samedi 16 juillet 2022

Femme prisonnière et incident en rapport à la Nudité forcée

 

la nudité de la femme prisonnière.
Prisonnière nue pour l'inspection.

L'ordre de déshabiller les prisonnières.


En 2004, en Irak pendant la seconde guerre du golfe les Etats Unis ont ouvert  près de Baghdad dans le secteur d'Abou Ghraib l'une des prisons les plus dures et les plus redoutées ou sont détenues les personnes suspectées de liens avec l'ancien régime, le terrorisme ou de menacer la sécurité nationale US.


L'une des caractéristique qui choque plus est que les détenus sont gardés sans aucune vêtements pour l'immense majorité, y compris les femmes prisonnières. Un observateur de la Croix Rouge Internationale rapporte l'expérience de Yousra S, une jeune femme de 26 ans retenue en isolement sous le statut de prisonnière de "hautes valeur" par l'administration,  sans aucune inculpation , mais totalement arbitrairement  car son oncle est activement recherché par la coalition pour ses liens avec l'ancien régime.


Dans l'unité ou est gardée Yousra, les prisonniers doivent être complètement nus à tout moment, les femmes ne faisant pas exception et sont soumises aux même règles que les hommes. Yousra a donc été déshabillée et fouillée en arrivant et forcée de marcher nue dans les couloirs de la prison avant d'être placée totalement nue en cellule.


De plus les forces armées obligent les femmes à se dévêtir devant des hommes pour accroitre leur sentiment d'humiliation. En effet, Yousra est une femme musulmane arabe respectable, certes assez moderne, mais de culture très pudique et conservatrice. Elle n'a jamais porter de bikini en public et porte par respect des tradition le hijab, voile et de robes amples et pudique en présence d'étrangers lorsqu'elle sort dehors. Les responsables utilisent la nudité comme moyen de coercition psychologique pour soumettre et rendre docile plus efficacement.


La nudité est particulièrement dégradante pour les personne comme elle, mais après quelques semaines, vivre nue devient naturelle et habituel. Yousra n'a plus aucun problème et sa pudeur a comme disparue.


Liens :


Sévices en prison.



206 commentaires:

  1. Les caves de cité sont pleine de prisons clandestines où les dealers séquestrent à poil les mauvais payeurs..

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    1. Oui c'est vrai, aussi c'est un peu faire pour ça vue la façon général dont c'est agencé

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    2. Les caves alignées servent de cellules pour les prisonniers à poil. J'y suis passé pour une dette de shit..

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  2. J'y ai passé 48h avec deux autres mecs nus également, sans manger. C'était glacial et ça puait..

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    1. Oui et ce n'est pas que pour des dettes de shit.

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    2. Ça puait car on était enfermé à 3 mecs à poil dans une cave minuscule sans pouvoir nous laver et avec juste un seau pour nos besoins...

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    3. Ce n’est pas que pour les affaires de mauvais payeur. Parfois ceux qui refusent de payer le racket y passe aussi ainsi que les mecs avec des têtes de victimes les boloss, les mecs ayant mal regardé une fille,

      Quelque part c’est un peu les prisons des cités ces caves. Certaines caves étaient des centres de dressage.

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    4. Au fil du temps la bande à imposée un dressage systématique à tous les jeunes de la cité, une sorte de bizutage, de rite initiatique pour bien marquer son pouvoir .

      La règle voulait que tout les garçons du bloc d'immeuble et du lycée du quartier passe à un moment donné à la séquestration à poil dans les caves, même en l'absence de problème avec la bande. Mes deux frères y sont passés.

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    5. Les caves des cités étaient et sont des endroits isolés ou peu de gens osent aller.

      C'était pour punir et montrer l'exemple ,les victimes devaient en baver et surtout être humiliées et dégradées.

      Certains mecs étaient parfois dressés pour le plaisir et l'amusement de certains.

      Les mises à poil était la marque de fabrique , tu vois les victimes étaient misent nue systématiquement.

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    6. Des fois quand un mec se la racontait et que ça déplaisait à certains, ils le séquestrait pour le "dresser".

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    7. Les femmes aussi y passaient, une darne franco marocaine de 40 ans y est passée ...

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    8. Que penses-tu du dressage " préventif " des jeunes du quartier par les mecs de la bande ?

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    9. Le dressage permet de montrer qui domine et qui est dominé.

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    10. Ce qui est saisissant c'est son caractère systématique, comme un bizutage. Tout les jeunes du quartier y passaient.. Tu connais des cas comme ça ?

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    11. Les caves de l'immeuble abritaient un véritable camp de dressage..

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    12. J'ai été séquestré en 1992. Quelques mois plus tard le dressage systématique des jeunes du quartier se mettait en place. À cette époque le service militaire existait encore. La convocation systématique et méthodique des jeunes pour le dressage dans les caves ressemblait beaucoup à la conscription.

      En quelque sorte s'en était. La bande organisait la constitution d'une armée de soumis obéissant de leur âge, auxiliaire occasionnels et dociles du trafic de shit.

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  3. Pour les mecs de bandes rivales aussi. Pour eux il y avait un local de torture..

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  4. @Roddy
    Qu'est-il arrive à cette femme franco-marocaine ?
    Elle a du se sentir humiliée en présence des jeunes de la cité.

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    1. Elle a sans doute été renvoyée au bled pour trahison, et ce qui se passe dans les caves ne dure pas dès lors que la nana se soumet. Au bled, c'est la soumission totale aux hommes pour la vie

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    2. Ils sont aller la chercher chez elle un soir quand elle rentrait du travail. Elle était contre la main mise de la bande et du crimes organisé (rackette, car jacking, trafic en tout genre dont de shit, squat de certains appartement etc.) dans le quartier et elle se plaignait régulièrement à la mairie, au syndic, et a la police en pensant vivre dans un état de droit.

      Elle était bien foutue, sexy. Elle est passée par les caves, pour l'humiliation je pense que oui et il y avait des jeunes mais pas seulement, des anciens de 30 ou 40 ans dirigeaient les bandes.

      Elle a été transportées dans un autre immeuble et envoyée dans les caves. Elle s'est faite claquer en public et insulter de chienne, pute etc. Elle a été déshabiller, complètement à poil, il y avait des victimes séquestrées aussi, lors des mises à poil les mecs de la bande hurlent, cris, rigolent grassement , insultent crachent, certains frappent avec des bâtons sur le sol ou les murs et éventuellement sur la victime si elle se déshabille pas assez vite.

      La daronne a pris plusieurs coups de bâton dans les jambes pour avoir résister.

      Ils l'ont misent vraiment toute nue, ils lui ont même enlever et voler ses bijoux, elle était pieds nus, sa culotte aussi a été retirer.

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    3. Ça devait lui mettre la honte d'être déshabillée devant des jeunes. Si ça se trouve, c'est un jeune qui lui a enlevé sa culotte.

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    4. C'est elle sous la menace qui a retirer sa culotte qui s'est retrouvé a ses chevilles.

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    5. Ce n'était pas que des jeunes mais des vrai bandit qui humiliaient leurs victimes pour les terroriser et laisser des traces durable sans traces.

      Les slips ou les culottes étaient toujours enlevé. Il fallait montrer fesses, anus, bites, couilles à tout le monde , les filles et femmes aussi avec chatte à l'air.

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    6. C'était des pros bien organisé pour briser toute résistance.

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    7. Et après, les filles et les femmes, la chatte à l'air, elles avaient droit la chatte barbouillées avec un produit ?

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    8. Dans mon.quartier les jeunes dressés avait le pubis passé à la crème chantilly.

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    9. Et les filles, elles avaient droit à la crème chantilly sur la chatte aussi ?

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    10. "Les filles de putes" quelque soit l'âge étaient plaquées au sol sans ménagements à plusieurs reprises après leur mise à poil et vigoureusement bourrés par des mecs plus jeunes qui prouvaient leur virilité en envoyant des giclées de sperme ans le vagin.

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    11. Les filles dressées avaient la chatte passée à la chantilly.. Quand une mère de famille était dressée il arrivait qu'on demande à son fils de lécher..

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    12. Les mères de famille avaient le droit aussi à avoir la chatte passée à la chantilly ?

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    13. Oui. La chatte était rasée et passée à la chantilly. Parfois le fils de la femme devait lui lécher la chatte.

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    14. Ça devait être terrible ça, qu'un fils était obligé de lècher la chatte de sa mère, surtout avec la chantilly. C'était tout le temps comme ça ?Que les filles ou les femmes avaient la chatte passée à la chantilly ?
      Milky

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    15. Tout le temps.. Je l'ai subi...

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    16. Ma mère et moi avons été foutus à poil tout les deux. Un mec lui a tartiné la chatte de crème chantilly et j'ai du lécher.. Après ça nous n'arrivions plus à nous regarder en face elle et moi....

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    17. Punaise, vraiment dégueu ce qu'ils t'ont obligés à faire. Ta mère a été mise toute nue devant toi et je parie qu'ils lui ont arraché son slip ?
      Milky

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    18. Nous avons été mis tout nus ensemble devant les jeunes de la cité. Un mec lui a tartiné la chatte de crème chantilly et on m'a obligé à tout lécher...

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    19. Les mecs de la bande nous ont arraché nos vêtements avant de nous ballader à poil en triomphe dans la cité. Le tartinage à la chantilly à eu lieu après dans un local poubelle.

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    20. Punaise, toute la cité a vu le sexe de ta mère alors ?Quel âge avait-elle au moment des faits ?
      Milky

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    21. 44 ans. On a été promenés à poil tout les deux dans le quartier.

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    22. Avant de nous emmener dans le local poubelle pour la chantilly ma mère et moi avons été tondus sur tout le corps . ça c'est déroulé aux pieds d'un immeuble devant des gens qui rigolaient .

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    23. Super humiliant ça, voir sa mère se faire raser la schneck. Elle n'a pas eue droit à une fessée après ?
      Milky

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    24. Au doigtage par une fille...

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    25. Moi j'ai eu en plus la tête rasée..

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    26. J'espère que la fille quand elle a doigtée ta mère, n'avait pas les ongles longs.
      Milky

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    27. Non. Elle m'a touché l'anus aussi..elle à couchée avec ma mère après la Chantilly.. Un viol lesbien qu'on m'a obligé à regarder...

