lundi 12 mai 2025

L'humiliation et le dressage d'une nouvelle en pensionnat.

Humiliation hard en pensionnat de jeunes filles
Dressage sans pitié.

Élitisme et dressage en grande école.


Sainte-Clothilde, un pensionnat isolé dans les Alpes françaises, était un bastion de l’élite bourgeoise, où les filles de familles blanches et fortunées, héritières d’un conservatisme hautain, étaient formées à régner. Derrière les murs ornés de dorures, un système sadique prospérait : les nouvelles venues, surtout celles jugées « inférieures » par leur classe ou leur origine, étaient soumises à un rituel d’humiliations érotiques et cruelles. Les anciennes, dirigées par la cruelle Clémence, imposaient leur domination avec la complicité tacite de la direction, méprisant les « filles du peuple » et, plus encore, celles d’origine maghrébine ou africaine, même françaises de longue date.

Amira, 18 ans, boursière issue d’une famille modeste de Marseille, d’origine algérienne, venait d’arriver dans cet antre de privilèges. Elle rêvait d’ascension sociale, mais dès son premier jour, les regards des anciennes lui firent comprendre qu’elle n’était qu’une proie. Clémence, une brune au sourire venimeux, la toisa. « Une boursière », siffla-t-elle, le mot dégoulinant de mépris.

Le soir même, dans le dortoir éclairé par des chandelles, Clémence ordonna : « Déshabille-toi, lentement, sale petite Arabe. » Sous les rires des anciennes, Amira, tremblante, ôta sa robe, exposant sa peau mate. « Pas mal pour une moins-que-rien », railla une fille, tandis que Clémence lui pinçait les seins, arrachant un sursaut. « Ici, tu rampes, ou tu souffres. »

Les jours devinrent un enfer d’humiliations. Amira n’avait droit qu’à une tunique transparente, si courte qu’elle révélait ses cuisses, et devait marcher pieds nus sur le marbre glacé. Les corvées étaient son fardeau : elle servait les anciennes à table, ramassant leurs insultes – « Dépêche-toi, chienne ! » – tout en recevant des pincements sur les fesses ou les seins. Les douches étaient un calvaire : nue sous un jet d’eau froide, elle devait se savonner pendant que les anciennes la fixaient, certaines glissant des doigts sur son corps, l’une s’attardant sur son entrejambe, la forçant à se mordre les lèvres pour ne pas gémir.

Les fessées étaient quotidiennes. Pour une assiette mal lavée ou un regard jugé insolent, Amira était traînée dans une salle aux murs de pierre. « À quatre pattes, salope », ordonnait Clémence, un fouet en cuir à la main. Les coups claquaient sur ses fesses, chaque claque résonnant sous les rires. Parfois, après, une ancienne la forçait à rester dans cette position, lui pinçant les seins ou glissant un doigt entre ses lèvres intimes, riant de ses frissons. « Tu aimes ça, hein, pute du peuple ? »

Les « séances d’autocritique » étaient particulièrement humiliantes. Amira, nue, devait s’agenouiller devant les anciennes et réciter ses « fautes » : « Je suis une boursière indigne, une Arabe qui ne mérite pas d’être ici. » Chaque phrase jugée insuffisante valait une claque ou un pincement. Une fois, Clémence lui ordonna de se masturber devant elles, sous leurs regards moqueurs. « Montre-nous à quoi servent les filles comme toi », ricana-t-elle. Amira, rouge de honte, obéit, ses larmes coulées sous leurs insultes.

