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mardi 31 décembre 2024
Le dressage des filles récalcitrantes lors du bizutage étudiant.
Le bizutage et les sanctions spéciales pour les récalcitrantes
jeudi 26 décembre 2024
Malika une étudiante musulmane bizutée dans les années 1980
Nue devant les garçons pendant le bizutage étudiant. |
Bizutage classique dans les années 1980
Nous sommes dans une faculté de droit d'une université du centre de la France en 1987, une époque ou le bizutage était ouvertement accepté et même encouragé par les autorités.
Témoignages de Malika, l'une des rares étudiantes musulmanes d'origines nord africaine (Tunisie) qui portait le voile (hijab) à cette époque.
Dés la première semaine, en général vendredi ou samedi, tous les étudiants en premières années étaient regrouper dans l’amphithéâtre pour la cérémonie d'intégration organisée par les anciens. Le bizutage était incontournable à l'époque, c'était impossible d'y échapper sous peines d'exclusion sociale et de toute façon les anciens allaient chercher les récalcitrantes qui tentaient d'esquiver.
J'étais l'une des seules étudiantes musulmanes voilées, je portais le hijab depuis 16 ans, à l'époque c'était autorisé même au lycée. L'ambiance était festives et électriques, beaucoup chantaient des chansons idiotes ou paillardes , avec pas mal d'alcool, de la bière surtout. Puis les anciens nous ont regrouper par petit groupes de 5 à 6 filles, nous étions des "bans de poissons frais" selon les termes utilisés par les anciens.
Ensuite c'est mon groupe qui a été invité a se rendre sur l'estrade, les anciens me regardaient avec un air narquois et l'une d'entre elle a ordonner avec un haut parleur "Vous vous déshabiller ! Aujourd'hui, il faut tout enlever, pas de place pour la pudeur, ni pour les complexes, ni pour la religion ou le statut social, tout le monde à poil !"
Les spectateurs hurlaient et criaient toutes sortes de propos du type "à poil" "montrez nous leurs chattes" etc.
J'ai tenter de protester en disant que j'étais musulmane, pudique et voilée, mais rien à faire, une des anciennes s'est mise à crier "hahaha elle se prend pour une saint avec son voile ! on dirait une bonne soeur et on va la libérer et la décoincer un peu !"
Dans les gradins certains hurlaient "mettez la à poil, pas de religieuse ici, tous le monde à égalité".
Deux garçons sont venus en disant d'en finir avec "ce cinéma et cette fasse pudeur et de tout enlever". et ils m'ont enlever mes vêtements en commençant par mon hijab.
Ils nous ont exposés toutes nues devant tout le monde, j'ai du les remercier de m'avoir sauver et libérer, puis nous avons du faire la marche de la libération entièrement nues en défilant sur le campus universitaire.
Toutes les filles étaient nues et pieds nus, beaucoup comme moi étaient très honteuses, mais c'était les règles et traditions de l'époque.
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mercredi 25 décembre 2024
Le bizutage traditionel public de l'IUT
Bizutage à l'ancienne en public. |
Soraya l'étudiante musulmane bizutée.
Dans certaines villes universitaires, le bizutage est une tradition faisant partie du patrimoine locale, dans une petite ville du sud ouest de la France, dont l'activité économique principal est en partie du à la présence de divers établissement universitaire supérieur (Université, IUT), école de commerce prestigieuse, écoles d'ingénieurs qui permette un afflux étudiant massif et au tourisme, et bien le bizutage fait partie du "folklore" officiel de la région.
Soraya, une jeune fille arabe et musulmane de 21 ans originaire de Paris s'est inscrite à l'IUT en BUT GACO (Bachelor Universitaire Technologique Gestion Administrative et Commerciale des Organisations) se savait pas que le bizutage était encore en vigueur ici, elle s'est donc présenter en cours lors des premières semaines couverte de la tête aux pieds avec son hijab (voile).
Les anciens du BDE en la voyant étaient très content, car ça fait une fille pudique à humilier, la majorité des filles de la région étant assez extraverties et en général peu couverte, dont la plupart pratique le topless à la plage vivent le bizutage comme un jeux, une sorte de "naked party".
La journée d'intégration étant obligatoire, les anciens ont forcer l'étudiante à se déshabiller complétement devant tout le monde dans l’amphithéâtre malgré ses pleurs et supplications.
La jeune fille ne doit rien cacher sous ses vêtements. La nudité doit être totale même les chaussures et chaussettes sont enlevés.
La pudeur n'a pas sa place, Soroya doit être "dressée" et "endurcie" et apprendre qu'ici les filles se découvrent, et que les pratiques religieuses obscurantistes n'ont pas leur place, et le bizutage sert à ça, les filles doivent pouvoir aller à la plage nudiste ou du moins en topless, porter des vêtements serrés et court.
"Il faut qu'elle parade toute nue dans le centre ville" ricanent les anciens, elle va faire une balade à poil et pieds nus devant les touristes.
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Revus des anus pendant le bizutage.
mardi 24 décembre 2024
Bizutage : Une "tutrice" et sa bizute.
Toute nue et exposée sa chatte au bizutage dans le bar. |
La tutelle lors du bizutage.
Lors du bizutage dans l'enseignement supérieur, dans certains établissement comme cette école d'infirmière réputée, les anciens étudiants sont chargés d'initié et de former les nouveaux, ce système s'appelle la tutelle.
Julia, une étudiante originaire d'Alsace, autoritaire de troisième année prend en charge Safia, une jeune étudiante musulmane de banlieue.
