mardi 31 décembre 2024

Le dressage des filles récalcitrantes lors du bizutage étudiant.

Le bizutage et les sanctions spéciales pour les récalcitrantes


Lors des bizutages, si il y a bien quelque chose que redoute certaines filles, c'est le déshabillage, l'obligation de se mettre nues devant les autres, de renoncer à sa pudeur, de mettre de coté ses complexes et sa fierté le temps des épreuves d'intégration.

Si la majorité des filles en général se prend aux jeux et accepte de se déshabiller pour le bizutage, par résignation, car elles n'ont pas vraiment le choix et qu'elles savent que c'est un rituel de passage obligatoire, d'autre filles en général les libertines assez libres voient même le bizutage comme une sorte de fête étudiante classique, une naked party.

Mais il y a toujours certaines filles à la fierté mal placée, pudiques, coincées, complexées, ou religieuses qui sont hostiles au déshabillage et à la nudité forcée.

Plusieurs jeunes filles lorsque les nouvelles ont été regroupées dans l’amphithéâtre, ont refuser de se déshabiller  en suivant les ordres des anciens. Comme souvent, le profil des récalcitrantes est le même : les filles musulmanes étudiantes voilées et pudiques comme Lamia, très pudique et fière, elle estime que se déshabiller est dégradant et non conforme à ses valeurs culturelles et religieuses, idem pour Mathilde, bien que non musulmane et athée, mal à l'aise avec la nudité.

Lisa elle est complexée par son corps et ses petits seins, Hélène quant à elle est pudique de par son éducation conservatrice.
 
Ces filles sont considérées officiellement comme étant des "récal" et des coincées et sont soumises à des gages et des défis supplémentaires pour "leur bien".
 
Les anciens et les anciennes ont forcer les rebelles à obéir et se mettre à poil malgré leurs résistance et tentatives de se débattre.
 
Ici, toutes les nouvelles sont à poil, obéissent aux ordres, rien à foutre des complexe ou de la religion, les bizutes sont toutes à égalité : "nues, pieds nus, seins, fesses, chatte et cheveux à l'air sans distinction sociale ethnique ou religieuse.

C'est comme ça qu'on forme un esprit de corps." Telle est la philosophie du bizutage dans les années 1980 et 1990.

Les filles quand elles font le tours de l’amphithéâtre, puis se baladent dans les locaux, et se promène sur le campus  en étant à poil et totalement exhibées font moins les fières. Les anciens et les spectateurs les insultent de putes, de chiennes, se moquent d'elles "oh les petits nénés" "Lamia tu es plus à l'aise sans ton voile pour faire de la marche, remercie nous."

Les parades durent assez longtemps pour que tout le personne puisse se rincer l'oeil.

Ensuite les "récal" sont obligées de faire d'autre jeux, elles sont inspectées, de la tête aux pieds, de prendre des poses humiliantes.
 
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jeudi 26 décembre 2024

Malika une étudiante musulmane bizutée dans les années 1980

Journée d'intégration bizutage.
Nue devant les garçons pendant le bizutage étudiant.

Bizutage classique dans les années 1980

Nous sommes dans une faculté de droit d'une université du centre de la France en 1987, une époque ou le bizutage était ouvertement accepté et même encouragé par les autorités.

Témoignages de Malika, l'une des rares étudiantes musulmanes d'origines nord africaine (Tunisie) qui portait le voile (hijab) à cette époque.

Dés la première semaine, en général vendredi ou samedi, tous les étudiants en premières années étaient regrouper dans l’amphithéâtre pour la cérémonie d'intégration organisée par les anciens. Le bizutage était incontournable à l'époque, c'était impossible d'y échapper sous peines d'exclusion sociale et de toute façon les anciens allaient chercher les récalcitrantes qui tentaient d'esquiver.

J'étais l'une des seules étudiantes musulmanes voilées, je portais le hijab depuis 16 ans, à l'époque c'était autorisé même au lycée. L'ambiance était festives et électriques, beaucoup chantaient des chansons idiotes ou paillardes , avec pas mal d'alcool, de la bière surtout. Puis les anciens nous ont regrouper par petit groupes de  5 à 6 filles, nous étions des "bans de poissons frais" selon les termes utilisés par les anciens.

