jeudi 10 novembre 2022

Une prisonnière mise nue et humiliée en détention.

 

Prisonnière attachée toute nue sur un lit pour être exhibée.
Prisonnière attachée et exhibée nue.

Une détenues de sécurité soumise aux traitements dégradants.


Dalia est une femme de 31 ans, ancienne fonctionnaire du régime irakien renversé par les Etats Unis lors de la seconde guerre du golfe (2003/2011). Lorsque les forces armées l'ont contrôler lors d'une opération de ratissage, le renseignement militaire a estimer qu'elle était susceptible d'avoir des informations importantes sur les insurgés, et certains dignitaires en fuite qu'elle connaissait et donc de l'arrêter et de la détenir plusieurs mois sans inculpation sous le statut de "détenue de sécurité".

Lorsque la prisonnière arrive sur le site dur, accompagnée par des marines, qui l'a "confie" aux personnel de la prison. Les marines l'ont traité avec courtoisie et respect.


Sur place la galanterie est terminée, de "Madame", elle passe à numéro 270917, elle est vêtue d'une tenue arabe traditionnelle chic et bien propre, d'un hijab, c'est une femme coquette, bien élevée.


Le cauchemar commence pour Dalia qui doit se déshabiller entièrement devant les gardiens hommes et femmes. C'est une pratique volontairement humiliante que d'obliger des femmes pieuses et honorables à se mettre nues devant les conquérants américains. Les psychologues et interrogateurs de l'armée utilisent le tabou culturel et religieux de la nudité pour soumettre les captifs, tout est fait pour mépriser et rabaisser la prisonnière et lui retirer non seulement ses vêtements mais aussi toute dignité et tout statut social.

C'est quasiment la première choses qui est faite lorsqu'une femme arrive : le déshabillage intégrale.

Dalia doit se dévoiler et retirer son hijab et le donner aux américains, et le reste de ses habits y passe aussi; elle doit les remettre pièce par pièce, tout, y compris la culotte de la prisonnière.

Le retrait des culottes et leur confiscation sont des enjeux important pour le staff car  les sous vêtements féminins et les utilisent pour humilier les hommes en les forçant à s'exhiber en lingerie féminine ou avec une culotte sur la tête  comme des idiots ...


Les slips de femmes ont beaucoup de valeur au sein de la prison car ils sont rares du fait du nombre restreint de détenues et les gardes peuvent se les échanger à des prix allant parfois a plus de 250 dollars.


Les prisonnières riches portent souvent des culottes de bonne qualités et très sexy et les plus modestes des sous vêtements plus simples.


Les culottes sont bien sur interdites, Dalia  comme les autres prisonnières sont gardées  les fesses à l'air et sont donc toutes à égalité. "Les femmes sont "cul nus" ça leur fait pas de mal de se promener les fesses à l'air".


Lorsque Dalia est arrivée les gardiens ont parié entre eux pour savoir si elle se rase ou pas la chatte, d'ou la présence de nombreux spectateurs masculin lors des fouilles d'accueil des femmes.


Dalia s'épile le pubis, ça lui aura au moins éviter l'humiliation d'être raser, car la responsables américaines des surveillants dans son devoir de civilisation et d'émancipation estime que les irakiennes doivent avoir le sexe et l'anus bien lisse et propre comme les femmes américaines.


L'équipe de surveillants américains estime que les femmes doivent non seulement être nues, mais aussi exposée et exhibée publiquement et privées de toute intimité pour être montrer en exemple et être humiliées et punies. Les interrogateurs sont très partisans de cette technique simple et efficace à mettre en oeuvre. L'humiliation  est très fortement ressentie lorsque les vêtements d'une femme sont en train d'être retirés en public en arrivant. 

Pour les gardiens c'est à la fois un moyen de contrôle et de punition, car si elles sont prisonnières sont là c'est qu'il y a une raison et elles doivent en baver, mais aussi par méchanceté et pour s'amuser de voir la détresse d'une femme pudique obligée d'exposer ses parties les plus intimes et sans défense.


Liens :

 

Séquestrée et ligotée nue par un cambrioleur.


Les humiliants sévices subies par les prisonnières.



17 commentaires:

  1. Le sort des prisonnières chrétiennes dans les dictatures athées..

    RépondreSupprimer
  2. C'était la même chose dans certaines entreprises,il y a un moment déjà. Les femmes devaient se déshabiller complètement. Dans le bureau du directeur, celui-ci exigeait le déshabillage intégral de celles qui voulaient être embauchées.Une fois la femme à poil,il la détaillait,car il voulait voir son degré de soumission.
    Milky

    RépondreSupprimer
  3. A cette époque, il y avait les entreprises où c'était la règle; Mais une femme n'était jamais sûre de ce qui l'attendait dans un recrutement, à tout moment, l'employeur pouvait lui dire" déshabillez vous, nue". Rouge de honte, la candidate s'exécutait et si elle passait du temps, très souvent les sous vêtement étaient enlevé de force malgré cris et larmes
    Papi