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    28. Très humiliant ça. Mais pourquoi ils ont mis ta mère à poil ?
      Milky

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    29. Parceque j'avais une dette de shit..

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    30. On a du tourner un porno underground tout les deux.....

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    31. Ça me rappelle il y a un petit moment déjà, une femme qui travaillait dans une agence immobilière , qui avait fait perdre une grosse vente d'appart ,que le directeur avait fait venir cette femme dans son bureau, et l'avait obligée à se mettre à poil et à lui mettre une sévère fessée. Ensuite elle est retournée travailler sans son slip que le directeur avait confisqué.
      Milky

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    32. Tu imagines la honte pour moi, forcé de tourner un porno avec ma propre mère ?..

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    33. Oui, j'imagine, vraiment horrible de tourner un porno avec sa propre mère. Ça aurait été avec une autre femme, passe encore, mais là. Mais quand ils ont rasés le sexe de ta mère, c'était juste devant le local poubelles à l'extérieur ?

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    34. Milky, C'était le bon temps, les employées par crainte de mise à poil, sinon de correction, obéissaient au doigt et et à l'oeil du pratron.

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    35. Tu le penses vraiment que c'était le bon temps ?Moi oui, et c'est dommage que ça n'existe plus, que ce serait des plaintes à tout bout de champs. Avant, une femme qui se faisait déculottée et fessée par le directeur était une chose normale, et quelquefois la chatte était tripotée après la fessée. Qu'elle soit mariée ou non, de 20 à 40 ans, ou même mère de famille, c'était la mise à poil directe dans le bureau du directeur, pour faute répétée, et personne ne trouvait rien à redire.
      Milky

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    36. Milky, Je te confirme que c'était vraiment le bon temps, le directeur était insensible aux demandes de la femme, c'est lui qui faisait règner sa loi. Après avoir entendu les éclats de voix du directeur, le silence, voir revenir la punie la robe entrant dans la raie des fesses, ce qui montrait que l'accès était libre, les yeux brillants toutes les collègues savaient ce qui venait de se passer et que la prochaine fois, ce serait pour elle...Et de plus, la nana devait avoir un slip dans son sac à main, parce que si monsieur était entré plus avec le ferme désir de la sauter et la trouvait cul nu, après la fessée directoriale, elle aurait droit à la raclée conjugale....Je rêve de ce temps

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    37. Eh oui, moi aussi je rêve de ce temps. J'imagine un peu la gêne de la femme dans le bureau du directeur, quand elle devait se déshabiller devant lui, quelquefois entièrement. Ou alors s'allonger sur les genoux du directeur, qui lui relevait sa jupe ou sa robe, puis lui baissait son slip pour lui mettre une bonne fessée. Ensuite il la faisait mettre debout devant lui pour la réprimander un peu plus, tout cela en lui ébouriffant les poils de sa chatte et des fois en tirant dessus, C'est sûr que quand elle retournait travailler, surtout sans son slip, elle devait être humiliée, et ses collègues savaient ce qui lui était arrivé, car un moment ou un autre, ce serait leur tour. Bon vieux temps.
      Milky

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    38. J'ai du prendre ma mère en levrette dans le local poubelle.. La vidéo à été diffusée par la bande ..

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  5. Dépaysement total, prisonnière au bled.
    A poil sous les ordres des hommes présents meme plus jeune qu'elle.
    A 40 ans présenter son cul de femelle pour être fouillée et enculée.

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    1. Au Bled c'est presque comme dans l'article.

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    2. Que penses-tu du système de dressage généralisé des jeunes du quartier ?

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    3. Ça dépend. Si c'est sur les femmes comme un genre de bizutage, c'est pas trop méchant, mais faut pas que ça aille trop loin.

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  6. Le dressage concernait tout les garçons du quartier, pour les soumettre à la loi de la bande. Mise à poil dans les caves et humiliation systématique.. Que penses-tu de cela ?

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  7. Pas du tout intéressant pour moi, je ne vois quel plaisir je pourrais en tirer, non, vraiment pas

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  8. Quand je pense que maintenant, les secrétaires qui se font frôler les fesses, il y a harcèlement sexuel, ça me fait rigoler. Alors qu'avant, une femme travaillant dans une banque, agence immobilière ou autre,si elle faisait une erreur, elle était convoquée dans le bureau du directeur qui la reprimandait, lui relevait sa jupe et lui baissait son slip pour l'allonger sur ses genoux et lui mettre une bonne fessée, là elle devenait plus attentive et n'allait pas se plaindre.Et même, quelquefois, il y a eu d'autres situations plus salaces. Triste époque que maintenant.
    Milky

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  9. C'est vrai, l'époque à bien changé.
    Quand j'ai commencé à travailler comme infirmière dans une petite clinique dans les années 80, les erreurs étaient sanctionnées à coup règles sur les fesses.
    Et celles qui refusaient les mains aux fesses des médecins ne passaient pas la période d'essai.
    Nelly

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    1. Nelly Est-ce que tu as déjà été fessée cul nu quand tu étais infirmière ?Ou que l'on t'as passé la main sur les fesses ?
      Milky

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    2. Il va sans dire que Nelly l' a vécu. Un bon coup de règle sur les fesses ,cul nu ou non cela ne devait pas faire du bien.

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  10. Nelly Eh oui, à cette époque-là, ça marchait comme ça et personne ne s'en plaignait. Et dans pas mal d'entreprise d'ailleurs. Les femmes étaient punies ou se faisait passer la main aux fesses. Le directeur était quelqu'un à qui on ne discutait pas les ordres.
    Milky

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    1. Tout à fait d'accord, le directeur était un mâle très viril, qui soumettait son personnel féminin. Comme déjà dit, en cas de faute ou d'erreur, les salariées étaient remises dans le droit chemin ce qui est de plus normal. Je ne désespère pas de revoir des femmes obligées de se dénuder à l'embauche, de se faire corriger lorsque cela est nécessaire.

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    2. Oui peut-être que ça reviendra ce temps là, mais je doute. Obligé des femmes à se mettre nues lors de l'embauche, ça doit être bien pour le directeur, et même qu'il leur mette de bonnes fessées, ce serait normal de revoir ce temps.
      Milky

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  11. J'ai été forcé de prendre ma mère en levrette dans le local poubelle... Le film à circulé..

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  12. C'était pareil dans certains grands magasins comme les nouvelles galeries.
    Pan pan cu cul pour les vendeuses selon les envies des supérieurs hiérarchiques.

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    1. Oui, femmes fessées cul nu par des supérieurs hiérarchiques, c'était le bon vieux temps et normal. Les fautes répétées des femmes, et c'était l'exhibition à poil dans le bureau du directeur qui leur faisait écarter les jambes pour bien distinguer leur chatte ,et même leur anus.
      Milky

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  13. Parfois séance de fouilles au corps humiliante pour les vendeuses suspectées de vol. Mise à poil et doigtees vagin et rectum.
    Puis fessées honteusement, la chatte humide, en travers des genoux du directeur.
    Nelly

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  14. Nelly Oui, quelquefois, elles étaient fessées devant tout le monde. Mais ça se passait le plus souvent dans le bureau du directeur. Et c'est lui-même qui faisait la fouille au corps, en faisant d'abord déshabiller la femme, puis en la doigtant après,couchée sur le bureau en étant sur le dos, jambes très écartées, car il pouvait à loisir lui doigter la chatte, tirer sur les poils pubiens,pincer les tétons.Ensuite,c'était la sévère fessée. Quand c'était fini, il confisquait le slip de la femme et elle retournait travailler. Le lendemain, il lui redonnait son slip, non sans avoir au préalable vérifié si elle en avait un. Si c'était le cas, il lui enlevait son autre slip, et lui disait de remettre celui de la veille, mais avant, il lui faisait mettre un pied sur un tabouret pour bien regarder sa chatte qui était un peu humide. Quelle chance ce directeur.
    Milky

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  15. Sans parler du droit de cuissage. Pipés sous le bureau, tripotage et baise. Forcée de retourner au travail avec encore du sperme chaud et collant sur les cuisses.

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    1. Pour le tripotage et la baise, je crois que ça existe encore. Mais avant, c'était plus des corrections, mise à poil avec humiliation, retourner au travail sans slip. Même pour être embauchée, une femme devait se mettre à poil.
      Milky

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  16. Tout était motif à convocation à la direction et punitions.
    La fille d'une employée a été embauchée un été. Surprise à voler un tube de rouge à lèvres, convoquée avec sa mère a la direction. Fouillée a nu toute les deux puis fessée l'une devant l'autre. Leurs culottes confisquées elles ont du revenir le soir les demander et recevoir une nouvelle fessée humiliante.

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    1. Et après cette nouvelle fessée humiliante, il leur est arrivé quoi ?
      Milky

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    2. Ce qui serait bien pour contextualiser, c'est de savoir les époques et les régions où cela se passe.

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  17. Forcée de sucer le chef de rayon chacune leur tour.
    La fille a du se présenter à la fouille pendant tout le temps de son contrat.

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  18. Si elle avait un contrat d'un an, il fallait qu'elle suce son chef tous les jours ?Il n'a pas essayé de la baiser ?Ou si elle faisait une erreur, de lui mettre une bonne fessée cul nu ?
    Milky

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  19. Ce qui est bien, c'est qu'elles se sont faites fessées l'une devant l'autre. Et j'approuve aussi que la mère a été déculottée devant sa fille et fessée, car elle pourrait être complice. En plus de la mise à poil,ce qui est tout à fait normal, et de sucer le chef de sa fille, je pense que celui-ci a dû la baiser après.
    Milky

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  20. Une maman est responsable des actes de sa progéniture même adulte.
    Et son cul doit en répondre.
    Le droit de cuissage était totalement normal entre une employee et son supérieur hiérarchique.
    Si une fautes est commise envers un client, celui-ci pouvait assister et participer lui aussi à la punition de la fautive.
    Nelly

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    1. C'est vrai qu'un client mécontent pouvait assister lui-même à la punition de la fautive, voire à la lui donner. Elle pouvait aussi être mise à poil devant le client qui avait le loisir de lui tripoter les seins et la chatte, même se faire sucer avant de lui mettre une bonne fessée et de la baiser après. Si une mère assistait à ça, ensuite c'était elle qui était mise à poil, fessée et baisée. Bien comme situation. D'accord avec moi, Nelly ?
      Milky

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  21. Absolument normal comme situation à l'époque.
    Et honte encore plus forte quand le client en question était une personne connue de l'employée, voisins ou amis. Et si celui-ci avait accusé à tort la pauvre malheureuse. Sa parole était supérieure la la sienne et et si elle protestant elle accusée de menteuse et punie doublement.
    Sourire de satisfaction sadique du client qui peut lui baisser lui même sa petite culotte et déguster ka vue de sa chatte poilue et odorante.

