mercredi 7 août 2024

Une femme terroriste en prison, nue ou habillée ?

 

Nudité forcée comme partie intégrante de la punition.
Une détenue suspectée de terrorisme doit elle rester nue en permanence ?

Le sort d'un femme terroriste coopérantes en suspens.

Loubna G, une femme incarcérée dans une prison supermax aux États Unis a obtenu sous la présidence de Joe Biden un relatif assouplissement de ses conditions de détention.

Si Loubna, de nationalité irakienne et incarcérée pour soupçons de terrorisme a pu éviter de rester à Guantanamo Bay après avoir acceptée sa culpabilité et reconnue ses erreurs en échange d'une réduction de peine et d'un assouplissement de ses conditions de détention.

Son avocat et diverses organisation de défense des droits de l'homme ont obtenu différents droits : Détention dans une prison civil avec possibilité de recevoir des visites de sa famille, deux sorties par jours, de meilleurs repas, et surtout le droit de porter quelques vêtements : Un uniforme orange de prisonnière très court et une simple culotte blanche difforme, plus de confort, de la nourriture halal et accès aux journaux et livres.

Par contre la prison refuse à Loubna le port de soutien gorge, de chaussettes et de vrai chaussures (seul les chaussures de type "flip flop" sont autorisés dans ce type de prison).

La demande de porter le voile islamique (hijab), des uniforme plus couvrant à par contre été rejetée. La détenue doit accepté de porter des tenues très courte et d'avoir les cheveux à l'air et de se déshabiller devant des hommes lors des fouilles, et des douches collectives.

Les juges estiment qu'il n'est pas attentatoire aux libertés que de priver une femme d'objet religieux et que l'ordre et la sécurité passe avant le droit à la pudeur. 

Ceci dit, l’équipe de Donald Trump en pleine période électoral estime que c'est une erreur, et que la prisonnière doit conformément à la politique pénale US en matière de lutte contre le terrorisme être gardée nue et pieds nus, et subir plusieurs fouilles intégrale par jours avec contrôle de l'anus, de la bouche et du vagin.

De plus la détenue est nue depuis plusieurs années, il n'y a aucune raison de lui remettre ses vêtements, et le syndicat des gardiens pro Trump est hostile à l'idée de permettre à cette détenue de s'habiller, car la nudité totale et permanente doit faire partir de la sanction, surtout que la prisonnière réclame le droit de porter des signes religieux et de pudeur en plus d'un petit uniforme, ce qui la rend plus dangereuse et nécessite plus de punitions.


La campagne présidentielle US peut basculer en faveur de Trump sur cette question.

 

 Autre affaire de nudité forcée en prison.




1 commentaire:

  1. C'est mieux qu'une prisonnière soit complètement nue. C'est plus humiliant pour elle, surtout au moment des interrogatoires.
    Milky 2

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