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samedi 12 avril 2025

Une bonne fessée et des humiliations pour une jeune fille pudique.

 

Punir et fesser les filles pudiques
Les filles doivent être reprises en main par des éducatrices sévères et strictes.

 Aïcha une étudiante punie par une éducatrice.

Dans un pensionnat isolé, où des jeunes filles de toutes origines sont envoyées pour corriger leurs écarts de conduite ou leurs lacunes académiques, l’ordre règne en maître. Les règles, gravées dans un règlement validé par une ordonnance ministérielle, prônent une discipline inflexible, où l’humiliation et la soumission sont des outils privilégiés. Les éducatrices, dotées d’une autorité incontestée, veillent à ce que chaque infraction soit châtiée avec une précision presque rituelle.

Aïcha, 21 ans, est une jeune musulmane au caractère bien trempé. Toujours vêtue de vêtements amples et d’un hijab impeccablement noué, elle arbore sa pudeur comme un étendard. Placée dans ce foyer par la justice pour absentéisme à l’université et comportement rebelle, elle défie les règles avec une insolence calculée : retards, remarques cinglantes, refus de se plier aux consignes. Mais ce soir, c’est une autre faute qui attire l’attention : son hijab, qu’elle porte ostensiblement malgré les rappels répétés sur la laïcité imposée dans l’établissement.

Dans le réfectoire, l’atmosphère est lourde. Madame Claire, l’éducatrice en chef, se tient au centre, imposante. Son tailleur strict et son regard perçant lui confèrent une aura de domination froide. Elle savoure ces moments où elle peut briser les résistances, surtout celles des filles pudiques comme Aïcha, dont la retenue l’agace autant qu’elle l’inspire. Les autres pensionnaires, assises en silence, savent qu’un spectacle se prépare.

« Aïcha, tonne Claire, tu as encore manqué tes cours, tes notes sont désastreuses, et tu persistes à défier la laïcité de cet établissement avec ce voile. Sans parler de cette pudeur excessive qui te pousse à te croire au-dessus des règles. Ce soir, tu vas apprendre ce qu’il en coûte. »

Aïcha, adossée à une chaise, croise les bras, un sourire narquois aux lèvres. « La laïcité ? Vous voulez juste me contrôler. Et ma pudeur, c’est pas votre problème. J’suis majeure, Madame, vous pouvez pas me forcer à quoi que ce soit. »

Un frisson parcourt l’assemblée. Les filles échangent des regards, impressionnées par l’audace d’Aïcha. Claire, loin d’être déstabilisée, esquisse un sourire cruel. « Oh, Aïcha. Tu penses que ton petit numéro m’impressionne ? Le règlement que tu as signé autorise des mesures… disons, éducatives. Et j’adore corriger les filles dans ton genre. Déshabille-toi. Complètement. »

Aïcha écarquille les yeux, feignant l’indignation. « Quoi ? Hors de question ! Vous savez que je porte le voile, que je suis pudique. Vous voulez m’humilier, c’est ça ? »

Claire s’approche, sa voix devenant un murmure menaçant. « Exactement. Les pudiques dans ton genre ont besoin d’une leçon d’humilité. Retire tout, y compris ce hijab. Ou je m’en chargerai moi-même. »

Aïcha hésite, jouant la révolte. Elle secoue la tête, lance un « C’est abusé ! » théâtral, mais au fond d’elle, une part secrète s’éveille. La sévérité de Claire, son autorité implacable, éveillent en elle une étrange fascination. Elle proteste pour la forme, mais son cœur bat plus vite à l’idée de céder. Lentement, elle commence à dénouer son hijab, ses doigts tremblants trahissant un mélange de honte et d’excitation. Le tissu glisse, révélant ses cheveux noirs. Puis viennent la tunique, le pantalon, les chaussettes. Elle marque une pause devant ses sous-vêtements, lançant un regard de défi à Claire.

« Continue, ordonne l’éducatrice, impatiente. Une soumise ne cache rien. »

Aïcha soupire bruyamment, mais obéit, laissant tomber ses derniers vêtements. Nue, elle croise les bras sur sa poitrine, jouant la gêne. « Satisfaite ? » lance-t-elle, provocatrice.