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  22. J'imagine un peu si c'est une connaissance, la jeune femme obligée de se laisser déculotter dans le bureau du directeur, qui lui-même la regarde se faire relever sa jupe et baisser son slip jusqu'aux chevilles, la honte pour elle, quand elle recroisera ce client qu'elle connaît, qui lui a vu ses fesses et sa chatte, ou qui l'a mise à poil, et qu'en plus, donné une bonne fessée, peut être même qu'après il lui a tripoté sa chatte, elle devait se sentir gênée et rougir jusqu'aux oreilles.
    Milky

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  23. Je pense qu'à cette époque là, les femmes employées avaient plus peur d'être mises à poil dans le bureau du directeur devant d'autres personnes ou simplement que le directeur. Elles craignaient plus ça que d'être fessées, car le seul fait de se déshabiller entièrement,de montrer leurs seins, les fesses et surtout la chatte, pour bien les contempler entièrement nues, avec en plus une hésitation au moment d'enlever le slip,ce à quoi le directeur mettait ses deux mains dans l'élastique du slip et n'hésitait pas à tirer dessus pour le craquer, ce qui fait que le slip était déchiré, pour cette raison qu'elle devait retourner au travail sans slip et qu'il fallait qu'elle en ai un de rechange dans son sac à main, si son mari venait la chercher et la baiser après le travail. S'il avait vu qu'elle n'avait pas de slip, il lui aurait posé des questions, surtout qu'elle a été aussi fessée par le directeur.
    Milky

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  24. Si la femme était mariée et que le mari apprenait que sa conduite avait obligé la direction à la punir elle devenait la honte de la famille. Il n'était pas raté qu'elle soit également déculottée et fouettée en présence du conseil de famille rt parfois même repudiee.
    Du coup sa condition précaire faisait d'elle une victime encore plus vulnérable pour la direction.
    Souvent convoquée mise à poil dans le bureau des secrétaire et longue attente mains sur la tête devant la porte du directeur.
    Fessee et baisée avant de pouvoir retourner à l'usine sans culotte ni sg.
    Nelly

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    1. Tout à fait Nelly. Déjà, l'employée subissait une sorte de bizutage, Car il fallait qu'elle se mette à poil devant le directeur pour être embauchée et voir comment elle était faite. Il faisait le tour de la femme en l'inspectant bien, lui touchant les seins, les fesses et la chatte en ébouriffant les poils, en lui expliquant le règlement. Qu'à chaque faute, elle serait punie par une fessée déculottée dans son bureau et pour les fautes plus importantes, elle sera mise à poil, fessée, et assise sur un fauteuil avec les cuisses écartées, pieds sur les accoudoirs, pour bien faire voir son sexe, et que même des collaborateurs ou clients, pourraient venir l'observer ou lui ouvrir la fente pour admirer l'entrée vaginale, et peut être y mettre un ou deux doigts. Si elle n'était pas d'accord avec tout ça, elle pouvait s'en aller, mais très peu refusait.
      Milky

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  25. Exactement, en entrant dans le bureau du directeur, il n'était pas rare de voir une employee dans cette position humiliante la chatte ouverte cuisses écartées, avec encore des marques rouges sur les fesses.
    Elle n'avait pas le droit de bouger et devait se lasser palper et doigter par le visiteur inconnu qui faisait des commentaires.
    Mêle les femmes enceinte pouvaient être punie de la sorte.
    Nelly

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    1. Ce qui aurait été bien, ça aurait été de punir la femme qui était déjà à poil cuisses écartées,qu'un visiteur inconnu lui passe sa chatte au cirage sous l'œil amusé du directeur. Je ne sais pas si ça se faisait dans les ces entreprises et que le directeur soit au courant de ces pratiques.
      Milky

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  26. Jamais entendu parler de cirage dans les entreprises.
    Parfois savon dans la bouche pour punir celles qui bavardent au lieu de travailler.
    Également un chevalet et un cheval d'arcon dans la salle des punitions. La fautive totalement dénudée, mise en position toute son intimité dévoilée aux regard et fouettée à la canne ou au martinet

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  27. Jamais entendu parler de cirage dans les entreprises.
    Parfois savon dans la bouche pour punir celles qui bavardent au lieu de travailler.
    Également un chevalet et un cheval d'arcon dans la salle des punitions. La fautive totalement dénudée, mise en position toute son intimité dévoilée aux regard et fouettée à la canne ou au martinet

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    1. Oui, assise sur un chevalet, entièrement nue, mains attachées dans le dos, et fouettée. La fente reposant bien sur l'arête pour qu'elle ressente bien la douleur dans toute sa chatte..Mais je préfère quand le directeur déculotte la fautive, lui donne une bonne fessée et l"expose à la vue de tout le monde, de sorte qu'elle montre bien son sexe qui peut être doigté et peut-être fisté par un visiteur.
      Milky

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    2. J'aurai bien voulu voir dans ce temps-là toutes ces femmes qui subissaient ces punitions. Déjà, rien que la mise à poil devant la porte du directeur, ça devait être quelque chose.
      Milky

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  28. Je préfère aussi
    Très troublant deculotage d'une femme mure en présence de témoin.
    Sa chatte à l'air, la honte dur son visage, essayant de protéger son intimité des regards..
    Puis penchée en avant, les fesses bien exposées et écartées à la vue de tous..
    Les larmes et les supplications lorsque les premières claques rougissent son cul nu.
    Nelly

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  29. Les secrétaires, assistantes, dactylo, étaient déculottées et fessée à la moindre faute. Il arrivait que l'on en voit certaines assises cul nue pour travailler. On savait qu'elles étaient punie.

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  30. Je préfère aussi une bonne déculottée suivie d'une bonne et humiliante fessée pour les assistantes, secrétaires et dactylo punies à la moindre faute.
    On voyait souvent l'une d'elle travailler assise cul nue, et en sanglots après avoir reçu la fessée.

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    1. Quelquefois, obligées de travailler fesses nues, bien sûr assises, et le soir, retourner dans le bureau du directeur pour récupérer son slip et recevoir une nouvelle fessée, quand ses collègues étaient parties.Lui faire écarter les cuisses, assise, pendant que le directeur finissait un dossier, pour pouvoir la regarder et la doigter, et peut-être se faire sucer et la baiser après.
      Milky

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  31. C'était une epoque ou la hiérarchie avait du sens et où nous les femmes savions être à notre place et assumer.
    Cette jeune assistante déculottée et fessée dans la salle de réunion devant tous les hommes présent parceque le café n'a pas été servi assez vite.
    Obligée ensuite de se mettre toute nue et à 4 pattes sur la table et se laisser traire les nichons doigter l'anus et la chatte, pendant toute la réunion.
    Nelly

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    1. Je crois que dans la salle de punitions, il devait y avoir une chaise gynécologique pour y attacher les fautives. Elles devaient s'allonger après s'être totalement déshabillées, ou qu'elles soient déshabillées par des tiers, pour pouvoir bien lui regarder sa chatte. Bien sûr, la fautive était allongée et sanglée,.Ceux qui voulaient pouvaient à loisir lui tripoter sa chatte, toucher les seins, voire la torturer un peu, comme lui enfoncer toute la main dans le vagin. Et les femmes enceintes, je crois qu'elles y avaient droit aussi. Assises et sanglées sur cette chaîse, le directeur disait de venir admirer le sexe d'une femme enceinte pour ceux qui en ont jamais vu. Le pied si c'était des jeunes garçons embauchés, de venir contempler le sexe d'une femme enceinte, et en plus qu'ils pouvaient la doigter. Belle époque.
      Milky

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  32. En principe, il y avait mise à poil pour l'embauche ou pour vraiment sanctionner des erreurs répétées. Dans ce dernier cas la fille restait dans le bureau et toute personne qui y entrait pouvait admirer et pouvait avoir droit à l'administration d'une fessée supplémentaire ou d'un bon coup de règle sur le cul provoquant un aïe de douleur et des trépignements de la fautive. Ces faits m'ont été racontés par mon père. J'aurai également aimé vivre cette belle époque.

