samedi 31 août 2024

Le pire moment du bizutage : l'exposition en amphithéâtre

Bizutage extrême hard d'étudiant mis à poil
Des étudiants humiliés nus durant le bizutage hard.


Le bizutage est toujours profondément humiliant.

Demain nous sommes en septembre, qui dit septembre dit rentrée universitaire et donc bizutage.

L'un des événement les  plus marquant lors des bizutages c'est quand les premières années sont présentés dans l’amphithéâtre principal de l'université qui peut accueillir parfois plus de 300 personnes. Les anciens du bureau des étudiants sont très organisés, ils ont des fiches avec tout les noms et toutes les localisations des premières années .

Les garçons et les filles de première années sont toujours amenés par petit groupe de quatre ou cinq dans des amphis chaud et survolté rempli d'anciens, ainsi que par certains membres de l'administration, de profs, ou même de curieux venus ici pour se rincer l’œil et profiter de la fête.

C'est difficile d'imaginer  ce qui peut se passer dans leurs têtes quand ils voient d'autre étudiants à poil en train d'être humiliés et exhibés et qu'ils se rendent compte que dans 2 minutes se sera leur tour d'y passer.

Les spectateurs hurlent et chantent des chansons paillardes et tiennent des propos obscènes, le service d'ordre est organisé de façon quasi militaire, c'est très impressionnant pour les nouveaux, les bizuts  déjà à poil ont l'air très choqués et beaucoup pleurent ou sont tout rouge de honte.

Les nouveaux sont "présentés" sur l'estrade par groupe, après avoir donner rapidement donner leurs noms, leurs âges et leurs filières respectives, les anciens hurlent aux nouveaux de se mettre "à poil" ça doit aller vite, il faut tout retirer, sous peine de représailles sévères, les bizuteurs arrachent les slips ou les culottes des réfractaires sans la moindre hésitation et leur donne des claques et des fessées. Les anciens sont intraitables, ils traquent chaque nouveaux, ils font tout retirer même les chaussettes, les filles ont beaux supplier pour garder leurs culottes, toutes sont déculottées de gré ou de force.

Les bizuteurs aiment forcer les nouveau à hurler "voici mes seins", "voici mes fesses" "voici mon zizi pour les garçons" sous les rires des spectateurs, beaucoup de jeunes doivent même se pencher et écarter les fesses le plus possible sous les acclamations de la foule, certaines filles à poil sont aspergées de jus d'orange ou de bière.

Lien : 

Parader nue au bizutage.

vendredi 30 août 2024

Une prisonnière interrogée nue.

Une femme interrogée nue
Nue devant les interrogateurs.

Les interrogatoires renforcés et la nudité.

Le rapport d'enquête sur l'utilisation de la nudité forcée comme technique d'interrogatoire pointe les abus, la femme d'une homme recherché par la coalition a été interrogée nue.
Amal, 31 ans, épouse d'un homme recherché a passer plusieurs semaines en détention dans la prison d'Abou Ghraib.
 
Les forces américaines ont mis en place un protocole d'interrogatoire, qui inclus la nudité des personnes interrogées.  Amal qui est une respectable femme arabe et musulmane fièrement voilée de la tête aux pieds s'est retrouvée entièrement  nue devant les interrogateurs totalement exposée au milieu de la pièce.

 La jeune femme a été contrainte de se déshabiller, car selon le manuel d'interrogatoire, les suspects doivent être interroger à poil.

L'expérience montre que les suspects parlent plus facilement quand ils sont nus, la décision prise est donc d'enlever les vêtements des prisonniers.
 
Bien qu'elle une pieuse et respectable femme musulmane irakienne, qu'elle porte un grand voile hijab et des tenues pudiques qui cache tous l'ensemble de son corps et dissimulent ses formes, les militaires l'ont obliger à se déshabiller entièrement.

Elle est arrivée totalement couverte et 5 minutes après elle était toute nue, sans hijab pour couvrir sa chevelure, ni de tissus pour cacher ses seins, ses fesses étaient à l'air et sa chatte visible par tout le monde, ses pieds nus foulaient le sol sale et froid.
 
Elle est conduite nue dans les dédales de couloir du centre de détention, cette promenade cul nu est imposée aux femmes pour les punir.
 
Les études montrent que les femmes coopèrent et parlent plus facilement nues devant leurs interrogateurs. 

Lorsque Amal est arrivée dans la salle de questionnement, les investigateurs lui ont demander son nom, prénom, age, coordonnées, lieu de résidence, situation matrimonial, expérience professionnel, état de santé, si elle avait des enfants etc.

Puis ensuite les agents se sont moqués d'elle en lui posant des questions sur sa religion. Amel doit répondre à toutes les questions sous peine d'être fouettée. 
 
Les américains aiment rappeler aux femmes prisonnières qu'une bonne musulmane doit se couvrir et rester pudique, mais qu'ici elles sont à poil et pieds nus devant des hommes.

 
 Lien : 


 
 



jeudi 29 août 2024

Les étudiantes protestent contre la visite médicale obligatoire.

Le protocole humiliant de la visite médicale universitaire.
Étudiante nue et pieds nus pendant la visite médicale universitaire.

Témoignage de visite médicale à la Fac.

Lina, 21 ans, étudiante en sciences économique de gestion témoigne du manque de tact et de l'autoritarisme du personnel médical et des médecins du service de médecine préventive de l'université lors des visites médicales obligatoires.

Les filles de premières années reçoivent leur convocation pendant le court de l'année, elles sont convoquées par petite groupe à l'infirmerie du campus. Une fois sur place les infirmières pas commodes font quelques vérifications administratives et remplir quelques formalités comme un bref questionnaire médicale, avant de donner l'ordre aux filles de se déshabiller, elles n'ont le droit que de garder la culotte, et sont déshabillées en groupe.

Les filles sont toutes pieds nus sans bas ni chaussettes.

Les étudiantes sont pesées et mesurées en culotte, on leur prend la tension et procède à quelques vérifications de vision et d'audition.

Puis avant d'entrer dans la salle d'examen ou se trouve le médecin, les filles doivent retirer leurs culottes et rentrer entièrement nues dans le bureau du docteur.

Ce protocole tout droit sortie des années 1960 est très humiliant et difficile à vivre pour des jeunes femmes de 2024.

Surtout que le médecin n'hésite pas a leur faire prendre des positions dégradantes, à les examiner de la tête aux pieds, et leur impose même un petit contrôle gynécologique.

 

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Pas de place pour la pudeur lors des examens médicaux.

mercredi 28 août 2024

Grossophobie : Une grosse humiliée et harcellée

 

Une grosse se fait dresser et humilier
Sale grosse ouvre ton cul et écarte les fesses.

Une bande de délinquante humilie et victimise Magalie parce qu'elle est grosse.

 L'une des pratiques les plus perverses et abjectes qui vient d'apparaitre, et que certaines bandes de filles sans pitié ni scrupules s'en prenne par hasard à des filles en surpoids pour les humilier et les punir.

Magalie, une femme en surpoids se promenait tranquillement quand un groupe de fille méchante s'est approché d'elle et la prise à partie. La le cauchemar à commencer pour la pauvre fille.

Elles ont commencer par l'insulter de  "Sale grosse merde, tu est obèse et ressemble à une truie, nous allons nous occuper de toi" "Nous ne supportons plus les grosses", puis elles ont commencer à frapper Magalie et l'ont amener près d'un canal dans un endroit isolé.