Claire la toise, savourant sa victoire. « Pas encore. Les bras le long du corps. Montre-toi. »

Aïcha obéit, un éclat rebelle dans les yeux, mais son souffle s’accélère. Elle sent tous les regards sur elle, et l’humiliation, orchestrée avec soin par Claire, la trouble plus qu’elle ne veut l’admettre. Claire désigne une chaise au centre de la pièce. « Viens ici. Sur mes genoux. »

Aïcha avance, chaque pas amplifiant cette tension délicieuse entre résistance et soumission. « Vous êtes malade, marmonne-t-elle, mais elle s’allonge sans trop protester, son corps frémissant d’anticipation. La position, humiliante, la ramène à une vulnérabilité qu’elle feint de détester.

Claire pose une main ferme sur son dos. « Ceci est pour ton bien, Aïcha. Pour ton insolence, ton voile, ta pudeur mal placée. » Sa voix est un mélange de reproche et de satisfaction. La première claque s’abat, vive et sonore. Aïcha sursaute, un gémissement lui échappe. Les coups suivants s’enchaînent, méthodiques, chaque claque ponctuée d’une leçon : « Tu apprendras… à obéir… à respecter… mon autorité. »

Les fesses d’Aïcha rougissent, la douleur se mêlant à une chaleur qu’elle refuse d’admettre. Elle serre les dents, jouant la rebelle, mais ses larmes, quand elles coulent, sont autant de honte que de relâchement. Claire, experte, sait exactement jusqu’où pousser. Quand elle s’arrête, Aïcha tremble, à la fois brisée et étrangement apaisée.

« Relève-toi, ordonne Claire. Au coin, mains sur la tête. Deux heures. »

Aïcha se redresse, lançant un dernier regard de défi. « Vous êtes dure, quand même, » murmure-t-elle, mais elle obéit, prenant place face au mur. Nue, exposée, elle sent l’humiliation peser sur elle, mais au fond, une part d’elle savoure cette discipline stricte, cette perte de contrôle orchestrée par Claire. Les autres filles observent, certaines intimidées, d’autres intriguées. Claire arpente la salle, triomphante. « Que ceci soit une leçon pour vous toutes. Défiez-moi, et vous connaîtrez la même correction. »

Le pensionnat, avec ses méthodes controversées, affiche un taux de réussite inégalé. Les filles, même les plus rebelles, finissent par plier, façonnées par la main de fer de Claire. Aïcha, elle, commence à comprendre qu’elle pourrait bien aimer ces jeux de pouvoir, même si elle ne l’admettra jamais à voix haute.

Lien : 

La maison de correction.

mardi 1 octobre 2024

Les humiliations perverses que subissent les femmes en prison

 

Fouille des cavités nue en prison.
Prisonnière nue lors de la fouille anale et vaginale obligatoire.

Une prisonnière musulmane choquée par le processus d'incarcération.

 1/ Malika en 2024.

Aout 2024 , Malika est une femme d'origine irakienne musulmane sunnite mariée, mère de famille et est une brillante avocate, elle a 38 ans, elle habite dans une belle maison de la banlieue de Londres, en Angleterre, elle est naturalisée citoyenne britannique en 2011, et est d'origine irakienne. C'est une femme arabe, elle porte une longue et élégante robe arabe mauve et brodée, un grand hijab blanc de type satiné. Elle porte le voile depuis l'age de 14 ans, par piété et pour faire comme les femmes de sa famille très conservatrice.

Presque 20 ans après,  le fantôme de la prison d'Abou Ghraib hante encore ses jours et ses nuits. Son passage dans cette prison reste son pire cauchemar. Même plusieurs années après les faits, elle reste très choquée et a du mal à en parler à son entourage. Certes, de nos jours elle n'est plus autant sollicité qu'en 2006, date de sa sortie de prison, elle n'a pourtant passer que 5 mois dans le fameuse prison.

