dimanche 25 mai 2025

Visite médicale étudiante sans pudeur

 

Lesbienne à la visite médicale
Toute nue pour la visite médicale

Toute nue à la visite médicale.

 

Amina, 19 ans, ajusta son hijab avec des doigts nerveux avant de franchir la porte de l’infirmerie universitaire. Cette visite médicale obligatoire sentait le traquenard, et son cœur tambourinait comme un djembe sous amphétamines. Sa pudeur, ancrée dans sa foi, la rendait allergique à l’idée de se dévoiler, mais l’administration ne lui laissait pas le choix. Dans la salle d’attente, les autres étudiantes échangeaient des regards de biche effarouchée, prêtes à affronter l’inconnu. Puis, la porte s’ouvrit avec un grincement dramatique, et elle apparut : le Dr. Valérie, une femme d’une quarantaine d’années, silhouette de panthère, lèvres peintes en rouge sang, un stéthoscope enroulé autour du cou comme un fouet de cuir.

« Mesdemoiselles, en rang, et que ça saute ! » aboya Valérie, sa voix claquant comme un coup de cravache. « Ici, c’est mon territoire, et on joue selon mes règles. Déshabillez-vous. Tout. Et j’ai dit tout – y compris ces chaussettes ridicules que certaines d’entre vous s’obstinent à garder ! Pieds nus, mes chéries, ou je vous fais danser autrement ! » Elle ponctua sa tirade d’un sourire carnassier, ses yeux scrutant la petite troupe.

Amina déglutit, ses joues en feu. « Tout ? Même… les chaussettes ? » bafouilla-t-elle, espérant grappiller un semblant de dignité. Valérie s’approcha, son parfum capiteux envahissant l’espace. « Oh, ma douce, tu veux jouer les rebelles ? » roucoula-t-elle, son regard perçant glissant sur Amina comme une caresse interdite. « Pas de chaussettes, pas de culotte, pas de pudeur. Entre femmes, c’est naturel, non ? Ou veux-tu que je te donne une petite leçon ? » Elle tapota sa paume avec un stylo, mimant une fessée avec un clin d’œil taquin.

Les autres filles, rouges comme des tomates, commencèrent à se dévêtir dans un silence lourd, ponctué de froissements de tissu. Une étudiante, oubliant l’ordre, garda ses chaussettes à motifs licornes. Valérie s’en aperçut et éclata d’un rire moqueur. « Oh, regardez-moi ces licornes ! Tu crois que t’es à un défilé de mode, ma mignonne ? Enlève-moi ça, ou je te fais parader avec une fessée en prime ! » La fille, mortifiée, s’exécuta sous les gloussements gentils mais gênants des autres.

Amina, paralysée, sentit son cœur s’emballer. Elle voulait protester, défendre sa pudeur, mais une part d’elle – une part qu’elle n’osait nommer – frémissait sous le regard dominateur de Valérie. Lentement, elle défit son hijab, ses vêtements, et enfin ses chaussettes, ses pieds nus touchant le carrelage froid. « Voilà, c’est mieux », susurra Valérie, posant une main ferme sur l’épaule d’Amina, son pouce effleurant la peau nue d’une manière qui la fit tressaillir. « Tu vois, ma belle, obéir, c’est libérateur. »

La visite tourna vite au spectacle burlesque. Valérie, telle une maîtresse de cérémonie sadique, ordonnait aux filles de défiler en rang pour la pesée, la mesure, et des palpations mammaires aussi précises qu’intrusives. « Allez, mes poupées, poitrine en avant, on montre ce qu’on a ! » lança-t-elle, riant doucement en voyant Amina rougir. Quand une fille tenta de cacher son corps, Valérie s’approcha, menaçante mais joueuse. « Pas de ça ici ! Cache-toi encore, et je te donne une fessée devant tout le monde. Tu veux essayer ? » La menace, à moitié sérieuse, fit glousser certaines filles, détendant l’atmosphère.