Magalie s'est faite complétement déshabiller et les filles ont jeter ses affaires et ses chaussures dans le cours d'eau pour que la pauvre ne puisse pas les récupérer et doive rentrer à poil.

Magalie devait défiler nue et prendre des postures perverses et obscènes sous les rires gras et les insultes du groupe de fille. "Montre bien ton sale trou du cul, écarte bien les fesses à la caméra hahahaha" 

"Nous allons battre tes mamelles de vache grosse chienne" Puis l'une des fille a eu l'idée d'obliger la victime à marcher à quatre pattes et à faire des bruits de cochonne et de chienne, car cette "grosse truie ne mérite pas d'être considérée comme un être humain, c'est une bête sale et immonde à dresser !"

La méchanceté et la cruauté de ces filles n'est plus à prouver après ce qu'elles ont fait à cette fille en surpoids.

 Les pouvoirs public et les médias restent relativement silencieux sur cette affaire, qui pour eux n'est pas très grave.

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Grosse prisonnière humiliée.

mardi 27 août 2024

Le régime de détention en prison de haute sécurité.

 

Pas de place pour la pudeur en prison.
Des femmes nues en groupe en prison.

Visiter la section féminine de la prison d’Abou Ghraib. 


Les prisonnières dans le cadre de la guerre contre le terrorisme sont retenues dans des prisons secrètes dont la célèbre prison militaire d’Abou Ghraib en Irak.

Les femmes soupçonnées de terrorisme ont la particularité d’être gardées complètement nues en permanence. Si la nudité est justifiée pour des raisons de sécurité, faciliter les fouilles et réduire les risques d’évasion. Tout est fait pour dégrader et soumettre les prisonnières.
La nudité est un élément clé, la plupart sont de ferventes croyantes musulmanes, et on les oblige à rester nues. 
Tout est fait pour les humilier le plus possible , tout d'abord on les force à se mettre nues et le rester en permanence en contradiction avec les préceptes de leur religion, y compris devant les hommes.

Les gardes se moquent d'elles car en tant que femmes arabes et musulmanes, elles doivent être couvertes et voilées de la tête aux pieds, mais là elles sont totalement nues et obligées d'exposées seins, chattes et fesses aux hommes.

La nudité est permanente, que ce soit en cellule ou durant toutes les activités de la prison, il n'y a aucun intimité, les gardiens aiment obliger les femmes à s'exposer.

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Une détenue musulmane pieds nus et sans voile en uniforme orange de prisonnière.

Prisonnière musulmane en uniforme court et orange, pieds nus et sans hijab.
Prisonnière pieds nus en uniforme dans sa cellule de prison.

Déshabillée et dévoilée en prison.

Malika, 30 ans est une femme musulmane qui vient d'être incarcérée et mise en détention pour un mois dans l'attente de son procès suite  un différent avec ses voisins.

Dans ce comté les femmes musulmanes  portant le voile sont très minoritaire et rien n'est prévue en terme d’accommodement et d'uniforme pour respecter leurs libertés religieuses en détention.

Le Shérif est un homme strict et sévère, élu par ses citoyens pour faire respecter l'ordre et la justice.

Quand Malika est arrivée, elle a été soumise au même processus que les autres : Ses affaires, son argent, ses bijoux,  ses papiers, sa montre et ses vêtements religieux lui ont été confisqué lors de la fouille  à nu d'entré en prison, puis ses empreintes digitales ont été prise ainsi que des photographies d'identité sans son voile.

Le Shérif à une politique budgétaire minimaliste en matière d'uniforme, étant situé dans un Etat chaud du sud des Etats Unis, les détenues n"ont le droit que de porter une culotte blanche inconfortable et une chemise orange très courte de prisonnière.

Les prisonnières  sont toutes pieds nus, et n'ont pas le droit de porter de soutien gorge.

Le Shérif refuse toute modification de sa politique carcérale pour des raisons de sécurité et de neutralité religieuse.


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Laïcité : une étudiante voilée punie.

 

lundi 26 août 2024

La vie dans la section des femmes de la prison.



Prisonnière nue et pudique
Prisonnière nue et pudique.


Une prisonnière en confinement solitaire.


Amira est retenue confinée dans une petite cellule vide d'un mètre sur deux, avec seulement une toilette à la turque et un robinet comme arrivé d'eau et une petite fenêtre avec des barreaux, et une grande porte métallique.

Elle est stupéfaite, elle n'y croit pas, comment est ce que ça peut lui arriver ? Elle se retrouve emprisonnée après un raid des forces  armées américaines sur sa maison et en confinement solitaire dans l'aile féminine de la prison d'Abou Ghraib, sans savoir pourquoi.

Elle a envie de pleurer, elle est entièrement nue, enchainée comme un animal dans une cellule qui ressemble plus à une cage.

"J'y crois pas, comment peuvent ils faire ça ? que vais je faire là comme un animal nu et enchainé dans ce terrible endroit ? Combien de temps me garderont ils ? j'en sais rien. Pas plus que les raisons pour lesquelles je suis ici ...", Elle se questionne aussi sur ce qu'elle va faire dans cette cellule vide terriblement ennuyeuse 

Elle tente ensuite de penser plus clairement, car beaucoup de choses se sont déroulées depuis que les marines ont débarqué chez elle en pleine nuit. Elle n'a pas subie de violence. Avant d'être conduite dans le centre de détention d'Abou Ghraib, son premier interrogatoire a été simple et cordial, un officier militaire lui a simplement demander son nom, âge, adresse, profession, sur sa situation matrimoniale, son travail, et sur ce qu'elle sait des activités de ses oncles et cousins. 

Elle se demande  comment contacter sa famille, et s'interroge pour savoir si cette dernière  est au courant , car elle était seule quand les soldats ont débarqués, les voisins qui ont entendu ont probablement prévenu sa famille, qui a des relations et peut recruter un bon avocat pour faire quelques choses pour l'aider à se sortir de là.


Elle regarde les menottes à ses poignets et  les chaines à ses chevilles, elle se demande pourquoi est ce qu'ils l'ont enchainée en cellule alors qu'il n'y a aucun moyens de fuir, en plus elle est toute nue, comment imaginer qu'une jeune femme irakienne irait tenter de s'enfuir totalement à poil ? ils ne l'on pas laisser remettre de vêtements après la très intrusive et humiliante fouille d'accueil.


Elle se rappel encore la sensation du doigt ganté et lubrifié qu'un garde américain lui a introduit dans l'anus, et la honte de devoir retirer tous ses habits devant des gardes hommes. La pauvre, l'humiliation ressentie est totale, elle en rougie rien que d'y repenser.


Elle s'est déshabiller et a remis ses vêtements l'un après l'autres bien docilement en pleurant sous les regards pervers et narquois des gardiens pour l'inspection.

Elle cogite à plein de choses, à sa honte car elle n'a pas du tout envie que sa famille sache qu'elle est retenue sans vêtements car c'est très infamant pour elle.

Elle entend des bruits de bas vers sa cellule, un officier en treillis militaire et un interprète ouvrent la porte de sa cellule. L'officier est un homme grisonnant d'une cinquantaine d'années et son associé un jeune homme d'une trentaine d'année d'origine moyen oriental, probablement libanais/américain.

L'officier indique à Amira qu'elle est désormais "la prisonnière numéro 780743F" et qu'elle doit s'identifier et répondre à ce numéro qui lui sert d'identité sous peine de punition. La jeune détenue doit se lever et se mettre en position de sécurité les mains sur la tête et les jambes écartées. Le militaire et son assistant en profite pour mater ses seins et sa chatte à l'air. Puis au garde à vue et écouter avec docilité les américains, c'est la base d'un bon dressage ajoute le responsable militaire.

