samedi 3 septembre 2022

Prisonnière sans vêtements

 

Nudité forcée en prison.
Prisonnière nue et enchaînée en cellule.


Témoignage sur la nudité forcée en prison.


Après les révélations  médiatiques sur les sévices et les humiliations imposés aux prisonniers de guerre irakiens pendant la seconde guerre du golfe par les gardiens américains de la prison militaire d'Abou Ghraib à coté de Baghdad en 2003/2004. Parmi les victimes il figure aussi des femmes, soumises à l'obligation de rester nue et a divers traitements humiliants.

L'un des contractuel de l'armée  travaillant dans le centre de détention se souvient d'une prisonnière, une jeune femme d'environ 25 ans prénommée Salima, c'était une étudiante en journalisme que l'administration a fait arrêtée pour des articles jugés hostiles à la coalition.

Les responsables de la police militaires ont demander aux gardes d'appliquer des règles de sécurité maximum, d'appliquer les ordres sans se poser de questions et de considérer les femmes prisonnières comme des combattantes ennemies au même titre que les hommes.

La prisonnière lors de son arrivée était comme la majorité des irakiennes très couverte de la tête aux pieds, et portait un foulard (hijab/voile sur les cheveux), et la première chose qu'elle a été obligé de faire c'est d'enlever  son voile, ses chaussures et tout ses vêtements y compris la culotte devant des hommes et des femmes.

La nudité et le malaise qu'elle peut créer et générer chez les personnes culturellement pudique et conservatrice est utilisée par les forces américaines comme moyen de pression psychologique et de coercition. 

Si le processus veut que les détenus soient soumis a une fouille à nu très profonde intrusive et humiliante incluant pour les femmes un examen gynécologique très traumatisant. Les gardes ont obligé Salima a marcher entièrement nue, enchainée et menottée  les mains dans le dos jusque dans sa cellule d'isolement ou elle est attachée en permanence a un dispositif de retenue avec des chaines métalliques au cou et aux chevilles.

Les femmes sont gardées nues, misent à poil en arrivant. Une gardienne l'ayant "traitée" se souvient d'une jeune fille pudique et respectable qui a bien fait rigoler les américains. Quand elle a compris qu'elle allait devoir se dénuder complètement elle s'est mise à supplier de la laisser porter au moins une culotte et de quoi cacher sa poitrine. Alors que nos règles sont la nudité totale. Salima n'avait rien pour cacher ses seins, ni ses fesses, sa chatte ou ses pieds nus. Nous lui avons dit qu'ici il n'y avait pas de place pour la pudeur et qu'elle sera souvent à poil devant des hommes.

Lorsque nous faisons parader cette prisonnière nue devant les autres prisonniers nous en faisons un exemple pour leur montrer que nous sommes les patrons, que  nous les mettons à poil et sondons les chattes et les trous du cul des femmes.

Certes Salima est enchainée en permanence et elle est interdite de porter le moindre vêtement, mais on ne lui fait rien de mal; c'est le protocole que nos supérieurs nous demande d'appliquer sans discuter.


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2 commentaires:

  1. Ne pas oublier le passage à la douche
    Les prisonnières toutes nues, dos au mur. Un gardien avec un jet sous pression glace qui les arrose. Le jet s'écrase sur les seins, les ventres, les pubis, les cuisses, les visages
    Puis elles doivent se tourner, se pencher en avant et tenir leurs fesses écartées.. Le gardien vise la raie des fesses, l'anus..
    Sous le het glace sous pression les prisonnières se tortillent de douleurs sur le carrelage alors que le jet continue de les frappée.. elles sortent de la douche rouge comme des écrevisses.
    C'est le protocole, on ne lésiné pas avec l'hygiène en prison, et les musulmanes sont crado, c'est connu

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