Pour Amina, chaque étape était un combat intérieur. Lors du contrôle gynécologique, Valérie s’attarda, son souffle chaud frôlant l’oreille d’Amina. « Détends-toi, ma rebelle. Résister, c’est mignon, mais au fond, tu aimes ça, non ? » Amina voulut protester, mais sa voix se brisa. Son corps, ce traître, répondait à l’autorité de Valérie, à ses moqueries gentilles, à ses gestes assurés. Une fessée légère, donnée pour « corriger » une posture trop crispée, la fit sursauter… et, à sa honte, frissonner de plaisir.

« En rang, mes beautés ! » ordonna Valérie à la fin, faisant parader les filles, nues comme des statues grecques, dans la pièce. « Regardez-vous, libres, sublimes, sans honte ! N’est-ce pas délicieux ? » Amina, au bord des larmes au début, sentit une étrange chaleur l’envahir. La honte s’effaçait, remplacée par une euphorie inattendue. Elle avait résisté, protesté, mais au fond, elle aimait cette soumission, ce lâcher-prise face à l’autorité déjantée de Valérie.

En remettant son hijab, Amina croisa le regard de la doctoresse. « Pas mal pour une première, ma petite rebelle », lança Valérie avec un sourire narquois. « Reviens quand tu veux jouer. » Amina, un sourire timide mais audacieux aux lèvres, murmura : « Peut-être bien… » La pudique étudiante d’hier avait disparu, laissant place à une femme qui, malgré les frissons du début, avait découvert une facette d’elle-même qu’elle n’aurait jamais osé explorer.

 

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Julie à la visite médicale. 

 

dimanche 18 mai 2025

Fouille nue d'une détenue pudique et soumise.


Humiliante fouille à nu
Fouille (strip search).

Fouille à nue (strip search) lors du processus d'accueil en prison.

Abou Ghraib, Irak, 2005.

 

 Noor, une Irakienne de 27 ans, était assise à l’arrière d’un Humvee, les mains entravées par des menottes en plastique, le regard baissé. Son hijab noir couvrait ses cheveux, et son abaya, légèrement poussiéreuse, témoignait de sa foi sunnite et de sa pudeur. Murmurant des versets du Coran, elle tentait de calmer son cœur affolé. Accusée à tort de complicité avec des insurgés sur une dénonciation malveillante, elle avait été arrêtée trois jours plus tôt. Aujourd’hui, elle entrait dans un centre de détention sous contrôle américain.

Le véhicule s’arrêta dans un nuage de poussière à l’arrière du complexe. Deux femmes en uniforme militaire attendaient près d’une entrée. La première, une blonde d’une trentaine d’années au chignon strict, portait des galons sur son uniforme. C’était la sergente Mitchell, dont l’autorité froide intimidait Noor. Réservée et timide, Noor évita son regard, mais ne put ignorer la prestance de cette femme, qui la troublait étrangement.

« Noor al-Hassani ? » demanda la sergente Mitchell, consultant une feuille.

Noor hocha la tête, puis murmura : « Oui… Madame. » Sa voix tremblait, et elle rougit, gênée par son propre malaise.

« Nous sommes ici pour vous prendre en charge officiellement. Placez vos mains contre le véhicule. »

Noor obéit, posant ses mains contre la carrosserie brûlante. La seconde gardienne, silencieuse, la fouilla rapidement, inspectant son hijab et ses vêtements. Noor, submergée de honte, garda les yeux rivés au sol. Les menottes en plastique furent remplacées par des menottes métalliques, froides contre ses poignets. Elle murmura une prière, implorant la force.

Les gardiennes l’escortèrent vers un bâtiment entouré de barbelés. Un panneau indiquait « Intake ». La sergente activa sa radio : « Une pour l’admission. » La porte métallique s’ouvrit dans un bourdonnement.

À l’intérieur, l’air était glacial. On la fit asseoir face à un bureau encombré de dossiers. La sergente s’installa et lut : « Noor al-Hassani, 27 ans, cheveux noirs, yeux marrons, poids approximatif : 55 kilos. Est-ce exact ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, intimidée par l’assurance de Mitchell. Une étrange fascination pour cette femme autoritaire naissait en elle, mêlée de crainte.

