samedi 28 septembre 2024

Une fille parade nue dans les couloirs du logement étudiant lors du bizutage.

Nudité et bizutage universitaire.
Fille toute nue dans les couloirs de la fac lors du bizutage.

C'est la rentré, c'est synonyme de bizutage étudiant.

 Chaque années depuis des décennies, au mois de septembre et d'octobre, pendant les premières semaines de la rentée universitaire, il y a une tradition qui se transmet de génération en génération : le bizutage.

Ici nous pouvons voir les fesses de Clara, une jeune étudiante en économie qui est obligée de faire sa parade toute nue sous le regard des anciens, du personnel de l'université et des passants et des curieux. Si vous remarquez, ses plantes de pieds sont sales et noircis par la poussière, car la jeune étudiante doit se soumettre à la marche à poil, une tradition qui oblige les nouveaux à parader à poil dans toute l'université, sur le campus, dans le parc municipal et dans le centre ville.

Les bizutes ont parfois quelques missions comme allumer les mecs qui passent, danser, chanter, ou distribuer des gâteaux et des chocolats aux passant, car le bizutage est un jours de fête.

Clara n'est pas forcément très pudique, en témoigne ses marques de bronzages de vacances, elle fait du topless sur les plages donc cette mise à poil ne l'a pas trop dérangé contrairement à d'autres filles plus pudiques.

 

Lien : 

A poil en centre ville.

 

vendredi 27 septembre 2024

La nudité forcée est difficile à vivre pour les femmes prisonnières.

La nudité des femmes prisonnières
Une prisonnière prise en photo nue

 Zeyna découvre les joies de la prison.

 Les femmes arrêtées lors de la campagne militaire américaine contre le terrorisme en Irak et incarcérées dans la prison d'Abou Ghraib ressortent toujours profondément marquées et changées de cette expérience singulière.

Zeyna J, une femme irakienne d'une trentaine d'année vient de passer 8 mois dans ce sinistre endroit ou les droits de l'homme (et de la femme accessoirement) sont bafoués constamment et la dignité humaine déniée pour les détenus.

Depuis le 11 septembre 2001, les Etats Unis ont mis en place des lois et des règlements donnant la possibilité aux forces armée, à la police et aux services de renseignement d'utiliser des techniques d'interrogatoire renforcées considérées par beaucoup comme de la torture. De plus la majorité des militaires sont ivres de vengeance et n'ont plus aucunes limites dans leur volonté de dégrader et d'humilier leurs ennemis.

En Irak, certaines femmes détenues comme Zeyna, sont traiter selon le processus mis en place qui vise à briser l'égo des détenus. Cette femme est une fonctionnaire de l'ancien ministère et les forces militaires l'a soupçonne de liens avec des membres de l'ancien régime et de refuser de parler, ce qui lui vaut une incarcération pour une durée indéterminée le temps de faire certaine vérifications.

La loi donne une grande variété de moyens de pressions aux forces armées pour punir les détenus, et les responsables de la prison d'Abou Ghraib sont de fervent défenseur du la technique de la "nudité forcée", et bien sur, les femmes comme Zeyna y sont soumises au même titre que les hommes.

Ils estiment que pour les détenus irakiens majoritairement musulmans, la nudité est particulièrement infamante et humiliante, et par conséquent que c'est un moyen de contrôle très puissant et efficace. Les femmes comme Zeyna, ceux sont des femmes très pudiques, qui portent des larges  et amples vêtements traditionnels et qui couvrent leurs cheveux et leurs cous avec des voiles (hijab). C'est donc avec effroi qu'elles découvrent ce qui leur arrive lors de leur arrestation qu'il faut se déshabiller.

Zeyna en tant que pieuse et respectable femme arabe et musulmane se retrouve toute nue et pieds nus devant les gardes américains. Les équipes de surveillances sont mixtes pour habituer et forcer les prisonnières à être à poil devant des hommes pour rendre l'humiliation mémorable.

Le hijab et les robes traditionnels sont considérés comme des signes d'extrémisme religieux par la direction et détruit. 

La détenue conformément aux pratiques de la prison est fouillée et inspectée en profondeur (anus, vagin) et même entre les orteils et sous les plantes des pieds.

Les femmes se voient aussi raser leurs poils pubiens, et leurs vulves visibles et propres en permanence , pour qu'elles soient le plus nue possible

Pour maximiser l'humiliation les gardiens filment les femmes et les prennent en photo qu'ils exposent dans toute la prison.

Lien :

Le processus d'humiliation des prisonnières.




 

jeudi 26 septembre 2024

Une prisonnière découvre la nudité forcée et le confinement solitaire.

Prison BDSM nue
Nue et pieds nus en prison.

 

 Lamia découvre la nudité forcée et l'isolement en prison.

La jeune détenue irakienne musulmane est gardée en isolement selon des règles très strictes. Sans respect pour ses croyances religieuses ni sa pudeur, les gardes l'ont mise totalement à poil, elle qui était  voilée couverte de la tête aux pieds est désormais nue comme le jours de sa naissance et enfermée dans une petite cellule vide éclairée en permanence , dépourvue de lit, avec un seau pour faire ses besoins. De plus les gardiens lui ont mis une chaine reliée à une lourd pierre à la cheville pour limiter sa vitesse de déplacement.

Lamia passe 23/24h dans sa cellule sans aucune intimité, même quand elle fait caca dans le seau les gardes peuvent la voir...

Les gardiens l'a sorte en général une fois par jours pour aller à la douche, elle est bien sur escortée nue et pieds nus et obligée de s'exposer devant les autres prisonniers.

Il faut le voir pour le croire,les gardes obligent la jeune prisonnières à marcher à poil pour une parade de la honte et disent aux hommes "Regardez ce qu'ont fait de vos femmes et de vos filles, elle c'est Lamia G, elle est à poil, regardez  moi ses petits seins c'est une honte, qu'est ce qu'elle est laide

Lien :

Détenue sans vêtements.



mercredi 25 septembre 2024

La prison ou la nudité est imposée aux détenus.

Une fille en hijab se déshabille.
Une détenue pudique tente de garder son hijab

 La nudité est si répandue dans cette prison.

L'unité d'isolement et de confinement du renseignement militaire américain dans le complexe de détention d'Abou Ghraib pendant la seconde guerre d'Irak est considérée comme l'une des prisons les plus dures et crainte dans le monde.


Cette aile de la prison est connue pour la nudité imposée aux prisonniers, qui du point de vue des gardien est tout à fait normale. Les détenus défilent les fesses à l'air devant tout le monde.


 Les observateurs étrangers étaient régulièrement témoins de prisonniers laissés nus en permanence pendant plusieurs mois.


Un membre d'une ONG internationale raconte son témoignage devant les enquêteurs à propos de la prisonnière Maha, une femme de 31 ans, qui a due être escortée hors de son unité de détention pour un bref rendez vous avec son avocat et un juriste international.


C'est l'une des rares situations ou des vêtements sont remis aux prisonnières et Maha était toute heureuse de pouvoir s'habiller après plusieurs mois de nudité totale.


Certes elle est rester nue depuis son arrivé, et s'est habituée et a perdue toute traces de pudeur, mais elle n'avait pas du tout apprécier la première fois ou elle a du se mettre à poil, donc les gardiens anticipent une certaine résistance. 
De plus, elle avait l'air  très contente quand on lui a prêter des vêtements pour sa courte escapade hors de la section d'isolement. Elle s'est habillé avec attention pour paraitre élégante et bien vêtue. 

Elle avait été habillée d'une longue tunique noire, un saroual et bien sur un foulard (hijab) qu'elle a pu enroulé autour de sa tête et drapé sur le haut de sa poitrine et une paire de tong. Elle était toute ravie de pouvoir enfin se couvrir corps.

Bien qu'elle ait réclamer de mettre une culotte, car elle estime qu'il est indécent pour une femme de sortir sans ses dessous, aucune ne lui a été remise, mais elle était joyeuse et fière de se couvrir.

Une autre femme détenue dans la cellule voisine l'a vue sortie, elle l'a féliciter et lui avait dit "Waouh tu es trop belle comme ça" puis elle avait demander  aux gardes si elle pouvait se vêtir elle aussi. Les gardiens avaient bien entendu refuser cette requête.

Maha avait fait un petit défilé rapide et couverte pour sa visite de quelques dizaines de minutes avec l'avocat.

