur bouche, a soulever leurs seins, les américains les fouillent même entre les orteils !


Les détenues sont ensuite enchainées, et aucun vêtements ne leur est remis, "Vous resterez nues en permanence, sauf pour les visites et les éventuels sortie hors du site."


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jeudi 10 décembre 2020

En petite culotte et seins nus à la visite médicale de la Fac

 

une fille obligée de se déshabillée lors de sa visite médicale se retrouve en petite culotte pieds nus et les seins à l'air
Une étudiante déshabillée en petite culotte à l'examen préventif.

Se déshabiller à la visite médicale universitaire et pudeur.


Coup de gueule de Sara contre les examens médicaux invasifs. La jeune étudiante musulmane de 20 ans dénonce les excès et les atteintes à la l'intimité et à la pudeur subie pendant les examens à la médecine préventive.

Elle parle de déshabillage abusif et d'infantilisation des étudiants par les services de santé. Après avoir reçue sa convocation en début d'année et s'est rendu dans les locaux de la SUMPSS, Sara est prise en charge par une infirmière qui lui fait passer un questionnaire médical et quelques tests de vision et de respiration.

La jeune femme rapporte ensuite avoir été contrainte par l'infirmière et le docteur de se déshabiller en petite culotte et qu'elle a du se présenter seins nus devant le médecin pour tout le reste  de la visite médicale.

L'infirmière a même tenter de lui faire retirer son voile, chose que la jeune étudiante à refuser, mais pour le reste de ses vêtements elle a été obligée de les retirer y compris ses chaussettes et son soutien gorge et a du se présenter poitrines découverte. Elle a pu par contre conserver son foulard.


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dimanche 8 novembre 2020

Chantage envers Lisa

Lisa soumise au chantage pervers de son pervers de cousin exposée nue et pieds nus
L'inspection rituel, une humiliation quotidienne pour une soumise nue.

 Il expose et humilie sa cousine nue.


Durant les vacances, lorsque Romuald le pervers part dans le sud de la France dans la maison familiale, il est souvent avec sa cousine Lisa, qui est victimes des envies vicieuses et perverses du jeune homme.

Le jeune vicieux à piéger sa cousine et en a fait sa victime. Romuald à des preuves que Lisa triche pour obtenir sa licence à la l'université. Il a menacer de la dénoncer ( et donc de lui faire annuler son diplôme et interdiction pendant 5 ans de les repasser) autant dire la fin du début de la carrière de la jeune femme.

Lisa après l'avoir supplier à obtenu son silence et Romuald s'est engagé à détruire les preuves, mais pour cela, Lisa doit être à son service et lui obéir pendant 1 ans et se soumettre à ses caprices pervers.

L'étudiante doit être toute nue en présence de Romu, intégralement nue, pieds nus, sans bijoux ni rien du tout, et elle à l'interdiction de se raser la chatte, Romu préfère lui laisser une grosse touffe de poil, qu'il aime bien tirer de temps en temps, ou pour la torturer, il lui épile quelques poils du cul par ci par là pour lui imposer des petites douleurs.

Lisa fait le ménage à poil, et doit subir régulièrement des "Inspections" très humiliantes et dégradantes à l'improviste : Devoir exposer son intimité, ouvrir ses fesses et sa chatte devant Romuald , lui présenter ses plantes de pieds qu'il aime chatouiller, lécher, jusque à rendre folle la pauvre fille.

Le pire c'est quand le jeune beauf appelle ses copains, et que Lisa est forcée d'être à poil devant eux, de leur apporter des bières, de prendre des remarques salaces sur la pilosité de son pubis, des mains aux fesses, des attouchements pervers, des pincements sur les seins, ou de se faire lécher et tripoter les pieds.

Pauvre Lisa, mais c'est un contrat elle doit le respecter jusque à son terme.


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Dressé par une étudiante musulmane en hijab

Soeur musulmane dominatrice fétichisme des pieds nus domine un soumis blanc
Ta Maitresse te tend ses pieds esclave ! léche les et embrasse les !

