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| Femmes pudiques forcées d'être nues en public. |
La situation très difficiles des femmes prisonnières des forces américaine.
En juillet 2004, pendant la seconde guerre en Irak, éclate le scandale des tortures et mauvais traitements qu'infligent les soldats américains aux détenus irakien dans la prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale, Baghdad. Plusieurs journalistes enquêtent et ont put rencontrer et interroger des anciennes femmes prisonnières irakiennes qui témoignent du traitement inhumain et dégradant imposé aux femmes.
L'une des ancienne prisonnière raconte sous anonymat que les gardiens militaires américains hommes et femmes traitent durement les femmes et les humilient chaque jours.
Les femmes irakiennes arabe et musulmane sont dévoilées et complètement déshabillées devant des hommes pour mieux les humilier. Elle reste choquée comme toutes les autres détenues par les fouilles à nu et les fouilles des cavité répétées parfois plusieurs fois par jours, et qui se déroulent devant des hommes.
Les prisonnières sont interdites de porter des vêtements et des chaussures, prennent des douches collectives nues sous les yeux des gardiens, sont photographiées à poil, doivent parader nues devant les autres prisonniers et faire des taches diverses (lavage des sols, corvées, , préparation et distribution des repas etc.).
Les femmes ici sont souvent des institutrice, professeurs, bourgeoises journaliste, paysannes et les américains leur imposent d'être nue et pieds nus en permanence, sans pudeur, pour les punir et les dresser.
La nudité et les fouilles à nu sont dans cette prison des punitions cruelles et sans pitié imposées a des femmes souvent innocentes. Pour les gardiens et autorité pénitentiaires, les détenues doivent toutes être "traitées" et leur traitement est "amplement mérité" à partie du moment ou elles ont été arrêtées.
Les surveillants sont strictes et aiment dominer et humilier les captives de guerre, les obliger de rester nues devant tout le monde, les forcer à montrer leurs grosses fesses, leurs seins et chattes avec l'interdiction de les cacher sous peine de punition.
Les américains sont fiers de dominer les femmes pudiques, de les forcer a s'exposer en tenant des propos pro nudiste, chaque prisonnière doit répéter en arabe et en anglais différents propos du type "Je vous remercie de me garder nue". Les gardiens interrogent régulièrement les femmes pour les railler "Sur le fait qu'elles de baladent les fesses à l'air".
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RépondreSupprimerJe connaissais un agent immobilier qui donnait des coups de règle en fer à ses secrétaires ou assistantes cul nu couchées sur son bureau. il savait que cela faisait très mal lorsque les coups étaient assénés tout en haut des cuisses sous la rondeur des fesses, cris larmes et promesses de ne plus recommencer assurés.
RépondreSupprimerJC
Certainement que les agents immobiliers ne se gênaient pas à cette époque-là. Les secrétaires étaient fessées cul nu, et même si elles étaient mariées ou mères de famille, ça devait être le même tarif.Peut-etre qu'il y a eu la mise à poil de la secrétaire après la fessée couchée sur le bureau, mais ça, dieu seul le sait !Ce qui ne serait pas mal non plus !
SupprimerMilky 2
C'était l'époque des hôtesses nichons. Une employée accompagnait l'agent lors de visites de biens haut de gamme et c'était à elle de convaincre l'acheteur souvent connaisseur en femme. Il ne se laissait pas conter d'histoires sur le bien mais se régalait à faire mettre la fille nue, lui pinçait les fesses...les têtons. Si à la fin de la visite l'affaire n'était pas conclue, la fille était fessée et licenciée sur le champ.
RépondreSupprimerJC
Et ça devait arriver que l'hôtesse ne voulait pas se mettre toute nue. Mais je pense que là, ça devait être sa fête !
SupprimerMilky 2
A la fin de l'entretien d'embauche, la fille était debout nue face au patron qui portait à sa connaissance le règlement de l'agence. En cas de retard, mauvais travail, faute, c'était selon les cas, la fessée, des coups de règle en fer ou de badine cul nu.
