jeudi 31 octobre 2024

Une fille proteste contre la visite médicale obligatoire.

C'est toute nue qu'il faut être à la visite médicale universitaire.
Baisser et enlever sa culotte à la visite médicale.

Le protocole de la visite médicale de la Fac.

 La visite médicale de la fac est toujours redoutée pour les filles les plus pudiques et un peu coincées. Car il n'y a pas trop de place pour la pudeur, les autorités universitaires sont très peu respectueuse de la modestie et les examens médicaux peuvent paraître intrusifs.

Cette visite médicale est obligatoire, sans le tampon du médecin, c'est impossible de valider l'année donc les filles qui veulent réussir doivent la passer et ne peuvent pas l'éviter.

Les filles sont convoquées par petite groupe à l'infirmerie du campus universitaire, après quelques vérification administratives (identité, filière etc.) et le remplissage d'un bref questionnaire médicale, elles sont prises en charge par des infirmières et soignantes très autoritaires et pas très sympathique.

"Elles nous ont réunis avec plusieurs filles de toutes les filières et nous ont faite nous déshabiller" dit timidement Sara, "Elles nous ont dit de de garder que nos culottes et d'enlever tout le reste, et que si nous n'obéissons pas, elles nous mettraient à poil et nous fesseraient."

"C’était trop la honte de se retrouver les seins à l'air devant des filles qu'on connaissait à peine" "Nous devions même enlever nos chaussettes pour la visite c'est trop abusé, même ça c'est interdit il faut être pieds nus".

Ensuite les infirmières font différents examens de la vision, de l'audition, prennent la taille et le poids des filles, ainsi que leur tension et mesurent leur capacité pulmonaires.

"Ensuite, elles nous font aller l'une après l'autre dans le bureau du docteur. J'ai failli pleurer car il fallait enlever nos culottes et se présenter toute nue".

Lien :

Examen médicale gênant.


 

mercredi 30 octobre 2024

Malika passe 6 mois en prison en confinement solitaire

 

Détenue nue et exposée publiquement en prison.
Pas de pudeur pour les femmes en prison.

Nudité forcée et détention des femmes.

Qui aurait pu imaginer quelques semaines que Malika, une femme irakienne respectable, se retrouverait détenue dans le prison américaine d'Abou Ghraib en Irak ?

Elle se tient totalement nue dans une pièce avec d'autre malheureuses prisonnières, toutes sont très honteuses de cette ignoble situation, leurs vêtements et chaussures sont dans un panier. Les gardes les ont forcer a se déshabiller publiquement, les unes devant les autres et devant des hommes.

Les membres de la police militaires adorent déshabiller de gré ou de force les femmes pudiques musulmanes qui tombent entre leurs mains, ils leur donnent l'ordre en arabe et en anglais de "se déshabiller",  "à poil", "Vous enlevez tout, nous voulons voir voir toutes nues sans vos voiles".

Plus c'est dégradant et traumatisant et mieux c'est, les gardes rient, insultent, et se moquent des prisonnières quand elles enlèvent leurs vêtements.

Les recommandations officielles données aux  gardes insistent pour rendre l'expérience le plus "dégradante" possible. Certes les fouilles à nue et des cavités sont toujours humiliantes, mais dans la plupart des prison américaines elles doivent être réalisées en respectant le plus possible la dignité des détenus.

Ici c'est le contraire, déjà, des hommes assistent au "spectacle", car les détenues sont musulmanes et que c'est extrêmement honteux pour elles, leurs cultures et valeurs religieuses sont méprisés, leurs vêtements traditionnelles religieux sont confisqués et détruits sous leurs yeux.

"Votre religion et les hommes de votre communauté vous dises de vous couvrir de la tête aux pieds et bien avec nous c’est la nudité totale, vous êtes sans voile ni rien pour couvrir vos cheveux sans culotte avec vos fesses et chattes à l'air libre, sans chaussures ni chaussettes avec vos pieds nus, et on vous retire même vos tampons hygiéniques, barrettes de cheveux et vos montres, c'est 100% nue ".

 Lien :

Exhibition forcée.


mardi 29 octobre 2024

Bizutage : Fessée pour avoir oublier d'enlever ses chaussettes

 

Nue et pieds nus obligatoirement lors du bizutage.
Bizutage = 100% nue et pieds nus.

 Nue et pieds nus lors de la journée d'intégration (bizutage).

Les anciens sont très strictes et font respecter la tradition du bizutage jusque dans les moindres détails et ne tolèrent aucun écart de la part des nouvelles.

Julie, une jeune étudiante  un peu rousse à par exemple oublier d'enlever ses chaussettes alors que les anciens hurlaient l'ordre aux nouvelles de se mettre "à poil". Julie s'est dit qu'elle pourrait surement garder ses chaussettes pour ne pas avoir à marcher pieds nus lors de la parade à poil et des multiples défilés d'étudiantes nues, et que les bizuteurs ne remarqueraient rien et l'a laisserait conserver ses bas.

Sauf que la jeune fille à mal calculer son coup, les anciens ont tout de suite réagi et punie la nouvelle.

Ils sont intraitables, toutes les filles doivent être pieds nus, et Julie doit être punie pour sa "stupidité", car quand on lui donne l'ordre d'être "à poil"  c'est "à poil", toute nue sans rien, 100% nue et donc pieds nus aussi.

Julie doit recevoir une bonne fessée et avoir les fesses toutes rouges et exhiber son anus ouvert sous les rires des autres en guise de punition pour sa "bêtise".

 

Pas de chaussettes pendant le bizutage, 100% nue.
Les étudiantes qui oublient d'enlever leurs chaussettes sont fessées pendant le bizutage.
Lien : 

Fessée au pensionnat.



lundi 28 octobre 2024

Les gages pendant le bizutage.

Qui dit bizutage étudiant dit mis à poil.
Nues et pieds nus lors des gages du bizutage.
 

Les épreuves et humiliations subies par les nouvelles pendant les bizutages étudiants.

Dans l'enseignement supérieur, le bizutage appelé maintenant officiellement "Journée d'intégration" est un grand moment de la vie universitaire.