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et est-ce que les femmes mariées ou mères de famille avaient le droit au même traitement ?Ou c'était simplement les jeunes femmes embauchées ?
      Milky

      Supprimer
  4. Il n'était pas rare lors d'un rendez-vous de découvrir une femme nue, les fesses marquées, agenouillée les mains sur la tête dans le bureau du responsable du personnel.
    C'est ainsi qu'était sanctionnées les fautes professionnelles.
    Souvent la fautive devait se présenter au visiteur, le laisser l'examiner et palper..
    Puis se tenir penchée en avant en écartant son cul

    RépondreSupprimer
  5. Certainement que même les femmes mariées devaient se déshabiller devant l'employeur, et c'est pour ça qu'il les faisait mettre entièrement nues. Et ce devait être pareil pour les femmes mères de famille. Mais pour les femmes enceintes, est-ce qu'elles étaient quand même déshabillées ?Et étaient-elles punies de la même façon ?
    Milky

    RépondreSupprimer
  6. Oui avec examen gyneco devant la hiérarchie et employés.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et elles étaient examinées à poil devant tout le monde les femmes enceintes ?Elles ne devaient certainement rien dire à leur mari, car je pense qu'il n'aurait pas supporté. Enfin, la hiérarchie et les employés devaient se rincer l'œil devant une femme enceinte qui se faisait examiner à poil les cuisses bien écartées. Mais avaient-ils le droit de tripoter ces femmes-là ?
      Milky

      Supprimer
    2. Une femme convoquée à la Direction savait qu'elle devrait se mettre nu enceinte ou non et que le Directeur ne se laisserait pas attendri par des pleurnicheries. Enceinte, elle pouvait s'attendre à être obligée de s'allonger sur une table cuisses grandes ouvertes afin que sa chatte gonflée soit bien visible. Elle ne s'en plaignait pas à la maison, sinon son mari lui aurait flanqué une bonne raclée à poil pour ne pas avoir bien fait son travail et le lendemain pouvait la ramener sur son lieu de travail pour montrer que la fessée ne suffit pas, il faut user de la manière forte, coups de ceinturon de l'armée.. A cette époque, il y avait consensus, une femme doit filer droit et il faut pas lésiner sur les moyens.

      Supprimer
  7. Les filles enceintes sans être mariées, devaient non seulement se montrer nues devant leurs supérieurs, mais aussi exposées et fouettées devant tous les employés..

    RépondreSupprimer
  8. Quelle belle époque que ces femmes fautives enceintes ou non, même mariées,soient déshabillées par le chef qui pouvait les exhiber et même les tripoter, aussi les faire voir à tout le monde qui decouvrait comment était leur chatte. Quel beau spectacle !
    Milky

    RépondreSupprimer
  9. Belle époque que ces femmes fautives déshabillées par le chef, en plus devant du personnel quelquefois. Certainement que si la femme mettait trop de temps pour se déshabiller, le chef devait certainement lui déchirer sa culotte, ensuite lui tirer sur les poils pubiens et bien lui secouer les lèvres de la chatte avant de lui donner une bonne fessée, voire de la baiser après.
    Milky

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. A l'attention de Mily: Oui! Quelle belle époque où les femmes étaient traitées comme ça, les fautives, les insoumises, les mauvaises ouvrières etc... Il faudrait que ces temps reviennent pour faire marcher nos femmes et nos filles à coups de ceintures, cravache et punitions diverses, humiliations, injures, mises toutes nues avec des coups de ceintures. Et les punitions et tortures spéciales pour les chrétiennes!

      Supprimer
    2. J'aimerai publier des récits au sujet de mon ex-femme qui se prénomme Josette. G et qui a été arrêtée comme chrétienne et emprisonnée dans une prison en Roumanie secteur Musulman mais je sais pas comment faire pour vous écrire? Me dire!

      Supprimer
  10. Jeune employée, j'avais une patronne sévère qui me convoquait dans ce bureau en disant qu'elle avait de la lessive pour moi. Je devais me mettre nue, elle me fourrait son string sale dans la bouche en m'ordonnant de machouiller en me masturbant debout ou me disait, il n'y avait plus de papier aux toilettes, ta langue fera l'affaire, elle se penchait en me présentant ses fesses écartées pour que je lèche son sexe et son anus souillés à genoux sur une règle. Pendant plusieurs années j'ai du m'éxécuter pour garder ma place, elle aimait aussi me gifler jusquà ce que je pleure

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Heureusement que ta patronne, lorsque tu as été toute nue, n'a pas eue l'idée de passer ta chatte à la lessive. Du moins j'espère. J'ai connu une nana embauchée chez un patron qui après l'avoir déculottée, lui a donné une bonne fessée, ensuite il lui a ouvert la fente et lui a introduit du produit vaisselle dans son vagin et lui a badigeonné toute sa chatte avec.
      Milky 2

      Supprimer