 Etre l'esclave d'une femme voilée.

Après le confinement et un été très chaud, la vie à la façon à repris, en septembre il faisait encore un très beau temps.

Une étudiante musulmane, Nisreen de culture traditionnelle m'a tout de suite tapée à l'oeil, elle est très belle, porte d'élégante tenue "orientale", hijab et surtout est pieds nus dans des sandales très sexy ou en tong ( comme beaucoup de filles de l'université à cette période).

Elle est d'origines pakistanaise, ses parents sont venus en France il y a longtemps, elle est claire de peaux, et très douce. Ses pieds sont extrêmement attirants, elle est calme et raffinée mais très dominatrice.

Je ne souhaitais qu'une chose, être à son service, être à ses pieds.

La chance sourie aux audacieux, je fais partie du même groupe de TD qu'elle, et j'ai fait en sorte d'avoir un exposé à présenter en commun avec elle.

Nous nous réunissons entre étudiants dans mon appartement, les filles sont pieds nus à ce moment de l'année du fait des fortes chaleurs, Nisreen est une vrai barefoot girl, elle retire naturellement ses claquettes en rentrant et être nus pieds est tout à fait naturelle pour elle. Contrairement à certaines filles françaises blanche, Nisreen marche et reste les pieds à l'air le plus naturellement du monde.

Elle est pieds nus lorsqu'elle va vivre dans la maison de ses parents, elle a l'habitude de retirer chaussures et chaussettes avant d'entrer.


Ses pieds sont magnifiques, elle remarqua mes regards et fait exprès de jouer avec moi pour me pousser à bout 

Les étudiants rentre petit à petit chez eux, Nisreen reste et finir par m'ordonner sèchement de me mettre à genoux, main sur la tête, puis d'ouvrir la bouche et elle y introduisit sont pieds allant presque jusque à m'étouffer.
Elle m'a ensuite dit que j'étais qu'une merde d'esclave blanc, qui doit être à poil devant sa Maitresse et que je ne pouvais pas porter de vêtements en sa présence.

Elle me fait sortir la langue pour y passer sa plantes des pieds puis lui lécher les orteils un à un.


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mardi 20 octobre 2020

Nudité intégrale et hijab


Fille musulmane voilée nue et pieds nus

Concilier la nudité et la religion


Une jeune musulmane adepte du naturisme tout en gardant le voile. Elle affirme ne pas être gênée d'être toute nue devant ses amis hommes ou femmes et d'avoir les seins et le sexe à l'air tant que ses cheveux sont couvert.



Soumise musulmane en hijab attend offerte son mec nue

 


Salope soumise attend offerte et nue pour se faire enculer


Je me souviens dans la résidence universitaire de la FAC, il y avait une jeune étudiante arabe et musulmane très chaude et assez ouverte sexuellement qui aimait beaucoup la sodomie et s'exhiber.



Elle porte le hijab mais à un mec et elle lui est très soumise, chaque soir elle se met à poil tout en gardant son voile, et se met en position offerte pour que son mec viennent lui enfiler sa bite dans le cul.



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lundi 19 octobre 2020

Savoir se montrer nue BDSM

 

Savoir s'exhiber nue en BDSM

Soumission et nudité BDSM


Etre une soumise quand on est arabe et musulmane demande parfois beaucoup de courage et d'audace, il faut avoir confiance en sois quand on est pratiquante de la religion musulmane pour se rendre chez un maitre ou une dominatrice lesbienne.


L'une des premières choses dans la soumission qui est demandée et de se montre nue.

Nue devant sa maîtresse, lutter contre sa honte et ses tabou culturels et religieux. Sans parler d'abandonner toute pudeur et oublier ses complexes sur les ordres de Maitresse qui n'autorise à sa soumise que de porter son hijab (voile) et strictement rien d'autre.

Obéir, ne rien cacher, se dépasser, même si ce n'est pas évident. Il faut renoncer à porter des vêtements, et apprendre à vivre nue.