Ensuite c'est mon groupe qui a été invité a se rendre sur l'estrade, les anciens me regardaient avec un air narquois et l'une d'entre elle a ordonner avec un haut parleur "Vous vous déshabiller ! Aujourd'hui, il faut tout enlever, pas de place pour la pudeur, ni pour les complexes, ni pour la religion ou le statut social, tout le monde à poil !"

Les spectateurs hurlaient et criaient toutes sortes de propos du type "à poil" "montrez nous leurs chattes" etc.

J'ai tenter de protester en disant que j'étais musulmane, pudique et voilée, mais rien à faire, une des anciennes s'est mise à crier "hahaha elle se prend pour une saint avec son voile ! on dirait une bonne soeur et on va la libérer et la décoincer un peu !"

Dans les gradins certains hurlaient "mettez la à poil, pas de religieuse ici, tous le monde à égalité".

Deux garçons sont venus en disant d'en finir avec "ce cinéma et cette fasse pudeur et de tout enlever". et ils m'ont enlever mes vêtements en commençant par mon hijab.

Ils nous ont exposés toutes nues devant tout le monde, j'ai du les remercier de m'avoir sauver et libérer, puis nous avons du faire la marche de la libération entièrement nues en défilant sur le campus universitaire.

Toutes les filles étaient nues et pieds nus, beaucoup comme moi étaient très honteuses, mais c'était les règles et traditions de l'époque.

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Bizutage et pudeur.


mercredi 25 décembre 2024

Le bizutage traditionel public de l'IUT

Défi et gage lors du bizutage
Bizutage à l'ancienne en public.

Soraya l'étudiante musulmane bizutée.

Dans certaines villes universitaires, le bizutage est une tradition faisant partie du patrimoine locale, dans une petite ville du  sud ouest de la France, dont l'activité économique principal est en partie du à la présence de divers établissement universitaire supérieur (Université, IUT), école de commerce prestigieuse, écoles d'ingénieurs qui permette un afflux étudiant massif et au tourisme, et bien le bizutage fait partie du "folklore" officiel de la région.

Soraya, une jeune fille arabe et musulmane de 21 ans originaire de Paris s'est inscrite à l'IUT en BUT GACO (Bachelor Universitaire Technologique Gestion Administrative et Commerciale des Organisations) se savait pas que le bizutage était encore en vigueur ici, elle s'est donc présenter en cours lors des premières semaines couverte de la tête aux pieds avec son hijab (voile).

Les anciens du BDE en la voyant étaient très content, car ça fait une fille pudique à humilier, la majorité des filles de la région étant assez extraverties et en général peu couverte, dont la plupart pratique le topless à la plage vivent le bizutage comme un jeux, une sorte de "naked party".

La journée d'intégration étant obligatoire, les anciens ont forcer l'étudiante à se déshabiller complétement devant tout le monde dans l’amphithéâtre malgré ses pleurs et supplications. 

La jeune fille ne doit rien cacher sous ses vêtements. La nudité doit être totale  même les chaussures et chaussettes sont enlevés.

La pudeur n'a pas sa place, Soroya doit être "dressée" et "endurcie" et apprendre qu'ici les filles se découvrent, et que les pratiques religieuses obscurantistes n'ont pas leur place, et le bizutage sert à ça, les filles doivent pouvoir aller à la plage nudiste ou du moins en topless, porter des vêtements serrés et court.


"Il faut qu'elle parade toute nue dans le centre ville" ricanent les anciens, elle va faire une balade à poil et pieds nus devant les touristes.

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Revus des anus pendant le bizutage.


mardi 24 décembre 2024

Bizutage : Une "tutrice" et sa bizute.

 

Pas de pudeur pendant le bizutage.
Toute nue et exposée sa chatte au bizutage dans le bar.

La tutelle lors du bizutage.

Lors du bizutage dans l'enseignement supérieur, dans certains établissement comme cette école d'infirmière réputée, les anciens étudiants sont chargés d'initié et de former les nouveaux, ce système s'appelle la tutelle.

Julia, une étudiante originaire d'Alsace, autoritaire de troisième année prend en charge Safia, une jeune étudiante musulmane de banlieue.