Les défis étaient incessants. Une nuit, on la força à ramper à travers le dortoir, un collier de cuir autour du cou, tirée par une laisse. Les anciennes jetaient des miettes sur son passage, criant : « Mange, chienne ! » Une autre fois, par une pluie battante, elles la firent marcher nue dans la cour, à quatre pattes, la boue collant à sa peau, tandis qu’elles riaient depuis les fenêtres. « Regardez la sauvage, elle est dans son élément ! »

Les « soirées de soumission », dans une crypte aux torches vacillantes, étaient le summum de la perversion. Amira, « l’exotique », était attachée par des rubans de soie, forcée de danser nue sur des musiques lancinantes. « Écarte les jambes, sale pute », ordonnait une ancienne, tandis qu’une autre lui pinçait les seins ou glissait un plumeau sur son corps, s’attardant sur ses zones sensibles. Un soir, Clémence lui banda les yeux et l’attacha à une chaise, laissant les anciennes, une à une, effleurer sa peau, pincer ses mamelons, ou caresser son entrejambe, murmurant des obscénités. « Devine qui te touche, petite traînée. »

Un autre défi la marqua profondément. On lui ordonna de ramper sous une table où les anciennes dînaient, nue, pour « divertir » leurs pieds. Elles la forçaient à lécher leurs chaussures ou à rester immobile pendant qu’elles pressaient leurs talons sur son dos, riant de sa soumission. Une ancienne, plus audacieuse, glissa un orteil entre ses cuisses, la faisant tressaillir sous leurs moqueries.

 

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Dressage des nouvelles. 

49 commentaires:

  1. Ça peut être comme ça dans les institutions. Regardez au lycée privé de Betharam dans les Pyrénées, toutes celles et tous ceux qui ont été violés. Je pense qu'il devait y avoir du bizutage là-dedans.
    Milky 2

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  2. Oui les élèves autant pervers et sadiques que les encadrant.
    C'est totalement vrai pour celles qui servaient de souffres douleurs et je pense que ce témoignage est véridique.
    Nelly

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    1. Je suis à peu certain que les filles devaient être mises à poil pour leur bizutage. Après, je ne sais pas s'il y avait plus.
      Milky 2

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  3. Une fois nues les filles doivent obéir à des ordres humiliants et degradants. Servir d'esclaves sexuelles.
    Exhiber leurs orifices, lecher les pieds, lecher la raie des fesses, se masturber, ramper.. etc..

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    1. Et je pense que c'est les mecs qui bizutaient les filles, mais je me trompe peut-être.
      Milky 2

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  4. Souvent les mecs bizutaient les filles. Ce sont des mecs qui m'ont bizutee.
    Et les filles bizutaient les mecs.. mais c'était pas général. Il m'est arrivé de bizuter des filles.
    Les idiotes croyaient que je serais plus douce avec elles mais c'était le contraire.
    En fait les garçons sont plus vicieux mais moins cruel que les filles
    Nelly

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    1. Je trouve que c'est plus jouissif que les mecs bizutent des filles, et des filles des mecs. Et il est vrai que les filles sont plus vicieuses quand elles bizutent d'autres filles. Surtout si elles le font devant le copain de la nana bizutée.
      Milky 2

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  5. Totalement,
    Le garçon qui m'a bizutée c'est contente de me passer ke bleu au pinceau délicatement contre la vulve et entre mes lèvres, jusqu'à l'anus sans trop forcer a l'entrée de mon vagin.
    Quand j'ai ensuite l'année suivante bizuté un autre fille, je n'ai pas pu m'empêcher de faire penetrer le pinceau profondément dans don vagin avec des mouvements de ca et viens, puis dans s son petit trou ensuite.
    Ça m'excitait de la voir pleurer
    Nelly

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    1. Et ce qui devait t'exciter, c'était de le faire devant son copain, en enfoncant bien le pinceau dans le vagin de la fille, c'est ça ?
      Milky 2

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  6. Oui en lui demandant si elle préférait la queue de son copain a poil également et qu'une autre fille faisait vander en le masturbait
    Nelly

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    1. Très excitant de badigeonner la chatte d'une nana devant son copain. Surtout quand on lui ouvre la fente devant lui, qu'on lui fait bien regarder comment on lui introduit le cirage liquide dans son vagin, et qu'ensuite toute sa vulve est frottée au cirage.
      Milky 2

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  7. Ce qui était excitant à faire, c'était de mettre une nana à poil à plusieurs devant son copain.
    Milky 2