La jeune fille est très pudique , elle porte le voile islamique hijab et des tenues traditionnelles , mais avec Julia, c'est intolérable, et elle va profiter de sa tutelle pour dresser Safia.
Julia force Safia à se déshabiller de gré ou de force, ayant été elle même bizutée quand elle était première année, elle est absolument sans scrupules ; surtout pour "traiter" une fille nouvelle et particulièrement pudique comme cette fille en hijab.
"Je vais te mettre à poil et t'obliger à tout montrer aux garçons et aux clients du bar".
C'est un véritable choc des cultures, Julia est sans pitié, et force Safia à s'exposer entièrement nue dans un bar étudiant.
Avec Julia c'est complétement à poil, les supplications de la jeune filles n'ont aucun effets sur elle, ici pas de place pour la religion, Safia n'a pas de choix sous l'autorité de Julia, elle doit se défaire de son accoutrement, pas de place pour l’obscurantisme et la pudibonderie avec sa tutrice !
Avec Julia, il faut se soumettre et obéir, elle est adepte de la totale nudité des soumises lors du bizutage, Safia doit enlever tout, y compris ses chaussures et ses chaussettes et se présenter nue et pieds nus devant le public. Les bizutes musulmanes doivent être à poil et exposées en public pour en faire des "bonne étudiantes".
Julia désire voir sa "protégée" renoncer à toute pudeur, Safia doit écarter les cuisses pour montrer sa chatte et son anus bien ouvert, non seulement à sa maitresse mais aussi aux autres personnes, Julia aime aussi jouer et exposer les seins de la bizute.
Puis narguer et se moquer de Safia à poil. Julia aime présenter sa disciple aux autres étudiants en présentant "Safia toute nue" "montre tes seins"
Le bizutage des jeunes filles à poil. |
Julia est très fière de bizuter Safia.
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jeudi 12 décembre 2024
Une fille tente d'échapper au bizutage.
Bizutage bien organisé.
Les bizutages sur ce campus universitaires sont très bien organisés, c'est très difficile pour les filles récalcitrantes d'y échapper, même pour les plus malignes et rusées comme Sabrina.
Sabrina est étudiante en première année d'études de commerce à l'IUT (Institut Universitaire de Technologie) rattaché à l'université. Elle est d'origine marocaine par son père et espagnol par sa mère. Elle à grandie dans une banlieue assez aisée du 92, c'est plutôt une bonne étudiante, elle a obtenu le bac avec mention très bien.
Sabrina connaissait avant de s'inscrire le fait que sur ce campus, les bizutages sont très ancrés dans les mœurs et ont toujours lieux sous le nom de "journée d'intégration". Et elle veutà tout prix éviter d'y participer car elle est très pudique et porte le voile et l'abbaya comme toute bonne musulmane.
Le jours du bizutage, la jeune fille s'est rendu dans la bibliothèque universitaire (BU) du campus au lieu d'aller dans l'amphi principal de l'université ou les nouveaux doivent se réunir selon les "convocations".
Mais elle ne sait pas que les bizuteurs ont toujours une longueur d'avance sur les nouveaux. En effet, le BDE (Bureau des Étudiants) organisent avec le soutient de l'administration de l'université, des services de la mairie, et disposent de listes et d'informateurs permettant de retrouver toutes les personnes qui tentent d'échapper à la journée d'intégration.
Grace à la complicité de la bibliothécaire et des caméras de sécurité, les anciens ont pu identifier qu'une fille avait l'air de tenter d'éviter d'aller au rendez vous officiel et se serait cacher dans la bibliothèque en faisant semblant de lire des livres alors qu'elle est plutôt adepte de ChatGPT pour ses cours ...
Les anciens sont bien rodés, équipés de talkie-walkie ont vite envoyé un groupe s'occuper de la récalcitrante.
Une fois sur place, Sabrina est directement identifiée et les anciens lui demande de se lever et si elle sait qu'elle doit être théoriquement dans l'amphi principal pour le début de la journée d'intégration.
La jeune femme fait mine de ne pas bien comprendre et répond qu'elle révise. Les anciens étant expérimenté et devinant qu'elle n'a pas envie d'aller au bizutage lui disent que ça a commencer dans l'amphi, et qu'elle doit se déshabiller ici, car les autres premières années sont à poil et qu'il n'est pas juste qu'elle passe moins de temps toute nue que les autres.
Sabrina rougie et dit "Non, mais vous n'allez tout de même pas me faire me déshabiller ça va pas la tête non" avec un air hautain et arrogant propre aux gamines gâtées comme elle. "Je suis voilée quand même, je peux pas l'enlever".
Les bizuteurs, insensibles lui disent de retirer ses vêtements ici devant tout le monde, sinon ils useront de la force, car c'est le bizutage, tout le monde à poil sans distinction, on met sa culture et sa religion de coté et qu'il faut tout montrer".
C'est horrible pour Sabrina mais elle n'a pas le choix et sait parfaitement qu'ils vont lui arracher ses habits et lui infliger des sévices et des punitions.
Il faut tout enlever même la culotte et les chaussettes. Sabrina qui était couverte de la tête aux pieds s'est retrouvée à poil en quelques minutes, et devant tout le personnel de la BU.
La honte, les anciens l'oblige à parader à poil devant les autres les mains sur la tête pour que tout le monde puisse bien reluquer ses seins, sa chatte sans poil ses fesses à l'air.
Faut pas être pudique pendant le bizutage.
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La tradition du bizutage en milieu étudiant.
mardi 10 décembre 2024
Kahina dans la prison du shérif
lundi 9 décembre 2024
Exhibition lors du bizutage d'étudiantes
En début d'année universitaire, dans cette ville dynamique universitaire cotière du sud de la France, nous pouvons assister à de très jolis spectacles et assister à des scènes surprenantes.