La Maîtresse doit être obéi, peut importe la honte, l'humiliation qu"on peut ressentir, oublier sa culture et ses tabous, 

La maîtresse ne tolère que le voile islamique de sa soumise pour accentuer la sensation de nudité, la soumise n'a aucun autre morceau de tissu sur elle, pas de string, pas de soulier, pieds nus, fesses  à l'air, seins visibles, fesses découverte, c'est toute nue son uniforme.


Elle doit exposer les parties les plus intimes de son corps comme son anus, sa chatte, ses seins à sa maitresse, c'est le base de la soumission BDSM.

 

lundi 5 octobre 2020

Sucer les pieds de sa maitresse marocaine voilée

 

Lécher les pieds de sa maitresse arabe voilée.


Beurette marocaine voilée aime se faire lécher et masser les pieds.

Cette journée de rentre à l'université en septembre pendant une période ou il fait encore chaud m'a permis de rencontrer une maitresse assez dominatrice aimant avoir des esclaves à ses pieds.

Etre l'un des rares gars dans une façon de langue et littérature c'est génial car c'est très majoritairement composés de filles venues de partout.
Durant l'année scolaire nous devons faire des groupes pour présenter des exposés en TD (Travaux dirigés). 
Dans le groupe il y a plusieurs filles dont Nouzha, une étudiante marocaine, elle porte le hijab et une tenue assez ample, mais elle est pieds nus dans des escarpins ouvert. En cette période la plupart des filles sont pieds nus car il fait chaud.

Nouhza remarqua assez vite mon attirance pour ses pieds, elle eu un petit sourire malicieux, dans la bibliothèque universitaire elle retire ses chaussures pour etre plus à l'aise et me chauffe avec son petit jeux de pieds et elle le sait.

Quelques jours passent et nous nous donnons rendez vous dans un logement universitaire, Nouzha est là, pieds nus.

Elle me dit si je sais faire des massages car ses petits petons en ont bien besoin.

Et ensuite elle a fait de moi son petit esclave a ses pieds, devoir la saluer en embrassant ses pieds, l'appeler "Ma Reine", lui nettoyer les plantes de pieds avec ma langue, et la passer entre ses orteils, la couvrir de tendre bisous.

Humiliation et abus au foyer de jeunes filles

Humiliation au pensionnat


Une fille nue et peu farouche prend une douche à poil en publique.

Prendre sa douche toute nue en publique  est une pratique normale pour les filles du pensionnat.


Les filles du foyer sont habituées et incités par leurs éducateurs à s’exhiber et à ne pas être pudiques. Il existe des programme pour aider les jeunes filles en difficulté à s'insérer dans la société, et pour cela les règles de ce pensionnat sont assez spéciale.

En plus de l'obligation de suivre une formation ou des études, les jeunes femmes sont astreinte aux travaux  ménagers, aux corvées de préparer les repas et d'entretenir les jardin.


Noura 21 ans est aussi obligée de prendre des douches après ses travaux par les éducateurs, elle doit se mettre intégralement nue et se doucher dans le jardin au tuyau d'arrosage.

Les éducateurs vérifient et contrôlent l'hygiène des jeunes filles, et lorsqu'une prend sa douche, elle doit comme Noura laver ses parties intimes, et bien les exposer en écartant bien sa chatte et son cul sur ordre.

Si ces traitements sont perçus comme humiliant au début, les filles s'y habituent très vite, surtout qu'elles sont souvent aussi inviter à se masturber et à jouir en publique.


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Ma soumise lesbienne musulmane de l'institut.

Inspection anale pour une soumise pieds nus arabe

 Ma copine musulmane est une lesbienne soumise.



