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| Bizutage à l'ancienne en public. |
Soraya l'étudiante musulmane bizutée.
Dans certaines villes universitaires, le bizutage est une tradition faisant partie du patrimoine locale, dans une petite ville du sud ouest de la France, dont l'activité économique principal est en partie du à la présence de divers établissement universitaire supérieur (Université, IUT), école de commerce prestigieuse, écoles d'ingénieurs qui permette un afflux étudiant massif et au tourisme, et bien le bizutage fait partie du "folklore" officiel de la région.
Soraya, une jeune fille arabe et musulmane de 21 ans originaire de Paris s'est inscrite à l'IUT en BUT GACO (Bachelor Universitaire Technologique Gestion Administrative et Commerciale des Organisations) se savait pas que le bizutage était encore en vigueur ici, elle s'est donc présenter en cours lors des premières semaines couverte de la tête aux pieds avec son hijab (voile).
Les anciens du BDE en la voyant étaient très content, car ça fait une fille pudique à humilier, la majorité des filles de la région étant assez extraverties et en général peu couverte, dont la plupart pratique le topless à la plage vivent le bizutage comme un jeux, une sorte de "naked party".
La journée d'intégration étant obligatoire, les anciens ont forcer l'étudiante à se déshabiller complétement devant tout le monde dans l’amphithéâtre malgré ses pleurs et supplications.
La jeune fille ne doit rien cacher sous ses vêtements. La nudité doit être totale même les chaussures et chaussettes sont enlevés.
La pudeur n'a pas sa place, Soroya doit être "dressée" et "endurcie" et apprendre qu'ici les filles se découvrent, et que les pratiques religieuses obscurantistes n'ont pas leur place, et le bizutage sert à ça, les filles doivent pouvoir aller à la plage nudiste ou du moins en topless, porter des vêtements serrés et court.
"Il faut qu'elle parade toute nue dans le centre ville" ricanent les anciens, elle va faire une balade à poil et pieds nus devant les touristes.
Lien :
Revus des anus pendant le bizutage.
Ceci ressemble un peu à une marche de la honte. Je pense que certains touristes ne se gênaient pas pour la regarder, voire même la toucher un peu. Déjà, la vue de ses fesses, de ses seins et de sa chatte devaient être l'attraction du moment.
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Maintenant qu'il y a des femmes dans l'armée, ce serait génial qu'elles connaissent la mise à l'air, avec ensuite la chatte passée au cirage.
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Et parcours du combattant à poil
RépondreSupprimerÇa se faisait quand les étudiantes étaient promenées à poil. Ce qui serait bien aussi, ce serait les patineuse qui seraient la chatte à l'air. Une ancienne patineuse m'avait confié un jour,il y a un moment de cela, qu'il y avait du bizutage chez les patineuses.Son entraineuse de l'époque, avait réuni tout le monde, filles comme garçons et même entraîneurs hommes sur le bord de la patinoire .Quand ce beau monde a été réuni, son entraineuse l'a déshabillée, allant aussi jusqu'à lui enlever son slip. Une fois qu'elle a été toute nue, elle lui a demandé de mettre des patins pour aller sur la glace. Comme elle a refusé, sur un signe de l'entraineuse, un homme s'est emparée d'elle, l'amenant vers un banc ou l'homme s'est assis dessus, l'a couchée sur ses genoux et lui a donné une bonne fessée. Ensuite ,un sceau à glace a été ramené, et elle a été assise dessus, avec des glaçons a raz bord du seau. Ce qui fait que sa chatte et ses fesses étaient en contact. Son entraineuse lui a dit :"C'est pour calmer la chaleur de tes fesses, après la fessée que tu as reçue. Par contre, ça va bien chauffer ta minette".Je ne sais pas si c'était vrai, mais je trouve que c'était un bon bizutage, excitant comme il se doit. Au fait, au moment des faits, elle m'a dit qu'elle était juste majeure.
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Les humiliations destinées à asservir étaient fréquentes dans le milieu sportifs.
RépondreSupprimerUne amie qui était gymnaste dans les années 90 a témoigné que les filles qui n'étaient pas au niveau étaient dénudées et fessées. Elles devaient recommencer encouragées avec une cravache par l'entraîneur qui visait les parties du corps qui ne se verraient pas sous le body lors des compétitions.
Fesses en evitant les cuisses, anus, chatte, ventre, seins.
Pourtant sur la chatte, ça ne se voit pas si elle prend juste un petit coup de cravache. Le mieux, c'est avec le plat de la main, lui tapoter juste les lèvres, juste ce qu'il faut pour qu'elle ressente une petite douleur. Avec le body, ça ne se verrait pas.
