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dimanche 25 mai 2025

Visite médicale étudiante sans pudeur

 

Lesbienne à la visite médicale
Toute nue pour la visite médicale

Toute nue à la visite médicale.

 

Amina, 19 ans, ajusta son hijab avec des doigts nerveux avant de franchir la porte de l’infirmerie universitaire. Cette visite médicale obligatoire sentait le traquenard, et son cœur tambourinait comme un djembe sous amphétamines. Sa pudeur, ancrée dans sa foi, la rendait allergique à l’idée de se dévoiler, mais l’administration ne lui laissait pas le choix. Dans la salle d’attente, les autres étudiantes échangeaient des regards de biche effarouchée, prêtes à affronter l’inconnu. Puis, la porte s’ouvrit avec un grincement dramatique, et elle apparut : le Dr. Valérie, une femme d’une quarantaine d’années, silhouette de panthère, lèvres peintes en rouge sang, un stéthoscope enroulé autour du cou comme un fouet de cuir.

« Mesdemoiselles, en rang, et que ça saute ! » aboya Valérie, sa voix claquant comme un coup de cravache. « Ici, c’est mon territoire, et on joue selon mes règles. Déshabillez-vous. Tout. Et j’ai dit tout – y compris ces chaussettes ridicules que certaines d’entre vous s’obstinent à garder ! Pieds nus, mes chéries, ou je vous fais danser autrement ! » Elle ponctua sa tirade d’un sourire carnassier, ses yeux scrutant la petite troupe.

Amina déglutit, ses joues en feu. « Tout ? Même… les chaussettes ? » bafouilla-t-elle, espérant grappiller un semblant de dignité. Valérie s’approcha, son parfum capiteux envahissant l’espace. « Oh, ma douce, tu veux jouer les rebelles ? » roucoula-t-elle, son regard perçant glissant sur Amina comme une caresse interdite. « Pas de chaussettes, pas de culotte, pas de pudeur. Entre femmes, c’est naturel, non ? Ou veux-tu que je te donne une petite leçon ? » Elle tapota sa paume avec un stylo, mimant une fessée avec un clin d’œil taquin.

Les autres filles, rouges comme des tomates, commencèrent à se dévêtir dans un silence lourd, ponctué de froissements de tissu. Une étudiante, oubliant l’ordre, garda ses chaussettes à motifs licornes. Valérie s’en aperçut et éclata d’un rire moqueur. « Oh, regardez-moi ces licornes ! Tu crois que t’es à un défilé de mode, ma mignonne ? Enlève-moi ça, ou je te fais parader avec une fessée en prime ! » La fille, mortifiée, s’exécuta sous les gloussements gentils mais gênants des autres.

Amina, paralysée, sentit son cœur s’emballer. Elle voulait protester, défendre sa pudeur, mais une part d’elle – une part qu’elle n’osait nommer – frémissait sous le regard dominateur de Valérie. Lentement, elle défit son hijab, ses vêtements, et enfin ses chaussettes, ses pieds nus touchant le carrelage froid. « Voilà, c’est mieux », susurra Valérie, posant une main ferme sur l’épaule d’Amina, son pouce effleurant la peau nue d’une manière qui la fit tressaillir. « Tu vois, ma belle, obéir, c’est libérateur. »

La visite tourna vite au spectacle burlesque. Valérie, telle une maîtresse de cérémonie sadique, ordonnait aux filles de défiler en rang pour la pesée, la mesure, et des palpations mammaires aussi précises qu’intrusives. « Allez, mes poupées, poitrine en avant, on montre ce qu’on a ! » lança-t-elle, riant doucement en voyant Amina rougir. Quand une fille tenta de cacher son corps, Valérie s’approcha, menaçante mais joueuse. « Pas de ça ici ! Cache-toi encore, et je te donne une fessée devant tout le monde. Tu veux essayer ? » La menace, à moitié sérieuse, fit glousser certaines filles, détendant l’atmosphère.

Pour Amina, chaque étape était un combat intérieur. Lors du contrôle gynécologique, Valérie s’attarda, son souffle chaud frôlant l’oreille d’Amina. « Détends-toi, ma rebelle. Résister, c’est mignon, mais au fond, tu aimes ça, non ? » Amina voulut protester, mais sa voix se brisa. Son corps, ce traître, répondait à l’autorité de Valérie, à ses moqueries gentilles, à ses gestes assurés. Une fessée légère, donnée pour « corriger » une posture trop crispée, la fit sursauter… et, à sa honte, frissonner de plaisir.

« En rang, mes beautés ! » ordonna Valérie à la fin, faisant parader les filles, nues comme des statues grecques, dans la pièce. « Regardez-vous, libres, sublimes, sans honte ! N’est-ce pas délicieux ? » Amina, au bord des larmes au début, sentit une étrange chaleur l’envahir. La honte s’effaçait, remplacée par une euphorie inattendue. Elle avait résisté, protesté, mais au fond, elle aimait cette soumission, ce lâcher-prise face à l’autorité déjantée de Valérie.

En remettant son hijab, Amina croisa le regard de la doctoresse. « Pas mal pour une première, ma petite rebelle », lança Valérie avec un sourire narquois. « Reviens quand tu veux jouer. » Amina, un sourire timide mais audacieux aux lèvres, murmura : « Peut-être bien… » La pudique étudiante d’hier avait disparu, laissant place à une femme qui, malgré les frissons du début, avait découvert une facette d’elle-même qu’elle n’aurait jamais osé explorer.

 

Lien : 

 

Julie à la visite médicale. 

 

mercredi 14 mai 2025

Pas de pudeur à la visite médicale.

 

Nudité à la visite médicale étudiante.
Pas de pudeur faut tout montrer à la visite médicale.

Fille pudique devant le docteur à la visite médicale.