La jeune fille est très pudique , elle porte le voile islamique hijab et des tenues traditionnelles , mais avec Julia, c'est intolérable, et elle va profiter de sa tutelle pour dresser Safia.

Julia force Safia à se déshabiller de gré ou de force, ayant été elle même bizutée quand elle était première année, elle est absolument sans scrupules ; surtout pour "traiter" une fille nouvelle et particulièrement pudique comme cette fille en hijab.

"Je vais te mettre à poil et t'obliger à tout montrer aux garçons et aux clients du bar".

C'est un véritable choc des cultures, Julia est sans pitié, et force Safia à s'exposer entièrement nue dans un bar étudiant.

Avec Julia c'est complétement à poil, les supplications de la jeune filles n'ont aucun effets sur elle, ici pas de place pour la religion, Safia n'a pas de choix sous l'autorité de Julia, elle doit se défaire de son accoutrement, pas de place pour l’obscurantisme et la pudibonderie avec sa tutrice !

Avec Julia, il faut se soumettre et obéir, elle est adepte de la totale nudité des soumises lors du bizutage, Safia doit enlever tout, y compris ses chaussures et ses chaussettes et se présenter nue et pieds nus devant le public. Les bizutes musulmanes doivent être à poil et exposées en public pour en faire des "bonne étudiantes".

Julia désire voir sa "protégée" renoncer à toute pudeur, Safia doit écarter les cuisses pour montrer sa chatte et son anus bien ouvert, non seulement à sa maitresse mais aussi aux autres personnes, Julia aime aussi jouer et exposer les seins de la bizute.

Puis narguer et se moquer de Safia à poil. Julia aime présenter sa disciple aux autres étudiants en présentant "Safia toute nue" "montre tes seins"



Une fille nue lors du bizutage étudiant.
Le bizutage des jeunes filles à poil.

 

Julia est très fière de bizuter Safia.

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Bizutage à l'ancienne.


jeudi 12 décembre 2024

Une fille tente d'échapper au bizutage.

 

Bizutage bien organisé.

Les bizutages sur ce campus universitaires sont très bien organisés, c'est très difficile pour les filles récalcitrantes d'y échapper, même pour les plus malignes et rusées comme Sabrina.

Sabrina est étudiante en première année d'études de commerce à l'IUT (Institut Universitaire de Technologie) rattaché à l'université. Elle est d'origine marocaine par son père et espagnol par sa mère. Elle à grandie dans une banlieue assez aisée du 92, c'est plutôt une bonne étudiante, elle a obtenu le bac avec mention très bien.

Sabrina connaissait avant de s'inscrire le fait que sur ce campus, les bizutages sont très ancrés dans les mœurs et ont toujours lieux sous le nom de "journée d'intégration". Et elle veutà tout prix éviter d'y participer car elle est très pudique et porte le voile et l'abbaya comme toute bonne musulmane.

Le jours du bizutage, la jeune fille s'est rendu dans la bibliothèque universitaire (BU) du campus au lieu d'aller dans l'amphi principal de l'université ou les nouveaux doivent se réunir selon les "convocations".

Mais elle ne sait pas que les bizuteurs ont toujours une longueur d'avance sur les nouveaux. En effet, le BDE (Bureau des Étudiants) organisent avec le soutient de l'administration de l'université, des services de la mairie, et disposent de listes et d'informateurs permettant de retrouver toutes les personnes qui tentent d'échapper à la journée d'intégration.

Grace à la complicité de la bibliothécaire et des caméras de sécurité, les anciens ont pu identifier qu'une fille avait l'air de tenter d'éviter d'aller au rendez vous officiel et se serait cacher dans la bibliothèque en faisant semblant de lire des livres alors qu'elle est plutôt adepte de ChatGPT pour ses cours ...

Les anciens sont bien rodés, équipés de talkie-walkie   ont vite envoyé un groupe s'occuper de la récalcitrante.

Une fois sur place, Sabrina est directement identifiée et les anciens lui demande de se lever et si elle sait qu'elle doit être théoriquement dans l'amphi principal pour le début de la journée d'intégration.

