dimanche 14 février 2021

Prison : une femme gardée nue

 

Une prisonnière honteuse se sent humiliée d'être intégralement nue en prison
Nudité forcée et humiliation d'une prisonnière pudique.

Incarcération, humiliation et nudité imposée.


Lors de son arrestation par l'armée dans une opération contre la rébellion, cette femme a découvert les joies de l'emprisonnement et de la nudité forcée.



Imaginez ce qu'une personne honorable et respectable comme Sonia sur la photo, une professeure respectée dans sa communauté d'origine, une personne qui pourrait être votre voisin, un homme d'Église ou de religion, un ami, un collègue de travail, votre ancien maire, etc. Et bien Sonia avant sa capture n'aurait jamais pu penser être soumise à la nudité forcée.

Elle est gradée prisonnière sans vêtements sous la surveillance de ses geôliers, et exposée ainsi sans possibilité de cacher son intimité.

Cette méthode de traitement des détenus hommes et femmes a pour but selon l'armée et les autorités qui on valider cette technique dans le but de démoraliser, déshumaniser, ramollir les prisonniers en vue des interrogatoires.

De plus garder nu les captifs permet d'exercer sur eux un contrôle psychologique, psychique et physique et de les humilier cruellement et de les dégrader.



Imaginez ce que la pauvre Sonia a dû ressentir quand elle a dû parader et marcher toute nue après la fouille à corps d'accueil en direction de sa cellule ou elle a été jetée à poil et forcer de rester ainsi plusieurs mois ?

Selon la doctrine militaire, les prisonniers lors de leur incarcération doivent subir une fouille à nu minutieuse. Puis selon leur profil, les risques qu'ils représentent. Et les personnes soupçonnées de détenir des informations importantes sont gardée à poil et les vêtements ne peuvent être donner qu'en cas de complete coopération, s'habiller n'est pas un droit dans ce type de prison, c'est une récompense.



La nudité dans les centres de détention militaire est donc normal du point de vue de l'administration, c'est une partie du processus et c'est pratiqué systématiquement.



Sonia par son métier et sa position sociale justifie totalement ce statut de détenue de haute valeur.



De plus, pour des raisons de sécurité, la nudité est imposée lors des fouilles qui sont très strictes et profondes, qui comprennent des examens des anus des prisonniers, et pour les femmes, leurs vagins sont aussi contrôlés.


Une procédure humiliante.



Sonia lors de son arrivée s'est vu donner l'ordre de vider le contenu de ses poches, de donner ses bijoux, sa montre, ses boucles d'oreilles, son argent liquide, ses cartes de crédits, ses papiers d'identité, ses lunettes et tous ses effets personnels qui sont confisqués et interdit en détention.



Sonia doit ensuite se déshabiller et des gardiens hommes sont présent pour accroître la pression sur la prisonnière. Elle doit obtempérer sous la menace d'être battue et de voir ses vêtements découpés et déchirés par les surveillants.



La direction du camp affirme qu'en cas de refus, la force est utilisée par les militaires. Sonia a donc dû se soumettre et faire un effeuillage public.



Comme beaucoup d'autre, elle s'est dénudé jusque aux sous-vêtements avant de supplier pour demander si elle pouvait au moins conserver la culotte et le soutien-gorge ?

On lui répond que les règles exigent la nudité totale. La prisonnière se retrouve à poil devant ses geôliers qui lui inspecte le corps dans tous les sens. Elle est fouillée de la tête aux pieds, les militaires fouillant même entre ses doigts de pieds pour s'assurer qu'elle ne cache rien.



Elle doit sautiller à poil et faire des exercices sportifs, s'accroupir nue et tousser fort pour voir si elle n'a rien de cacher dans le cul ou dans la chatte.



Elle a bien sur le droit à un doigt en profondeur dans l'anus et le vagin.



Elle est ensuite menottée les mains dans le dos et contrainte de marcher dans le plus simple à pareil jusque a sa cellule de deux mètres sur deux. Cette marche de la honte est très humiliante, on l'a forcé à s'exhiber à poil devant les autres prisonniers, dont certains devaient probablement la connaître, elle avait les fesses, la chatte et les seins à l'air sans possibilité de les couvrir.



Les prisonniers sont gardés nus en permanence et Sonia et les autres femmes n'y font pas exception. La nudité imposée fait partie de la punition. L'humiliation ressentie par la prisonnière qui sait qu'elle ne peut cacher aucune partie de son corps au regard des autres donne un fort sentiment de honte.



Sonia a passé 8 mois en tenue d'Eve avant d'être libérée.


Liens :


Briser l'ego des prisonniers.




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