 

Paris, automne 2010. La salle d’attente du centre médical universitaire puait l’antiseptique et le désespoir administratif. Sur une chaise en plastique inconfortable, Fatima, 19 ans, triturait ses doigts, ses yeux sombres fixés sur le linoléum usé. Première année de licence en chimie, elle redoutait cette visite médicale obligatoire comme une condamnation. Pudique, élevée dans une famille où la modestie était sacrée, elle portait un hijab gris et une tenue couvrante. Mais ici, dans ce lieu glacial, elle se sentait déjà nue.

La porte s’ouvrit brusquement. Une infirmière, la quarantaine bien tassée, chignon brun impeccable, la scruta avec un sourire acéré. Son badge annonçait « Mme Lambert ». Sa blouse blanche semblait taillée pour intimider.

« Fatima ? » lança-t-elle, massacrant le nom avec un mépris théâtral. « Bougez-vous, on n’a pas l’éternité. »

Fatima se leva, le cœur cognant, et suivit Mme Lambert dans un couloir blafard. Les néons grésillaient, accentuant l’ambiance oppressante. Dans la salle d’examen, un homme en blouse, le Dr. Morel, trônait derrière un bureau. La cinquantaine, cheveux poivre et sel, lunettes cerclées d’acier, il exsudait une autorité glaciale.

« Asseyez-vous », grogna-t-il, désignant une chaise métallique. Fatima s’exécuta, ses mains crispées sur ses genoux.

Mme Lambert claqua la porte. « Bon, ma petite, pas de simagrées. Cette visite est obligatoire, alors on va faire vite. Vous allez obéir, point barre. On a un planning chargé. »

Fatima déglutit, ses joues s’enflammant. « Oui, madame… »

L’infirmière ricana, un sourcil levé. « Oh, regardez-moi cette demoiselle Pudeur. Détendez-vous, on ne va pas vous dévorer. Enfin… pas encore. » Le Dr. Morel esquissa un rictus sans quitter son clipboard.

« Déshabillez-vous », ordonna-t-il, sa voix tranchante comme un scalpel. « Tout. Le voile, la culotte, les chaussettes. Rien ne reste. Vous n’êtes pas dans une mosquée, ici. »

Fatima sentit son estomac chavirer. « Tout ? » murmura-t-elle, la gorge nouée.

Mme Lambert croisa les bras, l’air exaspéré. « Oui, tout. Vous voulez qu’on vous dessine un schéma ? Allez, on n’a pas que ça à faire. Vos petits complexes, on s’en fiche. »

Les mains tremblantes, Fatima se leva. Elle dénoua son hijab, révélant une cascade de cheveux noirs qu’elle tenta vainement de discipliner. Le tissu glissa sur la chaise. Puis elle ôta son pull, sa jupe longue, ses chaussettes, chaque geste arrachant un morceau de sa dignité. Quand elle arriva à son soutien-gorge, elle hésita, jetant un regard suppliant vers le docteur.

« On attend le messie, ou quoi ? » s’agaça Mme Lambert. « Le soutif, la culotte, hop, dehors ! Vous croyez qu’on va examiner votre âme ? »

Au bord des larmes, Fatima dégrafa son soutien-gorge, puis fit glisser sa culotte, ses pieds nus frôlant le sol froid. Elle se tenait là, totalement exposée, les bras croisés sur sa poitrine, frissonnant sous les néons impitoyables.

Mme Lambert claqua la langue. « Pas de ça, les bras ! Mains sur les côtés. Vous n’êtes pas en train de poser pour un tableau de la Renaissance. »

Le Dr. Morel releva enfin les yeux, son regard clinique balayant son corps. « Sur la table », ordonna-t-il.

Fatima grimpa sur la table d’examen, le papier crissant sous elle. Elle fixa le plafond, tentant de s’échapper mentalement. Mais Mme Lambert s’approcha avec un tensiomètre, serrant le brassard autour de son bras avec une vigueur sadique.

« Tension correcte », marmonna-t-elle. « Pas de quoi s’évanouir, hein, ma jolie ? On dirait une biche aux abois. C’est juste un check-up, pas un tribunal. »

Fatima serra les dents, ravalant sa colère. L’examen continua, chaque étape plus humiliante. Le Dr. Morel posa son stéthoscope glacé sur sa poitrine, ses doigts frôlant sa peau avec une précision mécanique. « Respirez », dit-il, avant d’ajouter, narquois : « Si vous en êtes capable, évidemment. »

L’examen gynécologique fut un calvaire. Fatima, les jambes écartées dans les étriers, ferma les yeux, les poings serrés. Le Dr. Morel procédait avec une froideur clinique, mais ses questions étaient acérées. « Vous êtes vierge, je présume ? » lança-t-il, son ton dégoulinant de paternalisme.

Fatima rougit violemment. « Oui… », murmura-t-elle.

Mme Lambert ricana. « Oh, quelle surprise. Une petite sainte, hein ? Pas de petits copains, pas de bêtises ? Vous savez que c’est important de nous dire la vérité, n’est-ce pas ? On n’est pas idiots. »

« Je dis la vérité », protesta Fatima, la voix tremblante.

Le docteur haussa un sourcil. « On va vérifier ça. » Il effectua un test sommaire, son silence pesant. « Hm. Apparemment, vous ne mentez pas. Félicitations, vous passez le contrôle qualité. »

Fatima bouillonnait, mais sa timidité la clouait dans une soumission muette. Quand l’examen fut fini, elle s’attendait à se rhabiller, mais Mme Lambert l’arrêta d’un geste. « Pas si vite. On n’a pas fini de discuter. Restez comme vous êtes. »

Étrangement, quelque chose changea en Fatima. L’humiliation, l’exposition, tout cela commençait à perdre de son poids. Elle était nue, oui, mais elle était toujours là, intacte. Elle redressa les épaules, un éclat de défi dans les yeux.

« Quoi, vous voulez me garder en vitrine ? » lâcha-t-elle, un sourire timide aux lèvres.