La jeune femme fait mine de ne pas bien comprendre et répond qu'elle révise. Les anciens étant expérimenté et devinant qu'elle n'a pas envie d'aller au bizutage lui disent que ça a commencer dans l'amphi, et qu'elle doit se déshabiller ici, car les autres premières années sont à poil et qu'il n'est pas juste qu'elle passe moins de temps toute nue que les autres.

Sabrina rougie et dit "Non, mais vous n'allez tout de même pas me faire me déshabiller ça va pas la tête non" avec un air hautain et arrogant propre aux gamines gâtées comme elle. "Je suis voilée quand même, je peux pas l'enlever".

Les bizuteurs, insensibles lui disent de retirer ses vêtements ici devant tout le monde, sinon ils useront de la force, car c'est le bizutage, tout le monde à poil sans distinction, on met sa culture et sa religion de coté  et qu'il faut tout montrer".

C'est horrible pour Sabrina mais elle n'a pas le choix et sait parfaitement qu'ils vont lui arracher ses habits et lui infliger des sévices et des punitions.

Il faut tout enlever même la culotte et les chaussettes. Sabrina qui était couverte de la tête aux pieds s'est retrouvée à poil en quelques minutes, et devant tout le personnel de la BU.

La honte, les anciens l'oblige à parader à poil devant les autres les mains sur la tête pour que tout le monde puisse bien reluquer ses seins, sa chatte sans poil ses fesses à l'air.

Faut pas être pudique pendant le bizutage.




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La tradition du bizutage en milieu étudiant.


lundi 9 décembre 2024

Exhibition lors du bizutage d'étudiantes

 

En début d'année universitaire, dans cette ville dynamique universitaire cotière  du sud de la France, nous pouvons assister à de très jolis spectacles et assister à des scènes surprenantes.

Les étudiantes, en particulier les bureaux des anciens (BDE) des différentes écoles et institut universitaires présents sur la ville rivalisent en matière de bizutage. L'école d'infirmière, l'IUT, et l'école d'architecture organisent chacune de leur côté des "journées d'intégration" (nom officiel du bizutage).

Les passants et promeneurs sur l'avenue de la plage, il fait encore chaud à cette période de l'année et les touristes sont encore présent en septembre/octobre, ont pu assister à des choses étonnantes qu'on ne voit pas tous les jours. trois jeunes filles ont été obligées de se promener entièrement nues dans le centre ville et à coté de la plage, dans une zone de forte affluence à la vue de tous.

Mélanie, Naïma, et Carla, trois filles de l'IUT étaient promener mains sur la tête avec obligation de tout montrer aux passants.

Ces filles sont aussi bien sur pieds nus, Naïma la musulmane portait des baskets avec des chaussettes qu'elle a du retirer, les deux autres étaient en tongs (flip flop).

Les filles étaient aussi obligées de danser sur des sons des spices girls, de Denzel, et de chanter des slogans débiles.

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Bizutage pour les filles.

dimanche 8 décembre 2024

Femme incarcérée pour terrorisme

 

Les conditions de détention dans les prisons de haute sécurité pour les femmes arrêtées et incarcérées dans le cadre de la lutte contre les terrorisme sont très difficiles et sont dénoncées par de multiples organisations de défense des droits de l'homme.

Najoua B, une détenue américano syrienne impliquée dans une tentative d'attentat avorté avec son mari est détenue en isolement dans une prison de haute sécurité.

Elle est condamnée à 8 ans de prison, sous surveillance permanente dans une cellule de ségrégation vide d'environ 2 mètres sur deux, avec seulement "des toilettes à la turque".

Aucun confort n'est permis, sa cellule est éclairée en permanence. De plus, la prisonnière est contrainte de rester nue et pieds nus en permanence. Elle est sous le statut de nudité permanente, avec l'interdiction de porter le moindre vêtements, même lors de ses rares visites avec un avocat ou avec sa famille.

Les fouilles sont quotidienne, avec des examens agressifs et intrusifs sans aucun respect pour sa pudeur et sa dignité, les gardiennes l'obligent à ouvrir son anus et son vagin de façon obscène tous les jours et en public.

Elle passe en général plus de huit heures par jours debout les mains sur la tête quand elle n'est pas de corvée ou soumise à des travaux forcés.