« Bien. Vous allez être conduite au traitement. Vous devrez retirer tous vos vêtements – vous serez toute nue, mais ne vous inquiétez pas, c’est entre femmes. Vous serez fouillée, recevrez votre uniforme, vos photos seront prises, et vous irez en cellule. Comprenez-vous ? »

Noor hocha la tête, mais la sergente la reprit : « Réponse verbale. Appelez-moi Madame. »

« Oui, Madame », murmura Noor, les joues brûlantes. L’idée de se dévêtir la terrifiait, mais la précision « entre femmes » l’apaisa à peine.

Les gardiennes la firent lever et l’escortèrent dans un couloir gris jusqu’à une porte marquée « Processing ». La sergente activa sa radio : « Une pour le traitement. » La porte s’ouvrit, révélant une pièce austère avec une table métallique, une chaise, et un coin pour les photos. Une troisième gardienne, à la table, tenait un bac en plastique. Noor sentit son estomac se nouer.

« Nous allons retirer vos menottes », annonça la sergente. « Tenez-vous droite, mains le long du corps, face à la gardienne à la table. Suivez ses instructions, ou votre désobéissance sera signalée. Comprenez-vous ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, la gorge serrée.

Les menottes ôtées, Noor se tint droite, tremblante. La sergente et l’autre gardienne reculèrent près de la porte. La gardienne à la table ouvrit un sac en plastique : « Retirez vos boucles d’oreilles. »

Noor n’en portait pas. « Je n’en ai pas, Madame », dit-elle doucement.

La gardienne nota quelque chose. « Retirez vos chaussures et chaussettes. »

Noor défit ses sandales usées et ses chaussettes blanches, posant ses pieds nus sur le sol glacé. La gardienne inspecta les chaussures, les chaussettes, et ordonna : « Levez chaque pied, montrez-moi la plante. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne commentait : « Vous êtes bien sensible, hein ? On dirait que vous n’avez jamais marché pieds nus. »

Noor rougit, baissant les yeux. « Maintenant, retirez votre hijab. »

Noor défit les épingles, pliant le foulard avec soin avant de le tendre. Ses cheveux noirs tombèrent sur ses épaules. « Regardez-moi ça, on dirait une nonne qui se cache », ricana la gardienne, jetant le hijab dans le bac. Noor sentit les larmes monter.

« Votre abaya. »

Noor défit les boutons, laissant l’abaya glisser à ses pieds. Elle la tendit, restant en tunique et pantalon noirs. La pièce était si froide qu’elle frissonna, croisant les bras. « Bras le long du corps », ordonna la gardienne. « Pas la peine de jouer les pudiques ici. »

Noor obéit, rouge de honte. La tunique, puis le pantalon, furent retirés. En sous-vêtements, elle se sentit exposée. La gardienne lança : « Pas très épais, votre corps. On dirait une gamine qui se cache sous tous ces tissus. »

Noor, mortifiée, garda le silence. « Retirez votre soutien-gorge. »

Les larmes coulèrent alors qu’elle dégrafait son soutien-gorge, le tendant tout en couvrant sa poitrine. « Bras le long du corps », répéta la gardienne. « Arrêtez de faire la timide, ça ne sert à rien. » Noor obéit, exposant ses seins. La gardienne ricana : « Pas grand-chose à montrer, hein ? »

« Maintenant, la culotte. »

Noor, sanglotant, fit descendre sa culotte et la tendit, se tenant nue, pieds nus sur le sol froid, les mains le long du corps. « Regardez-moi cette pudeur ridicule », commenta la gardienne. « Vous croyez que votre Dieu vous regarde ici ? »

Noor ferma les yeux, récitant une sourate en silence. La gardienne dressa la liste : « Un hijab noir, une abaya noire, une tunique noire, un pantalon noir, un soutien-gorge blanc, une culotte blanche, une paire de sandales, une paire de chaussettes. Exact ? »

« Oui, Madame », murmura Noor.