Mme Lambert éclata de rire, surprise. « Tiens, elle parle, la statue ! Pas mal, pour une novice. »

Le Dr. Morel, amusé, reposa son stylo. « Vous savez, mademoiselle, la pudeur, c’est surfait. Vous survivez à ça, vous survivez à tout. »

Fatima, toujours nue sur la table, haussa les épaules, un rire nerveux lui échappant. « Ouais, c’est ça. La prochaine fois, je viendrai direct en tenue d’Ève, ça vous fera gagner du temps. »

Mme Lambert gloussa. « Ça, c’est l’esprit ! Allez, avouez, vous commencez à aimer jouer les rebelles. »

Fatima descendit de la table, ses pieds nus claquant sur le sol. « Rebelle ? Moi ? Non, je suis juste une pauvre étudiante torturée par des sadiques en blouse. » Elle ponctua sa phrase d’un clin d’œil, arrachant un sourire au docteur.

« Sadiques, rien que ça ? » rétorqua Mme Lambert, feignant l’offense. « Vous devriez nous remercier. On vous endurcit pour la vraie vie. »

Fatima attrapa son hijab, mais ne le remit pas tout de suite. Elle se sentait étrangement à l’aise, comme si cette épreuve l’avait libérée d’un poids. « Ouais, merci pour la thérapie gratuite. »

Le Dr. Morel secoua la tête, amusé. « Filez, insolente. Et n’oubliez pas : la santé avant tout. »

 Lien : 

Histoire de visite médicale lesbienne.

 

mardi 22 avril 2025

C'est le bizutage, les filles se déshabillent.

Les étudiantes se mettent nue au bizutage
Mise à poil au bizutage étudiante.

 Mise à poil en école de commerce.

Dans une grande école de commerce privée de banlieue parisienne, le bizutage des premières années était un rituel sadique, une mise à nu impitoyable orchestrée pour briser les nouvelles élèves, âgées de 18 à 20 ans, sous les regards lubriques des aînées, des garçons, de certains professeurs, du personnel administratif et des gardiens. La grande salle de l’amphithéâtre, transformée en théâtre de cruauté, résonnait de rires obscènes et de sifflets, tandis que les nouvelles, alignées comme du bétail, attendaient, tétanisées, l’épreuve qui allait les dépouiller de toute dignité.
 
 
Avant le carnage, les filles portaient l’uniforme obligatoire de l’école : une jupe plissée bleu marine, un chemisier blanc ajusté, une cravate assortie, des chaussettes blanches montant aux mollets, et des mocassins noirs. 
 
Camille, la blonde extravertie, avait déboutonné le haut de son chemisier pour un effet provocant, sa cravate lâche comme un défi. 
 
Léa, toujours dans la séduction, avait retroussé sa jupe pour dévoiler ses cuisses, ses chaussettes légèrement baissées pour un air rebelle. 
 
Amina, fidèle à sa pudeur religieuse, portait son uniforme avec un hijab blanc soigneusement épinglé, ses chaussettes couvrant chaque millimètre de peau. 
 
Sophie, élevée dans une famille catholique rigoriste, avait ajouté un cardigan gris pour masquer les courbes de son corps, ses chaussettes tirées au maximum. Inès et Nour, plus sobres, portaient l’uniforme sans fioritures, leurs visages crispés par l’angoisse.
 
Le silence fut pulvérisé par Clara, la meneuse des aînées, dont la voix tranchante claqua comme un ordre militaire. « À poil ! Tout, pas de sous-vêtements, rien ! Et enlevez vos chaussures et chaussettes. Pieds nus, tout de suite, ou vous allez le regretter ! » L’ordre, chargé d’une menace sexuelle à peine voilée, fit frémir l’assemblée. 
 
La foule – garçons braillards, surveillants au regard vicieux, professeurs complices – explosa en rires graveleux, leurs yeux déjà dévorant les silhouettes alignées.
 
 
Pour certaines, l’épreuve était un jeu à peine dérangeant. Camille, habituée aux plages nudistes et aux vestiaires mixtes, arracha son uniforme avec un rire provocateur, jetant ses mocassins et chaussettes comme des trophées. « Vous voulez un spectacle ? Le voilà ! » lança-t-elle, se tenant nue, les mains sur les hanches, sous les sifflets enthousiastes. Léa, fidèle à son personnage, fit glisser sa jupe et sa culotte avec une lenteur calculée, roulant ses chaussettes en boule et les lançant à un garçon qui hurla de joie. 
 
Pour elles, être nues, pieds nus sur le sol glacé, n’était qu’une occasion de dominer la foule par leur assurance.
 
Mais d’autres vivaient un enfer. Amina, pétrifiée, sentit son monde s’effondrer. Dans sa culture, la nudité était un tabou absolu, et l’idée de se dévoiler devant des hommes, des inconnus, était une profanation. « Je ne peux pas… », murmura-t-elle, ses mains agrippant son hijab. Clara s’approcha, son sourire venimeux dégoulinant de mépris. « Ton Dieu ne te sauvera pas ici. À poil, ou on te rase la tête après t’avoir déshabillée nous-mêmes ! » 
 
Un garçon cria : « Montre-nous tout, princesse ! » déclenchant des rires salaces. Amina, les larmes coulant sur ses joues, tenta de garder ses chaussettes, pensant que ce détail passerait inaperçu. Mais Clara, impitoyable, les arracha d’un geste brutal, exposant ses pieds nus au sol froid et à la foule hilare.
 
 
Sophie, élevée dans la honte du corps, était au bord de l’évanouissement. La nudité totale, sans même la barrière d’une culotte, était un péché mortel à ses yeux. Elle essaya de garder ses chaussettes blanches, marmonnant : « Ce n’est pas grand-chose, juste les chaussettes… » 
 
Mais une aînée, plus cruelle encore, les lui arracha, lui griffant la peau au passage. « T’es pas là pour cacher, t’es là pour montrer ! » aboya-t-elle. Sophie, nue, pieds nus, tenta de se couvrir avec ses mains, mais un surveillant lança : « Écarte les bras, ou on t’attache ! » La foule rugit, et un professeur, un rictus au coin des lèvres, détourna les yeux sans intervenir.
 