Elle a l'interdiction de regarder les gardiens dans les yeux, de leur adresser la parole sans autorisation, ou de communiquer avec d'autres détenus.

Najoua est régulièrement ré éduquée, dans le but de la soumettre et de la déradicaliser, elle est filmée nue et régulièrement prise en photo à poil et les images sont diffusées.

L'hymne nationale des États Unis retenti deux fois par jours et elle doit l'écouter et le chanter.

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Haute sécurité.

samedi 7 décembre 2024

La revue des anus lors du bizutage.

Le bizutage est souvent un évènement très marquant dans la vie des jeunes filles, car c'est l'une des premières fois qu'elles sont totalement exhibées lors de ce rituel traditionnel  qui existe et perdure depuis au moins le moyen âge voir avant. 

Dans cette école d'ingénieurs, qui est d'ailleurs très réputée et fournie les grandes entreprises en brillant technicien et spécialiste, le bizutage est toujours pratiqué et parfois très difficile à vivre pour les filles.

Aucune place pour la pudeur, les anciens sont sans pitié, insensibles voir même brutaux et obligent les nouvelles, de gré ou de force, sous une terrible pression à se déshabiller, et complétement. 

Se retrouver toute nue devant du public et des anciens hilares, sans rien pour se couvrir et pieds nus rend les filles dans une situation ou elles se sentent très vulnérables. Les filles de toutes cultures et toutes religions différentes sont à poil, avec l'obligation de s'exhiber et de prendre des positions obscènes devant tout le monde.

Les bizutes défilent nues les mains sur la tête pleine de honte dans les couloirs des bâtiments de l'école et dans la cours et les environ, sous le contrôle strict des anciens qui les insulte et se moquent continuellement des filles en parlant de leurs grosses fesses, ou grosse chatte odorante , d'anus sale, de petit seins, de mamelle de vache, les filles aux chattes poilues sont rasées.

Les filles sont appelé par des surnoms pervers en rapport avec leurs corps, comme "petit nénés" Gros cul graisseur" "mamelle de vachette" etc.

Les attouchements et claques sur les fesses sont réguliers, les seins palpés, les tétons tirés et pincés aléatoirement et régulièrement sur le chemin du défilé.

Vers la fin du parcours, et en public, les filles doivent se pencher et écarter les fesses pour la traditionnelle "Revue des anus". 

Les anciens invitent les passants à regarder dans les orifices des filles, à faire des commentaires sur l'hygiène, ou la pilosité, et à se moquer des filles aux fesses ouvertes à la vue de tous.


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Chatte au piment.


jeudi 5 décembre 2024

Un gardien témoigne du sort réservé aux prisonnières.

Forcer les femmes à rester nue en prison.
Humiliation collective en prison.

Témoignage exclusif d'un ancien garde de la prison.

Les détenues irakiennes de la prison militaire américaine d'Abou Ghraib sont traitées comme pires que des bêtes. Ces femmes sont fouillées à poil et en  public devant tout le monde sans aucun respect pour leur dignité et leur pudeur !

C'est sur qu'entre nos mains, elles perdent vite toute traces de timidité et de pudeur, nous avons pour consigne de les garder complétement nues et pieds nus en permanence 24/24h et 7/7j. Nous les dressons pour leur apprendre le respect et l'humilité, qu'elles soient musulmanes sunnites, chiites, chrétiennes ou peu importe, elles sont toutes à poil.

Elles arrivent très pudiques, voilées de la têtes aux pieds avec leurs abayas et hijab, des tenues pudiques couvrant tous leurs corps et nous les déshabillons devant tout le monde pour les humilier et remettre en place !

Elles sont forcées de parader  nues dans toute la prison pour que les gardes puissent les voir à poil, ainsi que les autres prisonniers car c'est bien de les humilier devant leur communauté, de montrer aux hommes ce qu'ont fait à leurs femmes.

Elles sont interdites de tout morceau de tissu et doivent tout montrer,  et accepter la nudité et d'être vues à poil.