Les étudiantes, en particulier les bureaux des anciens (BDE) des différentes écoles et institut universitaires présents sur la ville rivalisent en matière de bizutage. L'école d'infirmière, l'IUT, et l'école d'architecture organisent chacune de leur côté des "journées d'intégration" (nom officiel du bizutage).
Les passants et promeneurs sur l'avenue de la plage, il fait encore chaud à cette période de l'année et les touristes sont encore présent en septembre/octobre, ont pu assister à des choses étonnantes qu'on ne voit pas tous les jours. trois jeunes filles ont été obligées de se promener entièrement nues dans le centre ville et à coté de la plage, dans une zone de forte affluence à la vue de tous.
Mélanie, Naïma, et Carla, trois filles de l'IUT étaient promener mains sur la tête avec obligation de tout montrer aux passants.
Ces filles sont aussi bien sur pieds nus, Naïma la musulmane portait des baskets avec des chaussettes qu'elle a du retirer, les deux autres étaient en tongs (flip flop).
Les filles étaient aussi obligées de danser sur des sons des spices girls, de Denzel, et de chanter des slogans débiles.
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dimanche 8 décembre 2024
Femme incarcérée pour terrorisme
Les conditions de détention dans les prisons de haute sécurité pour les femmes arrêtées et incarcérées dans le cadre de la lutte contre les terrorisme sont très difficiles et sont dénoncées par de multiples organisations de défense des droits de l'homme.
Najoua B, une détenue américano syrienne impliquée dans une tentative d'attentat avorté avec son mari est détenue en isolement dans une prison de haute sécurité.
Elle est condamnée à 8 ans de prison, sous surveillance permanente dans une cellule de ségrégation vide d'environ 2 mètres sur deux, avec seulement "des toilettes à la turque".
Aucun confort n'est permis, sa cellule est éclairée en permanence. De plus, la prisonnière est contrainte de rester nue et pieds nus en permanence. Elle est sous le statut de nudité permanente, avec l'interdiction de porter le moindre vêtements, même lors de ses rares visites avec un avocat ou avec sa famille.
Les fouilles sont quotidienne, avec des examens agressifs et intrusifs sans aucun respect pour sa pudeur et sa dignité, les gardiennes l'obligent à ouvrir son anus et son vagin de façon obscène tous les jours et en public.
Elle passe en général plus de huit heures par jours debout les mains sur la tête quand elle n'est pas de corvée ou soumise à des travaux forcés.
Elle a l'interdiction de regarder les gardiens dans les yeux, de leur adresser la parole sans autorisation, ou de communiquer avec d'autres détenus.
Najoua est régulièrement ré éduquée, dans le but de la soumettre et de la déradicaliser, elle est filmée nue et régulièrement prise en photo à poil et les images sont diffusées.
L'hymne nationale des États Unis retenti deux fois par jours et elle doit l'écouter et le chanter.
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samedi 7 décembre 2024
La revue des anus lors du bizutage.
Le bizutage est souvent un évènement très marquant dans la vie des jeunes filles, car c'est l'une des premières fois qu'elles sont totalement exhibées lors de ce rituel traditionnel qui existe et perdure depuis au moins le moyen âge voir avant.
Dans cette école d'ingénieurs, qui est d'ailleurs très réputée et fournie les grandes entreprises en brillant technicien et spécialiste, le bizutage est toujours pratiqué et parfois très difficile à vivre pour les filles.
Aucune place pour la pudeur, les anciens sont sans pitié, insensibles voir même brutaux et obligent les nouvelles, de gré ou de force, sous une terrible pression à se déshabiller, et complétement.
Se retrouver toute nue devant du public et des anciens hilares, sans rien pour se couvrir et pieds nus rend les filles dans une situation ou elles se sentent très vulnérables. Les filles de toutes cultures et toutes religions différentes sont à poil, avec l'obligation de s'exhiber et de prendre des positions obscènes devant tout le monde.
Les bizutes défilent nues les mains sur la tête pleine de honte dans les couloirs des bâtiments de l'école et dans la cours et les environ, sous le contrôle strict des anciens qui les insulte et se moquent continuellement des filles en parlant de leurs grosses fesses, ou grosse chatte odorante , d'anus sale, de petit seins, de mamelle de vache, les filles aux chattes poilues sont rasées.
Les filles sont appelé par des surnoms pervers en rapport avec leurs corps, comme "petit nénés" Gros cul graisseur" "mamelle de vachette" etc.
Les attouchements et claques sur les fesses sont réguliers, les seins palpés, les tétons tirés et pincés aléatoirement et régulièrement sur le chemin du défilé.
Vers la fin du parcours, et en public, les filles doivent se pencher et écarter les fesses pour la traditionnelle "Revue des anus".
Les anciens invitent les passants à regarder dans les orifices des filles, à faire des commentaires sur l'hygiène, ou la pilosité, et à se moquer des filles aux fesses ouvertes à la vue de tous.
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vendredi 6 décembre 2024
Lors d'un bizutage étudiant ...
jeudi 5 décembre 2024
Un gardien témoigne du sort réservé aux prisonnières.
Humiliation collective en prison. |
Témoignage exclusif d'un ancien garde de la prison.
Les détenues irakiennes de la prison militaire américaine d'Abou Ghraib sont traitées comme pires que des bêtes. Ces femmes sont fouillées à poil et en public devant tout le monde sans aucun respect pour leur dignité et leur pudeur !