Pour la rendre présentable, il lui avait été permis de porter pendant sa "sortie" une tenue relativement élégante et couvrante respectueuses des normes culturelles et religieuses des femmes arabes musulmanes du moyen orient pour que les observateurs étrangers pensent que les Etats Unis traitent bien leurs captifs, mais le règlement et les consignes données aux gardes prévoient des fouilles approfondies après chaque visites et retour en cellule.

"Déshabille toi !" vient lui rappeler sèchement  l'un des surveillants, "tu connais les règles ici. pas de vêtements, retire tout !". 
 
Maha : "Je préfère vous rendre les vêtements depuis ma cellule ou la salle de fouille." 

"Non, c'est dans toute la section d'isolement que les prisonnières doivent être nues selon notre règlement, tu dois te dénuder en entrant !.
 
La jeune prisonnière avait d'abord commencer par enlever ses tongs et posait ses pied nus sur le sol, puis son bas de sarouel et sa longue robe. Étant donner qu'elle n'avait pas été autorisé à porter de culotte ni de soutien gorge, elle était à poil avec son hijab.

Les gardes américains riaient de voir la détenue juste en hijab "Tu n'a pas l'air maline le cul nu avec ton voile sur la tête" Une autre américaine un peu sadique et méchante ajoutait "Tu va nous supplier de t'ordonner de te libérer de ton hijab et de le déchirer.".

Cette gardienne était une vraie peste avec les prisonnières irakiennes, elle avait toujours inciter pour obliger les prisonnières à être dresser nues et pieds nus pendant toute leur durée d'incarcération, pour bruler et détruire leurs voiles et abayas devant elles pour combattre l'archaïsme, d'obliger les femmes à parader nues les mains sur la tête, de leur fouiller longuement dans la chatte et le cul etc.

"Maha, que ressens quoi toute nue avec ton voile  sur la tête ?"

Maha répond par la phrase suivante : "Mais c'est vous qui m'avez donner des vêtements pour ma visite, et il y avait un hijab."

"Oui , mais rien ne t'obligeait à le mettre, nous ne t'avons prêter que des vêtements que pour ton entretien en dehors de notre section, c'est pas nous qui les avons choisis, nous nous sommes opposés à ce que l'on te propose un couvre chef pour ta sortie mais nos supérieurs nous ont obliger de te le proposer par respect pour ta culture et ta religion.

La gardienne vicieuse ajoute "Nous savons que tu es une pute qui mouille de la chatte à chaque fouille des cavité et que tu te gouine avec d'autre prisonnières dès que tu en à l'occasion sale lesbienne, alors sois nue !"

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mardi 24 septembre 2024

Les interrogatoires renforcés

Nudité forcée, stress position et interrogatoire renforcé.
Prisonnière nue en position de stress lors d'un interrogatoire renforcé

Le système d'interrogatoire renforcé à Abou Ghraib

Irak en 2004.

Lorsque l'armée américaine arrêtent des suspects irakiens, ils sont placés en rétention temporairement au niveau du bataillon les ayant arrêtés. Puis le renseignement militaire détermine si les personnes arrêtées peuvent avoir de la valeur en matière de renseignement ou sont raisonnablement susceptibles d'être liés a des activités menaçant le sécurité. 

Les personnes que le renseignement militaire estime être dangereuses sont transférées dans des prisons spécialisées dans les interrogatoire comme le célèbre camp d'Abou Ghraib.

Dans la section gérée par le renseignement militaire d'Abou Ghraib, les procédures de coercition physique et psychologique visent à soumettre et humilier les captifs afin de les faire parler rapidement.

Les officiers militaires reconnaissent que mètrent complétement nus les prisonniers fait partie de ce processus afin de s'assurer de leur "coopération".

Les techniques d'interrogatoires officielles inclus :

- L'utilisation de cagoules pour désorienter les prisonniers et les empêcher de voir et d'entendre.

- Port de menottes en entraves permanentes

- Le fait d'être garder dans de petites cellules vides en isolement complet avec privation de sommeil, limitation d'accès à l'eau et à la nourriture, interdiction de parler, refus d'accès à l'air libre, et limitation de l'hygiène.

- La nudité forcée, même pour les femmes irakiennes musulmanes qui sont interdites de porter des vêtements et des chaussures au même titre que les hommes.

- Les obligations de parader et de marcher nues et pieds nus en dehors des cellules et en présence des gardiens des visiteurs et des autres personnes privées de liberté.

- L'obligation de prendre des postures inconfortables et humiliantes, comme rester débout à poil pendant plus de 8 heures d'affilée, ou de rester dans des positions de stress. 

- Une prisonnière nue devaient rester et faire la chaise pendant plusieurs minutes sous la menace d'être battue et fouettée.


Lien : 

 

Humiliation et interrogatoire musclé.


lundi 23 septembre 2024

Les humiliants et pervers sévices imposées aux femmes détenues.

Des femmes pudiques humiliées et exposées nues.
Deux prisonnières exhibées nues en bondage.

 Les gardiens humilient les femmes prisonnières.

Les femmes irakiennes détenues par les forces américaines dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak sont systématiquement humiliées et soumises à des traitements dégradants en mai 2004.

Deux femmes, une fille d'un ancien responsable irakien en fuite et sa copine sont régulièrement humiliées. Les forces de sécurité et les autorités militaire US estime que les femmes détenues doivent être reformatées et reconditionnées et perdre toute pudeur.

Ces deux femmes sont des respectables et pieuses musulmanes culturellement conservatrices, elles portent le hijab (voile) et sont très pudiques, alors les gardes les ont misent toutes nues, pieds nus aussi et leur ont raser la chatte pour les dégrader encore plus.

Un jours les gardes ont eu l'idée de les ligotées et attachées dans des positions dégradantes, pour les exposer jambes ouvertes avec chatte rasée, seins à l'air publiquement devant tout le monde.


Pas de commentaire comportant d'actes de tortures SVP.  Tous les commentaires incluant des mutilations ou des viols sont interdits et seront supprimés.

Lien : 

Rapport de la visite de la prison d'Abou Ghraib.


Linda passe la visite médicale de la fac.

 
Les étudiantes soumisent à l'examen gynécologique.
Examen gynécologique pendant la visite médicale.
 

Visite médicale embarrassante.

 "Linda F !" appela l'infirmière du centre de médecine préventive universitaire du campus, l'endroit ou se déroulent les visites médicales obligatoires pour les étudiantes en première année.

"Suivez moi" dit  gentiment l'infirmière en blouse blanche. Elle conduit l'étudiante dans une salle d'examen médicaux sommes toute assez simple et classique, avec une table d'examen au milieu, tout pour une balance médicale électrique peser et mesurer, du matériel médical, des affiches de prévention collées aux murs, des étagères bien en ordres et un un bureau avec un PC et une chaise en face.

"Alors Linda, vous pouvez vous asseoir le médecin arrive, déposez votre veste sur le porte manteau.

Le médecin arrive, c'est un homme de 40 ans, assez beau et sportif en blouse blanche.

"Bonjour je suis le docteur Seddik, j'espère que tu vas bien, c'est aujourd'hui ta visite médicale, tu a besoin que je te valide l'examen  et que je te déclare apte pour pouvoir valider ton année. Nos étudiants étant amener à travailler en entreprise  ou dans l'administration pour leurs stages, nous devons nous assurer que tout aille bien au niveau santé.

Après quelques questions sur son âge, ses habitudes alimentaires , sa consommation d'alcool de tabac et de drogue, et après avoir consulter son carnet de santé, le docteur déclare que tout à l'air d'aller bien mais qu'on va voir tout ça pendant l'examen médical.

"Déshabille toi derrière la cloison, y compris tes sous vêtements".

L'ordre du médecin résonne encore dans la tête de Linda, dans quelques instants elle sera complétement nue devant ce docteur parfaitement inconnu qui ressemble plus à un playboy qu'a l'image qu'elle se fait d'un médecin ...

Mais son avenir est en jeux, donc elle n'a pas le choix.

"Oui la culotte aussi bien sur j'ai dit tout" car Linda hésite à l'enlever.

"Tu as toujours tes chaussettes il faut aussi les enlever voyons Linda, une visite médicale se déroule toujours pieds nus.".

Etudiante se déshabille à la visite médicale.
Il fait enlever les chaussettes et être pieds nus à la visite médicale.

 

Ensuite le docteur utilise son stéthoscope pour écouter le cœur et la respiration de Linda, il en profite pour lui titiller les tétons et fait exprès de placer le métal froid sur le bout des seins de l'étudiante, lorsqu'il vérifier les poumons, Linda sent la main du docteur passer entre ses fesses  pendant qu'elle inspire et expire le plus fort possible ...