Nous les inspectons et fouillons plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne dissimulent rien sous leurs seins, dans leurs cavités (anus et vagin), entre leurs orteils, dans leurs bouches car les femmes peuvent cacher plein de truc en elle ce qui nécessite une vigilance absolue.

Nous nous moquons d'elles, faisons sans cesses des remarques sur leurs seins, la forme de leur cul, sur l'odeur de certaines, elles doivent se sentir comme pire que des bêtes.

Nous leur hurlons dessus des ordres pervers comme "écarte tes fesses et ouvre ton anus de pute".

Elles ne mettrons jamais de voile, ni de robe, ni de culotte, soutien gorge, chaussures ou chaussettes tant qu'elles seront sous notre garde dans cette prison. C'est 100% nue.

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Humiliation publique.

lundi 2 décembre 2024

Larguée nue en centre ville au bizutage


 Pudeur mise à mal au bizutage.

La pudeur et la dignité des étudiantes sont régulièrement misent à l'épreuve durant les épreuves et gages qui ont lieux durant les "journées d'intégration" dans les établissements d'enseignement supérieurs comme dans cette école d’architecture.

Parmi les centaines de gages pervers et vicieux destinées  à humilier  les nouveaux, l'une des épreuves les plus redoutées est celle ou une fille est larguée nue en pleine journée  du samedi en plein centre ville.

Cette année c'est Christelle , 20 ans, qui est l'étudiante désignée pour cette exhibition. La pauvre, elle est assez peu expérimentée en matière de sexe et n'a fait l'amour qu'avec un seul garçon à 18 ans.

 Pour la jeune fille, mettre toute nue avec les autres était difficile, certaines filles pleuraient et suppliaient et les anciens de leur laisser leurs culottes et soutien gorge , c'est bien sur impossible car les bizutages se déroulent traditionnellement toujours à poil donc "cul nu' et 'seins à l'air", et même les pieds nus sont obligatoire, les chaussettes doivent être retirées pour celles qui en portent et les autres en sandales ou tongs doivent quand même les enlever.

Dans la nudité totale, les nouvelles doivent faire le tour de l'école et de ses environs les mains sur la tête sous les rires des autres étudiants et du personnels de l'école.

Mais pour Christelle, c'est encore plus difficile car elle est déposée toute nue et pieds nus en plein centre ville,  visible et exposée devant tout le monde , sans possibilité de se couvrir, et elle doit faire deux kilomètres pour retourner à l'école ...


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Toute nue en centre ville.


dimanche 1 décembre 2024

Interrogatoire renforcée d'une jeune femme pudique

Nudité forcée et interrogatoire renforcé.
Utiliser les craintes des détenues pour les faire parler.

J'ai commencer ma carrière  d'agent du renseignement militaire avec le colonel Mc Kenzie, un vétéran expérimenté de la contre insurrection et de la lutte contre le terrorisme. Nous étions en poste sur le terrain pendant la guerre en Irak et nous avions comme consignes de collecter le plus d'informations possibles et de qualité sur la localisation  et les habitudes des chefs rebelles liés à la résistance irakienne.


Nous travaillions sur le terrain en collaboration avec les forces armée régulière et la CIA. En fin de journée d'une chaude journée de printemps, dans un quartier  Bagdad pourtant censé être sécurisé, nos troupes avaient subies 2 attaques et des tirs de mortiers étaient partis de la zone pour atteindre la zone verte. En réaction l'armée a effectué plusieurs raid sur le quartier et arrêté une vingtaine de personnes susceptible d'être complice ou témoin.

Parmi ces gens nous avions capturé Safia, une jeune femme d'environ 25 ans, habitante du quartier et étudiante en doctorat de physique à l'université de science. Elle portait comme toute bonne musulmane un joli hijab noir (foulard  porté par les musulmanes pratiquantes) en tissu brodé, une tunique beige qui descend jusque aux genoux , un jean et des baskets. Elle parlait un anglais parfait et avait voyagé plusieurs fois en Europe et en Amérique. C'est une fille de famille de classe moyenne ayant réussi.

Après le raid les prisonniers ont été conduit dans la petite base ou nous opérons pour faire du renseignement. Safia était la seule femme du lot.