C'est sur qu'entre nos mains, elles perdent vite toute traces de timidité et de pudeur, nous avons pour consigne de les garder complétement nues et pieds nus en permanence 24/24h et 7/7j. Nous les dressons pour leur apprendre le respect et l'humilité, qu'elles soient musulmanes sunnites, chiites, chrétiennes ou peu importe, elles sont toutes à poil.
Elles arrivent très pudiques, voilées de la têtes aux pieds avec leurs abayas et hijab, des tenues pudiques couvrant tous leurs corps et nous les déshabillons devant tout le monde pour les humilier et remettre en place !
Elles sont forcées de parader nues dans toute la prison pour que les gardes puissent les voir à poil, ainsi que les autres prisonniers car c'est bien de les humilier devant leur communauté, de montrer aux hommes ce qu'ont fait à leurs femmes.
Elles sont interdites de tout morceau de tissu et doivent tout montrer, et accepter la nudité et d'être vues à poil.
Nous les inspectons et fouillons plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne dissimulent rien sous leurs seins, dans leurs cavités (anus et vagin), entre leurs orteils, dans leurs bouches car les femmes peuvent cacher plein de truc en elle ce qui nécessite une vigilance absolue.
Nous nous moquons d'elles, faisons sans cesses des remarques sur leurs seins, la forme de leur cul, sur l'odeur de certaines, elles doivent se sentir comme pire que des bêtes.
Nous leur hurlons dessus des ordres pervers comme "écarte tes fesses et ouvre ton anus de pute".
Elles ne mettrons jamais de voile, ni de robe, ni de culotte, soutien gorge, chaussures ou chaussettes tant qu'elles seront sous notre garde dans cette prison. C'est 100% nue.
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mercredi 4 décembre 2024
Déshumaniser les prisonnières.
mardi 3 décembre 2024
La parade à poil du bizutage.
lundi 2 décembre 2024
Larguée nue en centre ville au bizutage
Pudeur mise à mal au bizutage.
La pudeur et la dignité des étudiantes sont régulièrement misent à l'épreuve durant les épreuves et gages qui ont lieux durant les "journées d'intégration" dans les établissements d'enseignement supérieurs comme dans cette école d’architecture.
Parmi les centaines de gages pervers et vicieux destinées à humilier les nouveaux, l'une des épreuves les plus redoutées est celle ou une fille est larguée nue en pleine journée du samedi en plein centre ville.
Cette année c'est Christelle , 20 ans, qui est l'étudiante désignée pour cette exhibition. La pauvre, elle est assez peu expérimentée en matière de sexe et n'a fait l'amour qu'avec un seul garçon à 18 ans.
Pour la jeune fille, mettre toute nue avec les autres était difficile, certaines filles pleuraient et suppliaient et les anciens de leur laisser leurs culottes et soutien gorge , c'est bien sur impossible car les bizutages se déroulent traditionnellement toujours à poil donc "cul nu' et 'seins à l'air", et même les pieds nus sont obligatoire, les chaussettes doivent être retirées pour celles qui en portent et les autres en sandales ou tongs doivent quand même les enlever.
Dans la nudité totale, les nouvelles doivent faire le tour de l'école et de ses environs les mains sur la tête sous les rires des autres étudiants et du personnels de l'école.
Mais pour Christelle, c'est encore plus difficile car elle est déposée toute nue et pieds nus en plein centre ville, visible et exposée devant tout le monde , sans possibilité de se couvrir, et elle doit faire deux kilomètres pour retourner à l'école ...
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dimanche 1 décembre 2024
Interrogatoire renforcée d'une jeune femme pudique
Utiliser les craintes des détenues pour les faire parler. |
J'ai commencer ma carrière d'agent du renseignement militaire avec le colonel Mc Kenzie, un vétéran expérimenté de la contre insurrection et de la lutte contre le terrorisme. Nous étions en poste sur le terrain pendant la guerre en Irak et nous avions comme consignes de collecter le plus d'informations possibles et de qualité sur la localisation et les habitudes des chefs rebelles liés à la résistance irakienne.
Nous travaillions sur le terrain en collaboration avec les forces armée régulière et la CIA. En fin de journée d'une chaude journée de printemps, dans un quartier Bagdad pourtant censé être sécurisé, nos troupes avaient subies 2 attaques et des tirs de mortiers étaient partis de la zone pour atteindre la zone verte. En réaction l'armée a effectué plusieurs raid sur le quartier et arrêté une vingtaine de personnes susceptible d'être complice ou témoin.
Parmi ces gens nous avions capturé Safia, une jeune femme d'environ 25 ans, habitante du quartier et étudiante en doctorat de physique à l'université de science. Elle portait comme toute bonne musulmane un joli hijab noir (foulard porté par les musulmanes pratiquantes) en tissu brodé, une tunique beige qui descend jusque aux genoux , un jean et des baskets. Elle parlait un anglais parfait et avait voyagé plusieurs fois en Europe et en Amérique. C'est une fille de famille de classe moyenne ayant réussi.
Après le raid les prisonniers ont été conduit dans la petite base ou nous opérons pour faire du renseignement. Safia était la seule femme du lot.
La protocole dans ces circonstances obligent les soldats à effectuer des fouilles et de déshabiller les prisonniers, les suspects sont mis à poil, ils doivent même retirer leurs slip et leurs chaussettes.
Concernant Safia, son cas et remonté aux oreilles du colonel Mc Kenzie, car il est rare que des femmes soient arrêtées et transférées ici et donc son cas méritait réflexion concernant l'attitude à avoir.