Il passe ensuite à la dentition, Linda se sent comme un animal, plus exactement un cheval, puis son cou, regarde dans ses oreilles en disant en rigolant "qu'il faut vérifier tout les trous ..." Ce qui glace le sang de l'étudiante.

"Ouvre grand la bouche et fait Ahh" dit le docteur en enfonçant sa main dans la bouche de la jeune fille qui failli vomir.

"Bien, passons aux nichons, les seins pardons" et ni un ni deux il se met à palper la poitrine de Linda dans tout les sens et à lui caresser en même temps "Oh tu es sensible, ça pointe", et je vois qu'en bas ça mouille", mais que ce passe t"il Linda ?


La jeune femme est tétanisée devant le comportement du docteur, mais en même temps elle a plus envie de se doigter voir plus, se faire baiser.


Après s'être fait plaisir, le docteur donne une tape sur les fesses de Linda et lui dit "Allez file sur ta table, pose tes petites fesses là bas"


Le docteur palme la jeune fille sur la table d'examen, il commence par le ventre qu'il malaxe bien, puis les cuisses, vérifient les pieds et même entre les orteils "C'est bien Linda tu ne sens pas mauvais des pieds contrairement à beaucoup de tes camarades crados", par contre y'a quelque chose qui coule de ta chatte ça t'arrive souvent ? voyons ça.

L'anus a l'air serré, mais il est propre, l'hygiène anal est important, par contre pour ta chatte va falloir trouver une solution, on va appeler un plombier pour déboucher tout ça, il a de gros outil pour régler tout ça".

Le docteur de la fac est un vrai pervers.
Examen gynécologique pervers à la fac.

"Écarte bien les cuisses", et là stupéfaite Linda voit arrivé Jean Pierre le mécano de la France, l'homme à tout faire, le concierge du campus avec des drôles d'objet".

"L'avant de la boutique ou l'arrière" dit Jean pierre en essayant de masquer son érection et rangeant son zizi tout dur dans son froc. Elle a toujours sut que ce mec était un pervers, un vieux qui vient lui enfiler un gode dans la chatte "sous prétexte qu'il y a une fuite de liquide non identifié !

Le pire c'est qu'elle jouit "comme une salope" avec ses petits gémissement de chienne. Linda est proche de l'orgasme, elle ne répond plus de rien ...


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Lamia et le médecin.


dimanche 22 septembre 2024

Une prisonnière escortée nue dans les couloirs.

La nudité imposée pour les prisonnières musulmanes et chrétiennes.
Une prisonnière nue escortée par un gardien en uniforme.

Scandale nudité forcée en prison.

Les médias nous informes que pendant la seconde guerre d'Irak, les forces armées américaines qui occupent le pays entre 2004 et 2011torturent et humilient régulièrement les prisonniers, en particulier dans le centre de détention d'Abou Ghraib.

Certaines photographies montrent des femmes prisonnières nues et exhibées totalement dans les couloirs de la prison.

Les femmes détenues sont gardées toutes nues au mépris de leur culture et religion, l'islam qui enseigne la pudeur et la modestie, les détenues musulmanes sont obligées d'enlever tout leurs vêtements devant tout le monde.

Ce traitement serait systématiquement mis en place pour punir et humilier particulièrement les femmes, en effet la majorité portent le voile et de longues robes arabes traditionnelles par respect des commandements de leurs religion et parque la culture arabe prône la pudeur. Les autorités veulent combattre la radicalisation et promouvoir la laïcité et le progrès et pour cela il faut déshabiller les femmes et humilier les hommes.

Les gardes américaines comprennent et appliquent les consignes avec une très grande implication.

"Les irakiens voilent les femmes et les enferment, en tant qu'américain, nous montrons la voie inverse et les déshabillons."

"Nous ne leur faisons aucun mal, nous leur expliquons que dans le monde civilisé les femmes ne portent pas de voile ni de large robe et se découvre, et qu'avec nous elles n'ont pas à se soucier de leur pudeur puisqu'on détruit leurs vêtements rétrogrades et obscurantistes".

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Stricte discipline.



samedi 21 septembre 2024

Les filles alignées nues lors du bizutage

Nudité collective et bizutage étudiant.
Les filles toutes nues pendant le bizutage.

 Qui dit rentré dit bizutage.

Nous sommes au mois de septembre, c'est la rentré universitaire, certaines filles de premières années ont commencé à sympathiser Mélanie, Elodie, Solène et Inaya, elles viennent d'horizon différents. 

La première est venue sur Paris depuis l'Ardèche pour poursuivre ses études supérieures elle vient de quitter un village calme tranquille pour le mouvement de la ville. Pour elle tout est nouveau et le rythme de vie est très différent.

La seconde, Elodie est une pure parisienne, stressée et antipathique une vrai boule de nerf tout le temps pressée. 

La troisième, Solène est une "sudiste", une marseillaise à Paris, elle à encore son accent très fort et très identifiable de sa ville d'origine, c'est une fille assez déjantée qui supporte l'OM. 

Inaya est une jeune fille musulmane voilées, c'est une fille assez cool et sympa très travailleuse et bien organisée, elle est originaire d'une petite ville bourgeoise du 92 en région parisienne.

Ces jeux filles forment dès les premiers jours un groupe de copine. 

Dans leur établissement d'enseignement supérieur, le bureau des étudiants organise "la journée d'intégration" en général une ou deux semaines après la rentré, en général vers mi septembre car c'est encore l'été et il fait chaud.

Ce jours là, dès le matin, les organisateurs du bizutage, qui ont mis sous coupe réglé le campus universitaire avec bien sur le soutient et la complicité de la direction, du personnel administratif et de sécurité et des professeurs. Les anciens réunissent les filles de premières années, il y a des patrouilles sur le campus, les anciens ont accès aux caméras de sécurité pour pouvoir traquer toutes fuites et ils disposent de la liste des premières années.

Les filles du groupe que nous suivons ici sont, comme à leurs habitudes en train de réviser à côté de la cafétéria du CROUS en train de discuter, siroter du café ou du thé et mangeant des donuts et des croissants.

Les anciens organisés en petit groupes de sept à huit débarquent et identifient directement les filles qui sont aujourd'hui des "proies".

"Vous êtes toutes convoquées dans l'espace d’accueil principal de campus, c'est la journée d'intégration aujourd'hui, suivez nous".

Les quatre filles suivent sans trop faire d'histoire, en allant vers le bâtiment principal, elles commencent pour certaines à paniquer en apercevant de loin des filles qui ont l'air d'être toutes nues et qui sont  trainées par les gros bras du bureau des anciens.

Avant d'arriver sur le lieu de rassemblement, le filles sont amenée dans un petit bâtiment annexe ou se déroulent les "Travaux Dirigés " TD.

Les anciens sortent un carton et ordonnes aux filles de se "mettre à poil" et de ranger leurs vêtements dans le carton qui contient l'inscription "Filière scientifique classe 2", avec les prénoms Inaya, Mélanie, Solène et Elodie."

"Vous vous déshabiller, c'est comme à la plage ou à la piscine mais vous retirer aussi le slip " ordonne une fille de seconde année.

"A poil" ordonnent les autres en hurlant et frappant avec des casseroles contre les murs

Si pour Solène, se déshabiller n'est pas trop un problème, c'est une fille délurée qui à passer son été sur la plage à faire du topless et parfois du nudisme, c'est plus difficile pour les autres. "Allez les filles c'est juste un petit moment à passé ensuite vous serez tranquilles" dit Mélanie pour encourager ses copines avec son petit accent chaleureux. 

Mélanie est assez soumise de nature, avant d'arriver ici elle était dans un pensionnat catholique et les bonnes sœurs l'ont souvent obligées à se mettre toute nue pour lui infliger des corrections ou l'humilier. Elle a tendance à suivre Solène qui se déshabille avec plaisir.

Inaya avec son hijab et sa robe abaya est très gênée, si sortir ne la gêne pas, elle tient toujours à rester pudiques et garder son voile lors de ses activités de loisir, elle va à la salle de sport, prend des cafés ou des verres avec ses copines toujours avec son hijab.

Élodie, elle c'est une râleuse "Oh non c'est pas vrai dit t'elle, c'est pas des conneries toutes ces histoires de bizutages, c'était bien vrais ..." .


