Jeux et asservissement sexuelles des nouvelles au pensionnat. |
Le bizutage des nouvelles dans un pensionnat pour jeunes femmes.
Dans cet foyer pour jeunes femme catholique, l'ordre et la hiérarchie sont très claires : les anciens asservissent les nouveaux. L'ordre mis en place par la terrible sœur Madelaine, une femme très cruelle et autoritaire qui gère ce pensionnat pour remettre les filles dans le droit chemin.
Les nouvelles sont les premières semaines quasiment réduit en esclavage par les anciennes; d'une part par respect des anciens, elles doivent enlever leurs vêtements devant eux, et s'occuper du ménage, de l'entretien, de la cuisine, mais il y a aussi ces séances de punitions et de dressage.
Les filles sont soumises à tout les jeux et toutes les fantaisies perverses des anciennes. Les filles doivent par exemple jouer à "saute mouton" ou plutôt "léchouille la chatte", pour faire conaissance, les nouvelles doivent faire toutes sortes de jeux humiliants et dégradants et avoir des rapports lesbiens en public.
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C'est ce que j'ai connue dans une institution catholique pour fillles, pas un fantasme mais la réalité..
RépondreSupprimerElodie
Les "bonnes soeurs" que j'ai rencontreé en institution catholique avaient toutes la moule en feu...
RépondreSupprimerElodie
Et il y avait bizutage dans ton institution catholique ?
SupprimerMilky 2
Les bonnes sœurs catholiques sont très souvent des dépravées sexuelles.
RépondreSupprimerOn parle beaucoup des prêtres pervers mais les bonnes sœurs sont pires encore.
Je pense que oui. Les bonnes sœurs doivent aimer bizuter les plus jeunes.Elles sont très perverses et quelquefois sadiques.
SupprimerMilky 2
Ce sont des salopes frustrées .. elles baisent les novices lors du bizutage .
RépondreSupprimerElodie
J'ai été en pensionnat de bonne sœurs entre 1976 et 1980.
RépondreSupprimerIl y avait du bizutage entre anciennes et nouvelles les sœurs laissait faire et hypocritement en profitait pour punir les nouvelles en les traitant de vicieuse et de perverse.
Leur but était surtout de "casser" les jeunes filles, et les rendre dociles.
j'y ai eu le pubis tondu...
SupprimerElodie
Et après, elles ne te font rien d'autre ?
SupprimerMilky 2
Pour les bonnes sœurs, punir les parties honteuses faisait partie des pénitences . L'épilation du pubis bien sur, la punie exposée et attachée, puis les coups de règle sur la vulve.
RépondreSupprimerJe n'ai pas de témoignage de passage au cirage ou autre
Des coups de règle sur la vulve ?Ça devait pas faire du bien ça. Je pense que ça a dû quand même se faire la vulve passée au cirage, surtout après les coups de règle.
SupprimerMilky 2
Si les bonnes sœurs voulaient punir les parties génitales des nouvelles, elles n'avaient qu'a passer la vulve au dentifrice en frottant bien avec une brosse à dents, ensuite bien ouvrir la fente pour introduire aussi le dentifrice dans le vagin. Là, ça aurait bien irriter les lèvres vaginales et brûler le vagin.
RépondreSupprimerRodgers
J'ai retendu parler d'une pommade pimentée appliquée dur le sexe des filles et des jeunes femmes par les sœurs souvent en présence d'un pretre
RépondreSupprimerÇa doit être du dolpic,pommade très chauffante. Appliquée sur le sexe des filles et des jeunes femmes, ça devait bien irriter les lèvres du vagin. Alors j'imagine dans le vagin.
SupprimerMilky 2
Certainement que des fois, ça devait être le prêtre lui même qui devait passer la pommade pimentée sur la chatte des filles ou des jeunes femmes. Et peut-être que lui, en introduisait dans le vagin. Ce qui serait tout à fait logique.
SupprimerMilky 2
Traitement recommandé pour celles qui avaient fauté et n'étaient plus vierge.. attachées sur le dos jambes relevées et écartées. Fouettée au sang sur les fesses et les cuisses puis pommadees vicieusement
RépondreSupprimerCertainement qu'elles sont bien pommadées dans le vagin et sur toute la chatte, pour qu'elles sentent bien comme ça chauffe.
SupprimerMilky 2
Comme du temps de l'inquisition, les prêtres interrogeait les femmes. Elle était déshabillées, mises à poil, et assises sur un cheval de bois. En tenant la femme par les hanches, il l'a faisait aller et venir dessus, de sorte que ça lui scie la chatte, car ils positionnaient la femme en ouvrant bien la fente, et en mettant bien les lèvres vaginales de chaque côté de l'arête coupante, de sorte qu'elle repose direct sur son entrée vaginale. C'est pour cela qu'en tenant la femme par les hanches, ils l'a faisait faire plusieurs avant et arrière.De cette manière, la femme avait le vagin coupé, mais elle ne mettait pas longtemps à parler.
SupprimerMilky 2
Les prêtres exorcistes sous prétexte de libérer les sois disant possedees, leur enfoncait un goupillon trempé dans l'eau bénite dans le vagin et dans l'anus..
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