 
Inès, elle aussi, tenta de garder ses chaussettes, espérant que l’agitation masquerait son geste.
 
 Mais Clara, comme un prédateur, la repéra. « Toi, la discrète, t’as cru qu’on était aveugles ? À poil, et vite ! » 
 
Inès, humiliée, obéit, ses pieds nus tremblant sur le sol poussiéreux. Pourtant, elle se rapprocha d’Amina et murmura : « On est plus fortes qu’eux. Tiens bon. » 
 
Nour, à quelques pas, forma un rempart avec deux autres filles pour protéger Sophie, dont les sanglots étaient noyés par les cris de la foule. « On ne les laissera pas nous détruire », chuchota Nour, sa voix tremblante mais déterminée.
 
 
Les épreuves furent un crescendo de sadisme : défilés nus sous les flashes des téléphones, danses forcées où chaque mouvement exposait davantage leurs corps, poses obscènes imposées par les aînées. 
 
Être pieds nus amplifiait l’humiliation, le sol froid et sale rappelant leur vulnérabilité à chaque pas. Camille et Léa, jouant le jeu, dansaient avec une provocation assumée, leurs pieds nus frappant le sol comme un défi. Sophie, elle, avançait en titubant, ses pieds rougis par le froid, son corps secoué de sanglots. 
 

Les aînées, ivres de pouvoir, se repaissaient de l’humiliation qu’elles infligeaient. Les garçons, encouragés par l’absence de sanctions, hurlaient des commentaires sexuels, certains allant jusqu’à mimer des gestes obscènes. Les professeurs présents, censés incarner la morale, se contentaient de regards fuyants ou de sourires complices.


 

lundi 21 avril 2025

C'est le bizutage il faut marcher nue en public.

A poil en public au bizutage
Parader à poil pendant le bizutage.

La marche nue et public lors du bizutage étudiant.

 

Le soleil de fin septembre cogne sur le campus universitaire, transformant le chemin central en un ruban de bitume brûlant. Inaya, nue, les poignets liés dans le dos par une corde en nylon, avance en dernière position de la file des quatre amies, forcées à défiler dans le cadre du bizutage cruel de la phase deux. Les anciens, bandanas rouges au cou, encadrent le groupe, hurlant des ordres obscènes pour humilier les premières années. La foule, massée de part et d’autre du chemin, est un mur de regards avides, de sifflets et de rires moqueurs.

Clara, la cheffe des anciens, marche à côté, un mégaphone à la main. « Remuez vos culs, les salopes ! Faites les coquines, ou on vous le fera regretter ! » Solène, en tête, obéit avec un enthousiasme provocateur, ondulant des hanches, ses fesses rondes rebondissant à chaque pas. Ses seins généreux tressautent, attirant des cris enthousiastes. Mélanie, juste derrière, avance tête baissée, ses joues écarlates, ses seins menus frémissant sous l’effort, sa peau pâle luisant de sueur. Élodie, troisième, grogne des insultes à voix basse, mais ses hanches musclées roulent malgré elle, son corps athlétique captant les regards.

Inaya, dernière, sent chaque pas comme un coup de poignard. Ses pieds nus, délicats et peu habitués à la rudesse du sol, s’écorchent sur les graviers incrustés dans l’asphalte. La chaleur du bitume irradie à travers ses plantes de pieds, lui arrachant des grimaces qu’elle dissimule sous un masque de défi. Sa peau mate, luisante sous le soleil, expose chaque courbe de son corps : ses seins pleins, aux aréoles sombres légèrement durcies par la brise, son ventre plat, et son pubis soigneusement épilé, vulnérable aux regards. Ses cheveux noirs, libérés de son hijab, cascadent sur ses épaules, collant à sa peau moite.

« Regardez la voilée ! » hurle un étudiant dans la foule, déclenchant des rires gras. « Montre ton cul, la sainte ! » Inaya serre les dents, son cœur battant à tout rompre. Elle refuse de baisser les yeux, défiant les spectateurs d’un regard brûlant. Ses hanches, malgré elle, suivent le rythme imposé par Clara, qui tape des mains comme un métronome. « Plus sexy, Inaya ! Balance-toi, ou on te fait ramper ! »

Chaque pas accentue son humiliation. La corde mord ses poignets, tirant ses épaules en arrière, forçant sa poitrine à s’offrir davantage. La foule scande : « À poil ! À poil ! » Des sifflets fusent, mêlés de commentaires crus : « Joli cul ! » « T’as déjà baisé, la coincée ? » Un ancien, posté sur le côté, tente de filmer avec son téléphone, mais Marc, un autre organisateur, le stoppe d’un geste sec : « Pas de vidéos, crétin ! On a dit pas de preuves ! »

Le chemin traverse le cœur du campus, longeant la bibliothèque vitrée où des étudiants collent leurs visages aux fenêtres, et le parvis du bâtiment administratif, où même quelques professeurs observent, l’air amusé ou gêné. In Inaya sent la honte l’envahir, mais elle canalise sa rage. Elle pense à ses amies, à leur pacte de rester unies. Solène, devant, se retourne brièvement et lui lance un clin d’œil : « T’es une bombe, meuf ! » Inaya esquisse un sourire crispé, puisant du courage dans ce soutien.

À mi-parcours, Clara ordonne une pause humiliante. « Tournez-vous, montrez vos culs ! » Les filles obéissent, pivotent pour offrir leurs fesses à la foule. Inaya, les joues en feu, se plie, exposant son postérieur rond et ferme. Les cris redoublent : « Secoue-le, la voilée ! » Elle obéit à contrecœur, ses fesses frémissant sous les rires. La honte la submerge, mais elle se redresse, refusant de craquer.

La marche reprend, plus lente, pour prolonger l’épreuve. Inaya sent ses jambes trembler, ses pieds douloureux, mais elle avance, déterminée. Le chemin s’achève près de l’amphithéâtre en plein air, où le prochain défi attend. Clara hurle : « Bien joué, les putes !