Les anciens cherchent avant tout l'efficacité, ils n'ont pas le temps de gérer les Etats d'âmes des nouvelles. ils augmentent leur pression sur les filles "Déshabillez vous, enlevez tout".

"Nous respectons vos coutumes et vos traditions religieuses, Inaya tu n'aura pas à boire d'alcool ni à manger de porc dans les épreuves de jours il y à du champomy et des snacks halal et végan , mais tu dois te mettre toute nue comme tout le monde".

Solène qui est presque à poil vient de défaire son soutien gorge et secoue ses  gros seins en rigolant et en faisant "WOOUUUUUH". Mélanie elle est en sous vêtement / chaussettes.

Solène baisse son petit short en jean pour dévoiler sa belles culottes en dentelle rouge. Elle est très content de son coté et trouve ça très amusant. "Allez les filles soyez cool c'est le fête on va trop s'amuser et rigoler".

L'une des anciennes prend son téléphone, va sur l'onglet minuteur, l'active  et indique sur si dans 1 minutes tout le monde n'est pas déshabillé, le groupe entier sera puni. Les filles sont attendues pour les présentation dans le bâtiments principal et il ne faut surtout pas être en retard.

Pas le choix, de toute façon elles savent que les anciens utilisent la force si besoin pour mettre à poil les récalcitrantes "Nous arracherons et découperons vos vêtements".

 Inaya est rouge de honte et retient ses larmes, mais elle n'a pas envie qu'on lui détruise ses affaires. 

Solène déjà à poil tire la culotte de Mélanie la catholique, Elodie après avoir fait "Pff" l'air énervée se déshabiller, et Inaya essaie d'enlever sa grande robe mais c'est compliqué car elle n'arrive pas à attraper sa fermeture éclair, Solène l'aide.

A la fin du temps imparti les filles sont en règles, ou presque, Solène a toujours ses petites tongs (flip flop) et Inaya et Elodie portent des chaussettes.

"A poil, vous devez être pieds nus".

Les filles sont ensuite obligées de marcher nues les mains sur la tête en direction pour rejoindre les autres filles de premières années qui sont alignées toutes nues, elles doivent tout montrer.

Un des responsables du bizutage en passant en en revue les nouvelles constate qu'il y a un problème, derrière Solène et Inaya se tient une fille d'un autre groupe, et cette fille à encore ses baskets et ses chaussettes, ce qui est intolérable, les nouvelles doivent être nues et pieds nus toutes ensemble et à égalité.

La jeune fille qui à garder ses chaussures et les anciens qui ont oublier de lui faire enlever vont être sévèrement punis et très humiliés !

Lien : 

Exhibe et Nudité pendant le bizutage.

 

 

vendredi 20 septembre 2024

Histoire BDSM : L'humiliation d'une prisonnière pudique en prison.

Nudité forcée et conditionnement des prisonnières musulmanes.
Nue et pieds nus dans une position stressante et dégradante.

Humilier et dégrader pour faire parler.

 

Les femmes irakiennes qui sont faite prisonnières par nos forces armées et qui arrivent dans la prison militaires d'Abou Ghraib sont des cibles importantes : elles peuvent détenir des informations stratégiques et vitales ou être impliquées dans des actes de rebellions ou de terrorisme. Il est important que les gardes n'aient aucune pitié ni aucun états d'âmes à leur imposer le traitement qu'elles méritent.

Les gardes doivent être sans aucun scrupules et appliquer les consignes des responsables de la prison et des interrogatoires, c'est crucial pour la réussite de la mission qui est de collecter des informations.

Ces femmes sont souvent assez importantes dans leurs société d'origines : professeur, scientifique, pharmacienne, journaliste, femmes d'affaires ou femmes de riche famille, bref la plupart sont issue de la bourgeoisie de l'ancien régime.

Elles sont aussi pour la plupart musulmanes sunnites avec quelques fois des chiites, et ont des valeurs très conservatrices et suivent  une religion qui leur enseigne la pudeur et la modestie depuis leur petites enfance. Elles n'ont jamais ne serait ce que porter un maillot de bain en public à la piscine ou à la plage, ni porter de mini jupe débardeur par exemple. Elles portent des voiles (hijab) pour couvrir leurs cheveux et cou, et de longues robes arabe traditionnel appelé "Abaya", certaines sont même quasiment couverte de la tête aux pieds ou d'autre portent des grand ensemble noir appelé tchador.

Tout ces attirails de vêtements ont une valeur morale et religieuse aux yeux de ces femmes, ceux sont des marqueurs identitaires. Alors nos responsables ont décider d'utiliser les tabous culturelles et religieux des détenus contre eux, nous devons exploiter leurs faiblesses.

Par exemple cette professeur de lycée que vous pouvez voir sur la photo,  Houda D, c'est la cousine d'un ancien ministre et une femme très pudique, pieuse et respectée qui à former beaucoup d'élèves à la langue anglaise, qui a beaucoup voyager dans le monde arabe et en Europe, elle parle arabe et l'anglais, mais se débrouille aussi en allemand et en français.

C'est très humiliant pour elle quand elle a mis les pieds dans la prison d'Abou Ghraib. Les gardes l'ont dépouiller de ses papiers d'identité, de sa montre, de ses bijoux,  de son argent, de ses effets personnels, de ses boucles d'oreilles avant obliger à se déshabiller.

Comme 95% des femmes incarcérées ici, elle a coopérer,  il n'y a pas besoin d'utiliser la force car les femmes comprennent qu'elles n'ont pas le choix, les gardes sont nombreux et trop costauds et n'hésiteront pas à les frapper si nécessaire.

Le déshabillage doit être public et avoir lieu devant des hommes, car les femmes musulmanes ont le droit de se dévoiler devant d'autre femmes dans leur vie privée, d'aller voir une gynécologue etc. Alors il faut les humilier en présence d'homme. Certains gardes préfèrent obliger les femmes à d'abord enlever leurs voiles, d'autre laissent les femmes enlever un à un leurs vêtements, pour ça nous recommandons aux gardes de suivre leur feeling.

Les gardes ont fait enlever le voile d'Houda en premier, l'une des gardiennes est très hostiles au hijab qu'elle voit comme un signe d'arriération et de domination des femmes. Ensuite il faut qu'elle enlève tout, c'est bien de rire, d'insulter et se moquer d'une prisonnière dans cette situation pour accroître son malaise et son embarras. Des hurlements comme "à poil" "montre ton cul" sont toujours sympa pour l'ambiance.

Obligez là à regarder les gardes dans les yeux quand elles enlèvent leurs vêtements et qu'elles se font traiter de putes.

Une fois déshabillée, faite quand même attention à ne pas oublier de confisquer les chaussettes ou les tongs (flip flop) car même si ça n'a pas été le cas pour Houda à qui les gardes ont découvrir ses pieds, par le passé certaines prisonnières ont pu garder leurs chaussettes et ce n'est pas permis.

Houda, une fois nue et pieds nus a été pris d'une crise de panique, toute rouge et s'est mise à pleurer.

Elle doit suivre les ordres et tourner sur elle même lentement pour que les gardes puissent voir ses seins, ses fesses, sa chatte à l'air. Elle doit prendre des poses obscènes et dégradantes; ouvrir ses fesses et sa chatte, lever les seins, remuer ses orteils. Les gardes l'a traite de singe et de vaches pendant l'opération. "Elle mange trop" "sa chatte pue" voilà le genre de commentaire à faire dans ce type de situation.

La fouille des cavités est très importante, il faut toujours que les gardes insèrent leurs doigts dans l'anus et la chatte des captives, pour la sécurité bien sur, mais aussi pour marquer la domination et le contrôle.

Les femmes doivent avoir le sexe lisse donc le pubis rasé, les touffes de poils sont interdites.

Les photographies sont très importantes, tant pour remplir le dossier, que pour mieux les humilier en affichant les images des prisonnières nues un peu partout dans la prison avec leurs noms, age, date de naissance, lieu de résidence pour les humilier devant leur peuple.

Faite la ensuite se promener nue pour que le staff puisse découvrir la viande fraiche. Dites lui qu'elle n'est qu'une pute qui s'exhibe à poil sans voile.

C'est le processus de base qu'il faut pour dépouiller la prisonnière de tout ses droits, de sa liberté, et surtout de sa dignité.


Lien :

Une détenue promenée à poil dans les couloirs.

jeudi 19 septembre 2024

Les femmes misent nues en prison.


Groupe de prisonnières alignées nues.

