dimanche 14 février 2021

Visite médicale collective au pensionnat de jeunes filles



Pas de place pour la pudeur et la timidité lors de la visite médicale du pensionnat de jeunes filles (a poil et c'est tout).
Les filles nues et alignées pour la visite médicale collective.


Nudité et discipline aux foyer pour jeunes femmes.

Les jeunes filles de 18 à 21 ans placées dans des instituts éducatifs sont soumises à des règles strictes qui n'ont pas évolué depuis plus de 50 ans au moins. Ce foyer accueille des jeunes filles ayant des problèmes familiaux qui compromettent leur éducation et donc leur avenir, l'institution est très traditionnel et inculque aux jeunes des valeurs l'ordre, d'autorité et de hiérarchie très strictes.

Le pensionnat organise chaque année une visite médicale obligatoire pour les pensionnaires.

Les filles doivent se réunir dans le gymnase de l'établissement et elles reçoivent de la part des éducatrices l'ordre de se déshabiller complètement. Il faut obéir, la pudeur et autres chichis n'ont pas de place lors des examens de santé.

La nudité totale n'est pas négociable, les jeunes femmes à examiner sont trop nombreuses et si chacune doit enlever ses vêtements que pour l'examen et les remettre ensuite, cela prend beaucoup trop de temps, c'est donc à poil, un point c'est tout, cette façon de concevoir les visites médicales de façon industrielle n'ont guère évoluer depuis les années 1960 alors que nous sommes en 2021. 
Les filles qui viennent d'arriver sont souvent encore un peu pudique et timide, mais les éducatrices sont très strictes, et se mettre à poil n'est pas discutable. 

Gare aux rebelles qui sont souvent misent à poil de force par les anciennes qui prennent du plaisir à les humilier en les forçant à danser toute nue. Deux à trois filles montraient des réticences à l'effeuillage, les anciennes ont en saisie une et lui on arracher ses chaussettes (car la visite se passe pieds nus), sa culotte et son soutien-gorge, par peur, les autres aussi se sont mises en tenue d'Eve.

Si une "fille pudique" par miracle échappe aux anciennes, ce sont les éducatrices qui se charge de les déshabiller, et en plus elles sont punies : interdiction de sortie, rédaction à présenter, et souvent elles reçoivent une fessée, car l'institution prévoit aussi dans son règlement intérieur des châtiments corporels.

Les nouvelles n'ont pour la plupart jamais été nues en publique, cette première épreuve n'est jamais facile car ici il n'y a aucun respect pour la pudeur. Les anciennes se mettent toutes nues sans réfléchir, elles, sont débarrassées de toutes gênes et sont très à l'aise à poil et n'ont plus de complexe vis-à-vis de leurs corps. 

Une fois prêtes, les filles sont alignées debout dans le gymnase, exposées totalement. Le médecin et l'infirmière passent auprès de chaque fille pour une brève auscultation, il contrôle les oreilles, la gorge, et le nez de chaque jeune. Ensuite plus difficile, l'examen du contrôle de la colonne pour s'assurer qu'aucune fille n'a de sciatique ou de problèmes dorsaux. 

Comme les filles sont à poil, se pencher et toucher ses orteils avec les mains est très impudique et expose les anus et les vulves des filles à tout le monde. C'est certains, qu'à ce genre de visite il ne vaut mieux pas être trop coincées.

Ensuite, les seins des jeunes filles sont palpés minutieusement. Les tétons de certaines pointent déjà, chauffées par la situation humiliante et embarrassante et en même temps amusante.

Ces visites permettent à certaines filles de devenir par la suite de vraies exhibitionnistes ou de les décoincer pour aller sans problèmes en vacance dans des camps naturiste.

Ensuite, une balance, de quoi mesurer, et une table médicale sont installés au milieu de la grande salle, chaque fille voit ses mensurations prises en public : tailles, poids, IMC (Indice de Masse Corporel), mais aussi tours de poitrines, de hanche, pointure, l'infirmière vérifie aussi les poils pubiens.

Ensuite, les pensionnaires sont invités à s'approcher de la table où elles doivent d'abord s'asseoir, le médecin écoute avec un stéthoscope leurs cœurs, leurs respirations. Puis allongée, chaque fille voit son ventre palper, le médecin ensuite l'a refait s'asseoir et lui fait un test de réflexes.

Le docteur contrôle les articulations, tests les réflexes de la plante des pieds, des genoux, des coudes, palpe les ganglions du cou. Les filles doivent aussi remuer leurs doigts de pieds et leur propreté est vérifiée.

Et pour finir, le docteur fait s'allonger la fille, lui fait écarter les cuisses et enfile une paire de gants en latex pour procéder à un examen gynécologique public. Les lèvres vaginales sont écartées, les clitoris décalottés.
Mais le cauchemar ne s'arrête pas là, les filles doivent ensuite se mettre à quatre pattes pour que le docteur leur prenne la température par voie anale.



Une jeune femme se prend un thermomètre dans les fesses par le docteur.
Prise de température anal à la visite médicale.


Chaque fille doit rester quelques minutes avec un thermomètre dans le cul.


Une fois que toutes les jeunes femmes sont passées, la visite est terminé et elles peuvent se rhabiller.


Ce rituel de la visite médicale à l'ancienne est jugé comme étant très important par la direction, car grâce à ça, les filles sont moins coincées et n'ont plus de pudeur, de plus, elles apprennent l'importance d'obéir aux médecins et que dans le domaine de la santé, il n'y a pas de place pour la pudibonderie.




Liens :




2 commentaires:

  1. N'hésitez pas a laisser des commentaires ça fait toujours plaisir.

    RépondreSupprimer
  2. Examen fondamental(à rendre obligatoire absolument) cela rend les femmes concernées plus proches encore les unes des autres elles sont mises entièrement à nues aussi bien physiquement que mentalement ce qui donne de la puissance au corps et forge le caractère la sante est la priorité absolue bien plus que la pudeur le corps doit être examine entièrement nue pour prévenir de tous soucis de sante éventuelle il est normal quelles soient obliges d'être entièrement nues

    RépondreSupprimer