jeudi 22 août 2024

Prisonnière témoigne des conditions de vie en détention

Une prisonnière nue en cellule
Toute nue en cellule.

 

Dans l'aile féminine de la prison.


Après les attentats du 11 septembre 2001, les dirigeants des Etats Unis d'Amérique ont mener plusieurs guerre dont une invasion de l'Irak en 2003 pour riposter contre la menace terroriste. De multiples centre de détention ont été ouvert dont celui situé à Abou Ghraib dans les environs de la capitale Baghdad ou plusieurs scandales ont éclatés suites aux révélation de sévices et mauvais traitement dans cette prison ou les prisonniers et prisonnières sont régulièrement humiliés...


Nos services de presse ont pu récupérer certains témoignages sur la vie dans ce sinistre endroit en ayant découvert une lettre d'une femme prénommée Safia, la sœur d'un homme recherché activement par la coalition et retenu comme une sorte d'otage sans réel raisons pour faire pression sur sa famille.


Elle témoigne de condition d'emprisonnement très difficiles ou les détenus n'ont aucun droit et son totalement soumis à la tyrannie des gardes.


Après m'avoir arrêtée, ils ont décider de me garder sans réels raisons et de m'envoyer a la prison d'Abou Ghraib.

Lorsque je suis arrivée dans le camp, les soldats m'ont emmener dans une partie dure avec des cellules, ils m'ont remis aux gardiens et policiers militaires de la prison qui m'ont tout de suite conduite dans une salle et ont enlever mes menottes.


Ensuite j'ai reçu comme consigne de me déshabiller , de tout ôter comme le jours de ma naissance, y compris culotte, chaussures, chaussettes...


J'a pour garder ma dignité tenter de résister et refuser avec énergie d'enlever mes habits mais ils m'ont hurler dessus et commencer à me frapper avec des matraques et me dire qu'ils allaient employer la force er arracher mes vêtements.


J'ai du céder et leur remettre d'abord mon hijab (voile porté par les femmes musulmanes), puis mes chaussures et ma robe.


La mise à poil est l'une des premières choses qu'ils font quand une personne arrive, tout le monde y passent, les hommes et les femmes se retrouvent tous sans vêtements dans ce sinistre endroit. J'ai comme les autres demander et essayer de garder ma culotte et mes chaussettes mais aucun moyen de négocier

 

C'est vraiment humiliant de devoir écarter les fesses pendant qu'ils regardent à l'intérieur avec une lampe torche ! On ressent le souffle des gardiens sur la chatte et ça chatouille l'anus, puis ils y mettent leurs doigts gantés et plein de vaseline.

Liens :


Histoire de la prison d'Abou Ghraib.

7 commentaires:

  1. la mise à poil est l'élement majeur du bizutage en fac de médecine .

    Timothée

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    1. Et quand les filles étaient nues, c'était excitant.
      Milky 2

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    2. Oui et surtout les filles déshabillées de force qui crient et pleurent.

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    3. Il y en avait parfois en amphi . J'en ai vu durant le bizutage que j'ai vécu en fac de médecine en 1992 . Nous étions environ 800 bizuts nus en même temps .

      Timothée

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  2. Il y aura des histoires de bizutages fin aout et début septembre.

    N'hésitez pas à me conseiller ou m'inspirer.

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    1. Super. J'adore tout ce qui à rapport au bizutage, surtout sur les filles. Quand elles sont à poil et la chatte cirée.
      Milky 2

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  3. Les filles crient et pleurent quand elles sont déshabillées de force, mais surtout quand on leur cire la chatte.
    Milky 2

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