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Et que dire de ce prof de violon qui punissait les fausses notes de ses élèves en la faisant jouer cul nue et en passant son archet entre les cuisses de la mauvaise élève. Le crin glissant entre les lèvres de la fille lui arrachait des cris strident du plus bel effet
RépondreSupprimerÇa devait bien l'irriter le crin entre les lèvres vaginales. Ce prof devait être sacrément vicieux pour faire ça à la fille. Mais il aurait très bien pu prendre une brosse métallique pour lui frotter les lèvres avec. Là, ça aurait été autre chose.
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Et cet autre prof de piano, pour des fausses notes à répétition,relevait la jupe de la fille, baissait son slip, et la faisait asseoir sur un paillasson à poils durs.La fille grimaçait sur son siège, car les poils durs lui piquaient les fesses, les cuisses,et irritaient sa chatte. Le pire, c'était quand le prof la prenait par les hanches, et faisait bouger la fille d'avant en arrière et de droites à gauche sur le paillasson.La fille hurlait car les poils du paillasson lui rentraient par moment dans sa chatte. Le prof l'a laissé un long moment assise sur ce paillasson. Elle avait la chatte en feu et bien irritée.
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Le supplice du paillasson à poil dur était rependu dans les années 50.
RépondreSupprimerDes employeurs l'utilisait avec des dactylos qui faisait des fautes d'orthographe. La jeune femme troussee et déculottée assise sur le paillasson. De la même façon prise par les hanches et la vulve frottee à chaque faute ou hésitation
Et les employeurs ne se gênaient pas pour bien faire aller et venir la fille par les hanches,de sorte qu'elle ait sa vulve bien irritée. Surtout qu'à ça, était associée une bonne fessée, bien sûr troussée et déculottée. La fille subissait ensuite la punition du paillasson, assise sur les poils durs. M'étonnerait qu'elle continuerait à faire des fautes d'orthographe.
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J'imagine bien l'état de la vulve de la jeune femme, quand l'employeur la prenait par les hanches et la faisait aller et venir sur les poils durs du paillasson. Elle devait avoir la vulve bien irritée, voire un peu écorchée par endroits. En somme, très excitant pour l'employeur de lui faire ça. Et même pour moi. C'est mon avis, et je ne sais pas s'il y en a qui le partage.
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Et peut-être que, dans ces années 70-80, où le bizutage était de mise et que les employeurs avaient les pleins pouvoirs pour punir une employée étourdie, peut-être que l'employeur ayant convoqué l'employée dans son bureau, l'avait sermonné, ensuite lui avait relevé sa jupe, baissé sa culotte, et lui administré une sévère fessée cul nu. Et peut-être qu'après pour la punir plus, il a fini de lui enlever sa jupe et sa culotte, ce qui fait qu'elle avait tout le bas-ventre à l'air, pour qu'ensuite il prenne une boîte de cirage et enduit la chatte de son employée au cirage. Après, qu'il la laisse retourner travailler avec la chatte pleine de cirage sous sa jupe. L'employeur ayant gardé sa culotte, qu'elle ne pourra remettre qu'à la fin de son travail. Ça, je ne sais pas.
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Lorsqu'une dactylo était punie, fessée penchée a côté de sa machine à écrire , elle restait ensuite troussee et cul nue assise sur le paillasson. Sa culotte était conservée par le chef de service et elle devait venir la réclamer avant de quitter le service.
RépondreSupprimerLe protocole était le suivant : Elle devait relever sa jupe devant l'assistante du chef de service et demander à haute voix d'être reçue pour récupérer sa culotte.
Souvent le chef de service était en rendez vous avec un client totalement ravi de voir cette jeune femme cul nue entrer dans le bureau.
Le chef de service examinant l'état des marques sur les fesses nues crispée et la vulve.
Souvent il redonnait une fessée humiliante en travers de ses genoux.
Certainement que le chef de service quand il examinait l'état des fesses de la dactylo, il devait faire des commentaires salaces, avec en plus qu'il lui regardait la vulve. Est-ce qu'il y a glissé ses doigts ?Sûrement que ça a dû arriver à certaines. En plus qu'après il lui a remis une fessée en travers de ses genoux. Après tout ça, il a fallu qu'elle redemandé sa culotte. Très humiliant pour elle.
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Absolument, les picots du paillasson laisse des marques délicieuses à parcourir sur la peau des fesses tendres et des cuisses de la jeune femme qui ne pouvait se soustraire aux attouchements humiliants.