Même son mari ne sait pas exactement ce qui s'est passer, il sait juste qu'elle n'a pas été violée ni durement battue, elle lui a promis. Malika avait alors environs 19 ans quand elle est allée en prison, elle vivait encore en Irak, et comme plusieurs membres de sa famille étaient recherchés pour leurs liens avec l'ancien régime et leur participation à la résistance, les américains l'ont arrêtée sans motif précis, surtout pour faire pression sur les hommes de sa famille et les inciter à se rendre. C'est ce qui  explique probablement l'absence de violences physiques à son égard, et le fait qu'elle n'ait pas été interrogée durement.

Ceci dit, son estime d'elle même et ses croyances religieuses ont été misent à rude épreuve. Certaines phrases ou expression l'a font toujours frissonner. Ses joues deviennent toute rouge quand on évoque sa détention.

Malika a toujours refuser de répondre aux médias sur ses conditions de détention. Cependant, en fin de détention elle s'est plusieurs fois entretenue avec des membres du Comité International de la Croix Rouge (CICR). 

2/ La détenue n°20044558

Malika est arrivée à la prison d'Abou Ghraib en juin 2005 et elle est ressortie début d'année 2006 sous le numéro d'écrou n°20044558 . 

Les éléments que nous allons donner ci dessous sont factuels, car nous avons croiser plusieurs sources : les rapports du CICR, le rapport Taguba, le  rapport Faye, les avis de la commission d'enquête spéciale, les témoignages d'anciens gardiens et d'ancien détenus ayant acceptés de témoigner etc. Pour connaitre le mieux possible le parcours de Malika malgré ses silences.

Les personnes gardées en isolement à Abou Ghraib sont selon toutes les sources gardées sans aucun vêtements. D'ailleurs Malika lors de son arrestation portait une abaya beige et un foulard blanc et lors de sa libération elle portait juste un jogging, T shirt et des tongs, nous ne savons pas ce qui est arrivé à ses vêtement initiaux et l'ex détenue  reste très évasive quand ont lui demande.

Malika à l'instar des prisonnières irakiennes musulmanes détestent  devoir se déshabiller, pourtant, lors du processus d'admission la jeune détenue a été soumise à la fouille corporelle devant une équipe de gardes mixtes hommes femmes.

Le rapport stipule que : 

"Une soldate en uniforme ordonne à la détenue :

"Enlève ta montre, remet nous là avec tes bijoux, ton argent et tes papiers". En lui indiquant une petite boite de scellé. 

Ensuite sur un ton acide : "Débarrasse toi de tout cet accoutrement, il faut tout enlever et mettre ça dans la boite.

"Devant tout le monde ? mais il y a des hommes !"

"Oui et alors c'est leur travail, des fesses et des chattes ils en voient tous les jours il ne faut être être modeste ici, et si tu le veux ils peuvent d'aider à faire ce "strip tease" ils sont comme tu le vois assez costauds ..."

"Il faut tout enlever, d'abord les chaussures ..."

Malika se penche et défait ses converses avant de les tendre à l'américaine qui les fait examiner par ses camarades.

"Retire ton foulard"

Malika obtempère et libère sa belle chevelure noire.

"Donne nous ta robe"

La prisonnière prend quelques instant pour enlever son abaya, elle ne porte en dessous que des sous vêtements très sexy noirs en dentelle.

 "Les chaussettes sont interdites" et la détenue découvre ses jolis pieds nus.

"Ah non" grogne la jeune femme.

"Quoi tu n'es pas contente d'être pieds nus ?"

"Soutien gorge tout de suite ou je te l'arrache !" hurle un garde pour la brusquer.

 Puis on lui hurle :

"La culotte !"

"Défait tes cheveux, enlève les élastiques et les broches si tu en a".

La jeune prisonnière est inspectée de la tête aux pieds, ses oreilles, sa bouche et sa dentition sont examinés comme si elle était une bête de foire. On lui palpe les seins et le nombril, elle doit remuer ses orteils et se faire contrôler la plante des pieds.

Mais le pire c'est quand elle doit s'allonger sur le bureau des jambes écartées comme chez le gynéc pour se faire inspecter et fouiller le vagin et l'anus."