« Signez ici. » Noor signa, tremblante. « Maintenant, la fouille corporelle. Éloignez-vous de la table, tenez-vous droite, bras le long du corps. »

Noor obéit, les larmes roulant sur ses joues. La gardienne prit une lampe torche, lui ordonnant de secouer ses cheveux, de tirer ses oreilles, d’ouvrir la bouche, de soulever sa langue. Puis, elle inspecta ses mains, ses aisselles, et ordonna : « Soulevez vos seins. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne lançait : « Rien à cacher là-dessous, visiblement. »

« Écartez les jambes. Écartez vos lèvres vaginales. » Noor, sanglotant, obéit, exposant son intimité. « Toujours aussi gênée ? Vous vous y ferez », railla la gardienne, inspectant avec sa lampe. « Tournez-vous, écartez vos fesses, accroupissez-vous, toussez. » Noor s’exécuta, chaque mouvement brisant un peu plus sa dignité. Enfin, elle leva chaque pied pour une nouvelle inspection. « Vos pieds sont trop propres pour une terroriste », ironisa la gardienne.

« Fouille terminée », annonça-t-elle. « Vous pouvez prendre une douche avant l’uniforme. Suivez-moi. »

Noor, toujours nue, fut conduite à une cabine de douche ouverte. L’eau froide la fit frissonner, mais elle se lava rapidement, sous le regard de la gardienne. Revenue dans la pièce, elle attendit, tremblante, pieds nus sur le sol glacé.

La gardienne revint avec une simple combinaison orange. « Voici votre uniforme. Pas de sous-vêtements, pas de voile. Les hijabs sont interdits. Enfilez ça, pieds nus. »

Noor, horrifiée, protesta faiblement : « Madame, s’il vous plaît… mon hijab, c’est ma foi. Je ne peux pas… »

La sergente Mitchell, qui avait observé en silence, s’avança. Sa voix était ferme, mais étrangement douce : « Noor, écoutez-moi. Ici, les règles sont strictes. Pas de hijab, pas de discussion. Vous devez vous conformer. Mais je veillerai sur vous, d’accord ? Faites ce qu’on vous dit, et ça ira. »

Noor, les larmes aux yeux, hocha la tête, vaincue. Elle enfila la combinaison, qui grattait sa peau nue. Sans sous-vêtements, elle se sentait encore plus exposée, et ses pieds nus sur le sol froid renforçaient sa vulnérabilité. Le numéro 47219 était cousu sur la poitrine.

« Mains derrière le dos », ordonna la sergente. Les menottes claquèrent. On la conduisit aux photos d’identification. Noor fixa l’objectif, puis tourna la tête pour les profils, son visage marqué par la honte et la résignation.

« C’est terminé », dit la sergente. « Vers votre cellule. »

 

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 Strip search. 

 

samedi 17 mai 2025

Prisonnière pudique sanctionnée.

Pas de pudeur en prison lors des fouilles
Fouettée et sanctionnée par les gardiens de prison.

 Fouettée et fessée en prison.

Par une journée étouffante de 2004, Amira 42 ans, arriva à la prison d'Abou Ghraib, le cœur lourd de honte et de peur. Détenue pour de vagues accusations de « risques pour la sécurité » à la suite d’une dénonciation mensongère d’un voisin, elle se tenait dans une pièce en béton sans fenêtre, entourée de cinq autres Irakiennes, toutes dans la vingtaine. Certaines arrêtées lors de rafles, d’autres trahies par des liens familiaux ou par pur hasard, elles partageaient la même indignité. Amira, élevée dans la pudeur et la préservation de sa dignité, tremblait à l’idée de se dévêtir.

Leurs vêtements civils, hijabs et effets personnels remplissaient une caisse qu’une soldate américaine avait déjà emportée. L’ordre aboyé résonnait dans l’esprit d’Amira : « Déshabillez-vous ! Tout, maintenant ! Pas de pudeur ici, détenues ! » Les gardiens – hommes et femmes soldats savourant leur autorité – lançaient des ordres d’une voix méprisante, indifférents aux sensibilités culturelles des femmes. Amira, paralysée par la honte, hésita, ses mains tremblantes agrippant son hijab. « Plus vite ! » cria une gardienne. Son retard, bien qu’involontaire, fut perçu comme une désobéissance.

