jeudi 13 juillet 2023

Prisonnière de guerre humiliée en prison.

Histoire d'humiliations et nudité forcée en prison.
Deux femmes prisonnières enchainées nues.

 

Des sévices et  la nudité forcée pour les femmes en prison.

Leyla Z, 28 ans a été capturée lors d'une opération de ratissage des Marines contre les rebelles  en novembre 2004 dans le quartier de Baghdad ou elle habite. Sur le terrain son interrogatoire est resté correct et courtois, les soldats lui ont posé des questions simples sur son identité, son âge, sa profession, et pris note de ses informations personnelles.

Seulement cette jeune professeure irakienne est considérée comme une détenue pouvant avoir des informations stratégiques pour la coalition du fait qu'elle enseigne dans un lycée fréquenté par les enfants des élites de l'ancien régime, dont beaucoup d'ancien ministre. 

Le renseignement militaire et la CIA ont donc décider qu'elle devait être retenue pour vérification, et elle a été placée dans un véhicule militaire et transférée dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib dans les environ de Baghdad, que l'armée américaine utilisent comme centre de détention et d'interrogatoire.


En arrivant dans la sinistre et tristement réputée prison, elle a été soumise aux procédures standard très humiliante et dégradantes que les militaires imposent aux prisonniers.


Dans un premier temps, il y a la fouille, qui doit être approfondie et qui se déroule nue, même pour les femmes comme Leyla. D'autres femmes  irakienne  comme Houda 31 ans sont aussi été incarcérées en même temps qu'elle, elles portent toute  sauf Houda qui est en pyjama, une robe amples et large  traditionnelle arabe, et un voile islamique (hijab) couvrant leurs chevelure. C'est des personnes culturellement pudique, réservées, et les gardes les ont regroupé ensemble pour les "accueillir".


Les gardiens ont reçu comme consigne d'être intraitable sur le déshabillage, c'est un élément clé du processus d'accueil. L'égo et la dignité de Leyla et des prisonnières doivent y prendre un coup.


Quelques semaines avant l'arrivée de Leyla et d'Houda, lors de l'arrivée des premières femmes dans cette prison, les gardiens américains se sont montrer plus respectueux avec les femmes qu'envers les hommes détenus. Les femmes lors des fouilles avaient la possibilité de garder leurs sous vêtements pour respecter les normes culturels et religieuses alors que les mâles étaient à poil, et  elles avaient la possibilité de garder leurs vêtements civils et leurs voiles, et certaines femme placées en isolement pouvaient garder leurs culottes.

Quant aux chaussettes, c'était l'anarchie niveau réglementaire, une jeune détenue irakienne  avaient pu conserver ses chaussettes lors des inspections  en prétextant avoir froid aux pieds et les surveillants en question avaient accepté pour lui faire plaisir et ne pas l'embarrasser., Mais d'autre gardes, considéraient que ça peut être  utiliser comme arme par destination et donc que c'est dangereux, obligeaient les prisonnières a les enlever lors des fouilles.

Mais depuis la visite du général Miller, l'ordre a été instaurer et les femmes sont soumises aux même conditions strictes que les hommes. Les prisonnières ont donc perdue tous leurs privilèges et obéissent  au même régles que les hommes : la nudité totale.

Leyla et les autres détenues sont très choquée de se voir ordonner  sévèrement par une grande soldate  américaine  blonde en anglais et en arabe de déshabiller. 

La surveillante militaire en uniforme ordonne d'abord "Retirez vos voiles, vos chaussures et vos effets personnels c'est a dire  vos montres, bijoux, boucles d'oreilles, papiers d'identité  et mettez les dans la boite en carton, on vous les rendra à votre sortie ..." 


Les femmes sont brièvement soumises à des relevées d'empreintes digitales et un soldat remplit leurs fiches administratives avant que la gardienne en chef donne l'ordre terrible "enlevez les robes, , les chaussettes, les bas,  les culottes, les soutiens gorges et tout le reste immédiatement !"

