vendredi 9 août 2024

La contrebande de culottes en prison.

 

Une détenue porte une culotte de contrebande
Une prisonnière pudique en culotte cache ses seins.

Incident en prison : la contrebande d'objet illicite chez les prisonnières.

En 2004, dans la célèbre prison d'Abou Ghraib, pendant la seconde guerre d'Irak, les Etats Unis ont ouvert un centre de détention, qui inclus une section spécifique pour les femmes irakiennes.

Dans cette zone, les conditions de détention sont très difficiles, et les autorités américaines pour diverses raisons ont décider d'obliger les prisonnières à rester nues.

Cependant, cette mesure n'est pas facilement accepter par les détenues, qui aiment les vêtements et sont pudiques.

 

1/ Une détenue réfractaire à la nudité.

Une jeune femme détenue, Najoua, 28 ans, incarcérée pour avoir écrit des articles hostiles aux États Unis est à l'origine de plusieurs incidents. 

Najoua, et l'une des prisonnières les plus problématique, et très hostile au nudisme et naturisme. 

En arrivant, les femmes doivent se déshabiller pour la fouille au corps. Bien sur vous vous demandez si la procédure les obligent à se mettre nue, et bien oui, il est bien préciser aux gardes de faire retirer tous les vêtements. Najoua s'est rapidement montrer rebelle et désobéissante. Les gardiens ont du l'avertir qu'ils allaient employer la force et la menacer de lui envoyer des décharges électriques avec un taser.

Les gardes font en général  rapidement comprendre aux femmes qu'il faut obéir et se soumettre sans discussion.

Najoua est une de ces personnes qui prétend avoir des droits, hors c'est une "détenue de sécurité", et donc comme les autres captives, elle n'a ici aucun droits.

Les prisonnières sont en général musulmanes, elles portent pour 80% le voile et l'abaya par respect des règles de leur religion et de leur culture. Alors la nudité forcée est vécue comme une épreuve difficile. Najoua malgré ses protestation s'est déshabillé. 

 C'est encore pire pour une respectable et pieuse femme d'enlever ses vêtements plutôt que d'être déshabiller de force et voir ses vêtements arrachés et découpés. 

Les mises à nue des femmes sont très rarement faite par la force, la persuasion et la menace suffise amplement en général, et c'est bien plus efficace pour humilier la prisonnière de l'obliger à elle même enlever ses vêtements.

Les gardes se sont bien moqués d'elle, car elle s'est mise à poil devant eux sans dignité. 

Najoua et les autres femmes sont horrifiées de devoir s'exposer nues devant des hommes. C'est pourtant quelque chose de normal, car les femmes emprisonnées ici sont des prisonnières dites de "sécurité", soupçonnées de terrorisme, ou représentant  une menace pour la sécurité nationale.

En plus d'être privées de liberté, les femmes doivent être durement punies et humiliées, et la nudité est un moyen simple et efficace très apprécié des gardiens. Les gardes n'ont donc aucune pitié.


Ceci dit, Najoua n'est pas d'accord. Depuis son incarcération, elle ne cesse de se plaindre. Elle réclame des vêtements, cris et hurle à poil. Pire elle tente parfois de cacher ses seins ou ses parties intimes, hors ce comportement pudique est interdit. Les femmes doivent être dressées pour perdre toute traces de pudeur et de modestie.

Après avoir fait une brève présentation de la détenue signalée.

 

 2/ Corruption, insécurité, manque de moyen.

 

L'un des autres problème est la corruption de certains membres du personnelle, une sécurité poreuse, et le manque de motivation de certains surveillants négligeant. Najoua pose différent problème quand elle n'est pas à l'isolement en confinement solitaire isolée. Elle profite de chaque occasion pour se plaindre et tenter d'avoir des contacts avec l'extérieur. Par exemple, elle a tenter d'appeler un visiteur de la croix rouge pour dénoncer la situation.

Certes globalement les agents font leur travail. Mais Najoua s'est procurer des objets illicites. L'enquête n'a pas encore réussi a déterminer comment elle s'est procurer la culotte. Certains gardiens sont suspectés d'être trop permissif. 

Lors des inspections générales, des objets de confort interdit ont parfois été retrouvé. Une autre détenue, Marwa avait pu garder ses chaussettes, les gardiens lui avaient permis de les conserver sans savoir que c'était interdit. Lors de la fouille général, le responsable de secteur a été choqué et surpris qu'une détenue ait pu garder des chaussettes. Marwa a dit a un garde que le sol est froid et sale qu'elle souhaitait ne pas marcher pieds nus et un garde l'a par erreur autorisé à les garder en voulant bien faire.


Punition et sanction en prison : humiliation et exhibition à poil.
La prisonnière est exhibée et punie pour avoir porter une culotte et fait preuve de pudeur et pudibonderie.

Depuis les autorités ont remis de l'ordre et réuni les surveillant pour expliquer les règles et que tant que ces femmes sont sous la protection et la responsabilité des Etats Unis dans la prison aucune d'entre elles ne doit porter de vêtements ne serait ce qu'une culotte.

De plus une campagne de fouille a été lancer dans la section féminine pour trouver des objets illicites.

Najoua a été punie et condamnée a exposée son anus et sa chatte poilue tout les jours pendant une semaine pour lui faire comprendre que ses fesses et son sexe sont ici  visible pour le public.