 Lien :

 

Bizutage collectif.

samedi 19 août 2023

Choc culturel et humiliation de la prisonnière

 

Nudité forcée pour une femme prisonnière.
Prisonnière nue et enchaînée dans les couloirs.

L'humiliation et l'asservissement des femmes en prison.


Lors de la seconde guerre du golfe en Irak (2003/2011) ou les Etats Unis ont envahi  et occuper ce pays  et ouvert des prison comme la célèbre centre de détention d'Abou Ghraib a coté de Baghdad ou les prisonniers sont régulièrement humiliés et maltraités.


Les femmes capturées par les américains sont spécifiquement humiliées et dressées pour marquer la domination des conquérants et l'avilissement des vaincus. Lorsqu'une femme arrive comme Maha, fille d'un responsable de l'ancien régime recherché activement par les troupes de la coalition internationale, tout est fait pour choquer, humilier et avilir la détenue.


Les prisonnières sont en général des femmes respectables et pieuses  ayant été éduquer dans les valeurs traditionnelles de pudeur et modestie de la culture arabe et religion musulmane, elles portent comme Maha un voile (hijab) et des tenues longue et ample comme des larges robes pour dissimuler leurs corps et sont couverte de la tête aux pieds.


Bien sur que les militaires utilisent les tabous culturelle et religieux pour mieux contrôler et dominer les prisonniers, les gardes ont pour consigne de traiter les détenus "pires que des chiens" et que seuls les lois arbitraires, cruelle et sadiques des surveillants s'appliquent.


La jeune femme pudique est soumise à un déshabillage humiliant en public, la première chose qui arrive aux prisonnières est l'obligation de se mettre entièrement nue, les américains dépouillent les femmes de leurs signes religieux mais aussi de tout leurs vêtements, sous vêtements, bijoux, boucles d'oreilles effets personnels et chaussures ! 


Les fouilles à nu sont systématique et de rigueur dans la totale nudité, et les femmes doivent exposer leurs anus et leurs vagins en profondeur et de manière très dégradante. C'est difficile de ressentir la honte de cette pauvre femme obligée d'écarter les fesses pour ouvrir de façon dégradante son trou du cul et écarter les lèves de son sexe devant les occupants sans aucune pudeur.


Les femmes doivent exposer leurs corps sans aucune intimité devant tout le monde, y compris les autres détenus qui peuvent la reconnaitre !


Liens :


Francy Steel.


Nue derrière les barreaux de sa cellule de prison.




samedi 16 juillet 2022

Femme prisonnière et incident en rapport à la Nudité forcée

 

la nudité de la femme prisonnière.
Prisonnière nue pour l'inspection.

L'ordre de déshabiller les prisonnières.


En 2004, en Irak pendant la seconde guerre du golfe les Etats Unis ont ouvert  près de Baghdad dans le secteur d'Abou Ghraib l'une des prisons les plus dures et les plus redoutées ou sont détenues les personnes suspectées de liens avec l'ancien régime, le terrorisme ou de menacer la sécurité nationale US.


L'une des caractéristique qui choque plus est que les détenus sont gardés sans aucune vêtements pour l'immense majorité, y compris les femmes prisonnières. Un observateur de la Croix Rouge Internationale rapporte l'expérience de Yousra S, une jeune femme de 26 ans retenue en isolement sous le statut de prisonnière de "hautes valeur" par l'administration,  sans aucune inculpation , mais totalement arbitrairement  car son oncle est activement recherché par la coalition pour ses liens avec l'ancien régime.


Dans l'unité ou est gardée Yousra, les prisonniers doivent être complètement nus à tout moment, les femmes ne faisant pas exception et sont soumises aux même règles que les hommes. Yousra a donc été déshabillée et fouillée en arrivant et forcée de marcher nue dans les couloirs de la prison avant d'être placée totalement nue en cellule.


De plus les forces armées obligent les femmes à se dévêtir devant des hommes pour accroitre leur sentiment d'humiliation. En effet, Yousra est une femme musulmane arabe respectable, certes assez moderne, mais de culture très pudique et conservatrice. Elle n'a jamais porter de bikini en public et porte par respect des tradition le hijab, voile et de robes amples et pudique en présence d'étrangers lorsqu'elle sort dehors. Les responsables utilisent la nudité comme moyen de coercition psychologique pour soumettre et rendre docile plus efficacement.


La nudité est particulièrement dégradante pour les personne comme elle, mais après quelques semaines, vivre nue devient naturelle et habituel. Yousra n'a plus aucun problème et sa pudeur a comme disparue.


Liens :


Sévices en prison.



samedi 19 février 2022

Prison, confinement solitaire et conventions de Genève.

 

Naked female prisoner in cell.
Une prisonnière nue attend l'inspection corporelle.

Le sort des femmes prisonnières de haute sécurité.


On en sait désormais plus sur le traitement subi par les femmes prisonnières irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib.


Un rapport d'une ONG (Organisation non gouvernementale) sur l'une des détenues, Nadia, 33 ans, incarcérée plusieurs mois dans ce centre  pour ses liens avec des membres importants de l'ancien régime renversé par la coalition menée par les Etats Unis vient de paraitre.


Prisonnière sous le statut de "détenu de haute sécurité" ou de "haute valeur", elle est soumise à des règles de détention très strictes et parfois jugées inhumaines et dégradantes. Ce type de prisonnier est retenue dans la partie dure du site, à l'isolement sans aucun contact avec le monde extérieur.


La prisonnière Nadia est gardée nue et enchainée dans une toute petite cellule vide ne comportant qu'une banquette pour dormir,  un seau d'eau pour faire ses besoins et qui est changer une fois tout les trois jours, et un petit robinet pour l'accès à l'eau. Nourrie une fois par jours avec du riz, du poulet et parfois une banane ou un oeuf.