Il continue en disant qu'il est la pour l'informer des règles et conditions de détention dans le secteur d'isolement d'Abou Ghraib, block C. Amira est aussi informée de son  droit à poser des questions.

De règles générale la détenue devra passer 16heures par jours en cellule, avec des chaines et entraves en permanence sauf en cas de collaboration pleine et entière. Le reste du temps est consacrées aux différentes taches et activités de la prison : interrogatoire, travaux, ménage, sport obligatoire, douche une fois par jours sous réserve qu'il y ait suffisamment d'eau courante.

Amira doit aussi rester nue en permanence pendant toute sa détention, que ce soit en cellule, lors des "activités" et lors des déplacements au sein du secteur d'isolement.

La nudité est la règle,  c'est un élément essentielle et primordiale, pour la sécurité, les personnes privées de liberté n'ont pas le droit de porter de vêtements.
 
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dimanche 25 août 2024

Malika tente de résister et se fait déshabiller de force en prison.

La nudité et obligatoire, les prisonnières mise à poil de force
Une prisonnière déshabillée de force par les gardiens.

 Une détenue déshabillée de force par les gardiens de prison.

 

Dans la prison d'Abou Ghraib en 2004 en Irak,  les gardes font régner l'ordre et  gare à toute personne qui tente de résister. Un ancien détenu se rappel avoir vu  une jeune femme qu'il connait, Malika, une étudiante de son université qui a été arrêtée par les forces américaine pour avoir participer à des actions de protestation contre la présence américaine sur le campus.
 
La jeune femme irakienne est mate de peau, très pudique et fière, elle porte habituellement le hijab et une longue robe  traditionnelle arabe, c'est une fille forte de caractère et fervente musulmane.
Les gardes ont bien rigoler en la voyant arriver toute habillée. Ils mettent à poil tout le monde, et aiment spécialement s'occuper des femmes qui tombent entre leurs mains.

Ils détestent les femmes pudiques et voilées, vous vous doutez bien que Malika n'était pas très coopérative à l'idée d'enlever son voile et ses vêtements devant tout le monde, et bien sur devant des hommes (gardes et prisonniers masculins).
 
Après plusieurs somation ordonnant à Malika d'enlever ses vêtements comme toutes les autres.
Face à la pression la plupart des femmes retirent d'elles même  mais  les plus fières nécessites parfois l'usage de la force, car pour les gardes il est hors de question de permettre à moindre prisonnière de garder le moindre morceau de tissus.
 
Le mieux c'est quand les irakiennes se déshabillent en pleurant et suppliant car c'est bien plus dégradant pour une femme pieuse respectable de faire un strip tease public, de se soumettre au occupants.

Les gardes ont plusieurs fois expliquer que Malika finirait nue dans tous les cas, que les américains n'acceptent pas de voir leurs prisonnières couvertes. La responsable de la section se veut d'abord pédagogique. 
 
"Les détenues sont nues sans exception, nous n'acceptons pas les vêtements, c'est notre règle ici, nudité totale, les femmes ici sont nues devant les hommes aussi, sans rien cacher.".

Les déshabillages se font toujours devant des spectateurs masculins, les femmes en sont bien plus dégrader.
 
Malika est très énervée elle estime avoir le droit de rester habillée, mais la politique consiste à humilier et dégrader au maximum les détenues.

Après les sommation  d'usage, la jeune rebelle est saisie par des solides gaillards qui lui arraches ses vêtements, tout y passe y compris ses chaussures et chaussettes, car les femmes sont toutes pieds nus.

Elle sent aussi les doigts des gardes s’insérer dans son anus.


Prisonnière attachée et humiliée nue
Prisonnière attachée nue  en position de sécurité.


Lien :



Nue en cellule de haute sécurité.

La nudité dans les prison de haute sécurité.
Prisonnière nue dans prison de haute sécurité.


Une prisonnière de guerre irakienne d'Abou Ghraib.

Dans la prison d'Abou Ghraib, les forces américaine détiennent les prisonniers de guerre les plus important (responsables, membres et proches de l'ancien régime, membre de la résistance, terroristes etc.). Et les interrogatoires renforcés sont en vigueur, et l'une des choses les plus spectaculaire est la nudité forcée.

La célèbre journaliste présentatrice  de la télévision nationale, Neyla A, y est retenue en confinement solitaire sous le statut de "prisonnière de sécurité". Elle est soumise à des conditions  de détention très difficiles et éprouvantes. Elle est maintenue enchainée, 23h sur 24 dans une petite cellule vide et sans confort avec juste un banc dur et des toilettes. Et aussi ce qui est frappant, c'est qu'elle est gardée sans vêtements.

Neyla est connue comme une femme riche, élégante, pudique (elle porte un foulard chic de musulmane), et elle est gardée nue, ses jolies chaussures de luxe qu'elle porte habituellement lui sont confisquées et elle doit marcher et vivre pieds nus de façon humble. Bien que les gardiens lui on enlever son hijab, dont le port est totalement interdit

La jeune femme est obligée de rester nue, y compris devant des hommes, les détenues musulmanes doivent être humiliée et dominée et donc priver de vêtements.

Elle est enchaînée. 

 Lien : 

Femme nue  BDSM.

samedi 24 août 2024

Les femmes déshabillées lors des prises de guerre

La nudité forcée est difficile à vivre pour les prisonnières musulmanes pudiques.
Nue et pieds nus lors de la prise de photo en prison.

Humilier les prisonnières de façon systématique.


Lors de la seconde guerre du golfe de 2003 à 2011, les États Unis ont envahi l'Irak et occupé ce pays et ouvert divers cente de détention  dont la tristement célèbre scandale qui à frapper la prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale Bagdad.

Les médias ont beaucoup parler du sorts et des sévices subis par les hommes, mais assez peu des femmes prisonnières qui sont passées dans les geôles US.

Comme pour les hommes, la nudité et les humiliations sont au cœur du protocole de détention et d'interrogatoire renforcé mis en place par le renseignement militaire.

A l'image de Yamina, 35 ans, commerçante importante dans son quartier et soupçonnée de lien avec l'ancien régime, les femmes irakiennes sont soumises à un traitement stricte et musclé.

Lorsqu'une femme passe entre les mains des gardiens d'Abou Ghraib, elle est obligée de se déshabiller sans aucun respect pour sa pudeur et sa dignité. Elles sont littéralement dépouillées, dévoilées et déculottées sous les rires des gardiens.

La nudité forcée est jugée essentielle, pour humilier les détenues musulmanes arabes, il faut les punir et les mettre à poil, les gardes en général découpent ou brulent les voiles et les robes des prisonnières devant elles, elles doivent aussi retirer leurs sous vêtements et leurs chaussettes pour celles qui en portent, les détenues sont toutes nues et pieds nus et pour des raison officielles de propretés et d'hygiène les prisonnières doivent avoir la zone vaginale et anale rasée.

L'humiliation est totale.


Lien : 

Histoire BDSM à Abou Ghraib.




 

Nudité forcée dans les prison de haute sécurité.

 

Les femmes ne portent pas de vêtements en prison.
Nue dans sa cellule de prison.

Enfermée et gardée nue plusieurs semaines dans la prison.

Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, les Etats Unis ont mener plusieurs guerres dont celle d'Irak ou ils ont fait de la prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale Baghdad un centre de détention de haute sécurité avec des conditions de vie très difficiles.

Et les femmes irakiennes détenues sont elles aussi soumises à des traitements dégradants et à une discipline stricte.

Par exemple, une jeune femme prénommée Rania, incarcérée pour soupçons de liens avec l'ancien régime est gardée en confinement solitaire dans l'aile d'isolement de la prison. Tout d'abord, elle passe parfois plus de 23/24h enfermée dans une petite cellule en permanence allumée, sans literie, disposant seulement d'un robinet et de toilettes turques, et constamment surveillée par les gardiens.

Comme les autres personnes privées de liberté, la prisonnière est interdite de porter le moindre vêtement, les femmes sont obligées de rester nues durant leur détention.

Comme la plupart des femmes musulmanes, Rania est très pudique et porte le voile et l'abaya, mais en prison, ces tenues pudiques et religieuses sont interdites, et confisqués, ainsi que le reste des vêtements et les chaussures, les femmes reste nue et pieds nus en permanence.

Les autorités de la prison sont intraitables sur la nudité, malgré les protestations des détenues et de leurs avocats et soutient, aucun vêtement ne peut être remis à Rania ni à aucune autre prisonnières en isolement.

Sa famille et ses avocats ont quand même réussi à lui faire remettre ses lunettes, mais les autorités refusent  que la détenue puissent porter le moindre vêtements. 


Lien : 

Incarcération.


vendredi 23 août 2024

La nudité forcée s'applique aussi pour les femmes prisonnières.

Prisonnière nue et pieds nus pour la fouille à corps.
Les prisonnières doivent même enlever obligatoirement leurs chaussures car c'est toute nue et pieds nus

Les femmes prisonnières doivent se déshabiller devant les gardes.


Durant la guerre en Irak entre 2003 et 2011, les observateurs ont constater que les femmes irakiennes détenues par les forces américaines dans la prison d'Abou Ghraib sont soumises à des traitements difficiles et gardées en isolement.

Les femmes incarcérées ont entre 25 et 55 ans, pour des liens avec l'ancien régime, des soupçons d'activités anti coalition, des liens avec des groupes terroristes, des liens familiaux avec des personnes recherchées (comme Mariam ici sur la photo qui est la soeur d'un officier en fuite), ou susceptibles de détenir des informations dites "stratégiques".

 Ceux qui est le plus frappant pour les visiteurs, c'est qu'à Abou Ghraib, les prisonniers sont gardés complétement nus, y compris les femmes.

Mariam, a été découverte complétement nue dans sa cellule, et des photos d'elle ont été prise durant sa fouille d'entrée. Ce fut une grande surprise de découvrir qu'elle était complétement à poil, pour les gardes c'est tout à fait normal, ça fait parti du processus, c'est une technique d'interrogatoire visant à faire pression psychologiquement sur les prisonnières, à les humilier et à les punir.

Les gardes forcent les prisonnières musulmanes  comme elle à rester nues. Celle qui par piété comme Mariam porte le voile hijab et des vêtements très amples et larges pour cacher leurs corps et dissimuler leurs formes sont très humiliées et choquées de devoir être à poil.

Le gardien responsable de la fouille et de l'arrivé de la nouvelle prisonnière lui à même fait enlever ses chaussures, car la détenue avait "oublié" et espérait que surveillant tolérerait au moins qu'elle conserve ses chaussures pour éviter d'avoir à marcher pieds nus sur le sol sale et poussiéreux de la prison.

Lien :


Prison de haute sécurité.

 

C'est bon d'être le patron

 

Le patron pervers fait travailler les filles toutes nues
Nue au travail.

Une employée obligée de travailler nue pendant sa période d'essais.

Melissa, une jeune femme est obligée sous le chantage de son patron de travailler toute nue pour obtenir un poste bien payé dans une grande et prestigieuse entreprise.


Le manager pour s'assurer de la motivation, mais aussi de leur soumission et leur respect de l'ordre et de la hiérarchie. Et décide que pour montrer leur motivation, les femmes doivent travailler nue.


Liens : 

Un pervers kidnappe une fille à poil.

jeudi 22 août 2024

Prisonnière témoigne des conditions de vie en détention

Une prisonnière nue en cellule
Toute nue en cellule.

 

Dans l'aile féminine de la prison.


Après les attentats du 11 septembre 2001, les dirigeants des Etats Unis d'Amérique ont mener plusieurs guerre dont une invasion de l'Irak en 2003 pour riposter contre la menace terroriste. De multiples centre de détention ont été ouvert dont celui situé à Abou Ghraib dans les environs de la capitale Baghdad ou plusieurs scandales ont éclatés suites aux révélation de sévices et mauvais traitement dans cette prison ou les prisonniers et prisonnières sont régulièrement humiliés...


Nos services de presse ont pu récupérer certains témoignages sur la vie dans ce sinistre endroit en ayant découvert une lettre d'une femme prénommée Safia, la sœur d'un homme recherché activement par la coalition et retenu comme une sorte d'otage sans réel raisons pour faire pression sur sa famille.


Elle témoigne de condition d'emprisonnement très difficiles ou les détenus n'ont aucun droit et son totalement soumis à la tyrannie des gardes.


Après m'avoir arrêtée, ils ont décider de me garder sans réels raisons et de m'envoyer a la prison d'Abou Ghraib.

Lorsque je suis arrivée dans le camp, les soldats m'ont emmener dans une partie dure avec des cellules, ils m'ont remis aux gardiens et policiers militaires de la prison qui m'ont tout de suite conduite dans une salle et ont enlever mes menottes.


Ensuite j'ai reçu comme consigne de me déshabiller , de tout ôter comme le jours de ma naissance, y compris culotte, chaussures, chaussettes...


J'a pour garder ma dignité tenter de résister et refuser avec énergie d'enlever mes habits mais ils m'ont hurler dessus et commencer à me frapper avec des matraques et me dire qu'ils allaient employer la force er arracher mes vêtements.


J'ai du céder et leur remettre d'abord mon hijab (voile porté par les femmes musulmanes), puis mes chaussures et ma robe.


La mise à poil est l'une des premières choses qu'ils font quand une personne arrive, tout le monde y passent, les hommes et les femmes se retrouvent tous sans vêtements dans ce sinistre endroit. J'ai comme les autres demander et essayer de garder ma culotte et mes chaussettes mais aucun moyen de négocier

 

C'est vraiment humiliant de devoir écarter les fesses pendant qu'ils regardent à l'intérieur avec une lampe torche ! On ressent le souffle des gardiens sur la chatte et ça chatouille l'anus, puis ils y mettent leurs doigts gantés et plein de vaseline.

Liens :


Histoire de la prison d'Abou Ghraib.

mercredi 21 août 2024

Un inspecteur de CICR découvre que la nudité est imposée aux prisonnières

La nudité forcée en prison
Une prisonnière gardée nue et pieds nus.

La nudité forcée est aussi imposée aux femmes.


Le sort des femmes irakiennes détenues dans la prison d'Abou Ghraib à coté de Baghdad pendant la seconde guerre d'Irak. Quelques inspecteur du Comité International du Croissant/Croix Rouge ont accès aux prisonnières en plus des membre de l'administration américaine.