La protocole dans ces circonstances obligent les soldats à effectuer des fouilles et de déshabiller les prisonniers, les suspects sont mis à poil, ils doivent même retirer leurs slip et leurs chaussettes.

Concernant Safia, son cas et remonté aux oreilles du colonel Mc Kenzie, car il est rare que des femmes soient arrêtées et transférées ici et donc son cas méritait réflexion concernant l'attitude à avoir.

Le militaire expérimenté a décider qu'elle devait être traitée comme les hommes, selon la procédure en vigueur dans l'armée. Les soldats ont confisqués les vêtements et les chaussures de la prisonnières, le colonel a même fait rappeler à ses gars que la détenue devait enlever ses chaussettes, car nous sommes dans un pays chaud, le sol n'est pas froid donc elle doit aussi être pieds nus.

Après avoir donner ses consignes, nous avons attendus une dizaine de minutes que les soldats préparent Safia, c'est à dire la déshabiller et la fouille.

La détenue est conduite dans la salle d'interrogatoire en pleurant et rouge de honte, elle est totalement à poil devant des hommes !

La jeune fille est placée sur une estrade avec de la lumière devant les interrogateurs.

Elle croise les jambes et tente de cacher ses seins avec ses long cheveux.

Le colonel prend la parole sur un ton strict :

- Tu es bien Safia G ?

- Oui répond la jeune femme en tremblant et tentant de dissimuler son corps.

- Quel âge as tu ?

- J'ai 25 ans.

- Es tu bien de nationalité irakienne et née à Kirkouk ?

- Oui vos informations sont justes.

- Quelle est cette posture, c'est interdit de croiser les cuisses, et tu dois mettre tes mains dans le dos et empêcher tes cheveux de cacher ta poitrine. Lui dit sur un ton moqueur le colonel.

- Mais je suis toute nue répondit Safia paniquée

- Et alors ! sur des intonations tout de suite plus agressives, écarte les cuisses et mains dans le dos ou je te fouette !

Safia n'a pas le choix elle est déjà terrifiée.

- Alors ça fait quoi de montrer ta chatte rasée et tes mini seins à des américains ? avec un sourire narquois et pervers  , Des seins tout petit en riant.

- Hahahahhaaa hiihiiiiiii s'exclame l’interrogateur en pointant la poitrine de la détenue.

Safia rougit encore plus et se retient de pleurer.

- REPOND A LA QUESTION SALOPE ! 

- C'est honteux monsieur répond Safia avec une petite voix.

- Tu es pourtant selon mon dossier une femme pieuse et respectable, bonne musulmane, voilée, et là tu t'expose avec ta chatte humide et rasée devant des soldats américains, qu'est ce que ta famille va penser ?

- Ils vont me tuer, me renier ... répond Safia.

- Nous interdisons aux femmes prisonnières de porter des vêtements et des chaussures, et bien sur les pieds nus aussi. Dit Mc Kenzie en ayant la culotte culotte et les chaussettes de la jeune fille dans les mains. Tout le monde vas te voir à poil.

- Oui dit Safia en pleurant, s'il vous plaît arrêtez

- C'est qui qui est toute nue et pieds nus et interrogée ici ?

- C'est moi monsieur.

- Qui est quoi !?

Je suis toute nue et pieds nus monsieur, vous m'avez fait horriblement fouillée avant d'entrer dans ce bureau et j'ai aussi interdite de garder mes chaussettes ... 

Mc Kenzie sort son appareil photo et prend quelques clichés de la prisonnière nue.

- Je vais envoyer ça à ta famille et mettre ça sur internet pétasse.

- Non non non non ! arrêtez s'il vous plait ! s'exclame la fille en détresse.

- Tu mouille salope, tu voudrais qu'un régiment te baise ? en quelque claquement de doigt je peux appeler des soldats qui feront un gang bang et te prendront par la chatte et le cul ... sauf si tu coopère...

- Pitié pitié non, Safia a peur.

- Oui alors tu ferais mieux de parler. Qui sont les rebelles dans ton quartier ?


 La jeune femme à dénoncer la plupart de ses voisins et collègues de travail, elle ne sait manifestement rien mais elle a cracher tout ce qu'elle pouvait. Les soldats l'ont libérer quelques heures après.

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Méthode musclé.