Le militaire expérimenté a décider qu'elle devait être traitée comme les hommes, selon la procédure en vigueur dans l'armée. Les soldats ont confisqués les vêtements et les chaussures de la prisonnières, le colonel a même fait rappeler à ses gars que la détenue devait enlever ses chaussettes, car nous sommes dans un pays chaud, le sol n'est pas froid donc elle doit aussi être pieds nus.
Après avoir donner ses consignes, nous avons attendus une dizaine de minutes que les soldats préparent Safia, c'est à dire la déshabiller et la fouille.
La détenue est conduite dans la salle d'interrogatoire en pleurant et rouge de honte, elle est totalement à poil devant des hommes !
La jeune fille est placée sur une estrade avec de la lumière devant les interrogateurs.
Elle croise les jambes et tente de cacher ses seins avec ses long cheveux.
Le colonel prend la parole sur un ton strict :
- Tu es bien Safia G ?
- Oui répond la jeune femme en tremblant et tentant de dissimuler son corps.
- Quel âge as tu ?
- J'ai 25 ans.
- Es tu bien de nationalité irakienne et née à Kirkouk ?
- Oui vos informations sont justes.
- Quelle est cette posture, c'est interdit de croiser les cuisses, et tu dois mettre tes mains dans le dos et empêcher tes cheveux de cacher ta poitrine. Lui dit sur un ton moqueur le colonel.
- Mais je suis toute nue répondit Safia paniquée
- Et alors ! sur des intonations tout de suite plus agressives, écarte les cuisses et mains dans le dos ou je te fouette !
Safia n'a pas le choix elle est déjà terrifiée.
- Alors ça fait quoi de montrer ta chatte rasée et tes mini seins à des américains ? avec un sourire narquois et pervers , Des seins tout petit en riant.
- Hahahahhaaa hiihiiiiiii s'exclame l’interrogateur en pointant la poitrine de la détenue.
Safia rougit encore plus et se retient de pleurer.
- REPOND A LA QUESTION SALOPE !
- C'est honteux monsieur répond Safia avec une petite voix.
- Tu es pourtant selon mon dossier une femme pieuse et respectable, bonne musulmane, voilée, et là tu t'expose avec ta chatte humide et rasée devant des soldats américains, qu'est ce que ta famille va penser ?
- Ils vont me tuer, me renier ... répond Safia.
- Nous interdisons aux femmes prisonnières de porter des vêtements et des chaussures, et bien sur les pieds nus aussi. Dit Mc Kenzie en ayant la culotte culotte et les chaussettes de la jeune fille dans les mains. Tout le monde vas te voir à poil.
- Oui dit Safia en pleurant, s'il vous plaît arrêtez
- C'est moi monsieur.
- Qui est quoi !?
Je suis toute nue et pieds nus monsieur, vous m'avez fait horriblement fouillée avant d'entrer dans ce bureau et j'ai aussi interdite de garder mes chaussettes ...
Mc Kenzie sort son appareil photo et prend quelques clichés de la prisonnière nue.
- Je vais envoyer ça à ta famille et mettre ça sur internet pétasse.
- Non non non non ! arrêtez s'il vous plait ! s'exclame la fille en détresse.
- Tu mouille salope, tu voudrais qu'un régiment te baise ? en quelque claquement de doigt je peux appeler des soldats qui feront un gang bang et te prendront par la chatte et le cul ... sauf si tu coopère...
- Pitié pitié non, Safia a peur.
- Oui alors tu ferais mieux de parler. Qui sont les rebelles dans ton quartier ?
La jeune femme à dénoncer la plupart de ses voisins et collègues de travail, elle ne sait manifestement rien mais elle a cracher tout ce qu'elle pouvait. Les soldats l'ont libérer quelques heures après.
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samedi 30 novembre 2024
Conditions de vie rustique en prison.
Prisonnière dort nue sur le banc de sa cellule. |
Nue en cellule d'isolement.
Nous sommes en avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib tenue par les forces militaires américaines en Irak.
Dans la section ou sont détenues les femmes irakiennes arrêtées par les États Unis. Elles sont là pour diverses raisons : Suspectes de soutenir le terrorisme, de liens avec l'ancien régime, de financer la résistance, d'avoir des informations stratégiques etc.
Les prisonnières sont gardées en isolement dans des petits cachots vides sans aucun confort. Il n'y à pas que les cellules qui sont nues, les détenues sont aussi gardées à poil en permanence.
Les prisonnières en arrivant doivent retirer leurs vêtements pour la fouille traditionnelle, bien sur, c'est très humiliant et dégradant, surtout pour des femmes musulmanes très pudiques, les gardes américains obligent les femmes à vivre nues et à s’exposer devant les hommes.
Il faut se dévoiler, tout y passe, le hijab, la robe, les chaussures, les femmes doivent être entièrement nues y compris les pieds nus.
Une femme connue comme étant l'épouse d'un ministre en fuite dort entièrement à poil sur le banc de sa petite cellule. Elle ne porte aucun vêtements depuis son incarcération en dehors de ses chaines et menottes ...
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Zeyna nue en détention.vendredi 29 novembre 2024
Deux filles pudiques lors du bizutage
Deux filles pudiques défilent nue bizutage. |
Soirée d'intégration des nouvelles.
Les soirées dans les bars dans les villes universitaires en début d'années scolaires réservent souvent des spectacles et surprise agréable grâce à cette super tradition du bizutage, pour les patrons de bars et boite de nuit c'est une période importante, qui attire beaucoup de clients : Des étudiants bien sur mais aussi des curieux , dont beaucoup d'homme qui aiment assister aux différents spectacles.