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  8. Et se moquer des formes de la nzna si rôle était un peu ronde, de sa pilosité si elle était poilue... lui arracher des poils et les mettre dous le nez de don copain.. lui doigter le vagin et l'anus.. faire renifler son copain...
    Nelly

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  9. Le copain devait trembler si vous faisiez tout ça à sa nana. Mais vous le faisiez vraiment ?
    Milky 2

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  10. Non perso jamais vu, mais l'idée m'excite beaucoup
    Nelly

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    1. Et tu aurais aimé le faire sur une nana devant son copain ?La mettre à poil et plus après ?
      Milky 2

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  11. Ça arrivait souvent que les filles bizutées avait un petit copain bizuté également avec elle.. donc oui mise toute nue avec lui... mais pas de tortures, uniquement humiliations softs, et obligation de baiser en public

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    1. Qu'est-ce tu entends par humiliation soft ?
      Milky 2

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  12. Caresses, petite fessée, doigtage de vagin et anus, godes. Également gages humiliants, marcher a 4 pattes, ramper, sucer a genoux un garçon
    Nelly

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    1. Et passage au bleu de méthylène sur la chatte devant le copain ?
      Milky 2

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  13. Bien sur, totalement obligatoire pour toutes les bizutées.. avec normalement interdiction de nettoyer le bleu pendant un mois. Des controles pouvaient avoir lieu...
    Nelly

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    1. Elles devaient garder le bleu sur la chatte et dans le vagin ?Qui vérifiait si elles le gardaient ?Ça piquait pas à force ?
      Milky 2

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  14. Non le bleu ne pique pas et est même antiseptique.
    Chaque fille bizutee avait un tuteur pour l'année qui l'aidait, et il pouvait s'il voulait vérifier que sa pupille avait toujours du bleu sur la chatte. Beaucoup ne le faisait pas
    Nelly

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    1. Et si l'une d'elle, passée au bleu devant son copain l'enlevait, qu'est-ce qu'il lui arrivait ?
      Milky 2

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  15. Grosse fessee cul nue en public et rebadigeonage.
    Nelly

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    1. Et même devant son copain, si toutefois elle en avait un,elle était fessée cul nu et rebadigeonée ?Je pense que ça devait être pire la seconde fois.
      Milky 2

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  16. Oui bien sur, fessee a la main puis a la ceinture. La vulve rougies a la ceinture avant application du bleu avec un pinceau a poil dur
    Nelly

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    1. Et son copain était aussi présent la seconde fois ?Vous appliquiez le pinceau à poils durs jusque dans le vagin ?
      Milky 2

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  17. C'était plus excitant en présence du petit copain quand c'était possible
    Le pinceau forcé dans le vagin bien profondément et dans l'anus aussi.
    Très douloureux car pinceau rond et pointu gros diamètre..
    Plante comme un gode dégoulinant de bleu
    Nelly

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    1. Très bien la présence du copain quand sa nana est mise à poil, qu'il voit que vous enfonciez le pinceau rond et pointu dans le vagin et dans l'anus. Moi je l'aurai faite levée et marcher avec le pinceau rond et pointu enfoncé dans son vagin, dégoulinant de bleu sur les cuisses, d'abord devant son copain puis devant tout le monde. Mais c'est peut-être ce que vous avez fait, ce qui serait très bien d'ailleurs.
      Milky 2

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  18. Oui c'est arrivé, la fille devant marcher a 4 patte avec le pinceau dégoulinant dans l'anus avec fessee si elle le perdait..
    Autre gage, debour avec le pinceau dans le vagin.allant demander à un autre ancien de lui remettre du bleu
    Nelly

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    1. Mais c'était refait dans un endroit spécial ?Elle s'est déshabillée toute seule et c'est vous tous qui l'avez déshabillée avant de lui mettre une bonne fessée et de la repasser au bleu ?Vous ameniez aussi son copain ?
      Milky 2