SupprimerPour les visites de bien immobilier, elle devait se mettre nue d'elle même ou accepter les demandes de l'acheteur. Toute manifestation de pudeur ou acte de résistance sera puni d'une mise à nue forcée, les vêtements arrachées pouvant se déchirer avec et de vigoureux coups de badines suivis par un licenciement .
manifestation de pudeur JC
Même si une femme était mariée, elle devait aussi se mettre nue devant le patron de l'agence et il lui arrachait ses vêtements si elle ne voulait pas se déshabiller ?
SupprimerMilky 2
Toutes les candidates à un emploi devaient se mettre nue, mariées ou non, jeunes ou moins jeunes (50 ans maxi). Le blocage arrivait très souvent lorsque la femme était en sous vêtements. Le soutien gorge pouvait être enlevé de force sans dégât, le slip cachant l'intimité de la femme qu'elle ne voulait pas dévoilée était enlevé de force et donc très souvent déchiré.
SupprimerJC
J'imagine un peu, quand une femme entre 25 et 30 ans, si elle était tout juste mariée, candidate à un emploi, dans le bureau du patron, qui ne voulait pas enlever son slip, le patron se lève de son bureau et lui dit qu'il veut tout voir, qu'il n'y a pas qu'à son mari qu'elle doit tout montrer.Sur ce, et au moment où la femme s'y attend le moins, le patron lui déchire son slip.Le patron lui dit alors :"Là, comme ça au moins, je vois bien ta fente. Dorénavant, tous les matins, tu viendras enlever ton slip dans mon bureau. Tu pourras le récupérer le soir après la fin de ton travail".Après, je ne sais pas si elle en a parlé à son mari, car si elle voulait garder son emploi, il valait mieux qu'elle se taise, je pense.
SupprimerMilky 2
Dans ce cas, la femme n'en aura pas parlé à son mari sinon il l'a suspecterait d'aguicher son patron. J'ai connu des employeurs qui confisquaient le slip le matin et ne le redonnaient que le soir tout en se réservant le droit de faire des vérifications comme quoi l'employée était bien cul nu. pendant le temps de travail.
SupprimerJC
Et ces employeurs, comment s'y prenaient-ils pour confisquer le slip de la femme employée ?Ils faisaient venir la femme dans leur bureau et elle devait l'enlever devant lui, ou c'était lui qui relevait la jupe et lui enlevait son slip ?
SupprimerMilky 2
Un des jeux favoris est de faire masturber debout la mère devant sa gamine ou de lui faire sucer son fils à genoux ou encore de faire prendre la mère en levrette par le fils
RépondreSupprimerUn des jeux favoris avec les prisonnières c'est de les faire se masturber debout jusqu'à la jouissance ou de les attacher par les bras, les jambes écartées et les gardiens les masturbent avec les doigts en leur mettant un doigt dans l'anus, en branlant le clitoris entre deux doigts , un bon spectacle humiliant certaines urinent
RépondreSupprimerCe qui serait bien aussi, c'est d'amener une femme détenue devant son mari qui est assis attaché sur une chaise. Là, il voit sa femme en slip seins nus. Un garde s'approche et en regardant le mari un instant, il se tourne vers la femme et lui enlève son slip. Ensuite en regardant bien le mari, il masturbe la femme, tout en lui demandant si il a déjà masturbé sa femme et qu'il l'a fisté. Que de toute façon, peu importe la réponse, il allait fister sa femme devant lui et qu'il la ferait jouir. Tout en introduisant sa main entière dans le vagin de la femme, le garde a indiqué au mari, que pour l'instant, ce sont les réjouissances, et qu'ensuite s'il persistait dans cette voie, avec d'autres gardes, ils allaient torturer la chatte de sa femme devant lui, en la faisant mettre à califourchon sur un cheval espagnol, qu'ils la prendrai par les hanches pour la faire aller et venir dessus pour que ça lui coupe un peu sa chatte. Quelle sera la réaction de son mari ?Accepter de parler ou voir sa femme se faire torturer ?Mystère !
SupprimerMilky 2
En attente d'etre présentées une par une sur une estrade pour la mise aux enchères en sachant qu'il n'y aura aucune limite à leur utilisation. Elles devront se pencher, on tirera sur leurs fesses pour présenter les orifices et les mamelles les lèvres vaginales étirées et le clitoris sorti comme du bétail
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