Comme beaucoup de prisonniers hommes, la jeune femme lors de sont arrivé a été obligée de se déshabiller et de rester sans aucun vêtements en confinement solitaire. Si les autorités reconnaissent que les fouilles sont systématique et obligatoire et qu'elles imposent la mise à nue totale des prisonnières pour des raisons de sécurité, la pratique de garder nu les détenus en confinement solitaire serait d'éviter tout suicide, toutes tentatives de dissimuler des armes, objets dangereux ou illicite et serait un excellent moyen de garantir l'ordre et la sécurité dans le pénitencier. C'est officieusement une technique utilisée et approuvée  par les plus haute autorités militaires, politiques et du renseignement  pour humilier et mettre la pression sur les prisonniers pour les rendre coopératifs et les faire parler lors des interrogatoires dit "renforcés".


Pour Nadia, ses affaires, ses vêtements  et ses chaussures lui ont été confisqués en arrivant. Son statut de femme arabe respectable et pieuse musulmane en a pris un coup lorsque les gardes américains lui ont imposer un strip tease intégral.


Se voir imposer la nudité est un puissant moyen d'intimidation, et d'humiliation psychologique. Et dans le cas d'une femme culturellement conservatrice comme Nadia c'est encore plus dégradants, c'est une humiliation totale et inimaginable que les gardiens lui ont fait ressentir.


Nadia est contrainte d'enlever tous ses vêtements sous le prétexte de vérifier que la prisonnière n'a rien cacher d'illégal ou de dangereux dans son corps pour elle, pour les gardiens et autres prisonniers. Les autorités US insistent sur la nécessité d'assurer la sécurité. Aucune exception n'est admise la nudité totale est de rigueur. Elle doit défaire son voile (hijab), sa robe traditionnel, ses sous vêtements sexy en dentelle, ses chaussures etc. Le tout devant des hommes et des femmes pour accroitre la honte ressentie.


Une fouille et un examen de l'anus et du vagin de chaque prisonnières est aussi pratiquée. Nadia qui est arrivée habillée de façon pudique et conservatrice s'est retrouvée 5 minutes après à poil et contrainte d'écarter ses fesses devant des gardes, quelle déchéance !


La détenue n'a pas le droit de porter des vêtements, ses vêtements civils sont mis sous scellé et confisqués et aucun uniformes ne lui a été remis. Nadia est obliger de vivre nue et pieds nus comme la plupart des autres détenus.


Jamais elle n'aurait imaginer subir ça un jours, être totalement exposée, de plus la nudité forcée fait ressentit une très forte vulnérabilité que les interrogateurs de la police militaire utilise pour ramollir les prisonniers en vue des interrogatoires.


L'armée américaine pour parer a tout accusation de viols ou d'agression sexuelle impose aux femmes des inspections et des contrôle médicaux hebdomadaires.

Prisonnière nue attachée et ligotée par un docteur.
Attachée nue sur une table d'auscultation médicale.

Nadia comme les autres femmes prisonnières est régulièrement amenée, nue bien sur, dans une petite salle avec des objets médicaux pour subir une inspection corporelle. La femme est attachée et cinglée toute nue sur une table d'auscultation, pour se faire examiner le corps, le docteur et l'inspecteur cherche toute traces de violence, marques, traces, contusions, blessures, chaque centimètre de peaux de la détenue est controlé, même entre ses orteils.


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Deux femmes nues en captivité.


Témoignage d'une femme en prison.




mercredi 2 février 2022

Deux lesbiennes musulmanes voilées (hijab) se léche les pieds, anus et chatte en vidéo.

 


Deux coquines musulmanes s'adonnent au fétichisme des pieds et au sexe lesbiennes.


Que font certaines filles musulmanes qui portent le hijab lorsqu'elles sont seules entres elles ? Et bien c'est très simples beaucoup sont bi sexuelle et très ouverte aux pratique homosexuelle.


Les filles voilées sont très souvent pieds nus et prennent soin de leurs petits petons et mettre des chaussures ouverte dès qu'il fait beau. Elles sont aussi pieds nus dans leurs domiciles.

Elles aiment se lécher mutuellement les pieds et se sucer les orteils, de quoi faire bander tout fétichiste des pieds qui e respecte.



Feet of sexy muslim girl for fan.
Qui veut mettre les pieds de cette fille dans sa bouche ?



Modele sur la vidéo :l'actrice anglaise vue dans Game of Throne  Sahara Knite.


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mardi 25 janvier 2022

Prête pour passer la visite médicale du travail

 

Une jeune fille se déshabille pour passer sa visite médicale.
Le déshabillage obligatoire à la médecine du travail.


La première visite médicale du travail de Noémie.


Lors de la visite médicale de prévention pour la santé au travail, après l'accueil et les formalités administratives (vérification d'identité, petit questionnaire de santé, contrôle de la mise à jours des vaccins, tests de vision et d'audition ...).


Noémie, une jeune et belle femme noire découvre qu'il ne faut pas être trop pudique lors de la visite médicale quand la secrétaire médicale lui indique de se rendre dans une petite cabine double porte et de se déshabiller, de retirer le haut, et le bas et de ne garder que la petite culotte. La secrétaire a bien préciser qu'il fallait aussi enlever le soutien gorge et les chaussettes, bas, collants pour apparaitre pieds nus et seins découverts.


Il y a d'abord un entretien médical avec le médecin presque à poil devant lui, sur la pénibilité au travail, l'état de santé général, avant de passer à l'examen clinique en culotte sur la table d'auscultation médicale qui comprend une palpation des seins systématique.


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dimanche 26 décembre 2021

Humilier et dégrader comme consigne pour traiter les prisonniers.

 

Prisonnière exhibée nue et punie
Femme exposée nue et humiliée par les gardiens de prison (BDSM, bondage).

Un séjour en prison très humiliant et plein de sévices.


Rania, une jeune femme arrêtée par l'armée américaine lors d'une opération de ratissage dans un quartier de Baghdad ou les rebelles sont bien implantés  en mai 2004 qui à passer plusieurs semaines dans la célèbre prison d'Abou Ghraib se souvient du traitement infamant que lui ont réservé les gardes et les interrogateurs.


"Mon pire souvenir est mon passage dans cette prison, en détention, les gardes et la staff pénitentiaire n'avaient qu'un objectif  briser les prisonniers, et pour cela tout y passe : humiliations, vexations, moqueries, situation dégradantes, stress, inconfort, punitions injustes etc.


Lors de mon arrivée dans l'aile de la prison réservée aux détenus de haute valeurs, la première chose qu'ils ont faite c'est de me déshabiller devant des hommes et des femmes surveillants en uniforme militaire. Aucune intimité, aucun respect pour notre pudeur, les américains imposent la nudité intégrale aux prisonniers hommes et femmes sans distinction.


 J'ai du donner mes vêtements un à un aux surveillants, vous imaginez ce que ça représente en terme de dégradation  pour une personne bien élevée, pudique que de se retrouver obligée à exposer son corps. 


La gardienne responsables du secteur des femmes est une femme très dominante,  elle est stricte, elle dit à chaque nouvelles que la prison est fait pour punir et éduquer.  Et que les femmes même aux Etats Unis n'aiment pas aller en prison car se font fouiller et inspecter régulièrement  l'anus et le vagin.


Elle fait raser les parties génitales de chaque prisonnières en estimant ceci plus esthétique et plus propre. L'Amérique se doit de promouvoir le progrès et la civilisation en forçant les femmes irakiennes à avoir le sexe lisse comme les américaines et la plupart des femmes occidentales. 


Lorsqu'ils m'ont déshabiller l'américaine m'a dit pendant que j'ôtais mon foulard, qu'elle refuse  de voir des  femmes musulmanes couvertes de voiles (tchador, hijab, abaya etc.) dans l'enceinte du pénitencier et estime que nous garder sans vêtements doit nous libérer de la pression des traditions car la nudité rend libre. 

Se vêtir n'est pas permis, sauf pour les plus chanceuses qui coopèrent ont le droit de porter un uniforme un short et un T shirt orange ou jaune, bien court avec inscrit "Inmate" dans le dos. 

Nous devons aussi rester pieds nus en signe d'humilité et de soumission.


Ensuite les soldats m'ont inspecter nue de la têtes aux orteils en faisant des commentaires salaces et à voie haute sur mon anatomie, sur mes seins, sur mon minou rasé, l'humiliation fait partie intégrante de la punition, et nous garder nues est très difficile à vivre, toute intimité nous est interdite, toute manifestations  pudeur est sanctionnée, ils se moquent de nous et se vantent de nous avoir enlever tout nos vêtements pour nous contrôler et dominer.


La mise à poil est la première chose qu'ils imposent pour nous humilier dans notre culture et religion et parce qu'ils trouvent ça "fun" de mettre des femmes couvertes de la tête aux pieds totalement nues.


Ils estiment que nous foutre à poil ne fait de mal à personne et que la chaleur fait que nous n'avons pas besoin de porter de vêtements. Ils n'arrêtaient pas de m'attachée et de m'exhiber toute nue dans les couloirs de la prison à la vue de tous !



Fin.


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Nudité forcée.


Nue en cellule.



lundi 22 novembre 2021

Une éducatrice en Foyer pour jeunes filles en difficulté éduque, impose la discipline et punie une jeune fille.

 

Déshabillage d'une salope en hijab
Enlève ta culotte !

L'éducation et la soumission d'une jeune fille en centre éducatif fermé.



Mounia, 21 ans est une jeune fille arabe et musulmane en hijab de banlieue, qui a un parcours familiale difficile et qui rencontre de graves soucis pour s'intégrer à la société. Suite a un accord entre ses parents et le juge, la jeune fille est placée dans un foyer pour jeune fille et doit suivre une formation.


Lors du premiers jours, elle est soumise par l'éducatrice à une inspection pour contrôler et vérifier son hygiène et sa propreté, chose essentiel dans l'éducation d'une femme.


L'éducatrice veut s'assurer que les nouvelles pensionnaires soient propre de façon intime. Elle est très stricte et à cheval sur cette question et veut en savoir plus sur la propreté de Mounia.


La jeune fille est invitée a se déshabiller , elle enlève sa robe arabe pour se retrouver dans des sous vêtements très sexy que l'éducatrice trouve indécent et trop provocant, la politique du foyer. Ici les sous vêtements des jeunes filles doivent etre sobre et discret et ceux de la jeune fille sont trop sexy et affriolants , ils doivent donc être confisqués.

La jeune fille doit enlever aussi ses baskets et ses chaussettes pour un contrôle de ses pieds, l'inspectrice examine les orteils et les plantes de la fille.



Ses pieds sont très sexy et bien vernis de façon flashy, Mounia porte certes le hijab mais elle a une sexualité débridée et aime que des garçons  fétichiste ou même des filles lui sucent les doigts de pieds ou lui massent. Elle est très propre et a une bonne hygiène  corporelle.


Elle est aussi tatouée et a pas mal de piercings sur le corps comme le constate son éducatrice.



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lundi 4 octobre 2021

Mettre nu les prisonniers fait partie du processus.

 

Nue et enchainée en prison
Femme nue et enchainée en prison.

Interrogation sur les abus, sévices et nudité forcée en prison.



Depuis que les abus sur les  tortures et les sévices à la prison militaire d'Abou Ghraib ont étés révélé par voie de presse au publique et que ça à provoquer un scandale ayant entaché l'image des Etats Unis, les hauts responsables américains ont accuser les gardiens d'être les seuls responsables, d'être des brebis galeuses et d'avoir agit par eux même de façon cruelle par manque de formation, de leadership.


Hors cela est faux, le renseignement militaire avec l'aval des plus hautes autorités civils et militaires US ont ordonner à la police militaire et aux gardiens de traiter les prisonniers comme pire que des chiens, de les humilier et de les rabaisser constamment en vue de les ramollir avant les interrogatoires et de les rendre plus dociles et coopératifs.