Les anciens, gardiens des traditions et qui ont été bizutés les années précédentes reprennent le flambeau et dressent et humilie sans pitié les nouveaux qui doivent se soumettre docilement et obéir sous peine de représailles. 

Les filles qui sont pudiques passent un très mauvais moment, car l'une base du bizutage, c'est la nudité, et certaines filles sont très gênées par cette obligation.

Les filles un peu coincées qui sont vierges et qui n'ont jamais fait l'amour, les grosses complexées, les filles religieuses comme les musulmanes voilées, juives et catholiques conservatrices, les filles maigres aux petits seins etc. sont souvent celles qui sont le plus récalcitrantes au déshabillage.

En effet elles ne veulent pas être toute nue comme les autres bizutes, ni que tout le monde puisse les voir à poil.

Les anciennes n'acceptent aucune exception, le bizutage est obligatoire et personne ne peut y échapper. Les filles sont toutes prises en charge et doivent se déshabiller conformément aux ordres des anciens dans le respect des traditions. Toute marques de pudeur ou tentative de rébellion est punies. 

Les nouvelles doivent se déshabiller devant les anciens mais aussi les spectateurs (personnels administratifs, ancien élèves, curieux, agent de sécurité du campus etc.). L'ambiance est électrique, le public et les bizuteurs sont très chauds et sans pitié ni patience et utilisent la force.

Les résistantes sont misent nues de force et sans ménagement , et gare à celles qui cherchent à "arnaquer" comme disent les anciens,  en "oubliant d'enlever" les culottes sont arrachées brutalement, car lorsque les bizuteurs hurlent "à poil ! à poil", il faut tout enlever, la culotte et les chaussettes aussi.

Cette années quelques filles ont oser se montrer peu ouvertes et peu coopératives pendant la journée d'intégration. Une filles en hijab, une bourgeoise catholique et une semi anorexique complexée ont refuser d'enlever leurs vêtements et chaussures, ces rebelles ont été déshabiller sous contrainte et forcer de subir une simulation d'examen gynécologique pour vérifier leur virginité et voir si la situation les faisaient mouiller de la chatte.

Et oui ces trois filles étaient en réalité très chaudes et excitées, car les chattes dégoulinantes de cyprine ne mentent jamais.

Lien :

Piment sur les parties génitales pendant le bizutage.


 

dimanche 27 octobre 2024

Abus et humiliations à l'hopital psychiatrique.

Fouille et inspection d'une patiente à poil en psychiatrie.
Humiliation à l'hôpital psychiatrique.

 Les internements sans consentements se multiplient, notamment depuis l'apparition de mouvement tel que #Metoo ou #Balancetonporc, de plus en plus de femmes accusent des hommes de sois disant les avoir agresser.

Hors dans certaines région de France, la préfecture sur ordre du premier ministre donne l'ordre de placer les femmes qui accusent les hommes sans preuves dans des hôpitaux psychiatriques pour folie. Les autorités estiment que les femmes qui accusent les hommes sont des dérangées mentales et des folles.

Le maire et le prêtre locale, qui sont amis avec le préfet, et qui coulent sous les plaintes suite à des accusations de perversions, de voyeurisme, d'attouchement, de fessées, de harcèlement sexuels ont décider de réagir et font maintenant systématiquement interner les femmes qui se plaignent du sexisme des hommes.

Par exemple Zoé, une jeune active de 26 ans, qui vient de commencer une brillante carrière de directrice financière à porter plainte contre le cousin du maire pour une main aux fesses, et elle s'est retrouvée plusieurs jours en psychiatrie.

En psychiatrie les vêtements civils et extérieurs sont strictement interdit, Zoé s'est faite mettre à poil par les aides soignants qui l'ont déshabiller en public et l'expose devant tout le monde. Les patientes sont bien sur pieds nus, Zoé s'est même fait confisqué ses chaussettes ...

De plus les soignants fouillent régulièrement dans les anus et les chattes des patientes, pour leur bien être et sécurité, Zoé s'est faite écarter les fesses et prendre plusieurs doigts dans l'anus devant le maire.

Lien :

Bourgeoise enfermée trois jours en psychiatrie.

samedi 26 octobre 2024

La honte au cœur du processus de gestion de la prison.

 

Une prisonnière forcée de courir toute nue dans les escaliers.
Prisonnière nue contrainte de faire du sport jusque à l'épuisement.

Les prisonnières  d'Abou Ghraib forcées de rester nues.

Les détenues irakiennes capturées par les forces américaines et incarcérées dans la prison militaire d'Abou Ghraib sont traitées de la même manières que les hommes.

Une jeune femme est arrivée il y a peu de temps et  d'arriver et les gardiens sont en train de l'humilier et la dégrader publiquement.

La prisonnière est la fille d'un responsable en fuite, c'est la principale raison de son incarcération.

Cette jeune fille est très pudique avec son longue tunique traditionnel, son hijab (voile porté par les femmes musulmanes), elle est pieuse et , et porte toujours de larges vêtements la couvrant de la tête aux pieds pour sortir. 

Personne ne l'a encore vue nue. Pourtant selon le protocole, les gardiens de la prison l'ont obligée à se déshabiller, et publiquement, devant des hommes aussi, la pauvre, elle doit tout retirer

Chaque femme est déshabillée et fouillée en arrivant, leurs hijabs (voiles) et abayas (robe traditionnelles) doivent être retirer, les gardes interdisent aux détenues musulmanes de porter des vêtements, tout est fait pour les humilier et les rendre dociles.

Les gardiens obligent aussi les femmes à retirer leurs sous vêtements, les femmes doivent avoir les fesses à l'air, les seins et la chatte visibles, et bien sur les pieds nus, les chaussures sont bien sur confisquées et celles qui portent des bas ou des chaussettes doivent les retirer.

Les autorités  militaires estiment la nudité comme étant un élément essentielle pour assurer la sécurité, mais aussi pour soumettre les femmes et leur faire oublier toute pudeur.

Lien :

Une intégriste dressée et humiliée nue en prison.


vendredi 25 octobre 2024

Scandale des tortures et humiliations en prison.

Nue et enchainée dans une cellule de prison.
Nudité totale en cellule de prison.

 

Les responsables de la CIA et du renseignement militaires demandent aux gardiens de déshabiller les détenus de la prison d'Abou Ghraib et de les priver de vêtements, tout cela fait partie du processus. Les femmes irakiennes musulmanes détenues dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib ne sont pas exemptées de mauvais traitements.

Elles sont gardées en isolement dans une des parties dures de la prison, dans une aile avec les autres prisonniers dit "de sécurité" ou de "haute valeur". La plupart des prisonnières irakiennes sont comme Warda  sur la photo, elles  sont emprisonnées pour avoir des liens familiaux avec des personnes recherchées et utilisées comme moyens de pression et de chantage pour inciter leurs maris, pères ou frères à se rendre.

Le processus mis en place est très humiliant : Dès l'arrivé, Warda est soumise à une fouille complétement nue. Les détenues musulmanes doivent retirer leurs voiles, robes, abaya, jupe, sous vêtements, chaussures et même leurs bas ou chaussettes pour celles qui en portent.

Pour augmenter l'humiliation et la dégradation ressentie par les femmes, les autorités ordonnent aux gardes d'assister aux déshabillage des femmes musulmanes pour utiliser leur pudeur et croyances religieuses contre elles, plusieurs hommes ont assisté à la fouille et l'inspection de Warda à poil.

Warda est passé du voile quasi intégrale à la nudité totale en quelques minutes après avoir mis ses pieds dans cette terrible prison.

Elle est nue et pieds nus en permanence.

Lien :

Incident nudité forcée.

mercredi 23 octobre 2024

Le bizutage et virginité des filles pudiques.

Nue et examen gynéco pendant le bizutage.
Test de virginité et simulacre d'examen gynécologique au bizutage.

Bizutage et humiliations des pudiques.

Dans les université françaises, le bizutage est une pratique répandu, en particulier dans les filières de prestige comme certaines écoles d'ingénieurs. Sous l'appellation officielle de "journée" ou "weekend d'intégration", les premières années sont sous la contrôle et la responsabilité des "anciens" qui sont très bien organisé et ont un système très bien rôdé.

En effet les autorités et l'administration soutiennent et appuient le bizutage au nom du respect des traditions.

Ces moments sont de véritables fête pour les anciens et peuvent être difficile pour les nouveaux, surtout les pudiques et les filles un peu coincées. Car l'une des premières choses qui est demandée aux nouveaux c'est de se déshabiller, il faut bien sur tout enlever, aucun vêtements n'est tolérés lors de ces moments.

Les spectateurs crient et hurlent des paroles obscènes, ordonnent en criant "A poil, à poil" et les organisateurs sont sans pitié, froid et totalement insensibles aux supplications et aux pleurs des filles ayant de la pudeur.

Les étudiantes musulmanes voilées, les bourgeoises catholiques, les juives traditionalistes conservatrices, sont de gré ou de force obligées de se mettre nues comme les autres.

La nudité totale est essentielle lors des bizutages, aucune exceptions pour raisons religieuses n'est tolérées.  et les étudiantes perçues comme religieuses sont moquées et exhibées spécialement.

Par exemple, Inaya une des étudiantes musulmanes est très choquée par l'obligation d'être à poil et pieds nus, les anciens interdisent toutes expressions religieuses, pas de modestie et n'accepte pas le voile (hijab), car au bizutage tous les étudiants doivent être à égalité,  nus, bites et chattes à l'air, cul nu, seins visible, pieds nus et exposer leurs anus.

L'intégration est le but du bizutage, de créer un groupe solide et cohérent.

D'ailleurs les filles dites "récalcitrantes" ou "pudiques" doivent subir un examen gynécologique et un test de virginité devant tout le monde, entre les mains des anciennes expérimentées dans le dressage des soumises.


Bizutage étudiant à l'ancienne.
Les bizutes exhibées nues par les anciennes.

Lien :

Punition en pensionnat.


mardi 22 octobre 2024

Samia, prisonnière irakienne d'Abou Ghraib 2004

Pas de gêne ni de pudeur en prison.
Prisonnière sans pudeur et fière d'être nue.

 Nudité totale en prison.

Nous sommes en avril  2005, Samia est une détenue  irakienne dit de "sécurité" ou de "haute valeur" qui est incarcérée dans la prison militaire d'Abou Ghraib pendant la seconde guerre d'Irak. Elle est gardée en isolement avec une dizaine d'autre femmes. Comme la majorité des détenues, elle a été arrêtée pour ses liens familiaux, c'est la sœur d'un militant très recherché et les américains la détienne pour faire pression sur son frère principalement. Elle est emprisonnée depuis 6 mois.

La jeune femme est complétement nue dans une petite cellule vide d'isolement, comme elle coopère avec les autorités pénitentiaires et fait preuve d'un bon comportement, la prisonnière à le droit à un minimum de confort avec trois repas par jours, plusieurs sorties par jours, le droit de prendre une douche par jours, d'accéder à des livres et d'avoir de la literie. 

Par contre elle n'a pas le droit de s'habiller, bien qu'elle ait plusieurs fois demander des vêtements et des chaussures, ses requêtes ont toujours étés refusées.

En effet, la nudité est considérée par les gardiens et les dirigeants de la prison comme quelque chose de fondamentale et d'obligatoire. Samia comme la majorité des femmes irakiennes détenues dans cette prison est musulmane et portait le voile (hijab) et de longue robe traditionnelle arabe couvrant tout le corps de la tête aux pieds avant d'arriver ici.

Hors c'est inacceptable pour les américains, les femmes musulmanes doivent perdre toute pudeur et devenir libre comme les femmes américaines, et donc la nudité est très importante pour soumettre et dominer. Samia doit être nue et pieds nus

Les voiles (hijab) et abaya des prisonnières sont systématiquement détruit devant les prisonnières, les femmes doivent se montrer nues sous tout les angles et devant des hommes, y compris pour les nombreuses fouilles.

Samia est assez docile lors des inspections des cavités, de toute façons les gardiens hommes et femmes ont déjà vue le fond de son anus des centaines de fois.

Elle sait qu’elle ne doit rien dire et fermer sa bouche et obéir car de toute façon les soldats ne lui donneront jamais le moindre vêtements, et hormis la nudité forcée, les gardes sont corrects avec elle et ne l'ont jamais battue et sont sympas avec elle.

Elle discute souvent avec les gardes dans un anglais correct,  à poil, sans aucune gêne et sans chercher à couvrir son corps. Elle se balade toute nue lors de ses sorties sans aucune gênes; elle encourage et soutient les autres femmes ayant des difficultés à vivre nue.

 Lien :

Parader nue en détention.

dimanche 20 octobre 2024

Prisonnière nue et humiliée devant des hommes.

La nudité totale en prison
Prisonnière pudique nue tente de dissimuler son corps.

La nudité forcée comme méthode d'interrogatoire et de contrôle en prison.

Pendant la seconde guerre d'Irak (2003/2011), les États Unis ont appliqué différentes techniques d'interrogatoire et en particulier la méthode dite de "nudité forcée" qu'ils ont appliqué à grande échelle sur les prisonniers hommes et femmes.

Comme la nudité est quelque chose de particulièrement dégradant et infamant pour les populations du moyen orient et particulièrement pour les femmes musulmanes, cette méthode à été mis en place, en particulier dans la prison d'Abou Ghraib ou le scandale des prisonniers humiliés et torturés à éclater dans la presse suite aux révélations.

Comme les femmes irakiennes sont majoritairement musulmanes et portent le voile (hijab) et de larges tenues traditionnelles arabes amples et larges visant à dissimuler le corps féminin et ses formes, l'Empire pour marquer son contrôle et sa domination sur le peuple soumis décide que désormais les femmes doivent se moderniser et être reconditionnées pour abandonner leurs anciennes coutumes et traditions pour devenir comme la majorité des  femmes américaines et occidentales.

Les femmes portant des tenues pudiques sont lorsqu'elles sont arrêtées et incarcérées très humiliées par les mise à nue public et devant les hommes.

Les gardiens ont pour consigne de fouiller à nu les femmes devant tout le monde et de faire participer les gardiens hommes, et d'inspecter les moindres parcelles de leurs corps (anus, vagin, bouche, entre les orteils, aisselles, nombril etc.).

En détention, elles sont gardées constamment nues, pieds nus, et leurs corps doivent être visibles par tous, interdiction de faire preuve de pudeur sous peine d'être punie.

Les femmes doivent comprendre qu'il est normale de se déshabiller et qu'il faut savoir montrer ses seins ou ses fesses sans aucune modestie.

Les femmes sont prises en photo et filmées nues pour pouvoir exercer des pressions et du chantage lors des interrogatoires. Mais pas seulement, la volonté d'humilier durablement les captives est là.  D'une part les photos des prisonnières nues sont affichées sur les portes de leurs cellules et dans les couloir de la prison pour que tout le monde puissent les voir, et leurs noms, âges, taille, lieu de résidence sont aussi indiqués pour augmenter l'humiliation et faire que les membres de leurs familles, quartier, même ville ou de leur communauté puissent les voir à poil. 

samedi 19 octobre 2024

Les humiliations subies par les prisonnières.

Humiliation collective à poil pour les prisonnières.
Humiliation collective : les femmes forcées de faire du sport nue et publiquement.

Quel sort réservé aux femmes détenues dans la prison militaire d'Abou Ghraib ?

 Avril 2004, Prison d'Abou Ghraib, Irak.


Les gardes américains estiment que les femmes irakiennes incarcérées dans la prison militaire doivent être traitées "à la dure", dressées et disciplinées. La direction de l'établissement et la CIA donne carte blanche aux surveillants pour maintenir la discipline et humilier.

Ce qui est dans un premiers temps très surprenant pour tout observateurs extérieur, c'est qu'ici les femmes musulmanes sont gardées absolument nues, elles ont l'interdiction de porter des vêtements et des chaussures. La nudité est justifiée pour des raisons de sécurité, mais aussi et surtout pour se venger des attentats du 11 septembre et punir ces femmes.

Comme elles sont très conservatrice, pudiques, du fait que leur religion l'islam leur enseigne de dissimuler leurs corps et de porter le voile et l'abaya, et bien il faut détruire leurs vêtements et leur apprendre à vivre nues et à s'exhiber.

Rien de plus humiliant pour ces femmes pieuses et respectables que de parader à poil en public devant les conquérants américains qui les insultent et se moquent d'elles. De plus elles doivent assister à la destruction de leurs vêtements religieux jugés "archaïques", "obscurantistes" et "rétrogrades" que les gardes découpent en morceaux.

Elles sont aussi souvent jugées trop grosses et rondes, car une fois à poil, les gardes remarquent que beaucoup sont en surpoids, une des gardiennes parmi les plus vicieuses et perverses a pris l'initiative d'organiser des "cours de sport" pour le fun. "Ces grosses vaches doivent morfler, et suer comme des cochonnes" ricane une des gardiennes.

Les gardes après avoir constater que les femmes étaient un peu grasses ont décider d'organiser des cours de "gym", de sport pour les faire maigrir.

Ces femmes qui pour certaines étaient complétement voilées de la tête aux pieds sont en train de sautiller à poil  avec leurs gros seins qui partent dans tous les sens. Nous pouvons entendre le bruit légers des pieds nus prisonnières qui claquent contre le sol.

Ensuite elles font des jumping jacks et des burpees.

Lien : 

Briser l'égo d'une prisonnière.

vendredi 18 octobre 2024

Bizutage de Neila

 

Le dressage des nouvelles en foyer.
Une fille se faite dresser en pensionnat pour jeune femme.

Le bizutage dans un institut catholique.

 Neila est une jeune fille musulmane de 21 ans qui s'est retrouvé obligée d'aller dans un institut catholique privée à l'autre bout de la France. 

La famille de la jeune fille l'encourage et la soutienne pour qu'elle puisse réaliser ses rêves, mais malheureusement pour devenir ingénieur en génie civil, seule une seule école d'enseignement supérieur l'a acceptée et c'est un institut catholique privé sous contrat qui accueil des étudiants de toutes origines et confessions. La jeune fille doit donc prendre une place dans cette école supérieure qui dispose d'un internat (pensionnat).