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  19. Toujours au sous sol du foyer.
    Ça commençait par des paires de gifles pour qu'elle se mette a poil, et si elle hésitait, on l'a déshabillais.
    Si elle avait un petit copain il etait amené avec elle.
    On aimait aussi la faire ramper nue sur le sol et lecher nos baskets.
    Nelly

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    1. Ramené le petit copain avec elle, ça devait être quelque chose. En plus pour la voir se faire déshabiller et humilier
      Milky 2

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  20. A chaque fois pas très difficile, le petit copain en question venait dans la chambre du foyer de sa petite copine.
    On les cueillit tous les deux ensemble et on les conduisait au sous sol.. soit ils suivaient gentiment, soit c'était manu militari, vu qu'on était minimum a 4 contre 1, ils préféraient suivre malgré eux..
    Il est arrivé quelquefois que l'on soit obligés de mettre a poil la fille dans sa chambre et la prendre par les bras et kes chevilles pour la descendre.. s9n petit copain ayant comme nous la vision obcene des cuisses grande ouvertes et gesticulantes de sa nana
    Nelly

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    1. Il devait été humilier le petit copain de voir sa nana à poil tenue cuisses écartées pour la descendre. D'autant plus que tout le monde avait une vue sur sa chatte ouverte. Quand elle a été passée au bleu, ça devait être pire.
      Milky 2

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  21. La nana jambes écartées tenues en l'air par deux garçons, le dos souve du sol, et badigeonnée a la verticale, la bouteille de bleu versée sur sa chatte et dans son vagin, puis bien appliqué au pinceau pour la décourager de se nettoyer a nouveau.
    Elle subira des contrôle répétés, déculottée régulièrement pendant kes 3 prochains mois..
    A n'importe quelle heure dans sa chambre ou sue le campus
    Nelly

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    1. Si je comprend bien, le copain voyait tout ce qu'on faisait à sa nana ?Même le badigeonnage de sa chatte ?
      Milky 2

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  22. Quand il y avait son petit copain present avec elle, oui.
    Il voyait tout et pouvait même participer
    Nelly

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    1. Oui mais ça m'étonnerait qu'il ne soit pas choqué en voyant sa nana à poil et participerait à son bizutage.
      Milky 2

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  23. Tous n'était pas choqués.
    Certains prenait visiblement plaisir a participer, tout en faisant semblant d'y être obligé.
    Nelly

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    1. Ça les excitait donc de voir leur nana mise à poil et badigeonnée sur la chatte et dans le vagin ?
      Milky 2

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  24. Oui étonnement.. c'est assez pervers comme comportement.
    Certains bandaient, on leur passait la bite et les couilles au bleu aussi.
    Et on les forçait a baiser devant nous

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    1. Certains ne devaient pas pouvoir baiser leur copine, et peut-être qu'elles ne pouvaient pas jouir non plus.
      Milky 2

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  25. Oui c'est vrai. Quand il ne bandait pas, il y avait toujours un ancien qui se chargeait de baiser sa copine devant lui..
    Nelly

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    1. Alors là, le copain devait être dans un état terrible de voir sa nana se faire baiser devant lui. En plus si l'ancien arrivait à la faire jouir. Mais l'ancien devait avoir sa bite toute bleue non ?
      Milky 2

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  26. En ressortant du vagin et de l'anus de la fille oui elle avait déteint sur sa queue. Le copain honteux et humilié de ne pas avoir été capable de baiser sa copine.. et la voir jouir par un autre, c'était terrible pour lui
    Nelly

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    1. Je me demande si la nana est restée avec son copain après qu'elle a été baisée par un autre, en plus qu'il l'a fait jouir.D'après ce que j'ai compris, il l'a même sodomisée ?
      Milky 2

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  27. C'était très stressant pour le copain de voir sa nana se faire bizuter. Mais c'était l'époque et toutes les filles y passaient, petit copain ou pas, femme en reprise d'études, fille enceinte. Et ce qui est le plus bizarre, c'est quand une nana était bizutée devant son copain. Ça en excitait pas mal, même des filles aussi,allez savoir pourquoi.
    Milky 2

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