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    1. Oui, moi aussi anonyme, vivre cette belle époque. Entré dans le bureau du directeur et voir une femme se mettre à poil, ou qui est déjà complètement à poil, et qu'après il l'a fait mettre à 4 pattes sur le bureau pour qu'elle montre au nouvel arrivant ses fesses, ses seins et surtout son sexe en lui ordonnant de bien écarter les cuisses,ça aurait été excitant. Surtout qu'après, il y avait une bonne fessée en prime. Ton père a dû être heureux s'il a vu cela.
      Milky

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  33. Ce qui aurait été bien aussi, mais je pense que ça a dû se faire, c'est d'amener une femme mûre fautive dans le bureau du directeur, qui aurait fait venir un jeune garçon apprenti de l'entreprise, a assisté à la punition de la secrétaire ou dactylo. Elle aurait eue un mouvement de recul en voyant le jeune de 18 ans déjà là. Bien sûr, le directeur lui aurait dit comme elle était punie, qu'il allait la déculotter devant lui et lui donner une bonne fessée.Ensuite elle sera entièrement déshabillée pour qu'elle montre son corps de femme mûre, et permettre au garçon de voir comment est faite une femme. Bien sûr, obligée d'accepter, elle a été déculottée devant le jeune puis fessée.Ensuite le directeur lui explique la suite des événements :bon, maintenant, je vais te déshabiller entièrement, mais je laisserai le privilège à ce jeune d'enlever ton soutien-gorge et ton slip, après tu iras t'asseoir sur le fauteuil, avec les pieds reposant sur les accoudoirs, de sorte à bien lui montrer ta vulve, car il faut qu'il sache ce que cache une femme. J'ouvrirai aussi ta fente pour qu'il voit bien l'intérieur. Il pourra aussi te tripoter les seins, toucher tes fesses, certainement quand il enlèvera ton slip,et tu le laissera faire, même s'il te met un ou deux doigts dans ta chatte. Il faut le desaler, et comme tu es punie, ça tombe bien, tu as intérêt à tout lui montrer. Qu'est-ce que ça aurait été le pied pour ce jeune, voir une femme mûre, toute nue, fessée, et obligée de tout montrer, jusqu'à l'intérieur de son vagin, le veinard.
    Milky

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  34. Ma mère a travaillé dans les années 50 dans une filature.
    Les ouvrières étaient payée à la pièce et si elle arrivait 15mn en retard la grille était fermée. Deux solutions soit repartir en larmes et perdre une journée de travail, soit accepter d'être punie.
    C'était le contremaître qui donnait la fessée cul nue la première fois et entièrement nue la seconde.
    Tout l'atelier voyait la retardataire revenir des bureaux en larmes et en se tenant les fesses cuisantes.
    Nelly

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    1. Ça devait bien l'exciter le contremaître de donner la fessée cul nu la 1ère fois, et entièrement nue à une femme retardataire.Est-ce qu'il faisait ça à toutes les femmes ou il y avait d"autres punitions plus poussées ?
      Milky

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  35. Ma mère était enceinte de moi, fatiguée elle a oublié de remplacer une bobine et la chaîne s'est arrêtée.
    Giflee par le contremaître elle a été emmenée à la direction.
    Le fils du directeur était présent, en stage pour apprendre à diriger une usine.
    Elle a du avouer sa faute et le directeur a confier le soin de la châtier par son fils de 18 ans.
    Penchée sur une table elle a senti les mains fébriles du jeune homme lui relever sa jupe. Encourage par son père, il lui a abaisse le slip aux chevilles puis lui a ôté et posé devant son visage..
    Elle a senti ses doigts passer dans sa raie des fesses offertent.
    Le directeur lui a donné le choix entre 15 coups de canne ou 100 vagues à la main. Il a choisi la main, et m'a mère à du compter les 5 séries de 20 claques sur ses fesses et ses cuisses nues.
    En larmes quand elle a pu se relever, elle a du se dénudée entièrement pour demander pardon et remercier le jeune homme.
    Elle a pensé qu'elle devait être la première femme enceinte nue s'il voyait. Elle a ferme les yeux quand elle a senti sa main empaumer sa vulve entre ses cuisses, puis caresser son ventre et palper ses seins dont il a pincer les mamelons. Il lui a dit "j'espère que cela ne se réduira plus, sinon ce sera la canne et je serait moins indulgent "
    Ma mete a pu regagner l'atelier sans culotte ni sg qui ont été confisqués et qu'elle a du aller réclamer au bureau du personnel a la fin de la journée .
    Nelly

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    1. Nelly Elle devait être jeune ta mère quand elle était enceinte de toi. Ça a dû la gêner quand ce jeune lui a relevé sa jupe, baissé son slip et enlevé.Surtout qu"a la fin de la punition, elle a dû se mettre entièrement nue pour se faire toucher les seins et la chatte sans rien dire. Je pense que ce n'est pas la 1ère ni la dernière a avoir subie cela. Mais c'était normal dans ce temps là.
      Milky

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  36. Ma mère avait 22 ans , c'était en 1961
    Enceinte de 7 mois elle avait déjà le ventre bien rond.
    Totalement rabaissée à la fois par la différence de classe sociale, la hiérarchie et se retrouver nue devant eux.
    Ils se sentait tout permis d'autant que ma mère était célibataire et que c'était mal vu.
    Nelly

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  37. Nelly Ta mère a dû être la tête de turc de ses patrons. C'est vrai qu'une femme enceinte était mal vu à ce moment-là. Le jeune a dû se régaler de déculotter ta mère, puis de lui toucher sa chatte. Comme c'était la 1ère fois qu'il voyait un sexe de femme enceinte, il a dû être excité. Ça se comprend, surtout qu'après il l'a vu toute nue. Donc, si je comprend bien la situation, tu n'as pas connu ton père, c'est ça ?
    Milky

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  38. Oui Milky, née de père inconnu et ma mère n'a jamais rien voulu me dire à ce sujet.
    Oui il s'est bien régalé et ma mère n'a pas été la seule ouvrière qui est passée entre ses mains.
    Ma mère m'a raconté qu'une collègue de 45ans est revenue de la direction en larmes et en se tenant les fesses. Elle a dit que c'était le fils du patron qui lui l'avait fouettée à la canne en présence de son contremaître qui c'était plaint de son travail.
    Nelly

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    1. Nelly La collègue de ta mère de 45 ans s'est aussi fait mettre à poil après avoir été fessée par le fils du directeur ?
      Milky

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    2. Je pense à une chose Nelly :c'est que la collègue de ta mère de 45 ans a dû se faire mettre entièrement nue par le fils du patron après l'avoir fessée à la canne. Et certainement pour l'humilier un peu plus,ce jeune avec la complicité du patron et du contremaître, a dû lui toucher la chatte, les seins, les fesses, car c'est une aubaine pour lui de voir une femme de cet âge là complètement nue, de pouvoir la tripoter, voire même lui ouvrir la fente pour bien voir l'intérieur de son vagin.
      Milky

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  39. Certainement oui. La honte pour elle aurait pu être sa mère.
    Il a aussi du l'humilier en la doigtant anus et vagin. Et peut être aussi en le suivant à genoux en guise de soumission à l'usine.

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    1. En le suivant à genoux dans toute l'usine, non je ne pense pas. Mais bien la regarder en prenant son temps, lui faire prendre sans doute des positions obscènes, pour bien voir sa chatte et se délecter de tout son corps. Et justement, comme elle pourrait être sa mère, voir cette femme nue l'excite et lui fait prendre conscience qu'il peut user de son corps comme il veut. Et sûrement qu'il n'a pas dû le faire qu'à celle-là.
      Milky

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  40. Effectivement, "en le suçant" était plus juste.
    L'usine était effectivement un réservoir important de victimes potentielles pour la direction patriarcale et paternaliste de l'époque
    Nelly

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  41. Nelly Est-ce que ça t'aurait derangé de subir ce qu'a subi ta mère ?
    Milky

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  42. Milky, personnellement non, j'ai été élevée dans le respect et la soumission à la hiérarchie.
    Et toi si a l'époque tu avais été directeur ou contremaître, aurais tu été sadiquecavec les ouvrières fautive?

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  43. Réponses
    1. En tout cas, ce que je peux te dire, Nelly, c'est qu'une ouvrière fautive, si j'avais été le directeur, elle aurait à la fessée complètement déculottée, jupe relevée et slip baissé. Mais simplement à la main, pas de canne ni de fouet. Après je l'aurai entièrement déshabillée, jusqu'à qu'elle soit complètement nue, pour pouvoir la tripoter, seins, fesses et chatte, ensuite je l'aurai exposé penchée sur une table, cuisses bien écartées pour bien voir son sexe, pendant que je finirai un dossier. Comment trouves-tu ?
      Milky

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    2. Il ne s'agissait pas de sadisme, mais de se faire respecter. L'une des méthodes était de faire mettre les femmes nues ou de les humilier en les faisant pleurer. Le chef était le chef et il se faisait respecter par tout moyen

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    3. C'est sûr que c'était une bonne méthode. Faire mettre les femmes toutes nues dans le bureau du chef, qu'il lui donnait aussi une bonne fessée, c'était un bon moyen d'humiliation. Mais je crois que surtout, au moment d'enlever le slip, c'est à ce moment-là qu'elle devait avoir un moment d'hésitation. Et certainement que c'est le chef lui-même qui devait lui baisser le slip et l'enlever. Quelle belle époque que c'était, que j'aurai sûrement aimé..
      Milky

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  44. Milky, je pense que cela est la meilleure méthode pour instaurer la discipline. Si j'avais été ouvrière dans ton usine je t'aurais respecté et accepté la sanction.
    Certainement très troublée et mouillee penchée sur la table en pénitence de façon si indécente. Et angoisse que quelqu'un entre dans le bureau.
    Le fait de recevoir la fessée déculottée en larmes m'aurait rappelé que je be suis la que pour obéir et travailler.
    Nelly

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    1. Nelly Je pense que mon récit a dû te faire mouiller ta petite culotte. C'est sûr que si tu avais été mon employée, je t'aurai mis une bonne fessée, ta jupe relevée et ton slip baissé d'un coup sec sur les mollets, une vingtaine de claques sur chaque fesse. Après cette fessée, j'aurai empaumer ta chatte, pour bien saisir tes lèvres et les secouer, puis tirer sur les poils de ta chatte. Ensuite je t'aurai entièrement déshabillée, une fois que tu je t'aurai mise toute nue, je t'aurai encore penchée sur le bureau, cuisses écartées, m'accroupir pour bien voir ta chounette, l'ouvrir pour y mettre deux ou trois doigts, et comme tu serais mouillée, y entrer ma bite pour bien te défoncer, et une fois que je t'aurai bien fait jouir, te laisser nue et assise sur un fauteuil pour que je vois bien mon sperme degouliné entre tes cuisses. Là, je sens que tu vas te toucher en lisant cela, que tu vas être toute mouillée, que ton slip va être trempé. Bises.
      Milky

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    2. On oublie un peu vite les paires de baffes flanquées bien sûr dans le bureau directorial devant des clients mécontents. Si la fille osait tenir tête, elle s'en prenait une autre, commençant à pleurer vu la douleur. Un autoritaire " à poil" était ordonné et arrivé au sous tif, la fille ralentissait espèrant que...mais un "enlève tout ou je déchire" était lancé. Le client était ravi du spectacle et s'il était accompagnée la joie de sa femme n'en était pas moindre.