Lina Y, Une femme âgée de 38 ans, issue d'une famille commerçante ayant fait fortune sous l'ancien régime que les USA et la coalition internationale est retenue sous le statut de prisonnière de haute sécurité.  Les forces américaines l'ont placée en détention et incarcérée dans l'aile de la prison militaire d'Abou Ghraib réservée aux prisonniers de sécurité. 


Grace a ses liens et ses contacts, la détenue est exemptée de mauvais traitement, elle n'est ni battue, ni torturée, ni fouettée et a accès a une nourriture relativement correcte et à quelques activités. Le CICR peut la suivre régulièrement pour s'assurer qu'elle soit bien traitée mais certaines choses interroge.


Tout d'abord, lors des entretiens réguliers, Lina est toujours conduite entièrement nue entre deux gardes hommes  dans une pièce dédiées a cette effet. C'est en soit une violation des conventions de Genève que de laisser une femme exposée nue devant des hommes, l'inspecteur a fait remarqué aux responsables de la prison que Lina devrait au moins porter un uniforme ou un peignoir. Les officiels ont répondu simplement que la nudité était requise pour l'inspection, et que juste avant  Lina doit être  fouillée par sécurité avant d'entrer en contact avec le CICR comme le veut la procédure. C'est une mesure de sureté légitime. prévue par le règlement.


De plus Lina ne manifeste aucune pudeur, comme si elle avait pris l'habitude d'être nue et oublier la sensation de porter des vêtements. C'est surprenant car d'après l'expérience de l'inspecteur, les autres prisonnières vues  sont très gênées et honteuses d'être nues. Elles vivent très mal leur détention a cause des multiples fouilles, de la nudité imposée et s'en plaignent tout le temps

Lina est elle naturiste ?  Ce serait surprenant pour une personne de cette culture; ou est ce qu'elle s'est habituée du fait que ses geôliers l'obligent a rester nue en permanence ?


Dans un premier temps il est difficile de faire la part des choses. L'inspecteur rencontre ensuite Safia, une jeune femme fraichement incarcérée dans cette même prison d'Abou Ghraib est furieuse, l'inspecteur constate qu'elle est elle aussi est amenée entièrement nue. 


Elle est furieuse, réclame sans cesse des vêtements. C'est difficile de lui expliquer qu'il faut qu'elle soit nue pour que l'inspecteur puisse s'assurer qu'elle n'est pas victimes d'abus.


Face à ces situations énigmatiques, l'inspecteur, qui est un homme méthodique et consciencieux doté d'une conscience professionnelle très développée; a décidé d'en savoir plus sur ce qui se passe dans cette prison.


Il fait part de ses interrogations dans plusieurs rapports adressés aux différentes autorité et à l'administration pour obtenir des éclaircissements sur cette nudité imposée à Lina et Safia,  jugée inquiétante.


En résumé, les questions posées aux autorités sont les suivantes : Pourquoi est ce que les prisonnières sont systématiquement amenée entièrement nues ? Pourquoi ne pas leur remettre de quoi se couvrir après les fouilles corporels ? Pourquoi ne portent elles pas leurs vêtements personnelles ou d'uniforme de prisonnières ? Pourquoi n'ont elles pas de chaussures et marchent pieds nus ?


L'un des responsables de la prison, a accepter de répondre en off et anonyme à l'inspecteur lors d'un entretien abrégé ici : 


"Suite aux scandale révélé dans la presse que tout le monde connait, les autorités contrôlent de façon plus stricte la prison pour y empêcher les abus et empêcher des mauvais traitements et les gardiens ont des consignes très strictes pour faire respecter l'ordre et la sécurité. Lorsque Lina est arrivée, elle a été informé de ses droits et officiellement enregistrer comme détenue. Son identité a été vérifiée, puis ses papiers d'identité , son argent, ses bijoux et effets personnels sont  confisqués et mis sous scellés, des photos de face et de profil sont prise et on relève ses empreintes digitales, puis un numéro d'identification/d'écrou lui est attribué.


Ensuite il y a le déshabillage et la fouille (strip search), Lina doit se déshabiller, complètement comme toutes les autres personnes emprisonnées avant tout mouvements dans la section d'isolement.


Les femmes détestent les fouilles, surtout la première,  qui sont obligatoires, systématiquement imposée, les autorité militaire insiste pour la sécurité et prévention de l'intrusion de tout objet de contrebande ou dangereux.


Le code de procédure dans son article 41 précise que "All clothing removed and checked before body search", soit que tous les vêtements doivent être enlevées et vérifiés avant l'inspection des corps. 


La source précise que les gardiens doivent être intraitable et veiller a ce que les femmes retirent tous,  même leurs tampons hygiéniques. Bien sur les détenues demandent souvent à garder culotte, montres, ou chaussettes sous prétexte que le sol serait sale ou froid, ces requêtes sont automatiquement refusées.

Liens :

Prisonnière torturée et humiliée plusieurs semaines.

mardi 20 août 2024

Pas de place pour la pudeur en prison

Les femmes interdites de porter des vêtements en prison
Les femmes prisonnières sont 100% nue et interdite de porter des vêtements.

Rania, détenue n°490052.


Témoignage d'un ancien responsable américains de la prison d'Abu Ghraib ayant assisté à l'humiliation de Rania L, une jeune femme irakienne de 28 ans incarcérée dans le centre de détention tristement célèbre  sur une fausse dénonciation par des voisins jaloux et hypocrites.


Rania est une jeune femme active, un de ses voisins est malheureusement un indicateur des troupes d'occupation américaine, ce dénommé Sofiane a la fâcheuse tendance de dénoncer les jeunes femmes qui refusent ses avances ou tout simplement qu'il juge être de mauvaises personnes qui mérite une bonne leçon (selon lui bien sur).

Sofianne sait que les américains humilient automatiquement les détenues et avaient plusieurs fois averti Rania qu'elle passerait un sale quart d'heure si elle ne se montrait pas plus gentille avec lui. Il a passer un accord avec eux. Il donne diverses renseignement en échange de la possibilité de faire arrêter n'importe quelle femmes et d'assister à son "traitement".
 
La jeune femme a donc été appréhendée et placée en détention pour une période de plusieurs semaines pour des raisons louches.


Son passage en prison n'a pas été très agréable ni confortable pour elle, c'est le moins que l'on puisse dire.

Les gardiens applique un processus très strict pour briser et rendre docile les captifs et notre jeune prisonnière y a été soumise.

Rania a été conduite dans la fameuse prison avec un groupe de femmes accusées de divers délits (prostitution, vols, soutient a la rébellion etc.) , après quelques formalités administratives, les surveillants militaires ordonnent aux femmes de se déshabiller complètement.


Les gardiens dans cette prison sont inflexibles sur cette question et les prisonnières doivent ôter l’intégrité de leurs vêtements.

Rania en arrivant s'est retrouvée entièrement nue pour la fouille. Dans les prison US les fouilles sont systématique et très strictes. La jeune détenue s’est retrouvée obligée de se dénuder devant les gardes avec d’autres femmes incarcérées  en même temps qu'elle.

La prisonnière comme ses compagnes d'infortune a été contrainte de retirer tout : hijab, robes, chaussures, bijoux, effets personnels, et bien sur les culottes. Elles sont inspectées, et leurs anus et vagins sont vérifiés

Les détenues humiliées pleurent et baissent la tête, les militaires "par tradition" font toujours défiler nues les nouvelles.
 