La fouille à nu obligatoire et l’inspection des cavités corporelles, effectuées devant le groupe, constituaient la première étape pour briser les nouvelles détenues. La politique des soldats semblait conçue pour maximiser l’humiliation. Alors que des mains gantées exploraient son corps, y compris une inspection anale invasive, Amira sentit ses joues s’enflammer de honte. Les jeunes femmes pleuraient en silence, les yeux rivés au sol. Un soldat ricana : « Si tu n’aimes pas ça, tu n’avais qu’à obéir plus vite, terroriste ! »

Pour son hésitation à se déshabiller, Amira fut immédiatement punie. « Tu veux traîner ? » lança une gardienne. Au lieu de passer à l’étape suivante, elle fut forcée de poser nue pour ses photos d’admission, le flash de l’appareil gravant son humiliation. Puis, les gardiens la traînèrent dans une petite pièce à l’écart, où deux soldates lui administrèrent cinq coups de lanière en cuir sur le dos, chaque coup un rappel cinglant de son impuissance. La douleur était vive, mais c’était l’exposition – son corps dénudé devant des étrangères – qui la blessait le plus profondément.

La fouille fut suivie d’une pulvérisation de désinfectant et d’une douche froide en groupe, les femmes exposées sous les regards des soldats. Puis vint le rasage obligatoire du pubis, effectué avec des rasoirs émoussés par une soldate indifférente, ajoutant une nouvelle couche d’humiliation. Amira, comme les autres, sentit son intimité violée davantage, son corps exposé sans égard pour sa dignité. La perte de son hijab, qui couvrait ses cheveux, lui donna l’impression qu’on lui volait son identité. Elle serra ses bras contre sa poitrine, désespérée de se protéger.

Après la punition, Amira fut envoyée directement dans une cellule d’isolement pour une nuit – toujours sans vêtements – pour « apprendre à obéir rapidement »

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Traitement et procédures d'incarcération.

Les épreuves du bizutage sans pudeur.

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L'arrivée des femmes en prison.

 

Détenues nues et humiliées
Groupe de prisonnières nues et humiliées.

 Humiliation collective des nouvelles détenues.

Mars 2004Dans l’enceinte oppressante de la prison d’Abou Ghraib, sous commandement américain, quinze femmes avançaient en file, nues, pieds nus, leurs chaînes cliquetant à chaque pas hésitant. Âgées de 21 à 41 ans, elles étaient entravées, poignets liés derrière le dos, chevilles enserrées par des fers. Le protocole strict de la prison imposait une nudité totale, sans exception, même les culottes avaient été retirées lors de leur arrivée, une règle humiliante mais nécessaire et systématique. Parmi elles, Amira, une Irakienne de 22 ans, marchait, tête baissée, les joues trempées de larmes. Aucune accusation réelle ne pesait contre elle, juste une dénonciation anonyme, peut-être motivée par une vieille rancune. Comme ses codétenues, arrêtées pour des raisons floues – liens familiaux, erreurs, ou simple malchance –, elle subissait cette « promenade » nue, exposée aux regards.

Le couloir, glacial et métallique, semblait absorber leurs sanglots. Les gardiennes américaines, appliquant le protocole avec une froideur implacable, aboyaient des ordres "à poil", certaines raillant la nudité des détenues. Pour Amira, élevée dans une famille pieuse où la pudeur était sacrée, cette nudité forcée était une violation insupportable, une offense à sa foi et à sa dignité. Chaque pas, pieds nus sur le sol rugueux, renforçait sa honte. Elle tentait de se recroqueviller, de cacher son corps, mais les chaînes rendaient tout mouvement futile. À ses côtés, Noor, 28 ans, partageait son désarroi. Arrêtée à cause de son frère, suspecté sans preuves, elle pleurait.

Pourtant, toutes ne ressentaient pas la même détresse. Layla, 41 ans, arrêtée par erreur lors d’une rafle, avançait avec une résignation stoïque. Habituée aux dures réalités de la vie, elle acceptait cette nudité comme une épreuve de plus, un fardeau temporaire. De même, Sarah, 25 ans, semblait indifférente, son esprit déjà brisé par des mois de détention. Pour elles, la nudité, bien que dégradante, n’était qu’une formalité administrative, un protocole à endurer. Mais pour Amira et d’autres, chaque instant était un supplice, un affront à leurs croyances religieuses et à leur sens de la décence.