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    3. Oui évidemment que si le client était accompagné de sa femme, elle devait être ravie de voir cette femme mise toute nue et fessée. Je crois que ça a dû arriver quelques fois qu'une femme soit punie devant une autre, et peut-être que c'est elle qui a déshabillée la femme fautive. Ça a dû aussi se faire qu'il y est une femme qui a dû avoir son soutien-gorge et son slip déchirés si elle ne voulait pas le faire elle même.
      Milky

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  45. Je pense aussi qu'il ne s'agissait pas de sadisme, mais simplement pour humilier les femmes employées fautives. La mise toute nue d'une femme était une chose normale, surtout si elle commettait des erreurs à répétition. C'est comme pour les interrogatoires, la femme est mise à poil pour la déstabiliser. Complètement nue, elle est pour la plupart plus coopérative. C'était pareil pour les femmes employées, et c'est pour cela que le chef les faisait mettre à poil, même qu'il s'agisse d'une femme mariée ou non, ou aussi enceinte, et même mère de famille, ou aussi ayant plus de 40 ans.
    Milky

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  46. Ma mère a été giflee par le contremaître en présence des autres ouvrière de l'atelier avant d'être envoyée au bureau du personnel.
    Elle se rappelle très bien les moqueries des secrétaires qui méprisaient les ouvrières.
    Une secrétaire de direction est entrée dans le bureau alors que ma mère était nue en larmes les fesses cramoisies les seins secoués de sanglots et essayant de protéger son intimité avec ses mains.
    Elle c'est prise une nouvelle paire de gifles avec ordre de farder les mains sur la tête et écarter les jambes.
    La secrétaire a pouffe de rire en disant que ça sentait la marée.
    Nelly

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  47. Ça arrivait aux nouvelles galeries. Vendeuse humiliée et punies devant des clientes bourgeoises sadique. Ravies de les voir en sanglots essayant de protéger leur pudeur avant de se faire arracher le slip et le sg puis devoir présenter leurs excuses dénudée dans le plus simple appareil.
    Des clientes hilares qui leur pincaient les mamelons et leur tiraient les poils pubiens

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  48. Une femme obligée de se mettre nue devant une autre se produisait dans les magasins d'habillement. La cliente mécontente se plaignait auprès de la responsable qui sur le champ obligeait la vendeuse à se mettre nue dans le magasin devant les autres clientes avant de l'emmener dans le bureau du gérant qui administrait une fessée magistrale et demandait à la cliente de faire comme lui, honte suprême pour la vendeuse de subir une punition donnée par une autre femme.

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  49. Certaines clientes habituées du magasin cherchaient de faux prétexte pour avoir le plaisir d'humiliation une vendeuse. L'une d'elle au rayon chaussure prenait plaisir à voir la vendeuse agenouillee à ses pieds et c'est plaint qu'elle lui avait fait mal au pieds. Elle l'a insultée et giflée en faisant un scandale. La pauvre vendeuse consciente que la cliente mentait c'est tout de même congondue en excuses.
    Le chef de rayon qui connaissait bien la cliente et ses goûts pervers à tiré la vendeuse par l'oreille jusqu'à la réserve en traversant le magasin, suivi de la cliente. Sous prétexte de ne pas froisser l'uniforme du magasin il a obligé la vendeuse à se mettre nue devant la cliente. La jeune mère de famille était en larmes en ôtant son sg et sa petite culotte.
    La cliente a pris beaucoup de plaisir à la fesser en travers de ses cuisses en la grondant comme une gamine. Elle a laissé un pourboire au chef de rayon en partant. La vendeuse a du subir une fouille intime humiliante du chef de rayon qui lui a confisqué ses sous vêtements. C'est nue sous l'uniforme qu'elle à du retourner au travail

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    1. Quelquefois c'était un client qui n'hésitait pas à déshabiller la vendeuse entraînée dans la remise par le chef de rayon. Lui même lui baissait son slip pour bien lui détailler sa chatte et faire des commentaires en tirant sur les poils pubiens. En plus si c'était une jeune mère, il lui donnait une bonne fessée et la doigtait après pour voir l'effet. Ce temps-là devait être super, car on pouvait faire ce qu'on voulait avec les employées, vendeuses, secrétaires, etc...Plusieurs erreurs, et c'était la mise à nue de la femme, en plus devant un étranger. Le directeur devait savoir comment étaient faites toutes ses employées, car beaucoup ont dûes y passer à tour de rôle.
      Milky

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  50. Ce qui aurait été bien, c'est qu'une employée dans un magasin de parfumerie aurait été convoquée pour la disparition d'un produit de maquillage. Emmenée à la direction, des questions lui seraient posées, et répondant par la négative, elle serait entièrement déshabillée,son soutien-gorge et son slip arrachés.Ensuite sa chatte aurait été passée au rouge à lèvres, après l'avoir assise sur une chaise, sa fente aurait été ouverte et du dissolvant pour ongles introduit dans son vagin, le flacon en entier vidé en elle. Bien sûr quand tout cela fait, avec en plus, une bonne fessée. Et aussi la doigter en lui badigeonnant tout le conduit vaginal jusqu'au col de l'utérus. La laisser ensuite sur un fauteuil, cuisses écartées, pieds sur les accoudoirs, pour bien voir couler le dissolvant de sa chatte si quelqu'un venait à entrer dans le bureau. Peut être que ça c'est fait, ou alors, ne sort que de mon imagination.
    Milky

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  51. Ce que je voudrai savoir Nelly, c'est que si tu avais été directrice d'un établissement, et moi ton employé, que j'aurai fait une bêtise, à quoi est-ce que j'aurai pu m'attendre?Dis-le comme tu le ressens.
    Milky

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  52. Milky. Dans un autre monde alors où il faudrait supposer que la vie des hommes dépende des femmes.
    Peut être que je n'aurais pas été meilleure et que je me livre à des comportements ordinaires.
    C'est bizarre d'imaginer ce type de société et cela me trouble.
    Ammene devant moi par la contremaitresse qui te baisse le pantalon et le slip.
    Je te prends et te presse les couilles en écoutant tes explications, puis je te branle la queue tout en te claquant les fesses en te faisant reciter le règlement intérieur qui est affiché devant toi, jusqu'à te voir ejaculer
    Je te fait mettre à poil et à 4 pattes et lecher ton sperme sur le parquet de mon bureau, ma règle métallique enfoncée dans ton anus..
    Pour terminer tu es mis au pilori dans le hall à poil et fouetté devant tout le personnel..
    Mais tout cela n'est qu'un rêve..
    Nelly

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    1. Peut être un rêve, Nelly, mais je serai à tes ordres, tu commanderai et j'obeirai. Ce que tu imagines n'est pas mal du tout, et ça m'excite de savoir que tu pourrais me faire ça en tant que maîtresse. Tu sais, c'est un juste des choses, dans notre société petit à petit, la femme prend le pouvoir, et ce n'est pas plus mal. Je suis pour l'égalité des sexes. Je m'agenouillerai devant toi en implorant ton pardon, mais comme c'est toi qui commandes, tu feras ce que tu voudras. Me pardonner ou me punir, c'est toi qui décideras de la sanction. Je m'en remettrai à ton bon vouloir. J'aurai peut-être un peu mal, mais je le supporterai, vu que ça vient de toi.
      Milky

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  53. Je trouve ça bien qu'on fasse mettre les employées toutes nues et qu'on les fesse après. Ça les recadre un peu.
    Milky

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  54. J'imagine bien la secrétaire d'un gynéco dans ce temps là, si elle faisait des erreurs, comment le gynéco devait la punir. En lui faisant prendre la pose sur la table gynéco, et defoncée par lui-même.
    Milky

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  55. Les dactylo que l'on appelaient "les petites dactylos" étaient les plus sujettes à punitions. Elles prenaient souvent en sténo assistent dur les genoux du chef de service. Elles étaient souvent réprimandees à la moindre faute. Leur feuille déchirée jupe relevée et petite culotte abaissée, fessées cul nue qui s'entendait dans tout le couloir. Puis elle devait recommencer cul nue les fesses cuisantes sur les genoux de leur chef avant de taper le courrier à ka machine toujours cul nue.
    Les chefs sadique mettait le paillasson à poil dur sur leur tabouret et elke devait s'assoir dessus..

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    1. Le paillasson à poil dur sur le tabouret ?Ça devait bien leur piquer les fesses, voir des moments, la chatte. Ça aurait été bien avec une brosse métallique, mais peut-être que ça c'est fait.
      Milky

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  56. Lorsque j'ai commencé à travailler en 1980, les secrétaires ne portaient pas de slip au travail, elles devaient le remettre aux chefs en arrivant. Cela permettait de les fesser sans prévenir et "d'avoir l'accès libre" pour les pénétrer. Elles avaient droit de conserver le slip pendant les règles , dont elles donnaient les dates, mais devaient mettre en tampon parce que le slip se retirait en cas de punition

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    1. Même sur les femmes mariées ça se faisait ?Qu'elles devaient retirer le slip en arrivant au travail ?
      Milky

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    2. Ah, parce que les secrétaires venaient au travail avec un slip et devaient le retirer et le remettre au chef dès en arrivant ?Elles étaient vraiment obligées de le faire ?
      Milky

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  57. Je pense que les petites dactylos ne devaient avoir pas plus de 20-25 ans. Est-ce qu'il y en avait de plus vieilles ?De 30-35 ans par exemple ?Elles devaient être aussi fessées déculottées, et voire peut-être plus comme punition. Et si elles étaient jeunes mamans, le paillasson à poils durs devaient être utilisé sur elles. Moi, je les aurai obligées à s'asseoir sur un gode à picots en la tenant par les hanches, et lentement à la faire descendre dessus jusqu'à temps qu'il soit entièrement rentré, et je leur dirais de continuer à travailler comme ça. Mais peut-être que cela s'est fait.
    Milky

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  58. Je confirme pour la remise du slip en arrivant. Le fait de travailler cul nue dous la jupe les rappelait à leur conditions de subalternes..
    Pour celles qui avaient leur règles il pouvait y avoir des contrôles, le chef tirait sur à ficelle du tampon ou abaissant la serviette hygiénique pour verifier leur etat, et gare à celles qui trichaient. C'était la fessée avec claque sur la vulve à la main et avec la brosse. Puis journée de travail à poil avec un ecritait " je suis malhonnete'
    Nelly

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  59. Les simples dactylo de plus de 25ans était rare d'autant que les femme pouvaient travailler très jeunes.
    Si cela arrivait c'est qu'elles étaient trop bêtes pour monter en grade.
    Dans ce cas traitée comme les jeunes honteuses par des chefs plus jeunes qu'elles.
    Bonne idée le gode à picots et la brosse mettalique mais je n'ai pas eu de témoignage à ce sujet.

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  60. C'est très intéressant de faire mettre une femme nue, surtout quand c'est son employée. Elle ne bronchait pas avant ,quand le chef les déshabillaient lui-même quelques fois.
    Milky

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  61. Certaines essayaient même de le charmer espérant une promotion. Parfois cela marchait, la promotion canapé était courante. D'autres pleuraient tellement honteuse et gênée de sentir les mains de leur chef sur leur corps.
    Se rebeller signifiait une punition plus sévère et le renvoi sans indemnité.
    Nelly

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  62. Ça devait être humiliant pour elle de se faire retirer le tampon pour voir si elles avaient vraiment leurs règles Si c'était le cas, la fessée avec la claque sur la vulve, douloureux pour elles. Mais enfin, c'était l'époque,toutes femmes étaient soumises à ce traitement.
    Milky

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  63. Ce que je voudrai bien savoir, c'est ce qui arrivait quand une femme se rebellait si le chef la caressait. Certainement qu'elle devait passer un sale quart d'heure, avec arrachage du slip, fessée et même peut-être plus d'humiliation.
    Milky

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  64. Le test des règles était effectivement très humiliant et dégradant.
    De même que les fouilles corporelles pour vérifier si les employées n'avaient rien volé. Certains vigiles en profitaient pour explorer longuement et profondément les cavités intimes.
    En cas de rébellion c'était certainement comme tu le décrit Milky. Parfois exposition au pilori nue dans la cours ou le hall de l'entreprise .
    Nelly

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  65. Le caressage des fesses et des seins étaient dans les moeurs des entreprises. Toutefois, il arrivait que le chef mette sa main directement dans le slip de la fille qui régissait. C'était le travail cul nu imposé avec vérification. Le chef venait dans le bureau ou le magasin et en présence des autres soulevait la jupe bien haut pour tout dégarnir, ou glissait sa main entre les cuisses jusqu'au minou et tripotait la punie qui avait intérêt à accepter, et à glousser devant se copines.

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  66. Et est-ce que les femmes mariées, ou même avec un enfant, avaient droit aux mêmes traitements que les femmes célibataires ?Est-ce que le chef les faisaient mettre aussi à poil ?
    Milky

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    1. Toutes les femmes devaient se mettre a poil. Les femmes mariées et (ou) mères avaient droit à des réflexions salaces lorsque le chef regardait le vagin du style "on s 'amuse bien à la maison" t'es pas une première main". La femme était honteuse et au lieu de se rebiffer n'en était que plus soumise pour garder son emploi

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    2. Si le chef faisaient mettre toutes les femmes nues nedevaitcertainementriendireàsonmari,il devait toutes les connaître, comment elles étaient faites. Une femme mariée mise à poil dans le bureau du chef, qui en plus lui detaillait sa chatte, ne devait rien dire à son mari, car ça ne concernait que l'entreprise.
      Milky

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    3. Comment le chef regardait le vagin d'une femme mariée ?Il lui ouvrait la fente avec la femme assise ou debout ?
      Milky

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  67. Les ouvrières qui avaient de grosses mamelles étaient souvent tripotées. Les nichons sorti du corsage passaient entre les mains du chef de service. Humiliation encore plus grande pour celles qui allataient quand du lait jaillissait. Rires gras des personnels présents y compris les autres femmes.

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  68. Super comme quoi les chefs pouvaient faire ce qu'ils voulaient
    Tripoter les femmes, les mettre à poil, leur donner une bonne fessée, et ce que j'aime le plus, les faire asseoir sur un paillasson à poils durs,ça devait bien leur piquer les fesses et même la chatte.
    Milky

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    1. Super punition, un paillasson découpé aux mesures du fond de la chaise dont les poils piquaient les cuisses, fesses et lèvres de la chatte, sinon un peu l'intérieur. Quelle bouge ou pas, la fille avait mal, pinçait ses lèvres pour limiter l'expression de sa douleur. Avec cette punition c'était la soumission totale, cela ferait du bien aux nanas actuelles.
      Papi

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    2. C'est sûr, comme vous dites Papi, ça leur ferait du bien aux nanas actuelles de subir ce genre de punition. Le slip enlevé et assises sur un tabouret avec un paillasson decoupé qui épouse l'assise de ce tabouret. Moi je les ferai pencher un peu en avant pour que le paillasson pique l'intérieur de la chatte. Ou alors prendre une petite brosse métallique et la mettre dans le slip de la fille, non sans avoir au préalable frotter un peu les lèvres de la vulve avec. Ça les rendrait dociles ce genre de punition.
      Milky

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  69. Les mères de famille comme les autres et même les femmes enceintes.
    Obligation de demander la permission pour aller aux toilettes. Les chefs sadiques voyant la femmes se tortiller en pressant la main contre son bas ventre refusait jusqu'à la voir en larmes passer dans sa culotte, une flaques odorante entre les jambes.
    D'autres les accompagnaient aux toilettes et surveillaient en laissant la porte grande ouverte.

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    1. Je pense que le chef en accompagnant la femme même mariée ou enceinte aux toilettes, devait lui-même relever sa jupe et baisser son slip pour l'asseoir sur les toilettes. Une fois qu'elle ait finie de faire pipi, il la regardait s'essuyer son intimité. Après il devait lui dire de rester la jupe relevée un moment pour bien voir sa chatte et lui ouvrir la fente pour regarder son vagin. Quoi de plus normal puisque le droit de cuissage existait, et la femme était soumise pour garder son emploi.
      Milky

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  70. Ce qui serait bien, c'est qu'une femme fautive et mariée,soit emmenée dans le sous-sol de l'entreprise. La laisser là, assise sur une chaise, jusqu'à temps de faire venir son mari. Une fois arrivé,accompagné de 2 vigiles et de 2 femmes, dans le sous-sol où se trouve sa femme assise et le chef puis le directeur. On explique la situation au mari :sa femme doit être punie et vous le mari, vous allez assisté à sa punition, c'est ça ou c'est la porte, et nous nous arrangerons pour qu'elle ne retrouve pas de travail. Résilié, le mari accepte et sur 1 signe du directeur, il voit un vigile et une femme s'approcher de sa femme, la lever de la chaise,et commencés à la déshabiller. La suite, je pense que Nelly aura plein d'idées, moi oui, et on verra si on tombe juste, lol.
    Milky

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  71. S'il y en a qui veulent vraiment la suite de cette femme punie devant son mari, qu'ils me le fassent savoir, mais je crois que ça fait un peu pervers, alors j'hésite.
    Milky

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  72. Ce n'est pas un déshabillage en douceur.. Le corsage et le sg sont arraches. Le mari se surprend à bander, ce que remarque une des femmes qui viens à côté de lui et pose sa mai sur sa braguette..
    Le vigile attache les poignets de la femme torse nue à une corde reliée à une poulie et la suspends, les pieds ne touchent plus le sol.. puis il arrache la jupe et la culotte.. elle se balance nue alors que le directeur approche et lui agrippe la chatte fournie en demandant au mari pourquoi il ne l'oblige pas à raser ses poils de guenon.
    Il caresse les fesses molles et gelatineuses en disant que c'est dommage de devoir abîmer ce joli corps..
    L'employée supplie son mari de la secourir, et voit avec horreur que la femme a sorti la verge de son mari et le branle..
    Le directeur lui demande son autorisation pour fouetter sa femme.
    Et elle l'entends répondre.. oui fouettez la cette chienne..
    Le vigile a du prendre des cours, il fouette avec précision.. la lanière sifle et s'enroule autour des cuisses, des hanches, du torse, s'abat sur les fesses le ventre, le dos, les mamelles..
    Elle crie, se balance indécente et voit son mari ejaculer de plaisir..
    Quand le fouet s'arrête elle bave, en larmes le corps strié de zèbres rouge sang..
    Elle sent qu'on lui attache les chevilles et que ses jambes ecartees.
    Suspendue la chatte ouverte et offerte.
    Le directeur allume un cigare.. approche et lui brume les teons le clitoris, pose son cigare contre son anus. Une des femmes est maintenant à genoux et suce le mari devant sa femme torturée. Sur un signe du directeur le vigile sort un sexe énorme et penetre l'employée qui hurle
    Nelly

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    1. Très bonne idée, Nelly, c'est exactement ce que j'avais pensé. Je vois que nos idées se rejoignent, à part peut-être le fouet, mais le cigare, ça c'est une bonne idée.
      Milky

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    2. Milky, la rentrée a eu lieu dans ma prépa vétérinaire et selon la rumeur le bizutage aura lieu cette semaine. On raconte que les bizuteurs viennent chercher les bizuts directement dans les salles de cours et les regroupent avant de les emmener dans un amphi. Là les bizuts reçoivent l'ordre de se déshabiller entièrement. La rumeur qui circule dit que les récalcitrants sont dévêtus de force et doivent s'exhiber sur une estrade. Je suis mort de trouille.. Je ne veux absolument pas subir le bizutage. Que peux-tu me conseiller de faire ou de dire pour y échapper ?..

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    3. Je flippe Milky. La date du bizutage se rapproche et je ne sais pas quoi faire pour y échapper. D'après ce qu'on raconte les bizuteurs viennent chercher les bizuts directement dans les salles de cours et les regroupent avant de les conduire dans un amphi. Là ils leur donnent l'ordre de se déshabiller entièrement.. Les récalcitrants sont dévêtus de force et contraints de s'exhiber sur une estrade. Que peux-tu me conseiller de dire ou faire pour y échapper ?.