Les gardes corrompus et aiment obliger les femmes à s'exhiber nues. Rania doit écarter les fesses devant Sofianne qui rigole. Les femmes sont cibles d'insultes, moqueries, en arrivant, elles étaient des femmes respectables, bien couverte  de leurs larges et amples vêtements et du voile, et pudique, et on les met à poil pour les fouiller, puis une longue marche à poil dans toute la prison s'impose, les nouvelles sont "présentées". Non seulement le staff doit les voir nues, mais tout est fait pour que les autres prisonniers aussi puissent regarder.

Les nouvelles assistent à la destruction symbolique de leurs vêtements, les hijabs sont brulés.

Les détenues sont filmées et prises en photos nues et les images sont affichées et visible par tout le monde.

Les pieds nus sont aussi obligatoire, les chaussettes et les bas ne sont pas autorisés, les prisonnières marchent pieds nus.

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lundi 19 août 2024

Nudité forcée et systématique dans cette prison.

La nudité forcée est difficile à vivre pour les femmes pudiques en prison.
Une prisonnière pudique tente de dissimuler son corps en prison.

Durant la seconde guerre d'Irak, dans les semaines qui ont suivi le déclenchement des photos et vidéos de prisonniers nus  dans la prison militaire Abou Ghraib, les autorités américaines se sont d'abord défendue en expliquant que ceux sont des actes isolés et en accusant une équipe de gardiens voyous.

Mais les enquêtes officiels et celles menées par des ONG et des journalistes indépendants révèle que  la nudité forcée des prisonniers était omniprésente systématiquement imposée dans  la partie dure de la prison a tel point que certains soldats la première fois témoignent qu'on leur a tout de suite expliquer que la nudité des détenus était "normale et ordinaire" pour toute personne habituée des lieux.


Certes des cas de nudité forcée  des prisonniers de guerre sont dénoncés dans diverses prison à travers le monde, mais à Abou Ghraib selon divers témoignages de soldats, d'anciens détenus et de rapports officiels d'organisation de défense des droits de l'homme, la pratique consistant a garder à poil les prisonniers s'est rapidement developper et généraliser ce qui semblant naturel et normal  pour les soldats et gardiens.


Cette pratique a commencer des juillet 2003 suite a des consignes données par la police militaire de déshabiller certains suspects pour "les préparer" en vue des interrogatoires. Certains détenus étaient mis à poil et humiliés par les interrogateurs et selon les responsables de l'armée les résultats obtenus par cette expérience  sont très positifs en terme de renseignement. 


Pour les militaires la nudité forcée est une technique d'interrogatoire qui fait l'unanimité  simple à mettre en place et efficace pour ramollir les suspects et les responsables de la prison ont décider de l'autoriser pour "de bonnes raisons".


Très vite,  pour les gardiens , le fait de s'habiller pour un détenu  n'est plus considérer comme un droit mais comme une faveur.


Quelques semaines après de plus en plus de personnes détenues sont gardées nues, les américains confisque les vêtements des prisonniers  lors de leurs arrivés pour faire pression sur eux et exercer un  chantage très simple : Toute personne doit pleinement coopérer pour avoir la possibilité de porter des vêtements.


Les prisonniers défilent nus en arrivant ce qui est vite devenu, du point de vu des gardiens comme une sorte de tradition, de rite de passage imposé aux captifs.


Les femmes ne sont pas épargnées , et certaines ont été trouvées gardées totalement nues dans leurs cellule et avaient l'interdiction formelle de tenter de cacher leurs sexe, fesses ou seins même devant les visiteurs.

Lorsque les membres du comité internationale de la croix rouge ont retrouver une femme connue sous le pseudonyme d'Houda  d'environs 34 ans incarcérée dans le complexe pénitentiaire  d'Abou Ghraib après avoir été arrêtée  un mois plus tôt durant  un raid sur sa maison.


La femme, horrifiée à l'idée d'être exhibée et  en voyant les gardes et les observateurs a tout de suite tenter par réflexe de pudeur de cacher ses seins avec ses bras et de dissimuler son sexe avec ses jambes.


Un colonel responsable du renseignement militaire explique aux membres du comité que : 


"la nudité fait partie du processus. Le cas de cette prisonnière est typique, c'est une femme culturellement très pudique a qui on enseigne la modestie depuis l'enfance et dans sa religion la nudité est quelque chose de très honteux. L'une des premières choses à faire pour la rendre coopérative docile et briser sa personnalité est de s'en prendre a son égo et a son identité en la dépouillant de sa liberté, de ses droits, de ses papiers, argents  et surtout de sa dignité. Et pour cela, il y a la mise à nue systématique en arrivant".

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Nudité imposée.

dimanche 18 août 2024

La professeur Nassira K, prisonnière n°0407795

Les femmes prisonnières nues sont humiliée en permanence.
Une prisonnière nue et enchainée parade nue dans les couloirs.

Rapport sur une détenue de sécurité "Nassira"

Nassira K est une professeur à l'université et l'épouse d'un haut dignitaire du régime irakien. Elle a été potée disparue suite à son arrestation lors d'un raid sur sa maison. Les forces américaine l'ont arrêtée et emprisonnée sous le statut de "prisonnière de haute valeur".

Son avocat a retrouver sa trace quelques mois après sa capture. Tout d'abord, il faut savoir que Nassira comme les autres prisonnières d'Abou Ghraib sont gardées nues en confinement solitaire et ne sont ni maltraitées ni torturées et nourries régulièrement (riz, poulet, bananes, pomme de terre, soupe, pain, œufs etc.) 

Lorsqu'elle a été amenée dans la prison, les gardes l'ont obliger à se déshabiller, lui ont fait retirer tous ses vêtements, ses chaussures, bijoux.  

Les femmes arabes sont mises complètement nues, c'est une humiliation terrible pour Nassira.

Ses proches l’ont toujours connue très pudique et modeste, elle a toujours porter le voile et des tenues larges et couvrantes, et maintenant elle est gardée sans vêtements. Elle n'a jamais porter ne serait ce qu'un maillot de bain, et elle s'est vue imposer la nudité totale.

Les américains veulent déposséder les prisonnières de toute pudeur et dignité. Elle est pieds nus comme toutes les autres captives. Lors de sa fouille elle a du même retirer ses chaussettes, les femmes doivent être pieds nus. en permanence.

La détenue est contrainte de marcher nue dans les couloirs, les soldats aiment voir les prisonnières humiliées  parader à poil, les regarder dans les yeux pour contempler leur dégradation.

Si les américains évitent de torturer et de frapper les femmes, ils sont inflexibles sur la nudité qui n'est pas négociable. Les femmes doivent servir d'exemple, être punies et servir d'exemple...

 Liens :

Une prisonnière parade nue dans les couloirs de la prison.

Une prisonniére humiliée sexuellement et dégradée


Les femmes pieuses et respectables devienent vite des salopes dévergondées en prison.
Les humiliations sexuelles dont sont victimes les prisonnières sont très amusantes et distrayantes.

Les humiliations sexuelles subies par les femmes.

Qu'est ce qui se passe dans le centre de détention américain d'Abou Ghraib en Irak ?
Les femmes irakiennes détenues entre les mains des américains vivent un enfer.

Les gardiens ont reçu comme consignes de traiter les détenus comme pires que des chiens, comme des déchets, et les femmes sont bien sur tout aussi maltraitées et humiliées que les hommes.
 