Ces rituels du bizutage sont admis et soutenus par les directions des grandes écoles et par les autorités locales.
Les nouvelles filles sont très encadrés par les anciens durant ces moments. Je me souviens de deux filles , Annabelle et Farida, deux filles pas très à l'aise dans l'ambiance festive et déjantée. Encadrées par plusieurs anciens, les deux étudiantes en IUT de technique de commercialisation sont contrainte de se déshabiller, et complétement, une dizaine d'autres filles sont complétement à poil, certaines l'acceptent avec le sourire, d'autre résignées se soumettent et certaines crient et pleurent mais les anciens sont intraitables sur cette question, les filles sans exception doivent obéir à l'ordre de se mettre à poil.
Nos deux jeunes filles sont très pudiques, mais il leur faut tout enlever la pudibonderie n'est pas tolérée, les culottes doivent être enlevées, et même les chaussettes !
Les filles rouges de honte tentent de cacher leurs seins et leurs fesses, et les anciens décident de les faire parader à poil et pieds nus pour les décoincées car de toute façon elles doivent passer la soirée à poil.
Elles ne doivent pas cacher leurs seins, car il faut les montrer à tout le monde.
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jeudi 28 novembre 2024
Pensionnat pour jeunes filles catholique.
Humiliation des nouvelles filles du pensionnat. |
Les nouvelles dans ce pensionnat catholique, sont victimes d'humiliations et de sévices de la part des anciennes avec la complicité des bonnes sœurs et du prêtre de l’Église. Dans cette institution, la tradition veut que les nouvelles soient exploitées et sous l'autorité des anciennes, qui en abuse, car ayant été elles même "dressées" les années précédentes, elles sont toujours sans pitié avec les nouvelles.
Des les premiers jours, on leur fait comprendre qu'ici elles ne sont que des proies, les anciennes les obligent à rester nues la plupart du temps comme les esclaves du temps de Rome. Les pauvres jeunes filles qui pour beaucoup ont été élevées dans la tradition catholique se retrouve sous le joug des anciennes qui sont des lesbiennes dominatrices sans pitié qui les considèrent comme du bétail, de la viande fraîche.
Dès qu'elles rentrent des cours, elles doivent se déshabiller complétement pour subir des sévices et humiliations sataniques. Les nouvelles ont l'obligation de se raser la chatte, les anciennes organisent des concours d'anus ou les nouvelles doivent prendre des postures obscènes et perverses, faire des pyramides nues sous les rires et insultes pour qu'une "élue" à l'anus sacré soit désignée.
Les nouvelles doivent lécher les anus des autres et se faire lécher le leur, elles doivent frotter leurs chattes les unes contre les autres, se lécher les seins et les doigts de pieds.
Les filles doivent perdre dignité et devenir des lesbiennes totale et faire allégeance à Satan.
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mercredi 27 novembre 2024
Un mére de famille bizutée
Femme mûre chaude au bizutage. |
Le bizutage des femmes en reprise d'étude.
Maria est une femme d'environ 41 ans, mature et bien en chaire qui est en reprise d'étude dans une fac d'une université réputée. Maria s'est mariée et a eu des enfants tôt à 18 ans ce qui l'a empêcher de poursuite sa scolarité, mais maintenant, elle est divorcée et ses enfants sont grands et indépendant, elle peut donc suivre des études à nouveau et s'occuper d'elle même.
Comme toute les nouvelles, en début d'année elle est convoquée pour le weekend d'intégration" qui se déroule la journée sur le campus et le soir en boite de nuit. Les anciens organisent tout un tas d'épreuve pour intégrer les nouveaux et créer un sentiment d'appartenance à un groupe via les rituels du bizutage.
C'est un événement important et parfois difficile à vivre pour certaines étudiantes, car l'une des premières choses que les anciens imposent aux première années c'est de se mettre à poil.
C'est difficile, mais Maria montre l'exemple, en tant que femme mature et expérimentée elle doit guider et aider les jeunes. C'est l'une des premières à se retrouver toute nue, et elle dit au nouvelles de faire comme elle "Si je peux le faire vous pouvez le faire aussi" dit elle.
Certaines filles sont terrifiées et pleurent, surtout les filles pudiques et les musulmanes, Maria en tant que grande sœur et pour les protéger les soutient. Elle sait que les anciens sont sans pitié et arrachent les vêtements de force et punissent les récalcitrantes.
"Vous êtes jeunes et jolies, n'ayez pas peur d'enlever vos vêtements, c'est un jours de fête" "Moi j'ai plus de 40 ans j'assume mes formes et mes rondeurs, et puis c'est la vie de femme, vous serez souvent toute nues avec votre mari et vos copines si vous êtes lesbiennes, chez le docteur et gynéco, en garde à vue, en prison donc faut s'y habituer".
Voyant que certaines filles gardent leurs culottes et leurs chaussettes : "C'est ridicule d'être toute nue avec des chaussettes les filles, et les anciens vont vous punir pour ça". Dit elle en montrant ses pieds nus et remuant les orteils.
Maria montre l'exemple, elle parade fièrement en sautillant, dansant, remuant les seins et bougeant ses fesses en encourageant les autres "Il faut pas être coincée les filles".
La femme mûre est déchainée, elle gagne tous les concours, elle gagne la course de marche à 4 pattes nue, elle tient avec une bouteille entre les fesses, elle danse pendant que les anciens l’aspergent de bière et de jus.
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mardi 26 novembre 2024
Une femme pudique parade et est humiliée nue en prison.