Scène d’humiliation dans la prison d’Abou Ghraib en Irak en mai 2004.

 Une groupe de femmes irakiennes vient d'arrivé dans la prison, nous connaissons Wafa et Samia, deux femmes  d’environ 25 ans. Elles ont été arrêtées par les forces américaines pour avoir exercer des activités syndicale et critiquer l'occupation américaine du pays.

Ces deux femmes portent le voile comme toutes femmes musulmanes respectueuses des préceptes de sa religion et de sa culture, comme les trois autres femmes présentes avec elles.

Les gardes les conduisent à travers les couloirs de la prison vers une grande pièce . et quelques instants après les gardes leur ont donné l’ordre d’enlever leurs vêtements en arabe et en anglais.

« Déshabillez vous » hurlent les surveillants en hurlant et frappant sur les murs et la porte avec leurs matraques pour faire du bruit. « Sales putes , vous enlevez tout, toutes nues compris ? »

C’est un cauchemar pour  les femmes musulmanes pudiques mais la nudité est obligatoire, les gardes n’ont aucun respect pour l’intimité et la modestie des captives. « Pas de voile, pas de chaussures » « toi tu enlève tes chaussettes » hurle l’un des surveillants à Wafa qui est la seule femme à porter des chaussettes, et elle doit aussi se mettre pieds nus comme les autres.

Elles sont ensuite fouillée en public

les détenues pourtant de confession musulmane et culturellement arabe portent le hijab et sont très pudiques, mais ici elles sont nues, leurs voiles et vêtements traditionnels sont interdit.

Pour marquer leur domination, les américains gardent les femmes nues en permanence.


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Le dressage d'une prisonnière.

mercredi 18 septembre 2024

Les filles les plus pudiques sont punies durement lors du bizutage.

Piment dans la chatte lors du bizutage.
Les filles nues lors du bizutage punies par du piment dans le vagin.

Le piment dans la chatte au bizutage.

Pour les filles les plus pudiques le bizutage est toujours une épreuve difficile à passer et c'est impossible d'y échapper.

C'est un rituel composés de diverses épreuves  traditionnellement organisé  en début d'année universitaire par les étudiants les plus anciens avec le soutient de la direction et des autorités. C'est quelque chose de solidement ancré dans le fonctionnement de beaucoup d'établissement d'enseignement supérieur.

L'organisation est très bien rodée et les organisateurs sont très bien organisé.

L'une des choses les plus importantes lors du bizutage, c'est que les nouvelles doivent se déshabiller, en effet, c'est un moyen pour les anciens de décoincer et de contrôler les jeunes filles, de les habituer à la vie en collectivité et le passage dans la vie d'adulte.

Les anciens vont chercher les premières années pour les réunir dans l'amphithéâtre principale de la fac, ou elles sont invitées de façon musclée à se "mettre à poil", devant tout le monde dans une ambiance électrique et festive.

Les anciens sont impitoyables, les nouveaux doivent être tous à poil, sans aucune exception pour être "présentés" c'est à dire exposés nus devant tout  le monde.

Les filles doivent être décoincées, si la majorité des bizuts se soumettent bon gré mal gré aux injonctions des anciens, il y a toujours certaines filles qui refusent pour diverses raisons d'enlever leurs vêtements.

Certaines filles complexées et pudiques, les grosses, les filles religieuses catholiques et musulmanes qui ont reçue une éducation stricte ou la modestie est une valeur essentielle ou certaines filles assez hautaine et fières font parfois de "la résistance" au déshabillage.

Les filles musulmanes voilées de la tête aux pieds sont bien sur elles aussi soumises aux rituels d'intégration du bizutage. 

Cette année, plusieurs filles réfractaires aux traditions ont été punies par les anciens dont Asma, Caroline, Mélanie, Élodie. Leur point commun est d'avoir refuser de se découvrir.

Asma est musulmane pratiquante et voilée, elle ne voulait pas enlever son voile et ses vêtements, hors lors du bizutage il faut tout enlever, les anciens ont le droit de voir les filles nues le temps d'une journée, et la pudibonderie et les croyances religieuses doivent être mise de coté ce jours là.

En ce jours spécial, les filles doivent être toutes à égalité, sans distinction de religion ou de classe sociale, juste des paires de seins, avec des chattes et des fesses c'est à dire à poil et pieds nus.

Asma a été mise à poil en public; dans l'action certaines de se vêtements ont été arrachés dont sa culotte, et la jeune fille a du montrer son anus et l'intérieur de sa chatte pendant de longue minutes.

Les filles rebelles doivent parader à poil et pieds nus plus longtemps que les filles dociles, les rebelles doivent parader dans tout le campus, et dans le centre ville pendant toute la mâtiné.

Mais pour donner l'exemple, les anciens ne s'arrêtent pas là, et les filles pudiques doivent s'introduire du piment fort dans le vagin devant tout le monde, cette punition dure et cruelle et nécessaire pour marquer l'autorité et le pouvoir des bizuteurs qui contrôlent l'esprit et le corps des nouvelles.

 

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Embarrassée nue lors du bizutage.


 

mardi 17 septembre 2024

Deux femmes humiliées et misent nues en prison.

 

Toute nue et pieds nus, les gardes ne blague pas avec les prisonnières.
Deux femme se déshabillent en prison.

Les prisonnières et la nudité forcée.



Durant l'été 2003, Le scandale du traitement des prisonniers dans la prison militaire américaine en Iraq à Abou Ghraib a ébranlé les Etats Unis et jeté l'opprobre sur les pratiques de l'armée américaine et de la CIA (Service de renseignement américain).

La presse internationale a révélé des photos et des vidéos prises par les soldats américains, des gardiens et des policiers militaires en train d'imposer des sévices, tortures, et humiliations envers les prisonniers irakiens.

Mais ce qui différencie cette prison des autres sinistres centre de détention et d'interrogatoire dans le monde, ce que là bas, d'après tout les témoignages, interview d'ancien captifs,  dans les compte rendu d'enquête, c'est que la nudité était imposée de façon quasi systématique aux détenus pour les humilier, les rendre coopératifs et les préparer aux interrogatoires et que cette pratique a été généralisé à l'échelle de toute la prison.

De plus l'immense majorité des photos et des vidéos révélées, les prisonniers sont nus.

La nudité comme technique d'interrogatoire et d'asservissement a toujours existé durant les guerres, mais jamais au point d'être généralisée et d'être devenue omniprésente. Si naturelle que tous les gardiens considèrent que de garder à poil les prisonniers est tout à fait normal et légitime et ne constitue pas un abus.

Le cas de Madame Abir J, et de sa fille Naima est édifiant. La mère et la fille ont été arrêtée pour liens avec la résistance et pour avoir exercer un role dans l'ancien régime, Abir était responsable d'un service financier du ministère de l'économie, et sa fille stagiaire dans la haute fonction publique, bien qu'elle ne soit pas la cible, les américains ont capturer aussi la fille, ne serait ce que pour faire pression sur sa mère.

Durant les premières semaine de détention, les deux femmes ont été relativement bien traitée et préservées des outrages et respectées même si les conditions de détention sont difficiles (petite cellule d'isolement, peu d'activité)  et sans confort, l'alimentation est correcte mais réduite au minimum.

Leur intimité était globalement respectée, lors des fouilles, seuls les gardiennes pouvaient être présente, c'était interdit au gardiens hommes. Ces fouilles n'étaient pas à nue, dans 80% des cas c'était simplement des palpations, et pour la fouille d'accueil une simple mise en sous vêtements, avec le droit de garder les chaussettes sous prétexte que le sol est sale et froid. De plus elles avaient le droit de conserver leurs vêtements civils, ainsi que leurs voile (hijab).

Dès juillet 2003, les gardes ont pris l'habitude de déshabiller les prisonniers jugés dangereux et important sur ordre de la police militaire et de la CIA. Puis la pratique s'est généralisée petit à petit en quelques semaines, si bien qu'en octobre et novembre 2003 la pratique était généralisée.

Pour un prétexte ou pour un autre, les hommes et les femmes détenus ont été déshabillés, et nos deux prisonnières ici n'ont bien sur pas échappées à la nudité forcée.

Abir est élégante , elle a la quarantaine, mais fait plus jeune.
La maman est vêtue d'une longue tunique noir brodée et élégante, avec un foulard blanc enroulé autour  de sa tête et drapé sur le haut de sa poitrine, elle porte un saroual beige et  est pieds nus une paire de sandales couleurs or. Sa fille Naima, 19 ans est habillée en jean, basket, chaussettes, et porte un large T Shirt et a un foulard   noir sur la tête. 

