samedi 28 octobre 2023

Nezha, prisonnière dans une prison américaine.

Les gardes obligent les prisonnières à se déshabiller
Femme dénudée en cellule de prison.

Zoom sur  une détenue la prison militaire américaine d'Abou Ghraib.


Lors de la seconde guerre du golfe en Irak, les Etats Unis ont pris le contrôle de la prison d'Abou Ghraib dans les environs de Baghdad et en ont fait un centre de détention et d'interrogatoire pour y détenir les "combattants illégaux" détenus pour diverses raisons : terrorisme, membre de la rebellion, personnes liées à l'ancien régime etc. 

Force est de constater que cette prison abrite des détenus de profil très différent, il y a parmi eux beaucoup de personnes n'ayant pas de réels rapport avec les fait évoqués plus haut, qui se sont retrouver incarcérer pour ds raisons parfis absurdes ou douteuses : dénonciation calomnieuse, femmes "otages" détenus pour faire pression sur les familles et inviter les hommes recherchés à se rendre, de simple opposants ou critiques de l'ordre américains ...

Plusieurs femmes y sont retenues, dont une jeune femme connue sous le nom de Nezha dont on ignore s'il s'agit d'un pseudonyme ou pas. Elle est gardée avec d'autres dans une aile de la prison spécifique dans le quartier d'isolement dans des conditions très strictes.

Les américains l'ont amener car il l'a soupçonne d'être proche d'un ancien cadre du régime et d'avoir été sa maitresse et la détenue pour faire pression sur lui. 

Le lieutenant chef de la garde se souvient d'elle. Il nous apprend  lors de son entretien devant la commission d'enquête du sénat que cette détenue fait environ 1.60m pour 45 à 50 kilos. Elle est incarcérée pour liens avec l'ancien régime.

L'admission comporte une fouille. Comme dans les prison américaines, ces inspections se font  "à nue". Les femmes comme Nezha  doivent aussi y passer. Il n'y a pas de traitement de faveur pour les femmes, ni aucune pitié. 

Les fouilles à nu sont pour les autorité américaines  un élément essentiel pour briser et soumettre les captives  dans ce pays du moyen orient ou la culture arabe et la religion musulmane enseigne la pudeur et la modestie. 

Comme les autres détenues, Nezha doit remettre tout ses vêtements, sous vêtements,  effets personnels et être minutieusement inspectée de partout en entrant dans le centre de détention. En arrivant en détention l'objectif des américains et de soumettre et montrer qui est le patron, les détenues sont dépouillées de tout tissus mais aussi de toute dignité.

La prisonnière doit retirer son voile islamique (hijab) sa longue robe arabe traditionnelle, car ici il faut oublier toute pudeur et toute identité. Les signes d'appartenance culturel et religieux sont détruit sous les regards horrifiés des prisonnières, mais ici tout est fait pour détruire l'ancienne personnalité de la détenue et en faire une nouvelle personne docile et soumise.

Les fouilles sont très intrusives et la prisonnière est obligée d'ouvrir ses fesses et de présenter son anus et son vagin, de soulever les seins, d'ouvrir la bouche, d'écarter ses doigts de pieds pour remuer les orteils.



Uniforme orange de prisonnière.
Femme en uniforme de prisonnière.

Après les fouilles, les femmes sont laissées nues et exposées pour le fun et pour permettre aux gardes et aux personnels de découvrir les nouvelles avec les "fesses à l'air". 

Ensuite c'est selon le profil et le degré de coopération, la plupart doivent rester nues, certaines ont des culottes blanches et les plus chanceuses ont le droit à un uniforme orange court et une culotte et paire de tong.

Dans cette prison tout est fait pour avilir et rabaisser le plus possible les détenues comme Nezha. Le but est de reconditionner  et de remodeler leur personnalités et pour cela les tabous culturels et religieux sont utilisés. Nezha est pudique, musulmane pratiquante, et on l'oblige a parader nue devant tout le monde sous les rires et les moqueries des américains hilare de dominer les femmes et fiers de leur interdire de porter des vêtements.

Aucune pudeur, aucune dignité, les seules récompenses sont des uniformes très court et des culottes.


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3 commentaires:

  1. elle est pas nu celle là ?

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  2. Je me souviens, aux USA, à l'heure de l'embauche, l'arrêt subit d'une conductrice provoqua une collision en chaine. Excédés les conducteurs obligèrent la femme à se dénuder. Face à ses supplications, l'un deux bientôt aidé par les autres la mit à poil de force et lorsque la police arriva, la femme fut embarquée nue au poste. Je sais qu'aux USA, la Police ne lésine pas avec les contrevenantes, mise à nue, pénétration de la matraque dans le vagin ou dans le trou de cul. Elles préfèrent laisser la voiture au stationnement
    JC

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