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  73. Dans cave et suspendues, je trouve que le fouet s'impose.. il fait circuler le sang et met la victime en position d'esclave, de plus je suppose que le fouet rend le bourreau et les spectateurs très excite..
    L'esprit humain est vraiment très cruel

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  74. Une fois la femme levée de la chaise, le vigile et une des femmes commencent à la déshabiller tout en regardant le mari. Le vigile défait le corsage puis le retire, prend les 2 bretelles du soutien-gorge et le craque. L'autre femme caresse l'entrejambe du mari pendant que l'autre vigile lui tient les mains dans le dos.Sa femme a les seins à l'air, le vigile lui pince les tétons et les etire La femme a lié les mains dans le dos aidée du vigile .Ensuite sa jupe est degrafée puis enlevée.Son slip est arraché. Quand elle est complètement nue, ils l'installent sur un cheval de bois, assise, et que sa chatte touche l'arête coupante. Le directeur dit au mari :maintenant les choses sérieuses vont commencer ,et en s'adressant au mari :comme ta femme a fait des conneries dans l'entreprise, elle doit payer,et tu vas voir, si elle veut rester dans la boîte, elle va être bien humiliée devant toi.Et sur ce, le vigile prend la femme par les hanches et la fait aller et venir sur l'arête du cheval de bois. Ça lui coupe un peu les lèvres, donc il arrête un peu. L'autre femme a baissé le pantalon du mari qui bande en voyant la scène. Après la femme prend un briquet et l'allume.Elle l'approche de la chatte de la femme qui a une toison bien fournie et lui crâme un peu les poils. La femme hurle tellement ça lui brûle. On l'enlève du cheval de bois et ils l'entraine sur un fauteuil gyneco, cuisses écartées et sanglées. Là, le directeur dit au mari :avec ce que l'on va faire à ta femme, tu ne pourras plus la baiser pendant quelques temps. Le vigile s'approche et ouvre la fente de la femme, puis lui introduit de la harissa dans son vagin tout en faisant aller et venir ses doigts en elle. Là c'est insupportable pour la femme, déjà avec la coupure légère de son vagin, plus la sauce piquante par dessus et à l'intérieur, la brûlure est insupportable. Maintenant je pense que vous avez compris, lance le directeur au mari, mais la prochaine fois, elle aura pire.
    Milky

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  75. Ce que j'aime particulièrement et je pense que cela s'est réellement passé, les apprenties comme les jeunes dactylos ou dans des usines étaient souvent fessées déculottées, avec un regard appuyé sur leur sexe. Mais bien sûr, quand une femme mariée subissait la fessée avec une vision sur son sexe, je n'aurais pas détesté non plus.
    Milky

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  76. J'aime beaucoup ta version Milky. Très belle punition excitante.
    Je suis d'accord et je trouve très troublant les fessées déculottées des employées fautive.. honteuses de devoir exposer leurs sexes à leur chef et aux personnes présentes.
    Agenouillee sur leur chaise, penchée sur le dossier
    La jupe troussee et la petite culotte aux chevilles.. la main qui passe sur les fesses charnues, les doigts qui explorent la raie et glissent entre les cuisses cherchant à passer entre les lèvres sexuelles..
    Les claques sonores, sur les cuisses, sous les fesses rebondies et sur les globes qui rougissent..
    Puis mise en pénitence les seins sortis du corsage et assise sur le paillasson à poils durs
    Nelly

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    1. J'ai récemment lu un article sur les punitions en Angleterre dans les années 50.Des employées fautives en entreprise étaient punies plus sévèrement que chez nous. Le chef déculottait la femme dans son bureau, et avant de la fesser, lui passait les fesses à la moutarde. Il l'a laissé un petit moment comme ça, puis il ordonnait à la femme d'aller se laver les fesses car elles étaient déjà en feu. Et c'est en revenant que la femme était fessée, là, la douleur était insupportable. D'autres qui ne voulaient pas se laisser fesser ou toucher,le chef appelait un membre de l'entreprise qui tenait la femme les bras dans le dos, et le chef lui écartait les cuisses et lui badigeonnait son sexe à la moutarde. Après ça, elle se laissait fesser, car ça lui brûlait les lèvres, et le chef lui annonçait qu'il lui en mettrait dans son vagin si elle continuait à refuser la punition. Comme quoi, on n'a rien inventé dans les bizutages finalement, ça doit venir de là.
      Milky

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    2. Il y a plus d'un siècle, les femmes étaient fouettées nue et en public
      en Angleterre. Jusque dans les années 60, dans les établissements d'enseignement privés, les filles qui travaillaient mal ou se tenaient mal avaient droit à une série de coups de canne ou de martinet donnés par la directrice devant les autre élèves et elle était insensible aux cris et aux larmes. Celle ci ne s'arrêtait que lorsque les fesses étaient bien zébrées ou rouge comme des tomates.
      Papi

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  77. Que peux-tu me conseiller pour échapper au bizutage si les bizuteurs viennent nous chercher directement en cours Milky ?...

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    1. Aucune issue car les portes sont bien gardées.. pris comme un poisson dans une nasse..
      La seule façon de s'en sortir et d'accepter et jouer le jeu..
      Toute résistance ne peux qu'aggraver la situation et la rendre plus humiliantes et traumatisante
      Nelly

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    2. Oui Nelly, ce que tu dis est vrai, car pour le bizutage, toutes les issues sont bloquées. Je me souviens qu'à mon époque, deux filles avaient voulu s'échapper, mais elles avaient été rattrapées par des anciens, et ramenées dans l'amphi.Là, ça avait été pire pour elles, car elles ont été déshabillées vicieusement, soutien-gorge et slip arrachés, puis tenues les jambes écartées, la fente a été ouverte, et un tube entier de dentifrice vidé dans le vagin. Ensuite toute la chatte a été passée au dentifrice, et même les seins. Après exposition complète des deux filles sur l'estrade.
      Milky

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  78. Tu sais ce que je pense Nelly :c'est que tu aurais aimé subir ce que tu as décrit sur cette femme, ce qu'elle subirait devant son mari. Ça t'exciterait sûrement de te faire arracher le corsage, le soutien-gorge, après la jupe et le slip. Que tu sois entièrement nue pour te fouetter, te faire tirer les poils de ta chatte, puis te faire pénétrer sauvagement par le vigile. Je me trompe ?
    Milky

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  79. Évidemment oui, secrètement j'aimerais.. d'ailleurs je pense que les personnes hommes ou femmes, qui diraient le contraire sont des menteurs et hypocrites qui n'assument pas leurs pulsions.
    Nelly

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  80. Moi ce que j'aurai aimé, et peut-être que cela a dû se passer, c'est qu'une employée punie et mariée subisse la punition dans le bureau du chef. Il l'aurait fait s'agenouiller sur une chaise en lui lui disant d'écarter les genoux le plus possible, et se pencher sur le dossier de la chaise. Le chef lui aurait dit à ce moment-là :bien, maintenant tu vas me montrer ce que tu montres à ton mari. Alors il lui relève sa jupe sur le dos, puis passe ses mains dans l'élastique de son slip qu'il baisse d'un coup sec sur les genoux. Après il se penche pour bien voir son sexe en disant :tu as une belle chatte, et c'est normal que je la vois, comme ça ton mari n'est pas le seul à la connaître, mais voyons ton vagin maintenant. Et sur ce, il ouvre la fente de la femme qui rougit de honte, et lui dit qu'il a le droit de tout voir, et il risque un doigt dans son vagin. Maintenant passons à la punition, je vais donc te donner une bonne fessée, et la prochaine fois que tu fais une erreur, ce sera toute nue que je te mettrai, et j'explorerai mieux ton vagin. La femme soumise s'est donc laissée fesser en plus d'être doigtée ,en pleurant et en pensant à son mari, et peut-être que ce n'est pas la seule à avoir subi cela. Mais ça, c'est une autre histoire.
    Milky

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  81. Le bizutage à eu lieu Milky. Comme je le redoutais je me suis retrouvé à poil dans l'amphi.. Je suis rempli de colère et de honte..

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  82. Ça c'est passé comme le disait la rumeur. Les bizuteurs sont passés nous chercher directement dans les salles de cours et nous ont conduit dans un amphi . une fois tout les bizuts rassemblés les portes ont été verrouillées et l'ordre est tombé : tout le monde à poil, filles comme garçons..

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    1. Si c'est tout, c'est un peu gênant mais bon. Ça permet aussi de voir des filles à poil. Et ils n'ont pas été plus loin ?Par exemple, bites et chattes badigeonnés ?

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    2. Pour les mecs, ce n'est qu'un mauvais moment où il faut montrer bitte et couilles sans vouloir cacher quoi que ce soit., il y a pire dans la vie. Les filles, c'est autre chose, mettre ses nichons à l'air, sa chatte, ce n'est pas évident. Un mec pudique se fera enlever le boxer et peut être cirer sa queue, tandis que la minette gigottera pour conserver string et sous tif qui seront enlevés de force, versera des larmes qui ne feront qu'augmenter l'excitation des bizuteurs. Elle devra écarter les cuisses pour examen du vagin qui pourra être rempli d'une banane ou de harissa, bien malaxé à l'intérieur, larmes et cris assurés. Applaudissements et hilarité dans l'amphi, et à la récalcitrante suivante...
      Papi

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    3. Eh oui Papi, c'est un peu ça. A mon époque, et sûrement du vôtre aussi, les filles étaient bizutées très hard. C'était la mise à poil de force pour certaines récalcitrantes, soutien-gorge et slip arrachés. Tenues cuisses écartées, et du dentifrice était introduit dans le vagin et sur toute la chatte. D'autres, c'etait la chatte passée au cirage. Chacune leur tour avait le droit à ça, sous les applaudissements et l'hilarité de tout l'amphi.
      Milky

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    4. Nous avons dû monter un par un sur l'estrade, dos tourné au public et au signal des bizuteurs nous pencher en avant en écartant les fesses au maximum pour bien montrer notre anus. J'ai du le faire devant un amphi bondé...