J'avais 19 ans lorsque j'ai rencontré Nassima, elle était ma camarade de chambre dans l'internat de l'institut de formation professionnel. Nous partagions la même chambre. C'est une fille arabe et musulmane d'origine égyptienne ayant eu une éducation très stricte et et religieusement  conservatrice. Elle a 19 ans elle aussi mais ne connait rien à la vie. Son père a accepter de la laisser étudier loin de chez elle après le bac à condition qu'elle loge dans un institue exclusivement féminin. Il était loin d'imaginer que les jeunes femmes dans ce type d'établissements s'adonnaient aux pires actes de débauches.

Elle portait des vêtements très larges et amples, des robes traditionnelles arabes, et des sous vêtements en général pas trop sexy de style un peu vielle mémère que je trouvais ridicule. La seule chose qui me plaisais dans sa  façon de s'habiller c'était ses jolies hijab (foulard, voile islamique) et qu'elle était très souvent pieds nus, en tong ou sandales laissant voir ses petons sexy.


J'ai vite remarqué chez elle qu'elle aimait etre dominée, surtout lorsque des surveillantes malmènent les pensionnaires en levant leurs robes et baissant leurs culottes. Lorsque Nassima était entre leurs mains, je remarquais les soirs que les culottes qu'elle laissait dans le bac à linge étaient mouillées et souillées.

J'avais dans un premier temps imposer à Nassima de s'occuper des taches ménagère et de me servir comme une domestique, elle a accepter avec un sourire timide et pudique.

En septembre, il faisait encore chaud, l'été était encore là, je suggéra à ma camarade de se mettre toute nue et à quatre pattes pour tout nettoyer, qu'elle sera plus à l'aise comme ça. Elle devait garder son voile mais retirer tout le reste, je trouvais ça terriblement mignon.
Son corps étaient sublime, de gros seins massifs, des fesses très larges et ronde, des petits pieds égyptiens tendre à sucer.


Le fait de juste me servir à poil la faisait mouiller comme pas possible, je lui plaçais donc des doigts dans le chatte et dans le cul pour la faire gémir.

J'aimais aussi lui torturer ses gros seins, lui pincer les mamelons, y mettre des pinces à linge ou les claquer.

Un soir avec d'autre filles nous lui avons faire faire une petite danse toute nue pour nous distraire, c'était marrant et nous l'avons un peu humilier en lui faisant prendre des poses indécentes.

J'avais aussi constaté que la honte d'être exhibée et tripotée lui procurait beaucoup de plaisir et j'aimais lui imposer des inspections régulière pour m'assurer de sa virginité.
Elle devait écarté ses fesses devant moi que je contrôle son anus et sa chatte en les écartant bien comme il faut. 
J'en profitais souvent pour lui lécher l'anus et la croupe, histoire de la faire jouer, et de lui introduire des doigts, son anus est très sensibles.

J'aimais aussi jouer avec ses petits petons, lui lécher la plante des pieds et lui mordillais ses orteils.

Ensuite nous baisions souvent de façon torride, nous sommes devenus un vrai couple.

Maintenant elle est mariée avec un homme, mais nous continuons d'entretenir des relations perverses, c'est l'une de mes meilleurs amies et chaque semaines nous faisons des pratiques vicieuses entre femmes !

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dimanche 4 octobre 2020

Soumise arabe exhibée nue et voilée

 

Soumise musulmane expose sa chatte, son anus et ses pieds.

Egalité homme/femmes séparatisme et radicalisation.


Le président Emmanuel Macron vient d'annoncer un plan de lutte contre le séparatisme islamiste qui comprend un volet sur le droit des femmes. Hors les médias viennent  de découvrir le cas d'une femme musulmane  asservie et réduite en esclavage par son mari barbu après son mariage.



Soraya 35 ans est l'esclave de son mari, un islamiste radical de 40 ans depuis les premier jours de leur mariage arrangé.

Dans toutes les situations de vie, la jeune femme était privée de tout respect et de toute dignité par les terribles règles de son tyran de mari. Elle état utiliser comme esclave domestique et sexuelle.