 

Malika a été contrainte subit  une fouille corporelle avec inspection de son anus et de son vagin à chaque entrée et sortie du quartier d'isolement, à chaque visite du CICR, bref quasiment une fois par jours.

De plus elle est restée nue et pieds nus la plupart du temps en isolement.


Lien : 

Gardien de prison.

jeudi 13 juillet 2023

Prisonnière de guerre humiliée en prison.

Histoire d'humiliations et nudité forcée en prison.
Deux femmes prisonnières enchainées nues.

 

Des sévices et  la nudité forcée pour les femmes en prison.

Leyla Z, 28 ans a été capturée lors d'une opération de ratissage des Marines contre les rebelles  en novembre 2004 dans le quartier de Baghdad ou elle habite. Sur le terrain son interrogatoire est resté correct et courtois, les soldats lui ont posé des questions simples sur son identité, son âge, sa profession, et pris note de ses informations personnelles.

Seulement cette jeune professeure irakienne est considérée comme une détenue pouvant avoir des informations stratégiques pour la coalition du fait qu'elle enseigne dans un lycée fréquenté par les enfants des élites de l'ancien régime, dont beaucoup d'ancien ministre. 

Le renseignement militaire et la CIA ont donc décider qu'elle devait être retenue pour vérification, et elle a été placée dans un véhicule militaire et transférée dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib dans les environ de Baghdad, que l'armée américaine utilisent comme centre de détention et d'interrogatoire.


En arrivant dans la sinistre et tristement réputée prison, elle a été soumise aux procédures standard très humiliante et dégradantes que les militaires imposent aux prisonniers.


Dans un premier temps, il y a la fouille, qui doit être approfondie et qui se déroule nue, même pour les femmes comme Leyla. D'autres femmes  irakienne  comme Houda 31 ans sont aussi été incarcérées en même temps qu'elle, elles portent toute  sauf Houda qui est en pyjama, une robe amples et large  traditionnelle arabe, et un voile islamique (hijab) couvrant leurs chevelure. C'est des personnes culturellement pudique, réservées, et les gardes les ont regroupé ensemble pour les "accueillir".


Les gardiens ont reçu comme consigne d'être intraitable sur le déshabillage, c'est un élément clé du processus d'accueil. L'égo et la dignité de Leyla et des prisonnières doivent y prendre un coup.


Quelques semaines avant l'arrivée de Leyla et d'Houda, lors de l'arrivée des premières femmes dans cette prison, les gardiens américains se sont montrer plus respectueux avec les femmes qu'envers les hommes détenus. Les femmes lors des fouilles avaient la possibilité de garder leurs sous vêtements pour respecter les normes culturels et religieuses alors que les mâles étaient à poil, et  elles avaient la possibilité de garder leurs vêtements civils et leurs voiles, et certaines femme placées en isolement pouvaient garder leurs culottes.

Quant aux chaussettes, c'était l'anarchie niveau réglementaire, une jeune détenue irakienne  avaient pu conserver ses chaussettes lors des inspections  en prétextant avoir froid aux pieds et les surveillants en question avaient accepté pour lui faire plaisir et ne pas l'embarrasser., Mais d'autre gardes, considéraient que ça peut être  utiliser comme arme par destination et donc que c'est dangereux, obligeaient les prisonnières a les enlever lors des fouilles.

Mais depuis la visite du général Miller, l'ordre a été instaurer et les femmes sont soumises aux même conditions strictes que les hommes. Les prisonnières ont donc perdue tous leurs privilèges et obéissent  au même régles que les hommes : la nudité totale.

Leyla et les autres détenues sont très choquée de se voir ordonner  sévèrement par une grande soldate  américaine  blonde en anglais et en arabe de déshabiller. 

La surveillante militaire en uniforme ordonne d'abord "Retirez vos voiles, vos chaussures et vos effets personnels c'est a dire  vos montres, bijoux, boucles d'oreilles, papiers d'identité  et mettez les dans la boite en carton, on vous les rendra à votre sortie ..." 


Les femmes sont brièvement soumises à des relevées d'empreintes digitales et un soldat remplit leurs fiches administratives avant que la gardienne en chef donne l'ordre terrible "enlevez les robes, , les chaussettes, les bas,  les culottes, les soutiens gorges et tout le reste immédiatement !"

Les nouvelles détenues ont été surprise par le fait de devoir se dévêtir tout de suite, en public, les unes devant les autres sans aucune intimité, et surtout devant des soldats hommes qui ricanent. Elles appréhendent toutes d'être exposées nues devant d'autres personnes que leurs maris.


C'est une très grande honte et une terrible humiliation pour une femme arabe conservatrice  et respectable de devoir enlever ses vêtements, et de surcroit devant l'occupant qui montre sa domination.

Pendant qu'elles ôtent leurs robes, la gardienne leur dit en arabe et en anglais sur un ton ironique et cruel "Ne soyez pas timide mes petites, les garçons ici présent vous pouvoir se rincer l'oeil et se délecter de votre mise à nu. Ils sont curieux de voir vos gout en matière de sous vêtements. Certaines femmes ici se sont présenter avec des dessous très sexy sous leurs abayas et grand voile, et si vos chattes sont poilues ou rasées, de la forme de vos seins, bref vous n'aurez plus aucun secrets !"

"Mieux vaut ne pas être pudique" ajoute elle.

Leyla n'a jamais imaginer devoir tout enlever, surtout que les gardiens regardent les femmes avec insistance et rigolent en voyant leurs gêne.

Leyla enlève  d'abord ses chaussettes Houda est déjà pieds nus, les américains l'ont arrêtée en pyjama, elle n'a plus que sa petite culotte blanche. 

Les autres pleurent en retirant leurs soutien gorges devant les soldats qui se moquent d'elles.

La dernière instruction concerne les culottes, les prisonnières doivent les baisser sur leurs chevilles et les donner aux surveillants.

Elles sont entièrement nues, mains sur la tête, et exposées comme des bêtes aux regarde de tous, les américains les inspectent comme des bêtes en riant et prenant des photos des détenues dans des positions obscènes et dégradantes, Leyla a du se pencher en avant et toucher ses orteils pendant qu'on lui écarte les fesses et lui met un doigt dans l'anus pour vérifier qu'elle ne cache rien !

La fouille intrusive oblige aussi les femmes a ouvrir leurs chattes pour se faire doigter, leur bouche, a soulever leurs seins, les américains les fouillent même entre les orteils !


Les détenues sont ensuite enchainées, et aucun vêtements ne leur est remis, "Vous resterez nues en permanence, sauf pour les visites et les éventuels sortie hors du site."


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lundi 8 novembre 2021

Une prisonnière dénudée et humiliée

 

La mise à nu d'une prisonnière.
Nudité imposée lors de l'arrestation.

Une femme victime de sévices et mauvais traitements en prison.


Après les attentats du 11 septembre 2001 contre le pentagone et les tours jumelles, les dirigeants américains ont autorisé l'armée et les services de sécurité a utiliser des techniques d'interrogatoire musclés et de contourner les conventions de Genève et employer des méthodes interdites par le droit international comme les mises à nus et les expositions de personnes privées de liberté et des prises de photos de prisonniers à poil.


Les USA ont dans le cadre de la guerre contre l'Irak de 2002 à 2011 arrêtées beaucoup de personnes dont certaines femmes qui ont été soumises à des traitements portant atteinte à leur dignité.



Une détenue connue sous le pseudonyme de Damia témoignage  de son expérience humiliante durant  son passage dans la prison militaire d'Abou Ghraib sous contrôle américain près de Baghdad. Elle avait été arrêtée pour soupçon de soutient à la rébellion et été incarcérée pendant 2 mois.



Lors de son arrivée la prisonnière est emmenée dans une pièce pour une fouille corporelle et elle doit enlever tous ses vêtements devant des agents de la police militaire masculins. Il faut noter que la porte reste ouverte et que tout le monde peut voir les prisonniers nus lors des fouilles.


Les inspections sont complètes de la têtes aux pieds et Damia s'est déshabiller devant une gardienne et un agent de la police militaire.


En plus de lui enlever tout ses vêtements la prisonnière doit s'accroupir nue et tousser en écartant le vagin et les fesses.