Les premiers jours se passent bien, certes elle est la seule étudiante musulmane qui porte le voile, mais le révérend Mc Cormick lui a dit que ce n'est pas du tout un soucis et que l'institut accueil tout le monde sans distinction.

Mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que dans cet institut, les anciens qui constitue une véritable bande sont  sous la direction de la bonne soeur Marguerite, la concubine et la cousine de l'évêque font la loi dans l'établissement et y impose leur ordre pervers, vicieux et sans partage.

Après deux semaines, les anciens mettent leur plan en marche : asservir et soumettre toutes les filles de première années et Neila qui est l'une des plus sexy et des plus jolies est une proie de choix.

Les nouvelles ne sont pas très nombreuse, durant la deuxième semaine les bizuteurs passent à l'action. 

Les filles sont surprises vers 21h30 dans leurs chambres, les bizuteurs ont les doubles des clés.

"C'est nous hurle" les anciens, "Nous sommes les dresseurs, les agents de l'antéchrist et de la dépravation." en entrant dans la chambre de Neila qui est en pyjama et sans voile. La nouvelle sursaute. Les anciens sont en parti cagoulés avec des masques de tête de mort, de "Scream" et sont armés de barre et frappent sur les portes et les murs en faisant un vacarme énorme.

La jeune fille est terrifiée, les membres de la bande lui disent de bien "ouvrir ses oreilles", et qu'ils sont là pour assurer le bien être, la protection et la sécurité des nouvelles. Puis le porte parole demande à Neila de lui remettre ses clés, ses papiers, carte bancaire,  son téléphone et tout son argent.

Le porte parole des anciens lui dit qu'il est maintenant venu le moment de "se présenter.", et de se mettre "A poil" par respect des anciens.

Pendant ce temps là Neila peut entendre les cris des autres filles. "Tu peux hurler et crier autant que tu veux ici, c'est nous les chefs et c'est nous qui fixons les règles." Tu te déshabille ou nous te découpons tes vêtements ?

"Les filles de premières années dorment nues et toute ensembles dans une autre salle, avec des matelas posés sur le sol. Les chambres ne sont pas pour les premières années" expliquent le porte parole de la bande." Et sors un couteau pour menacer l'étudiante terrifiée. Puis les autres sont en train de fouiller dans les valises, armoires et tiroirs de Neila, ils jettent la plupart de ces affaires.

Voyant la jeune femme tétanisée, les anciens décident de lui donner quelques bonne claques et de lui arracher ses vêtements, l'un des membre de la bande aime beaucoup couper les culottes des filles avec son couteau.

La pauvre fille est à poil, et elle voit les voyous prendre ses vêtements et les découper et  déchirer.

Neila est conduite entièrement nue dans le dortoir avec les autres filles, quelle honte peut elle ressentir ?

Ensuite le lendemain matin, les filles sont réveillées très tôt, puis doivent aller aux toilettes et se doucher devant les anciens.

Les pensionnaires doivent prendre leurs douche en commun complétement nue devant les anciens présent.

Le port de vêtement court et sexy est obligatoire, les sous vêtements sont interdit, les filles doivent porter des chaussures ouvertes sans bas ni chaussettes. 

Les cuisses, le nombril, doivent être découvert, les vêtements du haut doivent être moulant.

Les filles doivent dormir nue.

En règle général les filles doivent se déshabiller et rester "à poil" dans les locaux du pensionnat.

Les filles doivent être punies pour leurs "péchés", les anciens avec la bénédiction de sœur Marguerite doivent les fesser et les fouetter pour leur "manque de pudeur" pour leurs "exhibition" et les actes infâmes de lesbiennes qu'on les oblige à pratiquer.

Il n'est pas rares que les anciens obligent ou incitent les filles à s'accoupler mutuellement, puis sur ordre de Sœur Marguerite soient chargés de les punir afin d'éradiquer le mal.

Le dressage sexuel des étudiantes en pensionnat.
Pas de pudeur pour les nouvelles filles du foyer.

Neila n'est autorisé à mettre son voile que par moment, pour mieux l'humilier les anciens l'obligent à mettre des vêtements très court tout en la forçant à se voiler pour ensuite lui dire qu'elle est une vraie pute, une vrai allumeuse. "Elle porte le voile mais elle préfère enlever sa culotte !"

Les anciens lui reprochent d'être une mauvaise personne, une mauvaise musulmane qui ne pense qu'a s'exhiber toute nue et faire des cochonneries avec les filles. Bien sur que si Neila ou une autre nouvelles répondre autre chose que "Oui je suis coupable, oui je suis une pute", elle est immédiatement punie et fessée durement.


Lien : 

Fessées et dressées par les anciennes au pensionnat.

 

jeudi 17 octobre 2024

Les humiliations collectives dans la prison militaire.

 

A poil les prisonnières !
Les femmes humiliées nues en groupe et devant des hommes.

 

Les prisonnières humiliées en groupe et publiquement.

C'est difficile d'imaginer la honte que peut ressentir Salma quand nous  la voyons sur cette photo avec ses camarades d'infortunes. 

Elle s'est faite arrêtée  pour ses liens avec des membres de la résistance, nous lui avons pourtant bien conseiller de rester discrète et d'éviter de trop l'ouvrir et d'attirer l'attention sur elle, et pourtant elle n'a pas pu s'empêcher d'hurler sur des soldats de la patrouille à un check point. Son comportement lui à value un contrôle d'identité, puis une arrestation et nous avons perdu contact avec elle pendant plusieurs semaines.

Le renseignement militaire comme son avocat nous le dira plus tard a décider qu'elle était suspectée de liens avec la résistance et de détenir des informations sur la localisation de membres important de l'ancien régime, et donc elle a été envoyée dans la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib.

Salma apparait sur plusieurs photos parues lors du scandale médiatique de mai 2004. dont l'une a été prise le 2 avril 2004 lors de ce que les gardiens appellent une inspection du quartier ou sont gardées les prisonnières.