Les deux détenus entretiennent leurs apparences en prison et prennent soin de leurs affaires comme de leurs cellules qui sont parfaitement propre.

Des gardes sont allés sortir les deux femmes de leur cellule, et ont exiger qu'elles retirent tout leurs vêtements. Abir répond "Vous ne pouvez pas nous demander ça, je suis un maman  musulmane mariée et avec ma fille, on veut pas être toutes nues devant vous !". 

Les militaires expliquent aux captives que quoi qu'il arrive, leurs vêtements seront retirés, de gré ou de force et qu'elles finiront nues. Qu'il vaut mieux coopérer et obéir pour que tous ce passe bien.


Le surveillant dépose une sorte de sot, de bac dans laquelle les deux femmes doivent déposer leurs vêtements comme l'ordonne le surveillant..

Il commence par leur faire retirer leurs hijabs,c'est désormais totalement interdit sur décision du général Miller, et de lâcher leurs cheveux. Puis d'enlever leurs chaussures et chaussettes pour se présenter pieds nus. 

Elles sont des jolis pieds, soignés et bien entretenus qui paraissent doux. Ensuite le reste des vêtement y passe, les ordres sont les ordres, les deux femmes doivent bien sur aussi enlever leurs culottes.
 
"Vos vêtements et vos chaussures vous sont confisqués jusque à nouvel ordre, probablement jusque à votre sortie".

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lundi 16 septembre 2024

Prisonnière parade nue dans les couloirs de la prison

 

Une femme nue en prison
Prison et nudité.

Une prisonnière nue escortée par un garde.

Dès l'aube, les cliquetis d'une cellule réveille la jeune femme prisonnière encore endormie , le garde américain sur un  ton sec et méprisant "Détenue n°95200451, sors de là,  tu a de la visite".

Faïza G n'est là que depuis quelques jours, la jeune femme irakienne est totalement nue et pieds nus, et elle est encore sous le choc de cette nudité forcée. Les gardiens américaines n'ont rien à faire des supplications, des cris et des pleurs des pauvres femmes incarcérées.

La jeune femme est prise par le bras sans ménagement  et tirer dans les couloirs, elle se sent terriblement humiliée d'être promener toute nue dans les couloirs, depuis qu'elle est ici, en arrivant les gardiens l'ont forcer  à enlever tout ses vêtements et les ont confisqués.

Comme la majorité des femmes musulmanes, elle porte un voile et se couvre de la tête aux pieds, et en prison, c'est à poil, zéro pudeur.

"Arrêtez !" s'exclame t'elle, "vous ne pouvez pas me faire marcher comme ça devant tout le monde ! je suis toute nue !"

Le gardien qui est un homme expérimenté n'en à strictement rien à foutre des plaintes de la détenue, décide d'allonger la promenade de sa prisonnière, "Oui tu es toute nue, c'est comme ça que nous gardons les prisonnière il va falloir t'y habituée".

Lien :

Détenue nue.


dimanche 15 septembre 2024

Enquete sur un incident impliquant la nudité de deux femmes prisonnières.

 

les femmes prisonnières obligées de rester nues en permanence.
Deux prisonnières nues et pieds nus en cellule.

Révélation sur le scandale sévices  et nudité forcée à la prison militaire d'Abou Ghraib en 2004.

Robert, Un ancien gardien de la prison discute avec John,  un fonctionnaire américain du traitement de deux femmes irakiennes arrêtées  par erreur pendant qu'il exercait le poste de surveillant à Abou Ghraib pendant la guerre en Irak.

Marwa et Lamia sont deux femmes ayant été photographiées et filmées nues par les gardes et l'agent cherchent à en savoir plus sur les circonstances de cet incident dans une discussion informelle avec Robert.

 

- Alors Robert, j'aimerais avoir ton témoignage et ton retour d'expérience sur ton job de gardiens de prison en Irak. Nous avons tous entendus parler dans la presse des actes de tortures et de mauvais traitements imposés aux prisonniers irakiens,  mais qu'en est t'il des femmes irakiennes détenues sous votre garde ?

 

J'ai lors de ma mission  d'enquête rencontrée Lamia, elle n'a pas voulue me parler de son expérience carcérale mais elle avait l'air très choquée. Elle a étudier aux États Unis.

 

- Oui je m'en souviens, cette fille est arrivée avec une autre femme d'a peu près son âge. Elles sont restées quelques semaines après elles sont sorties. Elles étaient innocentes.

 

- Oui, c'est bien elles, j'espère que les gardiens n'ont pas oser les déshabiller et les humilier quand même.


- Euh, et bien c'est comme pour toutes les autres, c'est la même procédure. Nous les gardiens nous suivons les ordres et appliquons ce qu'on nous montre.


- J'imagine que les autorité américaines ont pris en compte le contexte politique, culturel et religieux pour ce type de prisonnières spécifique.


- A Abou Ghraib les gardes font déshabiller les femmes "cul nu".


- Mais vous ne pouvez pas faire ça. En Irak, les habitants sont arabes et musulmans majoritairement, la nudité est taboue, et encore plus pour les femmes qui doivent sortir couvertes de la tête aux pieds. Il faut des mesures respectant les us et coutumes locales.


- Nous sommes des gardiens de prison, pas des anthropologues ou des guide touristiques. Ces deux  femmes ont été soumises à la procédure habituelle , et dans nos coutumes les détenus ont les fesses à l'air !


- J'espère que dans le cas Lamia et sa copine Marwa, les gardes n'ont pas oser les mettre à poil..

 

- Quand une femme arrive à Abu Ghraib l'une des premières qu'on fait c'est de la déshabiller, donc elles se sont déshabiller ensembles. C'était marrant de voir ces deux jeunes femmes musulmanes voilées et respectables enlever leurs vêtements devant nous, gardes américains. Nous adorons voir leur honte et leur détresse dans leurs yeux. Quelle bonne leçon d'humilité pour ces femmes qui sont peut être des terroristes que nous devons vérifier.


- Mais ne trouves tu pas que c'est terriblement humiliant pour elles ?

 

- Oui, elles se sont mises à pleurer et sont devenues rouges de honte. Elles ont protesté aussi contre le fait que des hommes puissent les voir se dénuder. Elles se sont déshabiller le plus lentement possible, et elles ont tenter de gagner du temps mais nous avons l'habitude ...

Je veux vous signifier qu'elles ont facilement enlever leurs chaussures, mais qu'ensuite elles ont tenter de ralentir les opérations. Lamia s'est plus rapidement retrouvée en petite culotte et chaussettes  mais Marwa a prétexter refuser d'enlever  son voile et invoquer le respect de ses convictions religieuses.

Nous avons bien rigoler, en tant que gardiens,  nous traitons toutes les femmes de la même manière, que ce soit en Irak ou aux Etats Unis. Nous traitons des prostituées, des voleuses, des avocates, des politiciennes, des supporters des terroristes, des banquières,  des bourgeoises arrogantes, des innocentes aussi, et  qu'elles soient athées, musulmanes; chrétiennes, juives etc.

Bien sur aucune n'a envie de se retrouver toute nue et inspectée par des gardes comme nous.

 

C'est un bon moyen de les remettre en place de forcer une femme à se dénuder.

 

- C'était des innocentes, elles ont été arrêtées car elles étaient là au moment endroit et au mauvais moment, ça doit être horrible ce qu'elles ont subies les pauvres, je comprend qu'elles n'aient pas très envie d'en parler. 

 

- Moi j'en garde un super souvenir. Certaines prisonnières sont grosses ou vieilles ce qui n'est pas toujours sexy, mais ces deux là tout le monde veut les voir à poil. Et les fouilles et déshabillage sont aussi pour leur bien être et sécurité. Et puis c'est juste des vêtements, les détenues doivent comprendre qu'en prison il faut mettre sa pudeur de coté. Lamia et Marwa étaient trop pudique, vous vous rendez compte quand même que Marwa a tenté d'invoquer sa religion et sa culture pour refuser une fouille à nue ?

Elle était là, avec son grand voile et sa large tenue en disant qu'il ne fallait pas qu'elle retire ses vêtements devant des hommes !