Les militaires ont ensuite obligée la captive à marcher toute nue jusque dans sa cellule.




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vendredi 1 octobre 2021

Les brimades et humiliations en centre éducatif fermé (foyer).

 

Un groupe de fille humiliées et dégradées nue.
Humiliation et brimades collective en pensionnat.

Brimades  et humiliations sexuelles au CEF (Centre éducatif fermé) pour jeune filles.


Pour faire face à la délinquance et a la radicalisation, les simples mesures répressives ne suffisent pas, le gouvernement à fait ouvert plusieurs Centre éducatif fermés , des établissements mixte, intermédiaire entre la prison et le pensionnat.


Dans la presse, il a été rapporté que des jeunes femmes disent subir des traitements dégradants et humiliants de la part des éducateurs et du directeur.


Les jeunes filles délinquantes ou en voie de radicalisation pour éviter d'aller en prison se voient proposer des placements dans ces foyers collectif dans le but de leur apprendre la discipline et les bases de la vie en société. 


Le règlement y est très stricte. Les pensionnaires doivent porter un uniforme (Chemisier blanc, jupe noire, veste, collants, chaussure de type escarpins, manteau, une tenue de sport, une tenue de nuit etc.), tout vêtements civiles venant de l'extérieur est interdit dans les locaux. La direction préfère imposer un uniforme pour mettre toute les filles à égalité, faire respecter le principe de laïcité en interdisant le port de tout signes religieux distinctif et les couvres chefs.


Les filles sont soumises  une discipline très stricte et doivent prendre leurs repas toutes ensembles au réfectoire commun.


L'une des pratiques dénoncés par les jeunes filles est la fouille à nu, en effet les pensionnaires se plaignent de devoir souvent se déshabiller complètement pour subir des inspection et mettre les mains sur la tête et se faire contrôler les anus, vagins, bouche, orteils sans aucun respect pour la pudeur et la dignité.


Le directeur de l'établissement justifie ces inspection pour des raisons de sécurité : vérifier que les pensionnaires ne dissimulent aucun objets illicite et pour des raisons éducatives : contrôler l'hygiène et la propreté des filles, celles dont les manquements sont constatés sont punies, souvent par des châtiments corporels humiliants (fessées, coups de cannes, bastinado etc.).


Elle reçoit une fessée toute nue.
Une bonne fessée toute nue sur les genoux du directeur.

Les méthodes éducatives sont aussi dénoncés, en effet les éducateurs sous prétextes d'endurcir les filles et de les éduquer, et pour montrer leur autorité forcent régulièrement les filles à s'exhiber nue, à courir et à danser à poil, a avoir des relations lesbiennes, à se masturber en publique, les fessées et autres châtiments corporels sont eux aussi délivrés devant tout le monde pour l'exemple.


Fille humiliée et punie toute nue.
Les humiliants châtiments corporels à poil.



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dimanche 29 août 2021

Discipline au foyer pour jeunes femmes.

 


Châtiments corporels et humiliation en pensionnat.


Un article parue dans la presse nationale rapporte qu'une jeune femme à porter plainte contre la direction d'un foyer pour jeunes fille et qu'elle a était débouter par le tribunal qui estime le règlement intérieur de l'établissement et les pratiques éducatives de légales et de proportionnées donc conforme à la loi.


La jeune fille, Clara,  âgée de 20 ans se plaint d'avoir reçue des punitions très humiliantes et des châtiments corporels suite à des problèmes de ponctualité et de discipline.


Après avoir reçue trois avertissements officiels, la directrice et une éducatrice ont décider d'imposer un châtiments corporels humiliant à la pensionnaire.

Clara a du se déshabiller entièrement et se présenter toute nue dans la salle de punition pour y etre fessée et fouettée publiquement.


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vendredi 7 mai 2021

Vidéo du bizutage d'un groupe de fille par des lesbiennes.

 


Les filles forcées d'être lesbienne lors du bizutage étudiante.