Salma a été sortie de sa cellule et alignée dans le couloir avec les autres prisonnières , elles étaient toute totalement à poil, l'avocat nous explique qu'il ne peut rien faire car les personnes suspectées de terrorisme sont systématiquement gardées nues, c'est la politique mis en place suite aux attentats du 11 septembre 2001.

Salma lors de sont arrivé dans la prison a du se déshabiller et  se soumettre à une fouille approfondie comme pour toute les prisonnières, en ensuite, aucun vêtements ne lui été remis.

Les femmes gardées dans la même aile que Salma sont elles aussi interdites de porter des vêtements.

Salma est très pudique, avant d'être arrêtée par les américains, personnes en dehors de son ex mari et de sa gynécologue ne l'avaient vue nue, en encore  la gynécologue permet à ses patientes de garder leurs haut et leurs chaussettes pour ne pas qu'elles se sentent "trop nues".

Salma est intégralement nue et pieds nus, alors qu'en tant que bonne musulmane pieuse et respectable elle doit se couvrir de la tête aux pieds et porter le voile (hijab), mais dans cette prison c'est la nudité totale et permanente qui est obligatoire pour les détenues musulmanes.

Salma n'a même pas le droit de porter des chaussettes ou des tongs et doit marcher pieds nus sur le sol sale et poussiéreux. 

Le protocole de la prison prévoit aussi le rasage du pubis des prisonnières, pour les rendre "plus nues que nues".


Lien : 

Humiliation collective en détention.


mercredi 16 octobre 2024

Séance d'humiliation d'une prisonnière pudique

Une gardienne stricte et une prisonnière nue sous la douche.
Une gardienne et sa prisonnière nue à la douche.

Dans la prison d'Abou Ghraib pendant la seconde guerre du golfe, les gardes font tout pour humilier le plus possibles les détenus.

Lynn, une gardien américaine d'origine asiatique vient d'amener la prisonnière irakienne Zakia qui est sous sa responsabilité  prendre une douche.

La surveillante avant de s'engager dans l'armée suite aux attentats du 11 septembre 2001 étaient déjà gardienne de prison dans le civil, elle travaillait dans une prison de la région de Houston au Texas.

La détenue est très gênée de ne rien porter devant sa gardienne en uniforme, elle a honte qu'on puisse la voir toute nue, ce qui arrive souvent depuis qu'elle est incarcérée. C'est une femme de 35 ans, une bonne épouse et une mère de famille respectable, et elle porte le voile et l'abaya par respect des traditions et les préceptes de la religion musulmane. 

 Lynn  est consciente que la nudité peut être quelque chose de très infamant pour Zakia et les femmes sous sa responsabilité, et elle utilise les tabous religieux et culturels de ses prisonnières pour mieux les humilier.

Avec Lynn et les autres gardiens, les prisonnières sont à poil et pieds nus et Zakia déteste la nudité forcée.

"Montre tes gros seins, montre ton cul, et  frotte  bien ta chatte" tels sont les ordres de la gardienne qui est connue pour battre et humilier les prisonnières.

La gardienne oblige sa prisonnière à s'introduire le savon dans le vagin

Elle est odieuse avec Zakia, elle décide après la douche d'obliger la prisonnière nue à parader longuement à poil avant de la remettre en cellule.  

"Grosse vache, tant que je serais là à te garder dans cette prison je t'interdirais de porter des vêtements et des chaussures"

"Allez marche un peu grosse truie, qu'on puisse voir un peu tes grosses fesses".

"Tu n'es qu'une chienne à dresser", Lynn interdit toutes marques de pudeurs aux femmes comme Zakia, le fait de tenter de cacher ses seins, son sexe ou ses fesses avec ses mains ou ses bras est considéré comme une infraction par les surveillants.

Les femmes doivent comprendre que la pudeur est interdite et leurs sexes, fesses et seins doivent être visibles.

mardi 15 octobre 2024

Souvenir des bizutages des années 1990

La nudité lors des bizutages des années 1990
Les bizuts à poil sur l'estrade de l'amphithéâtre.

Image d'un ancien bizutage en faculté de médecine dans les années 1990.

Ah les bon bizutage des années 1980/90, cette nostalgie, ce bon vieux temps ou pendant les mois de septembre et d'octobre, en général quelques jours après la rentrée des universités étaient des moments très attendues du calendrier, pour les anciens c'était l'occasion de se venger du bizutage qu'ils avaient subie l'année précédente, pour les profs, la direction et le personnel de l'université, c'était un super spectacle, l'un des évènement les plus important de l'année qu'ils n'auraient manqué pour rien au monde. Par contre beaucoup de nouveaux et de nouvelles redoutaient cette épreuve.

Ah cette époque, il n'y avait pas de place pour la pudeur, tout le monde était à poil, les anciens étaient de toute façon sans pitié avec ceux qui refusaient de se déshabiller. Je me souviens d'une fille qui tentait de garder sa culotte et qui s'est pris une claque avant de se faire arracher son sous-vêtement de force.

Tout le monde était nus, pieds nus à égalité, sans aucun signe de distinction sociale ou  de religion devant les organisateurs du bizutage tout puissant et les spectateurs.

Vous pouvez voir ma tante, avec ses petits seins et son physique fin et longiligne, elle est nue, les bras le long du corps, totalement exposée avec ses camarades de promotion devant les anciens et les spectateurs (profs, personnels administratifs, ancien, voyeur, curieux etc.). Le bizutage lui à permis de se libérer et d'être moins coincée et plus à l'aise avec son corps.


Lien :

Bizutage à la fac.


lundi 14 octobre 2024

Les femmes prisonnières très humiliées de parader nue

La marche de la honte (parade à poil) en prison.
Les prisonnières paradent nues dans les couloirs de la prison.

Les femmes humiliées lors des arrestations.

Les prisonnières irakiennes défilent nues devant les gardes et militaires américains.
 
Un ancien prisonnier rapporte que son épouse, une femme Rania, qui est pieuse et respectable a été arrêtée avec lui lors d'un raid sur son quartier, et qu'une fois arriver sur les lieux de détention sa femme a été forcée d'enlever ses vêtements devant les militaires et les autres femmes tout aussi humiliées.
 
