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mardi 10 septembre 2024

Exhibition forcée et position de stress dans la prison d'Abou Ghraib.

 

Nue et humiliée en détention.
Prisonnière nue en position de stress en vue des interrogatoires.

L'humiliation de Meriem, prisonnière nue.

Après sont arrivée dans la prison d'Abou Ghraib, l'humiliation de Meriem ne s'arrête pas. Les gardes sur ordre des services de renseignement dans le but de la faire craquer et parler décident qu'elle doit être traitée de façon très stricte en vue des interrogatoires renforcées auquel elle doit être soumise. Les gardes ont mis un disposition tout un processus de coercition physique et psychologique pour humilier et faire craquer les prisonnières.

D'une part, elle est soumise à un état de nudité complète et permanente, les détenues musulmanes sont strictement interdites de porter le moindres vêtements et doivent exhiber leurs corps devant tout le monde y compris les hommes. Son voile (hijab) et sa robe traditionnel ont été détruit sous ses yeux, les gardes haïssent les tenues des musulmanes. Les détenues sont toutes pieds nus, Meriem doit s'habituer à sentir le béton dur, froid et poussiéreux sous ses plantes de pieds.

Meriem doit marcher et parader nue hors de sa cellule, pour que tout le monde puisse la voir nue, bien sur, tout le staff peut la voir à poil, car elle doit aller dénudée aux interrogatoires, à la douche, aux visites médicales, lors des "promenades" autorisé d'une heure par jours dans une petite court. Mais elle est obligée d'être nue avec les autres femmes, et de s'exhiber devant les prisonniers masculins.

Les femmes sont forcées de s'humilier devant les autres, d'ouvrir leurs fesses, de danser nue, de secouer leurs seins devant les prisonniers masculins, d'aller distribuer les plateaux repas dans la section ou sont retenus les hommes pour qu'ils puissent les voir à poil.

Les femmes sont prise en photo nue, ses photos sont collées sur les portes de leurs cellules et sur les murs de du couloir de la section féminine. Les photos comportent les ages, nom, prénom, lieu de naissance, résidence, statut marital ( et nom du mari si la femme est mariée) pour une humiliation profonde.

Meriem passe plus de 8 heures par jours en position de stress, nue et exposée.

Confinement solitaire : Meriem est gardée dans une petite cellule vide de 2 mètres sur 2, sans fenêtre ni aucuns repères, ni confort.


vendredi 30 août 2024

Une prisonnière interrogée nue.

Une femme interrogée nue
Nue devant les interrogateurs.

Les interrogatoires renforcés et la nudité.

Le rapport d'enquête sur l'utilisation de la nudité forcée comme technique d'interrogatoire pointe les abus, la femme d'une homme recherché par la coalition a été interrogée nue.
Amal, 31 ans, épouse d'un homme recherché a passer plusieurs semaines en détention dans la prison d'Abou Ghraib.
 
Les forces américaines ont mis en place un protocole d'interrogatoire, qui inclus la nudité des personnes interrogées.  Amal qui est une respectable femme arabe et musulmane fièrement voilée de la tête aux pieds s'est retrouvée entièrement  nue devant les interrogateurs totalement exposée au milieu de la pièce.

 La jeune femme a été contrainte de se déshabiller, car selon le manuel d'interrogatoire, les suspects doivent être interroger à poil.

L'expérience montre que les suspects parlent plus facilement quand ils sont nus, la décision prise est donc d'enlever les vêtements des prisonniers.
 
Bien qu'elle une pieuse et respectable femme musulmane irakienne, qu'elle porte un grand voile hijab et des tenues pudiques qui cache tous l'ensemble de son corps et dissimulent ses formes, les militaires l'ont obliger à se déshabiller entièrement.

Elle est arrivée totalement couverte et 5 minutes après elle était toute nue, sans hijab pour couvrir sa chevelure, ni de tissus pour cacher ses seins, ses fesses étaient à l'air et sa chatte visible par tout le monde, ses pieds nus foulaient le sol sale et froid.
 
Elle est conduite nue dans les dédales de couloir du centre de détention, cette promenade cul nu est imposée aux femmes pour les punir.
 
Les études montrent que les femmes coopèrent et parlent plus facilement nues devant leurs interrogateurs. 

Lorsque Amal est arrivée dans la salle de questionnement, les investigateurs lui ont demander son nom, prénom, age, coordonnées, lieu de résidence, situation matrimonial, expérience professionnel, état de santé, si elle avait des enfants etc.

Puis ensuite les agents se sont moqués d'elle en lui posant des questions sur sa religion. Amel doit répondre à toutes les questions sous peine d'être fouettée. 
 
Les américains aiment rappeler aux femmes prisonnières qu'une bonne musulmane doit se couvrir et rester pudique, mais qu'ici elles sont à poil et pieds nus devant des hommes.

 
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