Lors de leur week end d'intégration sur le campus universitaire, les nouvelles filles doivent se déshabiller et se mettre toutes nues sous les ordres des anciennes qui sont de véritable dominatrice lesbienne qui les force à faire des choses humiliantes et dégradantes ( sucer des godes, lécher des chattes, être des petites gouines perverses).



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vendredi 23 avril 2021

Fessée et punie par son éducatrice (spanking)

 

Une fessée ça se reçoit toute nue pour être plus efficace
Fille reçoit une fessée toute nue sur les genoux de l'éducatrice.

Jeune fille sanctionnée par une éducatrice sévère.


Dans ce pensionnat qui accueille des jeunes filles de toutes origines, classe sociale, et religion confondue, les méthodes anciennes et traditionnelles de punitions et de châtiments corporels sont de mise, le règlement intérieur prévoit par exemple des fessées et des sanctions humiliante pour les manquements à la discipline de l'établissement. Une ordonnance du ministère de la jeunesse est venue confirmée l'autorité des éducateurs et éducatrices de foyer pour jeunes femmes.


Le pensionnat reçoit des jeunes placés par leurs parents ou la justice pour des problèmes de comportement ou des difficulté dans leurs formation universitaire ou professionnel.

Châtiments corporels et fessées.

Yasmine, 21 ans est ce soir punie par son éducatrice pour cause d'absences injustifiées à l'université, et pour une baisse de ses notes au second semestre. La jeune fille doit se déshabiller devant tout le monde sur ordre de l'éducatrice stricte et sévère. Yasmine proteste car elle est pudique et à honte de devoir se mettre toute nue en public, elle dit qu'elle à 21 ans, qu'elle est majeure et que ce type de punition sont pour les petites.

Hors le règlement qu'elle a signer elle et ses parents stipule bien la possibilité en cas de manquements aux règles la possibilité pour le personnel éducatif d'utiliser des châtiments corporels humiliants comme la fessée punitive.


Yasmine doit donc obéir et se déshabiller car une fessée selon la tradition, ça se reçoit toute nue pour être bien humiliante et infantilisante. 


Elle retire ses vêtements l'un après l'autre, y compris ses chaussettes car il faut  être pieds nus et sa culotte car elle va se faire punir et ses fesses vont rougir sous les mains de la dominatrice.


L'étudiante doit ensuite s'allonger sur les genoux de l'éducatrice qui va lui coller une fessée énergique, longue et douloureuse jusque à ce qu'elle pleure et que ses fesses soient bien rouges.

Après la fessée, c'est l'obligation de rester toute nue les mains sur la tête et au coin pendant deux heures. D'une ça permet de bien humilier la fille punie, et c'est dissuasif pour les autres filles qui en voyant ça savent que ce type de sanction peut arriver à n'importe quelle filles.

Ce pensionnat à l'un des meilleurs taux de réussite de France, et ces méthodes sont donc très efficaces.


Liens :


Enfer des pensionnats de jeunes filles.


Vidéo d'une femme fessée nue.



samedi 3 avril 2021

Punir et humilier avant la fessée

 

Une vraie fessée se donne toute nue
Humiliée et déshabillée avant la fessée.


La fessée humiliante.


Cette jeune fille brune ne s'attendait pas que dans cette faculté, les professeurs et les surveillants soient si sévère et que le règlement de l'établissement imposerait des châtiments corporelles humiliants. Et pourtant, cette étudiante pour avoir été en retard deux fois est sanctionnée d'une heure de colle.


Cette heure de retenue se déroule sous le contrôle du surveillant générale, qui est autoritaire et vicieux et utilisent des techniques éducatives humiliantes digne de l'ancien temps.


La jeune femme doit apprendre le respect de la hiérarchie, de l'ordre, et la discipline : en particulier la ponctualité qui est nécessaire dans le vivre ensemble.


Lors de l'heure de retenue, les filles sont souvent obligée de se mettre toute nue en signe d'obéissance et de soumission, c'est très dégradant pour elles surtout qu'elles ne s'attendent jamais la première fois à devoir se retrouver à poil pour être punie et recevoir une bonne fessée punitive.



Liens :


Fessée par la directrice.


Vidéo d'une femme fessée.