Les soldats ont escorter les détenues irakiennes  dans  une pièce assez grande. En plus de Rania l'épouse du témoin, il y avait 3 femmes, l'une était  juste en pyjama signe qu'elle avait été arrêtée en pleine nuit, les autres étaient  bien habillées avec de belles robes traditionnelles arabe ou de large tunique, elles portaient toutes un hijabs par pitié et respect des traditions.
 
Les gardiens (équipe mixte homme/femmes) ont apporté des cartons avec des numéros dessus, et ils ont ordonner aux femmes de se déshabiller, ils précisent en arabe et en anglais qu'il faut tout enlever y compris "les montres et les épingles à cheveux".
 
La fouille et le déshabillage sont collectifs et publics pour les détenues musulmanes pudiques, les militaires font tout de suite enlever les voiles qui couvrent les cheveux des prisonnières, "ici ce type d'accoutrement n'est pas autorisés, enlevez ça de suite !". Rania et les autres sont bien sur gênée mais elles savent que c'est pas juste le foulard qu'il faut enlever mais aussi "tout le reste".
 
"Déshabillez vous" hurlent les gardes en frappant sur les murs pour faire du bruit et stresser les femmes.
 
"Vous enlevez tout, même vos tampons hygiéniques".
 
Une fois que les femmes ont presque tout retirer
 
"La nudité totale est la règle ici , pas de chaussettes, pas de culottes, Rania est obligée de se défaire de son sous vêtement et de ses bas.
Le groupe de femmes nues est inspectées sans ménagement, Rania doit secouer ses cheveux, ouvrir la bouche, lever ses seins, soulever ses aisselles, remuer ses orteils et ouvrir grand la fente de son vagin et écarter les fesses en toussant pendant qu'un gardes vérifient l'intérieur de l'anus et du vagin.

Il faut savoir qu'après la fouille les gardiens confisquent les vêtements des prisonnières et les force à rester nues et pieds nus. 
Ma femme Rania a du parader dans la honte et l'humiliation avec les autres femmes jusque sa cellule.


Lien : 
 


dimanche 13 octobre 2024

Linda en centre de réhabilitation.

 

Centre de réhabilitation et de déradicalisation.
Une prisonnière nue devant sa cellule.

 Linda et la nudité forcée en prison.

Linda, 31 ans, 1,60m pour 52 kilos est une jeune femme américaine d'origines syriennes. Elle est née dans en Californie de parents originaires du moyen orient. Elle est incarcérée dans un centre de détention spéciale pour fait de terrorisme et de conspiration. Son ex petit ami l'a entrainée avec elle dans sa folie, si son rôle n'est pas facile à déterminer, plusieurs armes et beaucoup d'argent liquides ont étés retrouvés à son domicile, ce qui suffit à l'accusation pour lui faire risquer plusieurs années de prison.

Devant le doute, un juge lui à proposer le marché suivant : 15 ans de prison dans un centre de détention classique sans libération conditionnelle , ou 5 ans dans une unité de réhabilitation et déradicalisation.

L'avocat de la détenue a fortement encourager sa cliente à faire le second choix, sans forcément en connaitre toutes les clauses et conditions.

Sauf que le programme de réhabilitation est très stricte. Si Linda s'attendait à passer son temps à regarder la télévision, faire du sport avec les autres détenues, avoir des cours de cuisine ou de morale civique le temps de purger sa peine, et bien elle s'est beaucoup trompée.

En centre de réhabilitation les détenues sont confinées dans de petites cellules en isolement, vide avec une simple couchette surélevée, des toilettes turques et un robinet d'eau. Tout autre objet étranger est interdit.

L'autre fait marquant est que Linda doit se conformer aux règles qui obligent les prisonnières à être complétement nues en permanence. Bien que musulmane pratiquante et portant le hijab et de longues robes traditionnelles, elle s'est déshabiller pour la fouille et aucun vêtements ne lui a étés remis par la suite. Elle est nue depuis au moins deux ans.

Si les premières semaines de nudité ont été difficiles, elle est maintenant tout à fait à l'aise avec son corps, elle discute avec les gardiens en souriant sans même chercher à cacher ses seins ou son vagin, comme si elle avait oubliée toute pudeur.

Elle n'a par exemple aucune gêne à montrer son anus, même aux inconnus.

Les activités sont très strictes, réveil à 5H30 pour la lever du drapeau et l'hymne américain, puis sport à poil, douche, petit déjeuner.

Ensuite il y a des travaux forcées, puis des cours de civisme et c'est le déjeuner. 

Linda en début d'après midi est régulièrement obligée de faire son auto critique, de remercier les États Unis de lui laisser une seconde chance et d'encourager les nouvelles prisonnières en montrant l'exemple.

Lorsqu'une nouvelle a du mal avec la nudité forcée, Linda lui explique qu'avant d'arriver ici elle était voilée de la tête aux pieds et que personnes en dehors de son ex et de son docteur ne l'avait vue à poil, et maintenant ça va faire deux ans qu'elle est toute nue, et que tous va bien, "c'est très agréable de marcher pieds nus, et de ne pas avoir à réfléchir à sa garde robe, et puis c'est marrant d'être à poil je trouve, j'ai oublier la sensation de porter des vêtements et quand je sortirais je ne sais pas comment je pourrais me ré adapter aux vêtements et aux chaussures, je vais travailler dans un camp nudiste en Californie."

Lien :

Détenue enchainée à poil aux barreaux de la cellule.

samedi 12 octobre 2024

Une jeune fille adopte le nudisme en vacance.

Une fille nue dans la zone touristique.
Toue nue au bord de la piscine.

 Elle devient nudiste radicale après un séjours.

Après trois semaines dans ce camp naturiste, Paula ne prête plus aucune attention à sa nudité, pour elle c'est naturel, et c'est les meilleurs vacances de sa vie.

