samedi 5 février 2022

Humiliations et tortures des femmes prisonnières.

Discipline et punition humiliante en prison
Des prisonnières nues et punie en position de stress (hogtied).

 Une femme humiliée et victime de sévices pendant sa détention témoigne.


Une ancienne détenue de la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011) témoignage des humiliations, brimades, mauvais traitements, humiliations, tortures et sévices que les gardes  et interrogateurs américains imposaient aux prisonniers hommes et femmes.


Elle utilise le pseudonyme de Salma, et elle  avait 26 ans le jours de sont arrestation dans un quartier chic de Baghdad ou habitaient beaucoup d'ancien privilégiés de l'ancien régime renversé par la coalition internationale menée par les Etats Unis. Les soldats l'avaient arrêtées sur ordre des services de renseignement militaires car elle est la demi soeur d'un responsables en fuite et recherché activement par les occupants, et a ce titre avaient décider de la retenir dans la prison d'Abou Ghraib comme "prisonnière de haute sécurité" car elle était susceptible de détenir des informations importantes pour la coalition.


Elle avait été menottée les mains dans le dos, puis placée dans un camion militaire avec un sac noir  sur la tête selon le processus utilisé par l'armée lors des arrestations.


Lors de son arrivée sur le site, elle avait été envoyées dans une aile en dur de la prison ou sont retenus des femmes et des prisonniers de haute sécurité. 4 gardes l'attendaient, deux hommes et deux femmes, ils lui ordonnaient de se déshabiller et d'enlever tout ses vêtements devant eux sous la menace d'utiliser la force. La mise à nue était systématique dans cette prison, Salma comme les autres femmes musulmanes incarcérées avait du retirer son voile, son abbaye (robe arabe traditionnel ample et large), ses sous vêtements, y compris la culotte, ses bijoux, sa montre, ses boucles d'oreilles, retirer ses chaussures ainsi que ses bas, collants ou chaussettes pour celles qui en portaient.

Les règles d'incarcération n'admettent aucune exceptions et les femmes sont totalement nues et pieds nus.


La prisonnière avait été fouillée minutieusement de la têtes aux pieds, les gardes lui avaient même fait écarter les fesses pour regarder dans son anus et dans son vagin avec une lampe torche comme le veut la procédure. Salma avait reçue aussi un doigt dans le cul et un dans la chatte.


Les prisonnières étaient soumises à des fouilles des cavités deux à trois fois par jours sans aucun respect pour leur pudeur et dignité. Les gardes utilisaient selon les ordres et consignes que la police militaire leur avait donner les fouilles à corps comme moyen d'asservissement et d'humiliation des détenus hommes et femmes.


Salma se souvient que les gardes prenaient plusieurs détenus, les placer contre le mur et leur fouillaient les entre fesses avec des gants en caoutchouc et faisaient même parfois venir des chiens pour renifler l'anus d'une prisonnière et parfois, l'animal léchait la chatte d'une détenue terrorisée, ce qui provoquait le rire les matons.


Les gardiens interdisent aux femmes de porter des vêtements, officiellement pour des raisons de sécurité et par le fait qu'il n'y a pas assez d'uniforme orange ou jaune disponibles mais dans les fait la nudité est une technique d'interrogatoire et de contrôle très efficace et simple à mettre en oeuvre.


Les américains savent aussi que les femmes irakiennes sont pudiques et réservées pour des raisons culturelles et religieuses; et que les déshabiller et les forcer de rester nue est très humiliants et dégradants pour des personnes bien élevées d'être à poil. 


Ces femmes arrivent en générale totalement couverte de vêtements larges, porte des voiles pour dissimuler leurs cheveux, et elles se retrouvent entièrement nue devant des femmes et surtout des hommes étrangers. Elles perdent tout respect et dignité, et tout est fait pour leur imposer le plus de honte et de vexations à caractères culturelles possibles.


Pour Salma la nudité est particulièrement dégradante , elle avait ressentie une énorme honte à être privée de vêtements, d'être dans l'impossibilité de cacher son corps et ses partis intimes, de devoir exposer ses seins, ses fesses, son sexe etc. à la vue de tous.