Les témoins ont constater que la plupart des détenus étaient gardés sans vêtements dans la plus totale nudité. Les autorités ont donner pour consignes aux gardiens de prendre les vêtements des prisonniers et de les garder nus dans leurs cellules.


Les dirigeants de la prison et les gardes sont très favorable à l'imposition de la nudité pour embarrasser les prisonniers et les briser en vue des interrogatoires.


Des femmes sont  également soumises à ce traitement. C'est jugée traumatisant pour une prisonnière que de devoir se déshabiller publiquement en exposant ses parties intimes  devant des gardes hommes et femmes sans respect pour la pudeur.


Par exemple Lara, une jeune femme incarcérée plusieurs mois  car soupçonnée d'avoir eu des responsabilités au sein de l'ancien parti unique au pouvoir a été déshabillée complètement lors de son arrivée sur le site, ses vêtements et ses chaussures ayant été confisqués  après la fouille lors de sont arrivée.


Des chaines sont placées aux poignets et chevilles de la détenue par sécurité.


La question de fournir des vêtements ou non à la prisonnière a été débattue au sein du staff pénitentiaire, l'opinion consistant à la traiter à égalité avec les hommes. Difficile d'imaginer ce que la prisonnière a pu ressentir en terme d'humiliation, surtout les premières heures quand elle a du parader nue  et pieds nus en direction de sa cellule dans les couloirs de la prison.



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Déshumaniser les femmes.



Forced nudity.





jeudi 16 septembre 2021

Condition de vie difficile en prison

Une prisonnière nue pieds nus et enchainée.
Nue et enchainée au cachot.

 

Une femme passe deux mois en confinement solitaire.



Après le 11 septembre 2001, il y a plus de 20 ans, en réponse à ces attaques, les Etats Unis ont lancer une série de campagne militaire et mener des opérations partout dans le monde. 

Ces guerres parfois menées par erreur ont entrainer des milliers d'arrestation et la création de centre d'interrogatoire et de prison secrètes partout dans le monde.


Le président Georges W Bush jr et son secrétaire à la défense ont autoriser l'armée, l'administration et les services de renseignements à utiliser des techniques d'interrogatoire renforcées souvent peu respectueuses des conventions de Geneve. 

L'administration US a aussi le droit d'arrêter n'importe quelle personne suspectée de liens avec le terrorisme ou de représenter une menace à la sécurité nationale.


En Irak ou l'Amérique a mener une guerre sous de faux prétextes, l'armée américaine a mis en place un système de détention ou des tas de civils ont été arrêtés par erreur et soumis à des conditions de détention compliquées.


Lina, 24 ans une jeune étudiante en droit est victime d'une erreur car son nom a été confondue avec celui de la soeur d'un responsable de l'armée de l'ancien régime.


Si elle n'a pas subie de torture physique, elle a connue une situation difficile et éprouvante pendent plus de 60 jours dans la célèbre prison d'Abou  Ghraib située près de Baghdad et tenue par l'armée US qui en a fait  un centre d'interrogatoire.

Elle témoigne de sa période d'incarcération de façon anonyme à un journaliste dont nous publions quelques extraits : 



- Journaliste : Pouvez vous parler un peu des conditions de votre détention ?


- Lina : J'étais la plupart du temps enfermée dans une petite cellule de deux mètres sur trois environs, parfois pendant plus de 23h sur 24, les sorties étaient possibles mais limitées en fonction des gardiens, certains étaient plus sympas que d'autre. 

Je dormais sur une natte posée sur un ban de pierre, je disposais d'un toilette turque rudimentaire un petit trou dans le sol avec deux repose pieds et c'est tout. La seule arrivée d'eau était un petit robinet qui ne fonctionnait pas tout le temps. 


- Concernant l'approvisionnement en nourriture et l'hygiène, pouvez vous en dire un peu plus ?

- Ils me remettaient tous les 15 jours une serviette, un savon, une brosse à dent et un tube de dentifrice, c'est très peu, et rien pour les périodes de cycles menstruels. 
Je mangeais une a deux fois par jours, c'était assez irrégulier, en général le matin et le soir, la qualité des repas étaient variables, le plus souvent c'était du riz avec deux oeufs et du poulet, une banane servie sur un plateau, parfois c'était simplement du pain ou de la soupe.

La cellule est sombre et pas très propre, seul une petite fenêtre donne accès à la lumière du soleil. 



- Comment étiez vous traitées ? avez vous vue des détenus maltraités , humiliées ou déshabillées ?


- Le soir j'entendais des cris et je voyais des hommes nus traversaient les couloirs de la prison escortées par des militaires. 


Dans cette prison la grande majorité des prisonniers hommes et femmes sont  gardés nus.


Quant à moi les américains m'ont interdit de porter des vêtements quasiment  pendant toute ma détention soit disant car il n'avaient pas d'uniforme pour les femmes et pour des raisons de sécurité . A l'arrivé ils nous ont fait une fouille à nu et ensuite ils ne  nous remettent aucun vêtements.


C'est très humiliant et ils n'ont aucun respect pour notre pudeur, j'ai du me déshabiller complètement devant des gardes hommes et femmes pour une inspection corporels de la tête aux pieds, puis rester nue en public et en cellule tout le temps.


Les militaires m'ont faite défilée et parader dans la prison avec une femme de 52 ans, nous étions totalement à poil et ils riaient et se moquaient de nous. J'ai du m'exhiber devant d'autres étudiants arrêtés, garder les mains sur la tête pour qu'ils puissent bien voir mes seins, mes fesses et ma chatte sans pouvoir rien cacher !

- Etiez vous suivis médicalement ?

Oui, durant la première semaine de détention j'ai eu droit à un examen médicale pour voir si j'étais en bonne santé, les américains imposent des tests de virginité aux prisonnières arrivantes, et les femmes sont régulièrement inspectées pour s'assurer qu'aucun sévices sexuelles n'est commis, les médecins insistent beaucoup sur les vagins et anus des détenues.

C'est par contre très humiliant et dégradant.



Voilà pour le témoignage et l'interview.




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