Le protocole de sécurité pour les détenues " de haute valeur" d’Abou Ghraib était clair : aucune exception, aucun vêtement, pas même un tissu pour couvrir leur intimité. Les gardiennes insistaient sur cette règle, criant que toute tentative de se couvrir entraînerait des punitions. Lors de leur arrivée, Amira avait tenté de garder sa culotte, un réflexe désespéré. Une soldate lui avait hurler dessus en lui arrachant la culotteriant : « Cul nu comme tout le monde, ou tu souffres. » Depuis, Amira n’osait plus résister. Elle avançait, les pieds nus, le corps exposé, redoutant que des photos prises à son insu ne soient un jour publiées, éternisant sa honte.

Les détenues étaient dirigées vers une salle d’enregistrement, toujours nues, toujours enchaînées. Les gardiennes, satisfaites de leur obéissance, continuaient leurs moqueries, certaines prenant plaisir à souligner la vulnérabilité des femmes. 

 

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Kahina en prison.

mercredi 14 mai 2025

Pas de pudeur à la visite médicale.

 

Nudité à la visite médicale étudiante.
Pas de pudeur faut tout montrer à la visite médicale.

Fille pudique devant le docteur à la visite médicale.

 

Paris, automne 2010. La salle d’attente du centre médical universitaire puait l’antiseptique et le désespoir administratif. Sur une chaise en plastique inconfortable, Fatima, 19 ans, triturait ses doigts, ses yeux sombres fixés sur le linoléum usé. Première année de licence en chimie, elle redoutait cette visite médicale obligatoire comme une condamnation. Pudique, élevée dans une famille où la modestie était sacrée, elle portait un hijab gris et une tenue couvrante. Mais ici, dans ce lieu glacial, elle se sentait déjà nue.

La porte s’ouvrit brusquement. Une infirmière, la quarantaine bien tassée, chignon brun impeccable, la scruta avec un sourire acéré. Son badge annonçait « Mme Lambert ». Sa blouse blanche semblait taillée pour intimider.

« Fatima ? » lança-t-elle, massacrant le nom avec un mépris théâtral. « Bougez-vous, on n’a pas l’éternité. »

Fatima se leva, le cœur cognant, et suivit Mme Lambert dans un couloir blafard. Les néons grésillaient, accentuant l’ambiance oppressante. Dans la salle d’examen, un homme en blouse, le Dr. Morel, trônait derrière un bureau. La cinquantaine, cheveux poivre et sel, lunettes cerclées d’acier, il exsudait une autorité glaciale.

« Asseyez-vous », grogna-t-il, désignant une chaise métallique. Fatima s’exécuta, ses mains crispées sur ses genoux.

Mme Lambert claqua la porte. « Bon, ma petite, pas de simagrées. Cette visite est obligatoire, alors on va faire vite. Vous allez obéir, point barre. On a un planning chargé. »

Fatima déglutit, ses joues s’enflammant. « Oui, madame… »

L’infirmière ricana, un sourcil levé. « Oh, regardez-moi cette demoiselle Pudeur. Détendez-vous, on ne va pas vous dévorer. Enfin… pas encore. » Le Dr. Morel esquissa un rictus sans quitter son clipboard.

« Déshabillez-vous », ordonna-t-il, sa voix tranchante comme un scalpel. « Tout. Le voile, la culotte, les chaussettes. Rien ne reste. Vous n’êtes pas dans une mosquée, ici. »

Fatima sentit son estomac chavirer. « Tout ? » murmura-t-elle, la gorge nouée.

Mme Lambert croisa les bras, l’air exaspéré. « Oui, tout. Vous voulez qu’on vous dessine un schéma ? Allez, on n’a pas que ça à faire. Vos petits complexes, on s’en fiche. »

Les mains tremblantes, Fatima se leva. Elle dénoua son hijab, révélant une cascade de cheveux noirs qu’elle tenta vainement de discipliner. Le tissu glissa sur la chaise. Puis elle ôta son pull, sa jupe longue, ses chaussettes, chaque geste arrachant un morceau de sa dignité. Quand elle arriva à son soutien-gorge, elle hésita, jetant un regard suppliant vers le docteur.

