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Dressage sans pitié. |
Élitisme et dressage en grande école.
Sainte-Clothilde, un pensionnat isolé dans les Alpes françaises, était un bastion de l’élite bourgeoise, où les filles de familles blanches et fortunées, héritières d’un conservatisme hautain, étaient formées à régner. Derrière les murs ornés de dorures, un système sadique prospérait : les nouvelles venues, surtout celles jugées « inférieures » par leur classe ou leur origine, étaient soumises à un rituel d’humiliations érotiques et cruelles. Les anciennes, dirigées par la cruelle Clémence, imposaient leur domination avec la complicité tacite de la direction, méprisant les « filles du peuple » et, plus encore, celles d’origine maghrébine ou africaine, même françaises de longue date.
Amira, 18 ans, boursière issue d’une famille modeste de Marseille, d’origine algérienne, venait d’arriver dans cet antre de privilèges. Elle rêvait d’ascension sociale, mais dès son premier jour, les regards des anciennes lui firent comprendre qu’elle n’était qu’une proie. Clémence, une brune au sourire venimeux, la toisa. « Une boursière », siffla-t-elle, le mot dégoulinant de mépris.
Le soir même, dans le dortoir éclairé par des chandelles, Clémence ordonna : « Déshabille-toi, lentement, sale petite Arabe. » Sous les rires des anciennes, Amira, tremblante, ôta sa robe, exposant sa peau mate. « Pas mal pour une moins-que-rien », railla une fille, tandis que Clémence lui pinçait les seins, arrachant un sursaut. « Ici, tu rampes, ou tu souffres. »
Les jours devinrent un enfer d’humiliations. Amira n’avait droit qu’à une tunique transparente, si courte qu’elle révélait ses cuisses, et devait marcher pieds nus sur le marbre glacé. Les corvées étaient son fardeau : elle servait les anciennes à table, ramassant leurs insultes – « Dépêche-toi, chienne ! » – tout en recevant des pincements sur les fesses ou les seins. Les douches étaient un calvaire : nue sous un jet d’eau froide, elle devait se savonner pendant que les anciennes la fixaient, certaines glissant des doigts sur son corps, l’une s’attardant sur son entrejambe, la forçant à se mordre les lèvres pour ne pas gémir.
Les fessées étaient quotidiennes. Pour une assiette mal lavée ou un regard jugé insolent, Amira était traînée dans une salle aux murs de pierre. « À quatre pattes, salope », ordonnait Clémence, un fouet en cuir à la main. Les coups claquaient sur ses fesses, chaque claque résonnant sous les rires. Parfois, après, une ancienne la forçait à rester dans cette position, lui pinçant les seins ou glissant un doigt entre ses lèvres intimes, riant de ses frissons. « Tu aimes ça, hein, pute du peuple ? »
Les « séances d’autocritique » étaient particulièrement humiliantes. Amira, nue, devait s’agenouiller devant les anciennes et réciter ses « fautes » : « Je suis une boursière indigne, une Arabe qui ne mérite pas d’être ici. » Chaque phrase jugée insuffisante valait une claque ou un pincement. Une fois, Clémence lui ordonna de se masturber devant elles, sous leurs regards moqueurs. « Montre-nous à quoi servent les filles comme toi », ricana-t-elle. Amira, rouge de honte, obéit, ses larmes coulées sous leurs insultes.
Les défis étaient incessants. Une nuit, on la força à ramper à travers le dortoir, un collier de cuir autour du cou, tirée par une laisse. Les anciennes jetaient des miettes sur son passage, criant : « Mange, chienne ! » Une autre fois, par une pluie battante, elles la firent marcher nue dans la cour, à quatre pattes, la boue collant à sa peau, tandis qu’elles riaient depuis les fenêtres. « Regardez la sauvage, elle est dans son élément ! »
Les « soirées de soumission », dans une crypte aux torches vacillantes, étaient le summum de la perversion. Amira, « l’exotique », était attachée par des rubans de soie, forcée de danser nue sur des musiques lancinantes. « Écarte les jambes, sale pute », ordonnait une ancienne, tandis qu’une autre lui pinçait les seins ou glissait un plumeau sur son corps, s’attardant sur ses zones sensibles. Un soir, Clémence lui banda les yeux et l’attacha à une chaise, laissant les anciennes, une à une, effleurer sa peau, pincer ses mamelons, ou caresser son entrejambe, murmurant des obscénités. « Devine qui te touche, petite traînée. »
Un autre défi la marqua profondément. On lui ordonna de ramper sous une table où les anciennes dînaient, nue, pour « divertir » leurs pieds. Elles la forçaient à lécher leurs chaussures ou à rester immobile pendant qu’elles pressaient leurs talons sur son dos, riant de sa soumission. Une ancienne, plus audacieuse, glissa un orteil entre ses cuisses, la faisant tressaillir sous leurs moqueries.
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Ça peut être comme ça dans les institutions. Regardez au lycée privé de Betharam dans les Pyrénées, toutes celles et tous ceux qui ont été violés. Je pense qu'il devait y avoir du bizutage là-dedans.
RépondreSupprimerMilky 2
Oui les élèves autant pervers et sadiques que les encadrant.
RépondreSupprimerC'est totalement vrai pour celles qui servaient de souffres douleurs et je pense que ce témoignage est véridique.
Nelly
Je suis à peu certain que les filles devaient être mises à poil pour leur bizutage. Après, je ne sais pas s'il y avait plus.
SupprimerMilky 2
Une fois nues les filles doivent obéir à des ordres humiliants et degradants. Servir d'esclaves sexuelles.
RépondreSupprimerExhiber leurs orifices, lecher les pieds, lecher la raie des fesses, se masturber, ramper.. etc..