Si elle ici c'est qu'il y a une raison. Nous sommes pour la justice et nous voulons voir les coupables, criminels et autres terroristes se mettre à poil. Marwa s'est vite rendue compte qu'elle  n'a aucune chance et qu'elle serait déshabiller de force en cas de résistance. Tous le monde aime voir les méchants quitter leur vêtements et parader les fesses à l'air car ce n'est que JUSTICE, il rendre dignité aux victimes en dépouillant les coupables.

J'ai décider aussi par soucis d'équité  qu'elle devrait être toute nue la première.

Un gardien inspecte deux prisonnières nues très pudiques et humiliées.
Deux prisonnières obligées de s'exposer nues devant un gardien.


- Mais c'est quand même un peu abusif d'obliger les femmes à se découvrir devant des gardiens hommes, même aux Etats Unis ça ne se fait pas.


Et alors, bien sur que si ça se fait, nous sommes les champions de la démocratie et du progressisme, les hommes et les femmes sont égaux, pourquoi un gardien ne pourrait il pas imposer une fouille à nu à une prisonnière ? Et cette Marwa, il fallait bien lui apprendre à nous respecter, nous avions tous très envie de la voir à poil. D'ailleurs quand nous l'avons promener toute nue dans les couloir de la prison et dans la court, pour la montrer a des prisonniers de son quartier, et bien certains ont eu du mal à la reconnaitre sans ses vêtements !

- Ne me dit pas que vous les avez obligées à se promener nues !?


- C'est une petite tradition ici, quand des femmes arrivent, ont les déshabillent pour la fouille et elles paradent nues comme des trophées. Les prisonnières sont nues, pieds nus.


Liens :

Procédure d'incarcération.

Torture, humiliations... Les photos qui ont révélé l'horreur d'Abou Ghraib

samedi 14 septembre 2024

Bizutage : Une fille récalcitrantes mise à poil de force et trainée de force.

Il faut obligatoirement être à poil pendant le bizutage.
Une étudiante mise à poil de force au bizutage.


En cette mâtiné de bizutage , Jessica a tenter de se soustraire en tentant de se cacher alors que les étudiants en premières années ont tous été convoqués pour "la journée d'intégration" dans l'amphithéâtre principale par le bureau des anciens.

Jessica est ne fille connue comme étant assez pudiques et discrète et elle craint beaucoup d'aller au bizutage car dans cette établissement il a la réputation d'être trash, et impitoyables envers les nouveaux.

L'étudiante à donc tenter d'esquiver le bizutage et de se cacher sur le campus en se faisant passer pour absente. Hors les anciens ont un œil sur tout, ils peuvent même consulter les caméras se surveillances pour suivre et traquer tout les premières années qui chercheraient à s'enfuir.

Les groupes d'ancien ratissent tout le campus pour y traquer les "fuyards" de façon quasi militaire. 

Jessica a tenté de se cacher dans la chambre étudiante d'une de ses copines, et les bizuteurs sont aller la chercher.

La pauvre n'a pas put faire grand chose face à ces 8 filles ultra déterminées à faire que la journée d'intégration soit une réussite complète. Les anciennes étaient très énervées, elles ont tout de suite hurler sur la nouvelle, l'on tirer par les cheveux et par les bras pour la sortir de ce studio étudiant. Puis elles n'y sont pas aller par quatre chemin, elles ont de suite ordonner à la bizute de se mettre "A POIL" en hurlant.

"A poil les bizuts !" est le cris de guerre des anciens, qui sont toujours survoltés en enragés quand il s'agit de faire respecter les traditions. Jessica n'est pas du tout d'accord et refuse d'enlever ses vêtements, hors les anciennes ne sont pas là pour discuter ni parlementer, Jessica doit rejoindre les nouveaux dans l'amphithéâtre principal et elle a déjà assez fait perdre de temps.

"La garce fait des manières et ne veut pas se foutre à poil comme tout le monde, alors nous allons l'aider cette petite coincée, chopez là et mettez à à poil !".

La nouvelle tente de se débattre mais elle ne peut rien faire, les anciennes lui retire tant bien que mal le jean et les chaussures, pendant qu'une autre lui tient les mains pendant que sa collègue lui retire sa veste et son T-shirt. Les filles arrachent de force la culotte de Jessica et lui ôte ses chaussettes.

La jeune fille est comme écartelée avec la chatte ouverte et visibles, tout le campus se marrent de voir Jessica dans cette situation humiliante et embarrassante avant de l'amener dans l'amphithéâtre principal.

Lien : 


Bizutage à l'IUT


vendredi 13 septembre 2024

Bizutage lesbien en foyer pour jeunes filles.

Les nouvelles dressées et humiliées lors du bizutage en pension.
Jeux et asservissement sexuelles des nouvelles au pensionnat.

Le bizutage des nouvelles dans un pensionnat pour jeunes femmes.

Dans cet foyer pour jeunes femme catholique, l'ordre et la hiérarchie sont très claires : les anciens asservissent les nouveaux. L'ordre mis en place par la terrible sœur Madelaine, une femme très cruelle et autoritaire qui gère ce pensionnat pour remettre les filles dans le droit chemin.

Les nouvelles sont les premières semaines quasiment réduit en esclavage par les anciennes; d'une part par respect des anciens, elles doivent enlever leurs vêtements devant eux, et s'occuper du ménage, de l'entretien, de la cuisine, mais il y a aussi ces séances de punitions et de dressage.

Les filles sont soumises à tout les jeux et toutes les fantaisies perverses des anciennes. Les filles doivent par exemple jouer à "saute mouton" ou plutôt "léchouille la chatte", pour faire conaissance, les nouvelles doivent faire toutes sortes de jeux humiliants et dégradants et avoir des rapports lesbiens en public.

Lien :

Les nouvelles bizutées.


jeudi 12 septembre 2024

Une prisonnière intégriste dressée et remise à sa place à poil.

Une femme très humiliées et mise à poil en prison.
Une prisonnière danse et s'exhibe nue sous les rires des gardiens.


Une prisonnière se fait déshabiller et humilier à poil par les gardiens.

 Houda R ne fait moins la maline entre les mains des soldats américains, elle qui était si fière et si véhémente en incitant les irakiens à résister et à refuser l'occupation américaine dans les médias, qui leur promettait l'enfer et la débâcle.

Et bien manque de chance pour elle, les militaires l'ont reconnues et l'ont arrêtée, et là, elle avait bizarrement cesser de faire preuve d'agressivité. 

Lors de son arrestation, les soldats , comme cette femme est liée à l'ancien régime ont reçue comme consigne des services de police militaire de l'a transférer d'urgence à Abou Ghraib, là ou les détenus de valeur sont gardés.

Sur place, la prisonnière à supplier les gardes de ne pas l'a déshabiller "Non ne me mettez pas toute nue, je suis une femme musulmane vous n'avez pas le droit". "Bien sur que oui salope tu dois te déshabiller, tout enlever, et devant tout le monde".

Elle est tout paniquée, elle porte encore et plus pour longtemps ses vêtements (mais plus pour très longtemps), une longue robe noir brodée, une joli hijab  bleu (voile islamique) qui lui couvre élégamment et des petites bottines de marques italienne. Comme beaucoup d'ancienne personne proche de l'ancien régime, Houda est assez aisée.

C'est une femme assez blanche  de peau et rousse.

"Regardez moi je suis mariée, je porte le voile, nous ne pouvez pas me faire me déshabiller devant les gardes !" Et la responsables de la section de la prison qui éclate de rire : "Tu n'a pas ton mot à dire ici, tu obéi, tu ferme ta gueule, nous allons te faire passer l'envie de porter le voile et de te couvrir. C'est nos lois, nos règles qui s'applique ici, pas les règles de ta religion. Alors enlève tes vêtements, retire tout, dernière somation."

Elle tremble et pleurniche en se déshabillant, c'est difficile d'imaginer la honte qu'elle peut ressentir en se dépouillant devant ses ennemis, elle fait tout pour gagner du temps, elle ôte le hijab pour découvrir ses cheveux roux ondulé, pendant qu'un garde fait une blague "Qui parie avec moi que les poils de sa chatte son roux ?".

Elle enlève ensuite ses chaussures, puis défait lentement sa robe. Elle est en sous vêtements sexy. 

"Plus vite" lui dit l'américaine avec un sourire narquois, mes gars s'impatiente".

Houda défait son soutien gorge et libère ses seins assez volumineux, puis sa culotte.

"On t'a dis à poil, t'a pas oublier quelque choses ? enlève tes chaussettes"

"Oh non quand même pas jusque là c'est bon là je suis nue"

"Tais toi chienne, pieds nus tout de suite !