Déjà en arrivant, les américains mettent les prisonnières à poil, les pauvres femmes, elles sont pieuses et musulmanes, elles porte le voile islamique (hijab), de longue robe de type abaya qui les couvre de la tête aux pieds, et elles sont obligées de se mettre nues devant tout le monde y compris les gardes hommes et les autres prisonniers.
Certaines pleurent et supplient les gardiens de leur permettre de garder au moins la culotte, elles ont le regard plein de honte et de détresse, mais leurs requêtes sont toujours refusées et elles sont déculottées.
 
Elles sont bien sur fouiller bien partout, elles doivent secouer les fesses, ouvrir leurs fesses et bien exhiber l'anus pour qu'un gardiens vérifient qu'elles ne cachent rien.
 
L'humiliation est au cœur du processus, les femmes arabes sont mises à poil, leurs vêtements pudiques sont déchirés ou brulés devant elles.  Les soldats rient et hurlent des propos pervers et obscènes en voyant les femmes retirer leurs vêtements, elles sont très humiliées, surtout lors des photos et des vidéos nues.

Les photographies des prisonnières nues sont diffuser dans toute la prison, dans les postures souvent dégradantes et obscènes et sexuelles. Ces femmes pieuses et respectables sont forcées de sucer des godes, de prendre des poses les fesses bien ouvertes comme des putes.
 
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samedi 17 août 2024

Une femme obligée de se déshabiller et fouiller nue par un homme.

 

Une femme soumise à une fouille à nue par un garde qui lui inspecte l'anus et la chatte.
Une prisonnière lors d'une fouille anale en prison.

Humiliation systématique des prisonnières.

 
 Irak, 2004,  prison d'Abou Ghraib.
 
Les femmes irakiennes détenues par les forces américaines lorsqu'elles arrivent dans le complexe pénitentiaire sont en général très humiliée.

Zohra D, l'épouse d'un ancien membre du ministère de la santé en fuite, elle même médecin a été dégradée pendant sa détention. Cette femme est connue pour être très éduquée, elle enseigne aussi à l'université, c'est une femme qui a réussi socialement et reconnue dans sa communauté. C'est une membre de la bourgeoisie, elle a visiter plusieurs pays européens, elle allie modernité et tradition et est connue pour se vêtir avec élégance et pudeur.
 
Elle a été arrêtée puis transférer dans la prison. En arrivant elle découvre que les américains font tout pour humilier les femmes, le déshabillage est l'une des premières choses qui arrive, de plus elles sont forcées de retirer leurs vêtements devant des hommes.
 
Comme la majorité des détenues irakiennes sont musulmanes et très pudique, tous est fait pour les dégrader, la nudité étant particulièrement infamante, et les voiles (hijab) et autres vêtements pudiques sont prohibés, les américains veulent voir les femmes sans rien, Zohra est obligée sous la menace d'ôter ses vêtements devant un homme.


 Le processus pour maximiser la honte ressentie par les détenues, les femmes sont fouillées par les hommes, c'est très difficile , surtout que c'est en public, et qu'il faut écarter les lèvres, que les gardes leur écartent les fesses et y mettent des doigts dans le cul.

Les gardes aiment inspecter les anus et les chattes des femmes.
 
Liens :
 
 

Incident nudité forcée : Une prisonnière déshabillée devant un homme.

Une prisonnière d'Abou Ghraib se déshabille devant un garde homme.
Une prisonnière déshabillée devant un garde homme.


Une femme nue devant les gardiens. 

 
Le 16 avril 2004, des photographies d’une détenue irakienne devant un gardien américain ont étés prises en pleine journée.

Pour la punir de son comportement les responsables ont décider de lui interdire de porter des vêtements pour une semaine. 
 
Confisquer les vêtements des prisonniers est une pratique très courante dans la prison d'Abou Ghraib. 

Lors d'un entretien avec son avocat, la jeune prisonnière s'est plainte des mauvais traitements; selon elle et du fait que les femmes musulmane n’aient pas le droit de porter de voile (hijab couvre chef religieux) , ni de sous vêtements sous leurs uniformes orange de détenues est problématique.

Les femmes sont aussi pieds nus en permanence, les chaussures et les chaussettes sont strictement interdites.

Pour se venger de cette plainte, les gardiens américains ont décider de sanctionner la détenue et de lui confisquer son uniforme de prisonnière. De plus ils font exprès d'obliger la jeune femme à se dénuder devant un homme.
 
Liens : 
 


vendredi 16 août 2024

Les éducateurs imposent des fouilles à nu aux filles

Ordre et discipline en foyer pour jeunes filles ASE
Fouille à nu en recherche de drogues

L'ordre et la discipline en pensionnat pour jeunes femme.

 

Le gouvernement a décider de prendre des mesures contre la petite délinquance et les incivilités et à fait voter des lois donnant beaucoup plus de pouvoir à la police, aux profs, aux surveillants, et aux éducateurs pour inculquer aux jeunes des notions de discipline, d'ordre et de respect des règles.

Dans ce  foyer pour jeunes filles, d'Ile de France l'atmosphère et les règles sont redevenus très strict comme au bon vieux temps, les éducateurs se font respecter. De plus de véritables mesures ont été prise contre la consommation et le trafic de drogue, tolérance 0 pour le cannabis.

Les éducateurs sont en effet autorisé à effectuer des fouilles complète et de déshabiller les jeunes filles en vue de rechercher des drogues.

Depuis, les jeunes filles dénoncent certaines choses qui sont pour elles de grave atteintes à leur dignité. 

Léa et Elodie dénonce le fait que les éducateurs les obligent à se déshabiller publiquement et devant tout le monde, parfois plusieurs fois par jours et les obligent à écarter leurs fesses et tousser pour être sur qu'elle ne cache rien dans leurs anus.

Liens :

Pensionnat pour jeunes filles stricte.


jeudi 15 août 2024

Harcélement : Une fille durement humiliée en foyer pour jeune (pensionnat)

Humiliations sexuels dressage et harcélement
Une fille exposée et utilisée sexuellement en direct lors d'une opération punitive.

Une jeune femme lourdement humiliée dans un foyer pour jeunes filles.

 C'est des faits d'une grande perversité qui se sont produit dans un foyer pour jeunes filles, un nouveau scandale autour du harcèlement sexuel comme nous en avons connus plusieurs ces derniers mois.


Ines, 22 ans est régulièrement harcelée par les autres filles de sa cité, ses parents l'ont mise en pensionnat mais ça n'a pas cesser.

Après une altercation avec une bande de fille concernant du shit, une véritable opération commando  a té mise en place contre la pauvre victime. Les filles ont permis à une bande de garçon, probablement leurs petits amis ou leurs frères d'entrer dans le foyer pour régler son compte à Ines.


La jeune fille a été trainée hors de sa chambre, complétement déshabillée et prises en photo sous toutes les coutures, avec zoom sur sa chatte rasé, son anus, ses seins et ses pieds nus.

Ils ont aussi tout filmer et diffuser ça en direct sur Tiktok et d'autre réseaux sociaux.

La jeune fille a aussi été frappée, et forcer de lécher les chattes, les pieds et les culs des autres filles ainsi que de sucer les mecs.

Ensuite la jeune femme a été offerte et mise à disposition pour 50 euros pour toute la nuit. Si nous respectons l'anonymat des clients, le maire de la commune aurait lui même décharger ses couilles dans le cul d'Ines pendant que le commissaire de police lui piner la tronche avec sa bite. 

 

Malgré le scandale, aucune réaction politique ni même médiatique.  

Le maire aurait dit en Off que c'est une salope et qu'il n'y aura pas d'enquête et que la jeune fille est actuellement gardée nue dans la cave d'une cité.

