Pages

dimanche 2 mai 2021

Broyer les prisonnières avant les interrogatoires.


Femme nue confinée dans une petite cellule
Prisonnière nue en confinement solitaire.


Briser l'égo d'une prisonnière par l'humiliation et la dégradation.



Dans le secteur aménagé de la prison pour détenir les femmes. Il n'y a théoriquement que des surveillantes et c'est interdit aux soldats de sexe masculins, ceci dit le règlement est flou concernant les civils et les mercenaires qui interviennent aussi dans cette partie de la prison.

Plusieurs « contractors » (mercenaires) témoignent de l'état d'esprit des gardiennes lesbiennes et surveillantes de la prison.



« Les gardiennes appliquent  les règles et les ordres qu'elles reçoivent sans réfléchir. Elles doivent doivent traiter les prisonnieres comme si elles étaient moins que des chiens, comme des déchets. Lorsqu'une femme arrivent en prison ici, elle doit se mettre à poil, même si elle n'aime pas ça tout le monde s'en fiche.  Certaines femmes supplient pour conserver leurs sous vêtements mais  quand les Irakiens arrivent, on les met à poil, ils n'aiment pas ça du tout ça mais on s'en fou, certains pleurent et nous supplie de leur laisser le slip mais les ordres sont les ordres.

Quand elles sont toutes nues, on les mate sous toutes les coutures et parfois certains soldats prennent des photos.

C'est plutôt marrant pour nous, de voir leur honte et détresse et nous supplier de leur donner des  vêtements. »

Une ancienne soldate ayant servi dans la prison témoigne sous couvert d'anonymat de consignes données « D
e faire des fouilles régulières et obligatoirement sur les femmes qui arrivent, lors des arrivées elles font une de ces têtes lorsqu'elles apprennent qu'elles doivent se déshabiller devant nous ».


Elle poursuit : " Certaines soldates sont très dominatrices et elles ont des tendances lesbiennes marquées font mettre à poil par plaisir. Elles se marrent bien en faisant ça. Elles savent que c'est affreusement humiliant et dégradants pour ces pauvres femmes, elles font durer le plaisir. "



L'une des prisonnières, Hanna âgée d'environs 27 ans d'après le dossier de l'ONG de défense des droits de l'homme, elle a été raflée dans une opération de ratissage dans le sud du pays, c'est une institutrice. Elle est devenue la souffre douleurs de deux gardiennes lesbiennes.

Lors des soirées, ces dominatrices viennent rendre visite à la jeune détenue. Elles forcent Hanna à se mettre nue devant elles  et elles  lui confisquent ses vêtements, parfois plusieurs jours. 

Un jour les soldates on déshabiller la prisonnière Hanna  pour jouer avec son anus et ses seins. Les soldates aiment le derrière de la prisonnière qu'elles trouvent larges et souple. 
Elle est victime du sadisme gratuit de certaines gardiennes. Elles lui enfoncent leurs doigts dans ses fesses, parfois, elles y introduisent entièrement leurs mains !

Elles aiment allonger la prisonnière nue sur le ventre, les fesses surélevées par un coussin, et elles mettent une canule reliée a un tuyau lui même lié a une source d'arrivée d'eau dans le fion de la prisonnière qui sent son bas ventre se remplir.

C'est vite insupportable, mais si la détenue ne se retient pas, elle est battue et ses seins sont torturés et ses plantes des pieds fouettés.

Après la prisonnière, est autorisée a libérer ses intestins en s'accroupissant sur les toilettes turques de sa cellule devant les gardes sans aucune pudeur.

Les gardiennes sont ensuite allées chier et pisser sur le sol de sa cellule qui a dut lécher leurs chattes et anus jusque à ce qu'ils soient tout propre.

« Cette femme-là est une vraie chienne, elle broute les chattes des gardiennes, et elle lèche leurs anus »

Les surveillantes ont ensuite saisies la prisonnière nue par les cheveux et l'ont trainer dans la pisse et les déjections !

Le lendemain matin quand l'équipe de la journée à découvert ça, une femme prisonnière nue dans une cellule sale et puante le corps badigeonné plein de merdes, ils ont hallucinés.

L'affaire a vite été étouffée.



Liens : 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire