dimanche 18 février 2024

Les règles de la prison des femmes d'Abou Ghraib

 

Les prisonnières doivent faire les corvées et travaux forcés à poil.
Une prisonnière nue lors des travaux forcés.
 

Notes et révélations sur les consignes données par l'armée et la CIA pour traiter les prisonnières d'Abou Ghraib.

 

Suite au scandale concernant les abus et les tortures subies par des prisonniers irakiens entre les mains des américains pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011), c'est vite poser la question du traitement des dizaines de femmes retenues dans ce terrible complexe pénitentiaire. Plusieurs journalistes et chercheurs ont découvert que ces abus ne sont pas le fruit de la perversion de brebis égarées, mais un système mis en place et pensée par les plus hautes autorité du renseignement militaire et de la CIA. Des notes ayant valeurs de consignes et de règlement à appliquer aux femmes comme lignes directrices ont été données au staff pénitentiaire.

 

 Pour plus d'information sur le contexte historique et politique veuillez vous référer à ce lien.

 

Les méthodes d'interrogatoires renforcés utilisées :


Les interrogateurs estiment qu'il faut utiliser les tabous culturels et religieux des prisonniers, et comme la nudité est particulièrement infamante pour les arabes, toutes les personnes incarcérées doivent donc être nues.

Les prisonnières doivent être nues en permanence, les femmes musulmanes doivent être déshabillées lors du processus d’incarcération, les gardes doivent veiller à ce qu'elles enlèvent tout. Elles sont pudiques et voilées de la tête aux pieds et les gardiens sont sans pitié et les force à tout retirer, bien sur que les femmes enlévent leurs robes et leurs voiles, les culotte aussi et les gardes interdisent même les tampons hygiéniques !

Les fouilles des cavités (bouche, oreils, anus, chatte, orteils) plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne cachent rien. 

Les femmes doivent être exposées nues pour une humiliation totale, entre elles,  devant les gardiens mais aussi devant les prisonniers masculins.

C’est plus efficace de forcer les femmes à s’exhiber devant leurs communautés, elles paradent nues devant des hommes qui peuvent être leurs époux, cousins, voisins, employés, frères etc.

Obligation de travailler à poil en prison.
Une prisonnière nue lave et nettoie le sol.


Les prisonnières doivent apprendre l’humilité, en étant nues et pieds nus. Elles doivent s'exhiber devant leur proches.

Les femmes sont utilisées comme moyen de pression sur les hommes, qui prennent vite peur, car ils savent que si  une femme de leur entourage est capturée, et bien elle sera exposée comme un trophée par les américains.

Les femmes lors des défilés doivent se présenter, dire leurs noms, prénoms, ville, confession religieuse, profession tout en montrant leurs corps aux hommes irakiens.

Les hommes doivent bien comprendre que si leurs femmes, sœurs ou filles sont arrêtées, elles subiront le même sort.

Travaux forcés et corvées: Chaque femme doit à tour de rôle servir les repas des autres prisonnières et prisonniers, c'est une habitude qu'on pris les gardes pour obliger les femmes à perdre leur pudeur.

Les femmes doivent aussi effectuer diverses taches et corvées comme nettoyer le sol, laver les murs, balayer, récurer. Tout doit briller et être propre.

Les gardiens obligent les prisonniers et prisonnières à marcher pieds nus et si leurs pieds sont sales les autres détenues doivent les lécher.

Les fouilles : les femmes sont soumises à plusieurs inspections des cavités par jours pour vérifier qu'elles ne dissimulent rien et surtout apprendre l'humilité. Elles doivent régulièrement faire une sorte de chorégraphie ou elles exposent leurs cheveux, doivent ouvrir la bouche, , soulever, leurs seins, écarter les fesses pour montrer l'anus, ouvrir les lèvres de leurs chattes, secouer les orteils.

L'homosexualité et la masturbation : Les prisonnières sont régulièrement forcées d'avoir des relations lesbiennes et de se toucher la chatte jusque à la jouissance.

Les gardiennes utilisent les femmes pour les soulager sexuellement.

Sport et épuisement : Courir, sauter, sautiller, faire des squats et des flexions  jusque à l'épuisement, sous les rires et moqueries des surveillants qui regardent leurs seins et fesses bouger dans tous les sens.

Autocritique et conditionnement mental : Les détenues doivent critiquer leurs cultures d'origine et rejeter le port de vêtements et de chaussures.

Photos et vidéos :les photos des prisonnière nues dans des positions obscènes sont placardées partout dans la prison.


Liens :

 

L'humiliation comme mode de gestion de la prison.

16 commentaires:

  1. Ce qui me surprend un peu et que j'ai lu dans d'autres commentaires, ce sont sur les femmes employées punies par leur chef qui les faisaient mettre toutes nues, leur donner une bonne fessée, là peut-être passe encore. Mais ensuite que le chef ou directeur du personnel regarde le sexe de ces femmes, qui en plus ne disaient rien pour conserver leur emploi, je suis septique. Est-ce que cela a vraiment existé, ou est-ce un fantasme raconté et perpétué pendant des décennies ?
    Je me pose vraiment la question.
    Pietr

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  2. A l'époque, dans de nombreux commerces et entreprises une femme qui avait commis une erreur avait intérêt à accepter de se mettre nue et entendre toute sorte d'injures et de remarques déplacées comme sur les lèvres de son sexe plustôt que de se faire virer sur le champ. Le patron avait tout pouvoir, l'employée n'était jamais crue. Commenter l'aspect du sexe était une humiliation pour considérer la femme sous son seul aspect de reproductrice.
    JC

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    1. Et comment regardait-il les lèvres du sexe de la femme punie ?Elle était debout ou assise ?
      Pietr

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    2. Soit la femme avait le buste couché sur le bureau ou elle était debout cambrée les mains sur les genoux, donc le sexe était à portée des yeux.
      JC

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    3. Et si une femme mariée était punie, le patron adoptait ce genre de punition ?
      Pietr

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    4. Comment une femme mariée pouvait accepter de se mettre nue devant son employeur ?En plus qu'il lui voyait son sexe ?Je me demande quand même si cela c'est vraiment fait ou s'il y a exagération de ceux qui pourraient l'avoir vécu.
      Pietr

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    5. A cette époque là, c'était normal que les femmes fautives se mettent toutes nues devant leur chef ou directeur. Personne ne trouvait rien à redire. Il voyait aussi le sexe de toutes ces femmes punies dans le bureau, et quelquefois, la femme était tripotée vu dans la position qu'elle était. Il y en a qui ont bien connu cela,et même vu. Je ne suis pas septique vu que je sais que cela a existé.
      Milky 2

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  3. C'était une autre époque. Le pouvoir des classes supérieures s'exercent sue les classes inférieures. Et les plus vulnérables était les femmes en situation précaires y compris mariée. Le plus souvent n'avouant pas ce qu'elles avaient subit par honte. Quoique certains maris n'auraient pas hésiter à redonner une rouste à leurs épouses pour avoir deshonoré la famille.
    Je suis certaine que cela existe encore dans certains pays sur la planète.

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    1. J'imagine même que chez le gynéco à cette époque-là, ça devait être pareil. La femme devait être soumise, déjà les jambes écartées pieds dans les étriers, elle offrait sa chatte que le gynéco doigtait et peut-être plus.
      Milky 2

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  4. Pour ce qui est des gynecos c'est toujours le cas et c'est normal.
    Cela devrait être le cas dans les prisons, privations de vêtements et châtiments corporels filmés.


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    1. C'est un beau métier que celui de gynéco. Il voit des chattes à longueur de journée, en plus la femme est toute nue, il les doigte, leur malaxe les seins. Quelques uns peut-être décapuchonnent le clitoris. Je ne sais pas si certains fistent une femme en voyant la fente grande ouverte, et même s'il y en a qui pénètre une femme en position d'examen. Quoi de plus normal si cela se fait.
      Milky 2

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  5. Un chef d'entreprise devait bien se régaler à cette époque-là. Faire mettre la femme à poil même mariée dans son bureau, en plus qu'il regardait le vagin, pour se rendre compte si elle avait des rapports fréquents, peut-être même qu'il lui ouvrait la fente pour bien voir l'intérieur.La femme se laissait faire car elle voulait garder son emploi, même accepter de recevoir une bonne fessée, et qu'ensuite il conserve le slip de la femme qu'elle ne pouvait récupérer que le soir à la débauche, la laissant finir la journée fesses et chatte à l'air sous la jupe, il devait bien en profiter.
    Milky 2

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  6. Le droit de cuissage était normal, et cela il y a encore quelques dizaines d'année. Cela a perdure jusque récemment dans le cinéma et les métiers artistiques en général.
    Jusque dans les années 60 dans le textile secteur industriel que j'ai bien connu.
    Surtout vis à vis des jeunes femmes issues de milieu pauvres, et en particulier les filles mère.
    Convoquée au bureau ou coincée dans l'atelier après le départ des autres ouvrières..
    Spumise à la volonté sexuelle ou parfois sadique du chef d'atelier ou d'un membre de la direction..
    Dénudée, seins à l'air qu'elle devait se laisser palper. Puis troussee et déculottée.. fouillée, parfois fessée pour cause de cadences non respectée.

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  7. Il y a encore quelques années, jeune employée, mon patron me convoqué après le travail pour me faire sucer à genoux son sexe sale et odorant en disant qu'il sortait du sexe ou de l'anus de sa secrétaire, je devais obéir pour garder mon emploi

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    1. Et il ne te pénétrait pas après ?
      Milky 2

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