 

Liens : 

Dressage et bizutage des nouvelles.

 

mercredi 14 août 2024

Majda change de vie après son passage en prison.

 

Lutte contre l'intégrisme : du port du voile au nudisme et l'exhibitionnisme
Avant et après, du voile intégral au nudisme.

Une ancienne prisonnière d'Abou Ghraib est maintenant une nudiste et exhibitionniste suite à son séjours en détention.

Majda F, née en 1985 dans la capitale irakienne Baghdad d'une famille conservatrice sunnite.  

Elle avait environ 20 ans en avril 2004 quand les troupes américains l'ont arrêter par erreur lors d'un raid sur son université. 

Elle s'est retrouvée dans la prison d'Abou Ghraib en isolement. 

La jeune femme y a passer plus de 7 mois sans inculpation ni réellement savoir pourquoi.

Plus tard, il lui sera révélé qu'elle a été confondue avec une autre personne recherchée et que les militaires US qui ne prennent pas de risque ont préférés l'a garder quelques mois au nom de la sécurité nationale.

C'est une femme très croyantes et pieuse, elle porte le voile  (hijab)depuis l'age de 15 ans et est très pudique.

En prison toute sa vie et ses certitudes ont été chamboulé. 

Majda a passer la plupart de son temps nue en confinement solitaire.

Les fouilles corporelles  entièrement nues sont systématiquement imposées aux femmes lors des : Entrée et sortie du bloc, avant et après chaque visite que ce soit un avocat, un défenseur des droits de l'homme ou quelqu'un de sa famille.

Majda a été strictement interdite de porter son voile en prison, ainsi que son soutien gorge, chaussettes.

Lorsqu'on lui donnait des vêtements ce n'était qu'un uniforme orange comme à Guantanamo, elle devait rester tête nue et pieds nus.

Majda a passer au moins 5 mois complet en isolement, donc totalement nue.

Les gardiens l'ont souvent photographié nue et diffuser ses photos dans toute la prison.

Majda devait parader nue et servir les repas aux autres détenus.

La jeune femme s'est plusieurs fois faite raser les poils pubiens.

La jeune femme devait régulièrement dire qu'elle remercie les gardiens de l'a garder nue et pieds nus.

En sortant de prison la jeune femme n'a pas vraiment pu retourner à sa vie d'avant, les américains lui ont donner des indemnités et elle est partie vivre en Europe ou elle est nue la plupart du temps.

Liens :


Nue en confinement solitaire.

Comment se passe l'incarcération des femmes ?

 

Forced nudity strip search and humiliation
Prisonnières nues et pieds nus.

Sa femme arrêtée et emprisonnée.

Scène se déroulant dans la prison d'Abou Ghraib en Irak en mai 2004.

Ayad a été arrêté par les troupes américaines qui occupe son pays pour divers actes de sabotages et de résistance, après plusieurs semaines d'incarcération et d'interrogatoire musclé, les forces américaines ont trouver un autre moyen plus efficace pour faire pression sur lui : Arrêter sa femme.

"Samia ton épouse,Ayad,  ne pas pas tarder à arrivé, elle est dans le bus qui arrive dans la prison, tu ne perdra rien de l’accueille qu'on lui réserve" lui dit l'un des gardes américains avec un sourire vicieux.

Les gardiens ont mis le pauvre prisonnier au première loges pour voir "le spectacle".

Le véhicule de Samia vient de s'arrêter, elle est avec 4 autres femmes, seule une ne porte pas de voile (hijab) mais simplement un jean et T Shirt, probablement une étudiante laïque de gauche qui s'habillenr à l'occidentale. Les autres femmes sont vêtues de façon traditionnel, l'une porte un tchador comme beaucoup de femmes irakiennes chiites du sud, une autre porte une robe arabe de type abaya et un hijab, la dernière est intégralement voilée de la tête aux pieds. Samia porte un joli voile et une tunique brodée avec en dessous des vêtements occidentaux (jean, basket, t shirt).

Le petit bus s'arrête  à coté d'un des bâtiments en béton, et les femmes après quelques instants. Ayad a été placé de façon à tout voir. Les gardes font signes aux prisonnières de se diriger vers les portes et d'entrer. Le groupe de femmes doit traverser plusieurs couloirs, Samia croit voir au loin une silhouette d'homme nu escorté par deux gardes en uniforme.

Les nouvelles arrivent dans le bloc cellulaire réservé aux femmes, des gardes armé de gourdins et matraques et une femme blonde d'environ 45 ans l'air stricte et autoritaire sont là. Elle semble être la directrice ou la responsable du bloc. Ayad l'a connait très bien c'est une femme froide et sans pitié qui traite les prisonniers comme des moins que rien.

Elle parle parfaitement l'arabe et l'anglais, elle commence par dire fermement avec un aire froid et sans scrupules: "Bonjour mesdames, je suis  le général Elizabeth Robertson, responsable de cette aile de la prison et ici pour vous je suis l'autorité suprême, toutes vos vies sont entre mes mains et sous mon contrôle.

La haut gradée tourne autour des prisonnières, et tire sur le voile d'une des femmes pour le défaire de sa chevelure et tomber au sol. "Ici il n'y a qu'une seule voie à suivre : mes ordres sont la loi et sous devez obéissance aux gardiens qu'ils soient hommes ou femmes. Vous n'avez aucun droits."

Elle continue "Ici on se fiche de votre religion et de votre culture, retirez moi vos horribles voiles et autres accoutrements de corbeau obscurantiste, c'est strictement interdit. De plus, pour vous faire passer l'envie de vous couvrir et vous montrer la voie à suivre, dans cette prison il n'y a pas d'uniforme pour les femmes, vous devrez perdre toutes traces de pudeur et apprendre à être nues."

 

"Enlevez tout vos vêtements, chaussures, chaussettes, soutiens gorges, et tout le reste y compris vos piercings ou les barrettes que vous pouvez avoir dans vos cheveux, et tout de suite".

Les femmes pleurent et supplient Elizabeth de dire aux hommes de partir, car elles ne veulent pas être vues par des hommes. La Générale  éclatent de dire " Ici vous n'avez aucune revendications à faire et les gardes s'impatientent et veulent mater vos corps." 

L'un des gardes saisit la détenue intégralement voilée pendant qu'un autre lui découpent ses vêtements, les autres savent rapidement que les gardes sont sans pitié et qu'elles finiront toutes à poil de gré ou de force.

La pauvre femme se débat mais après quelques seconde sa tenue est déchirée, ses sous vêtements découpés et ses chaussures et ses chaussettes retirer de force. 

Samia retire sa tunique , chaussure et jean, puis sous soutien gorge, elle est vite prise à partie pour avoir encore sa culotte et ses chaussettes, Elizabeth est intraitable sur cette question et n'a jamais autoriser de femmes à ne garder ne serait ce que des chaussettes.

Les femmes sont toutes nues et pieds nus, puis elles voient leurs vêtements et chaussures placés dans des cartons, et sont ensuite inspecter brutalement, elles se prennent toutes un doigt dans l'anus et dans le vagin.

Vient ensuite les photos nues, qui sont diffusées dans toute la prison et coller sur la cellule de chaque prisonnières. Samia et ses camarades sont 100 % nues, cheveux à l'air, les seins qui pendent, chatte rasée visibles et pieds nus.


Elles doivent défiler nues dans toute la prison, y compris devant les hommes pour humilier le plus possible.


Liens : 

Procédure d'incarcération.