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    5. Comme tout les garçons j'ai eu le pubis rasé par une fille de 2eme année. On devait monter sur l'estrade par groupe de 10 bizuts et mettre les mains sur la tête. On avait l'interdiction absolue de bouger. Une fille de 2 ème année équipée d'une bombe de mousse et d' un rasoir nous à rasé le pubis l'un après l'autre. Avant chaque rasage elle commençait par masturber le bizut pour le mettre en érection et faire rire les spectateurs. Moi elle m'a masturbé pendant un peu plus d'une minute..

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    6. Et les filles, elles avaient aussi la chatte rasée ?

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    7. Si ça se trouve les filles ont eues la chatte rasée par des mecs, et peut-être qu'elles ont été badigeonné ensuite.
      Milky

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    8. Oui. Une autre fille de deuxième année se chargeait de raser la chatte des filles. Elles aussi devaient monter par groupe de 10 sur une estrade et mettre les mains sur la tête pour le rasage des poils pubiens.
      À la place de la masturbation imposée au garçons les filles subissaient en public un véritable examen gynécologique par une bizuteuse appelée la " sage femme ".

      Les bizutes devaient monter l'une après l'autre sur le bureau du prof sur l'estrade , s'allonger nue face au public et subir un n test de virginité sous les rires des bizuteurs. La " sage femme " introduisait son doigt dans la chatte de la fille devant tout le monde et disait si elle était encore vierge ou non.

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    9. Et celles qui n'étaient pas vierges, il leur arrivait quoi ensuite ?Car je pense que ça ne devait pas s'arrêter qu'à l'examen du vagin. En principe, il y a une suite. Nous, c'était le passage de la chatte au cirage, mais je ne sais pas si ça se fait encore.
      Milky

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    10. Les filles vierges étaient huées et regroupée sur l'estrade. Un nombre équivalent de garçons étaient choisi parmi les bizuts et contraints de les rejoindre .les bizuteur formèrent des " couples " . les couples , moqués et sifflés par les bizuteurs et même par les autres bizuts étaient invités à " consommer leur mariage". En clair à coucher ensemble.. J'ai fait partie des garçons sortis du groupe et " marié" à une fille que je ne connaissais pas.

      Les bizuteurs nous ont conduit sous les rires et les insultes dans des salles transformées pour l'occasion en " chambre d'amour ". Un matelas était posé par terre pour le dépucelage des bizutes..

      La règle était simple , nous avions 20 minutes pour coucher ensemble, au bout de 20 minutes les bizuteurs entrait dans la pièce et la bizute était ramenée dans l'amphi pour contrôler qu'elle avait bien perdue sa virginité.. Si tel n'était pas le cas fille et garçon serait punis....

      Les bizuteurs nous distribuerent des préservatifs et nous firent entrer dans les chambres improvisées.

      La fille et moi savions que nous n'avions pas le choix. Nous avons échangé un regard et nous sommes aller en silence sur le matelas. J'avais envie de gerber tellement j'avais honte mais je me suis quand même allonger sur la fille et j'ai eu un rapport sexuel avec elle.
      Au bout de 20 minutes les bizuteurs sont venus la chercher ..

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  83. Petite fiction. Nelly Wagner vient d'avoir 37 ans, mariee et maman, elle est caissiere dans une superette à Metz en Moselle.
    Plutôt petite, 1m58, et potelée avec ses 62 kg, une belle poitrine 90D, qu'elle sait mettre en valeur avec des corsages décolletés, et une belle paire de fesses rondes moulées dans des jupes courtes qui laissent voir ses cuisses rondes gainés dans des collants chairs ou fumés.
    Sa coupe de cheveux au carré et sa paire de lunettes lui fait ressembler à Vera dans Scoobidoo.
    Ce jour là un client qu'elle reconnaît passe a sa caisse. Il s'agit de Milky.
    Milky en relisant son ticket de caisse constate une forte erreur de caisse.
    Il commence à s'énerver car il est pressé et doit attendre que le responsable du magasin vienne corriger l'erreur.
    Devant les clients qui s'impatientent, le responsable sermonne Nelly.
    "Madame Wagner, c'est la deuxième fois aujourd'hui, vous avez vos règles ou quoi?"
    Nelly est rouge de honte
    "Je suis confuse monsieur, cela ne se reproduira plus"
    Milky prends un air contrarié.. il plaisante en disant que cette erreur mériterait une petite fessée.
    Le responsable lui fait un sourire complice "Madame Wagner, vous passerez à mon bureau après votre service, cher monsieur, si vous etes disponible a 16h, vous serez le bienvenu."
    Nelly

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  84. A 16h Milky et le responsable attendent Nelly de pieds ferme Lorsqu'elle frappe et entre penaude, Milky la détaille de la tete au pieds.
    Son responsable la sermonne vertement alors que le client est confortablement installé dans un fauteuil.
    " Nelly vous vous rendez compte de votre annerie? Je n'ai que faire d'idiote comme vous. Je vous laisse choisir entre la porte ou la sanction disciplinaire. "
    Nelky est mère célibataire, elle sent les sanglots monter en présence de Milky qui visiblement se réjouis de la situation.
    "Oui monsieur je suis désolée je vous demande pardon cela ne se reproduira plus, s'il vous plaît ne me renvoyez pas."
    "Penchez vous sur mon bureau madame.. comme il faut.."
    Milky est aux premières loges. Il profite du spectacle des cuisses découvertes par la position.. les fesses tendues moulées dans la jupe d'uniforme tournées vers lui..
    Il bande alors que le patron degraffe la jupe et la baisse aux chevilles de Nelly, et découvre le postérieur encore protégé par les collants chairs et la petite culotte blanche en dentelle.
    Les premières claques s'abattent "qu'elle honte madame Wagner, m'obliger à vous punir comme une gamine, je vais vous apprendre à travailler correctement... " clac clac..
    Rouge de honte, Nelly entends son responsable demander au client si cela le dérange s'il abaisse les collants et la culotte de cette peronnelle. Puis la réponse réjouie " non bien entendu une fessée cela se donne sur le cul tout nu"
    "Vous avez entendu madame Wagner, je vais vous déculotter, baisser vos collants et votre petite culotte comme cela.. vous sentez l'air frais sur votre gros derrière.. vous savez tout ce que vous nous montrer à monsieur et à moi même, vous n'avez pas honte..."
    Clac clac clac la fessée reprends sur les fesses nues qui rougissent très vite. Nelly supplie et pleure à chaudes larmes..
    "Madame Wagner écarter les jambes et tenez vos fesses écartées en pénitence, "
    Effondrée Nelly obéis espérant en finir ai plus vite..
    Les deux hommes passent leurs mains sur les fesses écarlates et explorer la raie offerte.
    " est ce que la punition est suffisante cher monsieur ?"
    "Votre employee est un peu négligée.. regarder son anus tout moite, et en plus elle mouille la cochonne, et puis cette chatte poilue. Elle sent la crevette" il plonge ses doigts dans le vagin humide
    Le responsable fait de même..
    " vous avez raison, si son mari savait cela " " oui surtout que je le connais bien, n'est ce pas madame, qu'en penserait Patrice votre mari? Et votre petite Laura?"
    " non pitié j'ai honte... n'en parlez pas ..snif snif.."
    Le responsable relève Nelly en lui tirant l'oreille et la présente face à Milky..
    " mettez vous toute nue madame Wagner, et demandez pardon mains sur la tête. "
    Nelly retiré son gilet, son polo d'uniforme soutien gorge. Ses seins lourds sont secoués de sanglots.. mains sur la tête :" pardon monsieur"
    Nelly

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    1. Bien comme fiction. C'est marrant que tu aies choisi nos pseudos pour ce récit, mais en réalité, c'est quelque chose qui aurait pu se produire. Je ne vais pas te mentir, mais c'est un peu mon fantasme, surtout te voir te faire déculotter, te faire fesser, et moi bien sûr qui regarde, pour qu'ensuite je passe ma main dans ton entre-cuisses et je risque un doigt dans ton vagin, sachant même que tu sois mariée. Très excitant comme récit de fiction, mais doigter une femme mariée est dans mes fantasmes.
      Milky

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  85. Ce que j'aime aussi, c'est déculotter une femme, lui relever sa jupe et baisser son slip pour lui mettre une bonne fessée,couchée sur mes genoux. Après cela, je la relève et la fait mettre face à moi qui suis assis, et là je relève le devant de sa jupe que je lui fait tenir sur son ventre, pour qu'ensuite je baisse son slip pour découvrir sa chatte. Si elle a du poil, je lui prend à pleine main et je tire sur les poils de son sexe, pour la faire crier un peu. Après j'ouvre sa fente dont j'étire les lèvres vaginales à fond, car je veux voir l'intérieur de son vagin. Ensuite je glisse un ou deux doigts dedans pour bien la masturber, et la faire jouir après la fessée qu'elle vient de recevoir. Si ça se trouve, certains chefs ont agis de même avec les femmes employées.
    Milky

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  86. J'en suis persuadée. C'est très excitant
    Nelly

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  87. Oui c'est très excitant, surtout pour le chef qui donne la fessée à l'employée, après l'avoir déculottée. Même si elle est mariée, il n'en a rien à faire. Ça lui permet ensuite de bien voir son sexe, c'est pour ça qu'il lui baisse sa culotte jusqu'à ses chevilles et lui fait écarter les jambes, avec les mains sur la tête. Et aussi qu'il peut la tripoter à loisir. Moi aussi, ça m'exciterait tout ça, et je pense que toi aussi, mais tu serais du côté de la femme fessée et exhibée ,mais je crois que...hum !Lol

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  88. Dans un temps plus ancien, les femmes mises nues devant leur patron ou chef était une chose naturelle. Comme de se faire déshabiller par lui et être fessées, quoi de plus normal. Si le mari était au courant que sa femme se faisait déculotter et fesser, il ne disait rien car ça n'aurait pas servi à grand chose. Je pense qu'elle ne devait pas parler quand le chef la doigtait ou tirait sur les poils pubiens. Après tout, il était en droit de faire ce qu'il voulait avec une femme punie,de la déculotter, de la fesser, et de lui toucher son sexe, voire peut-être de la baiser. Heureuse époque.
    Milky

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  89. Le bizutage subi me dégoute Milky. Nous obliger à coucher avec les filles encore vierge est écoeurant. Quant penses tu ?..

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