Liens : 

 

Interview d'une gardienne de prison

10 commentaires:

  1. C'était pareil dans le bizutage. Les filles pudiques ou récalcitrantes étaient déshabillées de force. Pour les humilier, une fois complètement nues, elles avaient droit à recevoir une bonne fessée, ensuite elles avaient la chatte cirée, ou la fente était ouverte et du dentifrice était introduit dans le vagin pour qu'elles sentent bien l'irritation des muqueuses et la brûlure du vagin. Efficace car elles étaient matées.
    Milky 2

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le dentifrice était introduit dans le vagin avec un tube avec embout afin qu'il y en ait le plus profondément possible .La répartition était effectuée avec une brosse à dent. L'ambiance survoltée de l'amphi ne couvrait pas les hurlements de la bizute provoquées par les va et vient de la brosse qui brûlaient la muqueuse et la faisaient saigner.
      JC

      Supprimer
    2. Super comme bizutage !Le dentifrice introduit dans le vagin et qui à force de frotter irritait les muqueuses et brûlait bien le vagin jusqu'à le faire saigner. Et c'était normal et très excitant.
      Milky 2

      Supprimer
    3. Mais au fait JC,elles y passaient toutes comme ça ?Avec dentifrice dans le vagin jusqu'à temps que ça saigne ?Vous vous arrêtiez ou vous continuiez à faire des va et vient avec la brosse dans le vagin ?
      Milky 2

      Supprimer
    4. C'est un peu ça, Milky 2 comme JC, est-ce que vous avez vu vraiment le bizutage d'une nana devant son mec ?Moi je peux vous dire que oui.On aurait dit une séance d'interrogatoire hard. D'abord les bizuteurs liaient les mains de son mec dans le dos et le tenait bien. Il fallait qu'il regarde sa nana qu'ils ont amenée devant lui. Là, ils l'ont déshabillée, mise complètement nue tout en faisant des commentaires salaces du genre :c'est un bizutage, et comme vous êtes rebelles, surtout toi, tu vas voir ce qu'on va faire à ta nana. Ce faisant, ils ont amené une chaise pour faire asseoir la nana dessus en lui tenant les genoux relevés et les cuisses écartées. Après un bizuteur a apporté un tube de dentifrice avec embout, et en disant au mec de bien regarder car c'était pour la chatte de sa nana. Son copain hurlait car il était à 2 mètres de sa nana et on lui tenait bien la tête pour qu'il voit la suite. Un bizuteur a d'abord doigté la chatte de la nana, puis il lui a ouvert la fente,lui a introduit l'embout du tube de dentifrice dans son entrée vaginal et a appuyé sur le tube. Le dentifrice entrait dans son vagin.Ensuite il a pris une brosse à dents qu'il a fait aussi entrer dans son vagin pour frotter tout le dentifrice dans son conduit vaginal jusqu'au col de l'utérus. Il a fait plusieurs va et vient pour qu'elle ait les muqueuses bien irritées et qu'elle saigne un peu. Le bizuteur a continué, mais en badigeonnant toute la chatte de la nana, en décapuchonnant même son clito pour le passer aussi au dentifrice. La nana criait tellement que ça lui brûlait, et son mec tremblait de partout en hurlant aussi. Les bizuteurs ont simplement dit :alors mon gars, tu es moins rebelle maintenant ?Tu as vu comme on t'avait dit, on a déshabillée ta nana, on l'a mise à poil devant toi et on lui a mis du dentifrice dans son vagin en frottant bien jusqu'à la faire saigner, après on a enduit toute sa chatte avec aussi le dentifrice ?Tu sais, dans un bizutage, ta nana appartient au comité qui décide de son sorte Comme tu es jaloux et que tu ne voulais pas que ta nana soit bizutée, il a été décider de choper ta nana, de la mettre à poil, et de lui détruire sa chatte. Donc tu ne pourras plus la baiser pendant un certain temps.
      Que pensez-vous de ce bizutage ?
      Rodgers

      Supprimer
    5. J'ai 56 ans et j'ai connu les bizutages dans les années 1985/90.

      Les culottes étaient des récompenses pour bon comportement, en général les filles pudiques etaient punies et devaient rester la soirée ou la journée sans culotte. Seul les filles qui s'étaient mise toute nues sans faire d'histoire pouvaient avoir une culotte pendant la soirée mais pas les autres.


      Jean Pierre

      Supprimer
  2. Dans certains foyers pour jeunes filles, ou lors des bizutages le port de culotte était strictement contrôlé, souvent les filles un peu timides réservées ou soumises sont interdites de porter des culottes par les filles dominantes et totalement décoincées.

    Jean Pierre.

    RépondreSupprimer
  3. Les récalcitrantes étaient solidement tenues, cuisses grandes ouvertes, et le brossage au dentifrice du vagin dépendait de la sévérité du comité de bizutage. Certain était excité de voir l'écume du dentifrice devenir rose. Ensuite, mains sur la tête, la chatte en feu et meurtrie, les bizutes devaient parader devant le personnel administratif qui se rinçait l'oeil et sur le campus
    JC

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est sûr qu'à force de frotter le dentifrice avec la brosse à dents dans le vagin, ça devait un peu saigner.C'est pour ça que ça sortait un peu rose. Le personnel administratif devait se régaler de voir ces filles défilées nues avec le dentifrice coulant de la chatte.
      Milky 2

      Supprimer