Dans un complexe touristique haut de gamme, il y a des des réductions de 90 % pour les nudistes. Paula ne pouvait pas rater ça,  les premières heures elle n'a pas appréciée  de devoir rester toute nue avec ses copines, car son éducation catholique lui a enseigner le fait qu'il est important de porter des vêtements. Mais entre ses croyances aux vêtements et le fait de séjourné dans un luxueux palace avec piscine et tout, et bien Paula à préféré abandonner ses vêtements.

Avec la rentré et la fin des vacances, elle est dégoutée de devoir remettre des vêtements et des chaussures car elle se sent tellement libre à poil et pieds nus et de montrer sa chatte et ses seins à tout le monde c'est trop cool, tout le monde est sympa avec moi.

Lien : 

Plage naturiste.

 

mardi 8 octobre 2024

La police politique Soviétique et la persécution des chrétiennes.

 

Les suspectes chrétiennes toujours nues au comissariat.
Police politique communiste contre chrétienne nue.

La répression anti religieuse  en URSS

En Union Soviétique, les autorités persécutent les mouvements religieux, et la police fait preuve d'autorité pour réprimer toute expression religieuses dans l'immense empire communiste, la seul foi officielle est l'athéisme d'état, toute autre croyances est interdites d'expression ou de diffusion.

Comme les femmes sont en général plus conservatrices et croyantes que les hommes, les policiers s'occupent d'elles de façon brutale et agressive pour leur faire comprendre que seul l'Etat et le guide suprême des soviétiques détiennent le véritable savoir et la vérité et que tout le reste n'est que mensonge et superstition.

Anastasia K est une jeune femme croyante, elle possède plusieurs bibles, et un portrait d'un ancien patriarche de Moscou tué en martyr par Staline, elle a été dénoncer par sa voisine, une indicatrice de la police et une fervente athée.

La police politique l'a arrêtée sans ménagement pour l'amener au commissariat. L'indicatrice et les membres du parti politique sont présent pour combattre les infâmes obscurantistes chrétiens.

En tant que détenues chrétiennes, elle n'a pas le droit de porter de vêtements ou de chaussures en détention en détention. Si la loi russe est assez souple avec les tueurs, voleurs, violeurs qui ont en général des petites peines et peuvent facilement être graciés, les crimes politiques et religieux sont sévèrement punies et la nudité fait partie de la punition !

La pauvre jeune femme s'est retrouvée à poil devant les flics, et devant ses ennemis athées qui l'insultent et se moquent d'elle avec ses mamelles de chrétiennes, l'a traite de suceuse de prêtre.

Les détenues chrétiennes après l'exposition et les humiliations à poil sont en général battue, elles reçoivent d’énormes fessées jusque à ce que leurs fesses soient toutes rouges et pleines de traces de coups.

La brutalité de la police politique à l'égard des chrétiennes.
Une prisonnière chrétienne nue et humiliée après la fessée.

Les chrétiennes sont considérées comme étant des personnes mentalement dérangées par les autorités communistes, après leur punition elles sont obligées de rester exposées nues, les fesses toutes rouges pendant des heures sous le regard des policiers et des visiteurs, tout en écoutant des discours de Staline et de Lénine et en reniant la foi chrétienne.

Les chrétiennes doivent apprendre les bases de la foi athée de l'état soviétique par coeur.


Lien :

Persécution des chrétiens en Europe de l'Est.


dimanche 6 octobre 2024

La visite médicale de la Fac est très intrusive

Visite médicale étudiante.
Examinée nue et pieds nus à la visite médicale.

 La visite médicale universitaire de première année.

Les filles redoutent beaucoup la visite médicale qu'elles doivent passer au service de médecin préventive du campus universitaire.

Durant ce rendez vous médical pourtant relativement rapide, car il ne dépasse rarement une demi heure, les étudiantes ont doit à un bref entretien sur leur habitude alimentaire, leur mode de vie, sexualité, historique médicale, puis ensuite les traditions tests d'audition et de vision sont pratiqués, et ensuite elles sont dirigées vers la salle d'examen ou un des médecins de l'université les attend.

Elles dénoncent l'obligation de se déshabiller pour l'auscultation et l'examen médical, même les culottes seraient retirées pour des rapides examens gynécologique et des tests de virginité.

La direction de l'université affirme que le protocole médicale est tout à fait légal et réglementaire, il ne s'agit pas à proprement parler d'un examen gynécologique, mais d'un simple contrôle visuel du vagin des étudiantes et une vérification de leur statut sexuel , vierge ou pas.




samedi 5 octobre 2024

La mise à nu en prison.

L'obligation d'être nue en prison.
Prisonnière nue devant les gardiens.


Femme pudique obligée d’être nue en prison.

Ce moment est très redouté par les femmes musulmanes pratiquantes comme Meriem c'est le déshabillage obligatoire et la nudité forcée que les gardiens de la prison militaire d'Abou Ghraib imposent aux détenus hommes et femmes dès l'admission.

 Ici les gardes les méprisent et prennent du plaisir à humilier une femme pudiques et voilée qui n'a jamais été exposée en publique ni en privé.

Déjà, l'un des gardiens américain avec un sourire narquois explique à Meriem qu'elle doit mettre tous ses vêtements,  son hijab, ses chaussures, ses bijoux, sa montre, ses papiers d'identités, et même ses épingles à cheveux.

Les gardes n'ont pas non plus oublier d'obliger Meriem à se mettre pieds nus car elle n'avait pas non plus envie d'enlever ses petites chaussettes.

Les prisonnières ici doivent comprendre qu'il ne fait pas être pudique, la politique de la prison obligent les gardes à  s'assurer que chaque femme soit complétement déshabillée et minutieusement fouillée (les anus , bouches et vagins sont vérifiés) mais aussi pour bien se moquer d'elle pendant l'opération.

 Ceux sont des femmes suspectées de terrorisme, les gardes doivent les mépriser et n'avoir aucun états d'âme, les mettre à poil est tout à fait normal, les femmes qui arrivent ici ne sont pas dignes de porter des vêtements.

Pour aller plus loin,  il ajoute qu'à Abou Ghraib, les femmes doivent respecter un minimum les règles de décences et d'hygiène et donc se raser la chatte, les poils pubiens étant interdit pour une sensation encore plus nue.

Lien :

La prisonnière d'Abou Ghraib.