Les soldats se vantent de garder les prisonnières nues comme des trophées, et les obligent a parader nue lors des déplacement au sein de la prison, en étant visibles et exposées à tout le staff pénitentiaire et administratif américain mais aussi à la vue des autres prisonniers et prisonnières.


Salma avait du marcher nue escortée manu militari jusque dans une petite cellule, et elle avait été exposée à une musique très forte, attachée aux barreaux de sa cellule pendant plusieurs jours. Les prisonniers sont toujours amenés nus dans les salle d'interrogatoire.

Obligée de marcher nue pour l'interrogatoire musclé.
Femme nue conduite vers la salle d'interrogatoire.


Salma avait du prendre des poses et postures humiliantes et à caractères sexuels et prise en photo dans cette situation embarrassante pour la faire craquer. Les gens du renseignement l'avaient aussi obligée a danser nue devant eux et le public, ils l'avaient aussi forcer à aller distribuer les repas à poil aux détenus mâles. Ces exhibitions de femmes nues devaient servir a montre le pouvoir et la domination des américains sur la société dont ils venaient de prendre le contrôle. Salma était à poil devant les détenus et les américains menaçaient les hommes de faire la même chose à leurs mères, soeurs, filles, épouses lorsqu'ils les captureraient.


Dans d'autre registre, Salma avait aussi du s'enfiler des morceaux de savon mouillés dans la chatte et le cul dans les douches avec deux autres femmes sous les insultes et moqueries des gardiens.


Les femmes étaient  aussi contrainte à faire des exercices sportifs nues jusque à l'épuisement comme courir dans les escaliers, faire des jumping jack, des burpees jusque à ne plus pouvoir tenir debout.


Un jours, Salma et deux autres détenues ont été contrainte d'uriner en public dans les couloirs de la prison et les gardiens les ont forcer à ramper dans leur propre pisse avant de les attacher pendant une après midi en hogtied (Techinique de bondage).


La masturbation forcée et public et le sexe entre femmes étaient aussi imposées aux femmes qui devaient pratiquer des actes de lesbiennes sur ordre des gardes.


Liens : 


Histoire BDSM en prison.


Femme prisonnière tondue.

11 commentaires:

  1. Ce qui serait bien,c'est que si un couple était arrêté et capturé, emmené sur le lieu de détention,et que ce couple interrogé ne parle pas,les soldats les conduisent dans une salle d'interrogatoire,et là devant le mari menotté,ils déshabillent sa femme,ne la laissant qu'en soutien-gorge et en slip.Ensuite,si le mari ne dit toujours rien,les soldats enlèvent le soutien-gorge de sa femme,puis en regardant le mari,ils passent leurs mains dans l'élastique du slip de sa femme et le lui baissent d'un coup sec,tout en faisant des commentaires salaces:"voilà, nous avons déshabillé complètement ta femme,et nous voyons qu'elle est bien faite,on va la baiser et la torturer devant toi si tu t'obstines à ne pas parler,tiens nous allons commencer par lui tripoter ses seins et sa chatte,après on passe aux choses sérieuses ".Efficace sûrement.

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    1. Comme cette histoire ?


      https://bdsm-female-prison.blogspot.com/2021/10/interrogatoire-dune-femme-prisonniere.html

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    2. Oui un peu comme celle-là, je l'ai lu, mais il y a erreur car la femme torturée a 35 ans et son fils,quel âge a-t-il ?Ou alors c'est son frère Hans ?

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    3. oui car ici les femmes ont entre 20 et 45 ans en général d'âge.

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    4. C'est là qu'il faut les mettre à poil, car elles sont jolies

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  2. Toute femme interrogée et amenée en salle d'interrogatoire doit être entièrement nue.Çà lui fait un impact psychologique.

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    1. Oui c'est dans les manuels d'interrogatoires de beaucoup de police et d'armée du monde.

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  3. C'est normal que l'on mette les femmes à poil pour un interrogatoire,surtout devant un homme.L'interrogateur commence par toucher ses seins,ensuite sa chatte.Après ça monte crescendo,l'interrogateur pince les seins,tord les mamelons,après s'attaque au clito qu'il décapuchonne d'un seul coup au maximum,prend les lèvres vaginales entre ses mains et les étire,les tord. Ensuite, il peut lui faire bien d'autres réjouissances.

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