Exercice physique nue en prison. |
Dalila, 28 ans est arrivée dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak, elle y a passé quelques mois pour soupçons de soutient à la résistance et liens avec l'ancien régime. En arrivant, les gardiens américains l'ont obliger à se mettre toute nue et pieds nus avec les autres femmes irakiennes arrêtées en même temps qu'elle.
Les détenues irakiennes de confession musulmanes comme Dalila qui portent le voile (hijab) et se couvrent de la tête aux pieds sont soumises à un processus très dégradant : Les gardes lui indique avec ses compagnonnes d'infortune "C'est le moment de la fouille, Il faut tout enlever" "Vous devez être entièrement nues", les femmes si elles ne coopèrent pas sont de toute façon déshabiller de force, fouettée et placer en isolement.
"Votre religion vous apprend à être pudique et à cacher vos corps, et bien ici on va vous apprendre à vivre nue, la nudité est essentielle , oubliez toute pudeur, ici pas de voile, pas de culotte, pas de soutien gorge, ni de chaussures ou de chaussettes, vous devez rester nues et pieds nus en permanence, abandonnez toute pudeur".
Les fouilles des cavités sont "pratiquées très régulièrement , on vérifie dans vos anus, vagins, sous vos seines, entres vos orteils, nombril, bouche, oreilles si vous ne cacher rien de dangereux".
Les femmes musulmanes étant pudiques, elles sont forcées de s'exhiber nue, en particulier de faire des exercices physiques et sportifs parfois jusque à l'épuisement , Dalila doit courir et monter et descendre les escaliers nues.
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lundi 25 novembre 2024
Le défi du bizutage
dimanche 24 novembre 2024
Une détenue nue enchainée d'Abou Ghraib
Prisonnière nue en enchainée avec sa gardienne |
Nudité forcée et interrogatoire renforcée des femmes.
Nous sommes en Irak, dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Bagdad qui sert de base et de centre d’interrogatoire pour les forces militaires américaine qui occupent le pays.
Les femmes irakiennes capturées par les forces militaires qui sont incarcérées dans cette prison sont contraintes de se dévêtir entièrement, y compris devant des hommes, en contradiction avec leurs valeurs et principes religieux.
Elles sont musulmanes et elles portent toute le voile (hijab), et l'abaya, large robe traditionnelle arabe que portent les femmes du Moyen Orient.
Chaque femme est soumise à une fouille à nue en arrivant, c'est difficile à vivre mais ici pas de voile, les hijab sont confisqués, et il faut tout retirer. Les femmes fières et dignes sont terriblement humiliées de se retrouver entièrement nues pour y être inspecter dans la nudité totale.
Aucune négociation n'est possible sur ce sujet. En cas de refus elles sont déshabiller de force, battues, et fouettées et misent en isolement dans le noir avec des musiques assourdissantes et désagréables en permanence pendant des semaines.
Les surveillants inspectent les cheveux, les oreilles, les bouches, sous les seins et les aisselles, contrôle du nombril, et inspection du vagin et de l'anus avec une lampe torche et un doigt ganté et lubrifié, et même les doigts de pieds des prisonnières sont examinés !
Leurs vêtements sont découpés et détruit, et elles sont obligées de rester nues, aucun vêtements ni uniformes de prison ne leur est fournis.
Elles doivent défiler nues et pieds nus jusque à leurs cellules, pour "être présentées" comme de la viande fraiches à tout le personnel de la prison (gardiens, interrogateurs, staff administratif etc.) mais aussi s'humilier devant les autres prisonniers, y compris les hommes.
La nudité totale est obligatoire et permanente. Les femmes musulmanes entre les mains des forces américaines sont nues pour être formatée et formée à perdre toute pudeur et modestie, comme elles arrivent voilées et couvertes de la tête aux pieds, par pudeur et convictions religieuses et qu'elles n'ont jamais été nues en publique et bien tout le monde doit pouvoir les voir à poil. Elles doivent abandonner toute espoir de porter des vêtements.
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Malika soumise à une fouille gynécologique.
samedi 23 novembre 2024
Bizutage de ma mère
vendredi 22 novembre 2024
Respect de la laïcité en pensionnat pour filles (falaka)
jeudi 21 novembre 2024
Déshabiller au bizutage.
Nue et pieds nus obligatoire au bizutage étudiant. |
Le bizutage est une ancienne tradition dans l'enseignement supérieur, les anciens élèves au nom des usages et des coutumes de leurs établissement scolaires bizutent les nouveaux dans un cycle qui se répète depuis des décennies.
Le nom officiel du bizutage est week end d'intégration, ou les nouveaux tombent sous l'autorité des anciens pour une journée et une soirée de fête et de folie.
Mélanie, 22 ans une jeune étudiante montpelliéraine débarquée à Paris pour passer sa licence pro dans les métiers de l'énergie dans un IUT (Institut Universitaire de Technologie) d'Ile de France est obligée de se rendre à la fête d'intégration organisée dans un bar dansant.
C'est une fille du sud, assez cool qui aime bien sortir et faire la fête. Fidèle à la réputation des gens de sa région, Mélanie n'est pas très ponctuelle, quand elle arrive dans le bar elle découvre que plusieurs filles sont à poil et que certaines pleurent ...
Les anciens l'a prenne rapidement en charge malgré son retard, et lui disent que ce soir elle est sous leur autorité et qu'elle va devoir rejoindre les autres nouvelles.
Les anciens lui disent d'abord qu'elle doit se déshabiller complétement comme les autres filles qu'elle peut voir.
Certes Mélanie n'est pas spécialement pudique, elle a fait du topless cette été à la place, juste en string et n'a pas de soucis de pudeur particulier, elle est à l'aise à poil chez le gynéco par exemple. Mais elle trouve ça quand même humiliant, surtout le fait d'être nue en personne d'autre habillés, car à la plage tout le monde est presque à poil ou presque.