Cette femme soumise étaient utilisée, dégradée, humiliée par son mari pendant sa vie maritale.
nue
 Pour les mâles dominant comme son époux, une femme n'a pas a commander ni a diriger quoique ce soit et doit rester passive et docile.

Soraya est soumise à des règles de vie très strictes et humiliantes visant à faire d'elle une femme objet.

 L'une des premières choses à laquelle elle doit se soumettre c'est la nudité forcée. Elle n'a pas le droit de porter  de vêtements dans le domicile conjugal. Elle ne peut porter que son hijab et niqab en présence d'étranger et rien d'autre.

Lorsqu'elle rentre de ses rares sorties elle doit ôter tout ce qu'elle porte sur la pallier , le port de culotte, soutien gorge et de chaussettes lui est formellement interdit.


Elle n'a pas le droit d'appeler son époux par son prénom, elle doit le nommer Maitre, Sir, Monsieur, Boss, Emir, et son mari l'appelle sale pute, esclave, salope, chienne, kahba, pétasse etc.

Elle est constamment soumise à l'humiliation, son mari l'a fait se mettre à genoux sur le sol, vénérer son chéri, lui sucer le sexe à tout moment, le branler et le satisfaire. Son mari aime aussi l'exhiber nue devant d'autre personnes, des amis, ses potes, des invités.

La soumise est nue devant les gens et doit montrer ses parties les plus intimes comme sa chatte ouverte écartée et souvent toute humide, ses gros seins, ses pieds nus puis doit se masturber et jouir devant le public.

Elle est aussi baisée comme une chienne par son mari devant les gens, quand les autres mecs ne la baise pas aussi.

Esclavage domestique, elle doit faire le ménage et les corvée nue et pieds nus et tout doit briller et etre impeccable dans le logis. C'est une véritable fée du logis.

Elle se fait pisser et cracher dessus régulièrement, parfois les mecs se branle à tour de rôle sur elle pour lui imposer une douche de sperme.

dimanche 14 juin 2020

Jeux pervers avec une étudiante arabe voilée

Superbe cul d'une fille voilée avec de jolis pieds nus.
Il se branle sur les fesses et les pieds de la beurette.

Une chaude arabe s'exhibe et rend fou les mecs

Lamia 22 ans est une étudiante arabe d'origine marocaine, elle est musulmane très pratiquante et porte le hijab.
Lors d'une après midi pendant le confinement dans une cité étudiante, elle décide de jouer un peu avec les autres.

Ils font une partie de poker et d'autres jeux de cartes, Lamia est nulle à ce type de jeux, elle ne sait pas y jouer, et donc elle perd et doit réaliser des gages plus ou moins difficiles.

Lors de ce type de jeux en milieu estudiantin, le strip poker est un classique, La jeune musulmane perd et tout donc retirer ses vêtements (sauf son hijab car elle a le droit de cacher ses cheveux , l'université est un lieu de tolérance et de liberté d'expression).

Les participants sont d'accord et respecte sa liberté, après tout si pour elle les cheveux font partie de l'intimité, c'est quelque chose à respecter. Mais pour le reste des vêtements elle est soumise à la même règle que les autres.

Lamia perd et retire ses vêtements l'un après l'autre, elle échoue quasiment à chaque tours et est la première à retirer ses habits. Elle retire d'abord ses tongs, il fait relativement chaud et elle est pieds nus, mais ses petons sont très sexy et font deja bander les mecs.

Au second tours elle retire sa veste, puis elle se voit contrainte de retirer son jean, elle ne porte plus qu'une tunique et ses sous vêtements ( et bien sur le voile). Ensuite tours après tours elle se retrouve vite nue (juste elle garde le hijab).

A la fin du jeux tout le monde est à poil sauf le vainqueur, les perdant sont soumis a des gages humiliants, comme faire de la gymnastique à poil, les filles dont Lamia doivent prendre des postures très ouvertes et exhibitionniste.

A la fin l'un des étudiants va se branler sur son cul et ses plantes de pieds et lui éjaculer dessus.


Liens:

Hijab et pieds nus