Houda retire ses bas énervée "voilà vous êtes content ?"

Ses pieds sont bien entretenus et vernis de rouge.

"Chienne nue, tu n'est pas digne de porter des vêtements ni des chaussures, nous allons bruler ton horrible hijab et ta robe".

"Votre place c'est à poil devant nous, à vous exhiber, tu va danser et sautiller un peu pour nous divertir".

Les seins de la prisonnières gigotent dans l'hilarité générale.

"Alors salope qu'est ce que tes copains vont penser en voyant que tu danse et de dandine le cul à poil devant nous ?"

"Tu nous menace encore comme ça toute nue ? "Répond"

"Non pardonnez moi" L'américaine lui donne des coup de badine sur les fesses et les pieds.

"Alors tu nous a menacer puis maintenant tu pleur et te retrouve cul nu devant nous !" dit l'américaine en prenant des photos"

Lien :

Une prisonnière nue.




mercredi 11 septembre 2024

Travaux forcés, humiliations et réhabilitation.

Deux femmes nues aux travaux forcés.
Corvée toute nue.

Les centre  régionaux de prévention de la délinquance.

"Ces deux femmes ont violer la loi et vous ne devez avoir aucune pitié ni compassion pour elles" c'est par cette écriteau que les clients de ce centre commercial ultra moderne ont pu découvrir  deux femmes totalement nues obligées de nettoyer les toilettes en cette mâtinée.

Pour limiter l'engorgement des prison tout en étant efficace contre la délinquance, le gouvernement à décider de laisser se développe des centres de prévention et de réhabilitation comme alternative à la prison. Ces centres organisés localement par les forces de police et les tribunaux locaux s'occupent  accueille des femmes ayant commis diverses légères incivilités.

Le juge chargé de la mise en œuvre de ce projet est adepte des travaux d'intérêts généraux et des humiliations publics comme alternative à la prison. Ces méthodes controversés sont pourtant jugées légales car pleinement efficaces.

Elodie et Linda sont pendant une semaine condamnée à nettoyer le centre commercial géant, et pour rendre la punition mémorable et vraiment dissuasive, les deux femmes sont nues et pieds nus.

Lien :

Brimades et humiliation en foyer pour jeunes filles.


Bizutage en foyer pour jeunes étudiantes.

 

Les nouvelles misent à poil et dresser lors du bizutage étudiant.
Une bizutage pervers par des lesbiennes dominatrices.

Le bizutage dans les logements étudiants.

Dans ce foyer pour jeunes filles âgées entre 18 et 26 ans, rien ne pourra jamais enlever la tradition solidement enracinée du bizutage. Le directeur du foyer défend depuis toujours des valeurs d'ordre, de hiérarchie, de morale et d'intégration.

Les anciennes, qui elles même ont été bizutées lors de leur arrivé sont d'impitoyables "dresseuses" sans pitié. Les nouvelles leur doivent respect et obéissance aux anciennes, et sont sous leur "protection".

Les anciennes ont pour mission de décoincées les nouvelles, pour en faire des femmes libres et épanouies.

Beaucoup de première années arrivent pudiques et réservées dans l'établissement, mais avec la formation de choc que leur réserve les bizuteuses, elles ne le reste pas longtemps.

Des la première semaine, les nouvelles sont tout de suite prisent sous l'aile de leurs supérieures.

Dès les premiers jours, les novices sont toutes "convoquées" et doivent se réunir dans une chambre étudiante pour leur première soirée de dressage, elles sont misent entièrement nues, et les pudiques sont déshabillées de force et punies plus ou moins durement selon l'humeur et la volonté des dresseuses.

La modestie est considérée comme une valeur à abattre.

Les filles sont obligées de s'exhiber, de dire si elles sont vierges ou pas, et de raconter les premières fois qu'elles se sont faite baiser, les tests de virginité sont effectuées, les anus et leurs élasticités sont aussi contrôlés, les filles sont aussi estimées par rapport à leur propreté physique, celles qui puent des pieds, de la chatte ou des aisselles sont humiliées, insultées de crades, de cochonne, de saleté et souvent sorties dehors pour être trainées dans la boue.

Une fille pas très propre à même été retrouvée à poil enfermé dans une benne à ordure ...

L'une des spécificité est que les anciennes enseignent à leurs "disciples" à devenir des lesbiennes de gré ou de force. Les filles doivent s'inspecter et se titiller l'anus, s'observer nues, se lécher les seins, danser nues jusque à ce qu'elles développent des vrais attirances lesbiennes.

Lien : 

Pas de pudeur lors du bizutage.

mardi 10 septembre 2024

Exhibition forcée et position de stress dans la prison d'Abou Ghraib.

 

Nue et humiliée en détention.
Prisonnière nue en position de stress en vue des interrogatoires.

L'humiliation de Meriem, prisonnière nue.

Après sont arrivée dans la prison d'Abou Ghraib, l'humiliation de Meriem ne s'arrête pas. Les gardes sur ordre des services de renseignement dans le but de la faire craquer et parler décident qu'elle doit être traitée de façon très stricte en vue des interrogatoires renforcées auquel elle doit être soumise. Les gardes ont mis un disposition tout un processus de coercition physique et psychologique pour humilier et faire craquer les prisonnières.

D'une part, elle est soumise à un état de nudité complète et permanente, les détenues musulmanes sont strictement interdites de porter le moindres vêtements et doivent exhiber leurs corps devant tout le monde y compris les hommes. Son voile (hijab) et sa robe traditionnel ont été détruit sous ses yeux, les gardes haïssent les tenues des musulmanes. Les détenues sont toutes pieds nus, Meriem doit s'habituer à sentir le béton dur, froid et poussiéreux sous ses plantes de pieds.

Meriem doit marcher et parader nue hors de sa cellule, pour que tout le monde puisse la voir nue, bien sur, tout le staff peut la voir à poil, car elle doit aller dénudée aux interrogatoires, à la douche, aux visites médicales, lors des "promenades" autorisé d'une heure par jours dans une petite court. Mais elle est obligée d'être nue avec les autres femmes, et de s'exhiber devant les prisonniers masculins.

Les femmes sont forcées de s'humilier devant les autres, d'ouvrir leurs fesses, de danser nue, de secouer leurs seins devant les prisonniers masculins, d'aller distribuer les plateaux repas dans la section ou sont retenus les hommes pour qu'ils puissent les voir à poil.

Les femmes sont prise en photo nue, ses photos sont collées sur les portes de leurs cellules et sur les murs de du couloir de la section féminine. Les photos comportent les ages, nom, prénom, lieu de naissance, résidence, statut marital ( et nom du mari si la femme est mariée) pour une humiliation profonde.

Meriem passe plus de 8 heures par jours en position de stress, nue et exposée.

Confinement solitaire : Meriem est gardée dans une petite cellule vide de 2 mètres sur 2, sans fenêtre ni aucuns repères, ni confort.


lundi 9 septembre 2024

Nue en confinement solitaire.

 

Prisonnière à poil et pudique.
Prisonnière nue en confinement solitaire.

Le choc de l'incarcération.

 Prison d'Abou Ghraib, Irak, avril 2004.

Noura est une jeune femme irakienne incarcérée dans l'aile réservée aux femmes de la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak. C'est une détenue de "haute valeur", suspectée de liens avec l'ancien régime, c'est la fille d'un homme d'affaire irakien recherché et en fuite connu comme étant le financier de l'ancien parti au pouvoir.

La détenue est maintenue en confinement solitaire et isolée dans des conditions très strictes. La jeune prisonnière musulmane est gardée nue, la politique pénitentiaire américaine à pour objectif de contrôler, humilier et punir les prisonnières.

Si la nudité est justifiée dans la plupart des prisons du monde lors des fouilles corporelles, ou les femmes doivent se mettre nues et subir une inspection de la têtes aux pieds (cheveux, aisselles, seins, vagin, anus vérifiés avec une lampe, et même entre les orteils); à Abou Ghraib les détenues sont maintenue à poil en permanence.

Comme la religion et la culture de la prisonnière enseigne la pudeur, la modestie et qu'elle porte un voile et une longue tenue arabe traditionnelle, la politique consiste à imposer la nudité totale et permanente.

Les femmes musulmanes détestent être toutes nue, cette nudité leur pèse beaucoup psychologiquement et les rend bien plus obéissantes et dociles envers les gardiens. 

Lien :

En confinement solitaire.