Mais elle n'a pas trop le choix, les anciens considèrent les nouvelles comme du bétail à dresser et elle sait qu'ils lui arracheront sa petite robe de soirée très facilement et elle n'a même pas de soutien gorge.
Le pire c'est que les anciens l'obligent même à retirer ses petites sandales ! elle espérait au moins les garder pour éviter de poser la plante de ses pieds sur le sol sale et poussiéreux du bar.
Elle doit parader nue et pieds nus devant les clients qui matent son cul et ses petits seins.
Mélanie danse nue avec les garçon au bizutage. |
La jeune fille et les autres étudiantes de l'IUT doivent danser à poil, avec les garçons qui les frottent, palpent régulièrement.
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Fille pudique humiliée au bizutage.
mercredi 20 novembre 2024
La police arrête nue les suspectes.
BDSM bondage menotte nue pieds nus. |
La police déshabille une suspecte.
Une femme suspectée de terrorisme arrêtée complétement nue lors d'une opération de police dans ce quartier bourgeois de banlieue parisienne.
Sara se souviendra longtemps de cette soirée ou les flics ont débarqués chez elle en pensant qu'elle était en train de préparer des attentats. Des voisins animés de mauvaises intentions et plutôt jaloux ont signalr à la police que la jeune femme avait un comportement suspect et parlerait d'attaque imminente contre la sécurité publique.
Lors de la perquisition, les policiers ont obligées Sara à se déshabiller complétement, certes la jeune femme était en short culotte et t shirt qu'elle a due enlever car c'était le soir et elle se préparait à dormir.
La police à justifier cette mesure au nom de la sécurité.
Menottée, la jeune femme a du parader nue et pieds nus dans son immeuble et dans son quartier avant d'être conduite au commissariat dans une marche de la honte.
Les accusations se sont vite révélées fausses et Sara à été innocentée puis libérée.
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mardi 19 novembre 2024
Prisonnière pudique conduite à la douche.
La prisonnière se douche nue devant son gardien. |
Les humiliations quotidiennes subies par les femmes en prison.
Les femmes irakiennes incarcérées dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak, entre les mains des forces américaines sont humiliées et maltraitées tous les jours.
Amira vient d'être amené dans la salle des douches pour la première fois depuis son arrivé, les gardes l'ont conduite nue et pieds nus, après l'avoir obliger à parader à poil dans toute la prison sous les rires, insultes, moqueries et huées.
Les gardes en uniforme militaire l'a regarde de façon stricte et sévère. "Lève les yeux salope", la pauvre prisonnière très pudique et honteuse d'être à poil, c'est une femme arabe et musulmane qui porte le voile et s'habille de façon large et ample avec de longues robes traditionnelles pour cacher ses formes comme la majorité de ses compatriotes.
"Ici tu es à poil compris ?" les gardes obligent les détenues à rester nues pour les reconditionner et leur faire perdre toute pudeur. La prisonnière pudique doit apprendre à montrer son intimité aux hommes comme aux femmes. "Pute, ici tu montre ta chatte, tes seins, ton cul, tu dois rien cacher, et tout exposer".
Si Amira en principe gardée nue en cellule d'isolement, les gardes obligent les femmes à s'exhiber nues publiquement. Elle doit parader nue et pieds nus, il va de soit que la nudité totale étant requise dans toute la prison et pas seulement en cellule.
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lundi 18 novembre 2024
Les femmes n'ont pas le droit de porter de vêtements en prison.
Femme nue et pieds nus en prison. |
Nudité totale pour la jeune prisonnière pudique.
Dans la prison militaire d'Abou Ghraib, les femmes irakiennes musulmanes et arabe comme Meriem n'ont pas le droit de couvrir leurs corps et doivent rester nues en permanence et devant tout le monde.
Au mépris de leur culture et de leur religion, ces pauvres femmes souvent innocentes, dont le seul "crime" est d'avoir un proche recherché par la coalition sont soumises à des conditions de vie terriblement humiliante.
Ce qui choque le plus Meriem et ses compagnes, c'est l'obligation d'être nue.
Les musulmanes pratiquantes sont très pudiques et portent le voile (hijab) et sont couvertes de la tête aux pieds. Alors les responsables des interrogatoires, pour utiliser les tabous culturels et les faiblesses des prisonnières décident qu'elles doivent être nues et pieds nus en permanence.
Meriem qui était voilée et couverte de la tête aux pieds doit se soumettre aux ordres des gardiens, elle n'a de toute façon pas le choix car les femmes récalcitrantes qui tentent de se rebeller sont mise à poil de force et sans ménagement, elle sait que toute résistance est stupide et inutile et ne fera qu'augmenter ses problèmes. De plus tout refus de coopérer est punit "du mitard", enfermement à poil dans une mini cellule isolée ...
La détenue doit subir de multiples fouilles plusieurs fois par jours, les gardiens estiment qu'en apprenant à montrer son vagin, son anus, ses fesses, ses pieds, la jeune femme oubliera sa pudeur et deviendra comme les femmes américaines occidentales.
Meriem demande souvent pourquoi est ce qu'on la fouille puisque elle est toute nue et qu'ils savent qu'elle ne cache rien. La réponse est qu'elle doit se soumettre et montrer son corps à tous le monde en guise de punition et qu'il ne faut plus ressentir de pudeur et adopter le nudisme. Et qu'il faut quand même contrôler ce qu'elle pourrait cacher dans ses fesses ...
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