lundi 19 décembre 2022

Punitions perverses et vicieuses en prison

Prisonnière parade nue en prison.
Nudité totale.


Prisonnière  placée nue et humiliée en confinement solitaire.


Le scandale causé par la révélation dans les médias des actes de tortures, humiliations et sévices infligés par les gardes et soldats américains durant la guerre d'Irak (2003/2011) sur les prisonniers.


Les enquêteurs ont découvert que la nudité était utilisée massivement pour punir et installer une discipline de fer dans la prison. Un témoin anonyme raconte avoir vue une femme obligée de se mettre nue et placée dans une cellule punitive en confinement solitaire.

La prisonnière a 31 ans, c'est une femme irakienne de classe moyenne connue dans les fichiers sous le nom de Rania, un jours les gardes l'ont accuser de  dérober de la nourriture et  de manger illégalement sans réelles preuves des rations réservées aux américains.

Cinq gardes sont arrivés dans sa cellule pour lui imputer des larcins. 

Ils lui ont dit autoritairement "Nous savons que tu pique des paquets de bouffe, tu va être punie, nous allons te retirer tout ton confort et vider ta cellule de tout matériel de couchage  et te mettre au trou connasse.

"Nous allons aussi prendre tout tes vêtements et te mettre toute nue pour te punir."

Les gardes utilisent les mises à nu pour contrôler et maintenir la crainte et la terreur sur les prisonniers, en particuliers les femmes qui craignent spécifiquement la nudité forcée.

Les femmes prisonnières arabes sont culturellement très conservatrice, et leur religion leur enseigne la pudeur, la modestie, l'obligation de cacher son corps. Les américains prennent un malin plaisir à humilier les femmes  en les faisant retirer leurs vêtements devant tout le monde.

Se retrouver nue et retirer sois même ses vêtements devant des hommes, le staff pénitentiaire mais aussi devant d'autres prisonniers qu'elle connait peut être est terriblement humiliant pour Rania.

"Lorsque un prisonnier enfreint les règles, il est sanctionné, nous lui enlevons tout conforts, et surtout nous le mettons à poil pour l'exemple ça fait partie de nos méthodes de punition. C'est notre coutume, nos pratiques et nos règles. L'humiliation fait partie intégrante de la punition, toi ça te fera pas de mal d'être exhibée cul nu ça t'apprendre un peu l'humilité, alors, à poil !."





Humiliée et exhibée nue sans pudeur.
Attachée et exposée nue.

 


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mercredi 7 décembre 2022

Défiler à poil, une tradition dans cette école.

 

Nudité totale pendant le bizutage
Marcher toute nue en public durant le bizutage.

La parade nue lors du bizutage de l'école d'infirmière.


Dans cette école qui forme les futures infirmières et les aide soignantes chaque année, entre septembre et octobre pendant qu'il fait encore assez chaud, le bizutage est quelque chose de très intéressant à voir et qui fait partie du patrimoine folklorique de la ville.


Les étudiantes de première année doivent défiler complètement nues et pieds nus avec l'interdiction de couvrir leurs sexes, leurs seins, leurs fesses pour que tout le monde puisse regarder et profiter du spectacle des jeunes étudiantes à poil.


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Le bizutage traditionel.

samedi 3 décembre 2022

Nudité publique, pudeur et bizutage

 

Nudité publique dans le parc pendant un bizutage
Fille toute nue dans le parc.


Fille exposée nue dans un parc pendant le bizutage.

Noémie, 21 ans est étudiante en première année de licence d'économie gestion dans une grande école française et doit en début d'année se soumettre aux épreuves du bizutage traditionnel.

Dans la résidence du campus universitaire les anciennes remarquent vite la jeune fille et décident de la rendre sous leurs ailes et de la "former" et "dresser" à la soumission et aux divers gages pervers et humiliants.

L'étudiante Noémie est encadrées par deux anciennes, Sophie et Chloé qui estiment qu'une bonne formation doit commencer doit commencer par une "présentation". 

Noémie doit se mettre toute nue dans un premier temps devant ses "marraines", elle doit retirer tout ses vêtements sous la pression le chantage et les menaces des anciennes qui lui disent qu'elle ne pourra jamais réussir ses études sans l'appuie des anciens, qu'elles connaissent le directeur et les principaux profs très attachés aux traditions et considérant le bizutage comme partie prenante du cursus éducatif.



L'une des épreuves obligatoire et systématique que l'étudiante craint le plus est la parade à poil en public.


La jeune fille a été contrainte de retirer tout ses vêtements par les secondes années, qui aiment humilier les bizuths et surtout celles pudiques et gênées comme Noémie 


Noémie se retrouve nue comme au jours de sa naissance, les bizuteuses l'informent que les nouvelles n'ont pas le droit de porter de culotte, ni de soutient gorge car c'est interdit dans le campus, devant les anciennes  et lors des activités scolaires. Les sous vêtements de l'étudiantes sont donc confisqués et détruit.  Toute désobéissance peut être sanctionnée par des châtiments corporels.


Le port de chaussettes de bas est aussi prohibé et les filles doivent être pieds nus.


Les filles de seconde années sont impitoyables et insensibles aux supplications de Noémie et des autres nouvelles qui ne veulent pas s'exposer à poil par pudeur et par gêne. Hors les anciennes veulent décoincées et former les jeunes a devenir de vrai salope sans pudeur mais pour devenir comme ça, ça nécessite un dressage appelé bizutage.


La direction de l'université approuve et protège  pour ces raisons cette tradition jugée nécessaire dans l'éducation des jeunes femmes adultes.



Ensuite pour en revenir à Noémie, elle est forcée de se promener totalement nue et pieds nus sur le campus et dans le parc étudiant en pleine journée de samedi après midi.

L'étudiante doit tout exposer sans pudeur.




Décoincer les filles en les mettant à poil au bizutage.
Pas de place pour la pudeur à poil !



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