jeudi 16 décembre 2021

Discipline, mitard, retrait des vêtements et abus de pouvoir en détention.

Nudité imposée à la prison.
Prisonnière nue et enchainée en confinement solitaire.

Discipline, mauvais traitements et humiliation en prison.


Lorsque les Etats Unis suite aux attentats du 11 septembre ont envahi l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massives, ils ont ouvert des camps de détention pour garder et interroger des détenus pour récupérer des informations importante dans la traque des responsables de l'ancien régime et sur la rébellion et la résistance armée.


L'armée américaine et les services de renseignement ont pris le contrôle de la prison d'Abou Ghraib pour y retenir toutes personnes ayant potentiellement des informations stratégiques.


Kenza J,  31 ans, une ancienne responsable administrative au sein du ministère de l'économie et des finances, a été selon son avocat humiliée par le fait que ses gardiens aient violer ses droits civiques et humains dans le but de la faire craquer. Les gardes ont forcer sa cliente a retirer ses vêtements et les ont emporter avant de la placer menottée et enchainée dans une micro cellule d'un mètre sur un en confinement solitaire.


Kenza a du se déplacer sans vêtements et sont corps totalement dénudé a été visible par tous pendant l'opération.


Le rapport dit que lorsque l'équipe de surveillant de nuit est arrivé, pour relayer celle de jours, ordre a été donner de dépouiller la prisonnière de tout ses vêtements et de la placer au "mitard. Lorsque l'équipe de surveillance du jours est revenue le lendemain matin, elle a constater que la captive était totalement nue et enchainée dans une très petite cellule dans le noir total. Ses vêtements étaient introuvable et elle était sous le statut de "détenue de haute valeur".


Un officier de la police militaire a dit que l'équipe de nuit n'a fait que mettre en application un ordre des services de renseignements qui consiste à garder nu les détenus pour les faire parler.


Le déshabillage des prisonniers est un outil d'interrogatoire et la nudité est utilisée par l'armée comme moyen d'humiliation sexuelle pour rendre coopératifs les suspects.


La décision de déshabiller la prisonnière a été prise froidement par les interrogateurs suite au manque de coopération de la détenue durant les interrogatoires.


Mettre la femme nue l'a rend beaucoup plus vulnérable, sans défense et créer en elle une angoisse et un stress constant. Sans parler du sentiment de honte et d'avilissement que les gardes lui imposent en la contraignant à la totale nudité.


Les interrogateurs lui ont plusieurs fois expliquer qu'elle se retrouverait nue si elle ne donne pas d'information importantes, et ils ont mis leur menace a exécution.


L'avocate affirme que sa cliente Kenza avait déjà du se déshabiller plusieurs fois, notamment pendant la procédure d'arrivé ou ses vêtements civils et religieux lui avait été ôté pour la fouille à corps, la détenue a du enfiler une tenue orange de prisonnière et resté pieds nus. Le hijab couvre chef  que porte les musulmanes(voile) est interdit dans la prison, tout comme les sous vêtements et les chaussettes, cette mesure était deja difficile pour Kenza, alors la nudité forcée c'est encore pire.


Liens :



Histoire de prison BDSM.



Fouille à nue humiliante.



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