RépondreSupprimerCommentaires également sur la discipline nécessaires pour les employées négligences.
Le client était souvent invité à examiner de lui même. Il reniflait ses doigts qui venait de se glisser dans son vagin la traitant de vicieuse petite cochonne.
Le chef de service ajoutait que c'était une honte pour une mère de famille.
Les picots du paillasson devaient aussi lui piquer les lèvres tendres de sa chatte. Le client devait s'en apercevoir quand il lui glissait un ou deux doigts dans son vagin .Le chef de service ne devait pas être en reste non plus pour bien regarder sa chatte.
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Si la dactylo était mariée, le chef de service ne se gênait même pas pour lui relever sa jupe, lui baisser son slip, pour lui donner une bonne fessée. Ensuite, il devait lui faire un commentaire salace :"Ce n'est pas parce que tu es mariée que je n'ai pas le droit de voir ta chatte ".Et en la prenant par les hanches, il lui fait faire un demi-tour pour qu'elle soit face à lui. Elle devait sa jupe relevée au dessus de la taille, son slip étant à ses chevilles. Elle était donc face à lui.Le chef de service pouvait alors bien voir sa chatte. Le chef de service étant toujours assis sur la chaise, se risquait à bien lui détailler sa vulve. Il avançait même les deux mains pour la toucher, Avec l'index et le pouce, il lui ouvrait son vagin pour bien voir l'intérieur, et avec l'index de l'autre main, il le lui enfonçait dans son vagin en le bougeant rapidement. ""Mais c'est que tu mouilles ma cochonne. Attends, tu vas voir, tu vas moins mouillée avec ce que je vais te faire".Sur ce, il fit asseoir la dactylo sur le siège avec le paillasson à poils durs. Il l'a prit par les hanches et lui frotta sa vulve sur les picots. Le chef de service constata qu'elle grimaçait et lui dit :"A chaque fois que tu feras des fautes d'orthographe ou autres, tu seras déculottée et je frotterai ta chatte sur les poils durs du paillasson. En plus une fois que j'aurai enlevé ton slip, je le confisquerai. Tu pourras venir me le demander à la fin de ta journée, et bien sûr, avec tes fesses et surtout ta chatte à l'air que je la vois bien ".Ce doit être certainement ce qui a dû arriver à certaines.
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Le bon vieux temps où les
RépondreSupprimeremployeurs, qu'ils soient directeurs de banque ou d'agence immobilière, ou autres, pouvaient punir leurs employées femmes. A la moindre faute, la femme était convoquée dans le bureau du chef de service.Là c'était la réprimande avec ensuite la punition. Le chef s'asseyait sur une chaise, et prenait la femme par le poignet et la basculait sur ses genoux. Ensuite il relevait sa jupe, baissait son slip et lui administrait une sévère fessée. Si la femme était en pantalon, le chef assis faisait venir son employée face à lui. Lui-même lui deboutonnait et dézippait la fermeture éclair de son pantalon, et le lui baissait jusqu'à ses genoux, venait ensuite le tour de son slip qu'il baissait aussi, suivant le même chemin que le pantalon. Le chef, une main sur chacune des hanches de son employée, voyait maintenant sa chatte, sur laquelle il fit des commentaires :"Tu es mariée et ça ne te gènes pas de me montrer ton sexe ?Je t'ai déculottée c'est vrai, mais c'est pour la faute que tu as commise. Et si ça se reproduit, je te déshabillerai et je te mettrai toute nue. Ensuite je regarderai bien ton sexe, j'ouvrirai même ta fente pour bien voir ton vagin. Ne t'inquiètes pas, toutes tes collègues, elles ont déjà été mises toutes nues, donc je sais comment elles sont faites, mariées ou pas. Bien, maintenant, je vais te donner une bonne fessée pour que tu comprennes qu'ici, je fais la loi ".Bien comme époque et comme chef,non ?
Milky 2
Et ça n'est jamais arrivé que le chef de service faisait une jeune employée pour regarder comment était punie une jeune femme mariée et mère de famille qui avait commis des erreurs ?
RépondreSupprimerMilky 2
Faire venir l'employée dans son bureau pour regarder la jeune femme se faire punir par le chef de service ?
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Ça devait être assez excitant pour le chef de service de faire venir une employée dans son bureau pour regarder les marques qu'à fait le paillasson à poils durs sur les fesses et la vulve de la dactylo. En plus qu'un client lui a doigté son vagin. Intéressant pour lui.
RépondreSupprimerMilky 2