Les nouvelles détenues ont été surprise par le fait de devoir se dévêtir tout de suite, en public, les unes devant les autres sans aucune intimité, et surtout devant des soldats hommes qui ricanent. Elles appréhendent toutes d'être exposées nues devant d'autres personnes que leurs maris.


C'est une très grande honte et une terrible humiliation pour une femme arabe conservatrice  et respectable de devoir enlever ses vêtements, et de surcroit devant l'occupant qui montre sa domination.

Pendant qu'elles ôtent leurs robes, la gardienne leur dit en arabe et en anglais sur un ton ironique et cruel "Ne soyez pas timide mes petites, les garçons ici présent vous pouvoir se rincer l'oeil et se délecter de votre mise à nu. Ils sont curieux de voir vos gout en matière de sous vêtements. Certaines femmes ici se sont présenter avec des dessous très sexy sous leurs abayas et grand voile, et si vos chattes sont poilues ou rasées, de la forme de vos seins, bref vous n'aurez plus aucun secrets !"

"Mieux vaut ne pas être pudique" ajoute elle.

Leyla n'a jamais imaginer devoir tout enlever, surtout que les gardiens regardent les femmes avec insistance et rigolent en voyant leurs gêne.

Leyla enlève  d'abord ses chaussettes Houda est déjà pieds nus, les américains l'ont arrêtée en pyjama, elle n'a plus que sa petite culotte blanche. 

Les autres pleurent en retirant leurs soutien gorges devant les soldats qui se moquent d'elles.

La dernière instruction concerne les culottes, les prisonnières doivent les baisser sur leurs chevilles et les donner aux surveillants.

Elles sont entièrement nues, mains sur la tête, et exposées comme des bêtes aux regarde de tous, les américains les inspectent comme des bêtes en riant et prenant des photos des détenues dans des positions obscènes et dégradantes, Leyla a du se pencher en avant et toucher ses orteils pendant qu'on lui écarte les fesses et lui met un doigt dans l'anus pour vérifier qu'elle ne cache rien !

La fouille intrusive oblige aussi les femmes a ouvrir leurs chattes pour se faire doigter, leur bouche, a soulever leurs seins, les américains les fouillent même entre les orteils !


Les détenues sont ensuite enchainées, et aucun vêtements ne leur est remis, "Vous resterez nues en permanence, sauf pour les visites et les éventuels sortie hors du site."


Liens : 



8 commentaires:

  1. J'adore le protocole de fouille intime, c'est le comble de la soumission.
    Cela se pratique aussi lors des bizutages.
    Rien de plus efficace pour faire connaissance.. surtout entre les deux gros orteils.

    RépondreSupprimer
  2. Il n'y a rien de tel pour faire connaissance de mettre les bizutes et les bizuths à poil, ça forme la cohésion de groupe.
    Milky 2

    RépondreSupprimer
  3. Pendant que les garçons organisent des concours de chatte et de nichons avec les bizutes, les filles font des concours de zizi et de couilles avec les bizuts. Avec défilés, examen minutieux. Le gagnant et la gagnante des bizuts doivent baiser entre eux en public ainsi que le perdant avec la perdante.

    RépondreSupprimer
  4. En attente de l'inspection des maquignons pour le foire aux truies africaine. Celle de gauche, avec ça entre les pattes aura du succès auprès des pervers

    RépondreSupprimer
  5. Ce sera leur tenue de travail dans une ferme, tous travaux sous le fouet et reproduction intensive, logées et nourries dans des soues à porcs

    RépondreSupprimer
  6. Même bien ronde, en état de grossesse avancée, les femmes devront travailler durs et si elles ne ne sont pas assez productives elles seront fouettées à tour de bras.

    RépondreSupprimer
  7. Envoyées sur une foire aux bestiaux, mises aux enchères pour servir à entrainer les étalons aux saillies par le sexe et l'anuschez un éleveur de chevaux

    RépondreSupprimer
  8. Pour abréger leur peine et les tortures, certaines prisonnières comme ici sont proposées à des maquignons pour servir en abattage

    RépondreSupprimer