« On attend le messie, ou quoi ? » s’agaça Mme Lambert. « Le soutif, la culotte, hop, dehors ! Vous croyez qu’on va examiner votre âme ? »

Au bord des larmes, Fatima dégrafa son soutien-gorge, puis fit glisser sa culotte, ses pieds nus frôlant le sol froid. Elle se tenait là, totalement exposée, les bras croisés sur sa poitrine, frissonnant sous les néons impitoyables.

Mme Lambert claqua la langue. « Pas de ça, les bras ! Mains sur les côtés. Vous n’êtes pas en train de poser pour un tableau de la Renaissance. »

Le Dr. Morel releva enfin les yeux, son regard clinique balayant son corps. « Sur la table », ordonna-t-il.

Fatima grimpa sur la table d’examen, le papier crissant sous elle. Elle fixa le plafond, tentant de s’échapper mentalement. Mais Mme Lambert s’approcha avec un tensiomètre, serrant le brassard autour de son bras avec une vigueur sadique.

« Tension correcte », marmonna-t-elle. « Pas de quoi s’évanouir, hein, ma jolie ? On dirait une biche aux abois. C’est juste un check-up, pas un tribunal. »

Fatima serra les dents, ravalant sa colère. L’examen continua, chaque étape plus humiliante. Le Dr. Morel posa son stéthoscope glacé sur sa poitrine, ses doigts frôlant sa peau avec une précision mécanique. « Respirez », dit-il, avant d’ajouter, narquois : « Si vous en êtes capable, évidemment. »

L’examen gynécologique fut un calvaire. Fatima, les jambes écartées dans les étriers, ferma les yeux, les poings serrés. Le Dr. Morel procédait avec une froideur clinique, mais ses questions étaient acérées. « Vous êtes vierge, je présume ? » lança-t-il, son ton dégoulinant de paternalisme.

Fatima rougit violemment. « Oui… », murmura-t-elle.

Mme Lambert ricana. « Oh, quelle surprise. Une petite sainte, hein ? Pas de petits copains, pas de bêtises ? Vous savez que c’est important de nous dire la vérité, n’est-ce pas ? On n’est pas idiots. »

« Je dis la vérité », protesta Fatima, la voix tremblante.

Le docteur haussa un sourcil. « On va vérifier ça. » Il effectua un test sommaire, son silence pesant. « Hm. Apparemment, vous ne mentez pas. Félicitations, vous passez le contrôle qualité. »

Fatima bouillonnait, mais sa timidité la clouait dans une soumission muette. Quand l’examen fut fini, elle s’attendait à se rhabiller, mais Mme Lambert l’arrêta d’un geste. « Pas si vite. On n’a pas fini de discuter. Restez comme vous êtes. »

Étrangement, quelque chose changea en Fatima. L’humiliation, l’exposition, tout cela commençait à perdre de son poids. Elle était nue, oui, mais elle était toujours là, intacte. Elle redressa les épaules, un éclat de défi dans les yeux.

« Quoi, vous voulez me garder en vitrine ? » lâcha-t-elle, un sourire timide aux lèvres.

Mme Lambert éclata de rire, surprise. « Tiens, elle parle, la statue ! Pas mal, pour une novice. »

Le Dr. Morel, amusé, reposa son stylo. « Vous savez, mademoiselle, la pudeur, c’est surfait. Vous survivez à ça, vous survivez à tout. »

Fatima, toujours nue sur la table, haussa les épaules, un rire nerveux lui échappant. « Ouais, c’est ça. La prochaine fois, je viendrai direct en tenue d’Ève, ça vous fera gagner du temps. »

Mme Lambert gloussa. « Ça, c’est l’esprit ! Allez, avouez, vous commencez à aimer jouer les rebelles. »

Fatima descendit de la table, ses pieds nus claquant sur le sol. « Rebelle ? Moi ? Non, je suis juste une pauvre étudiante torturée par des sadiques en blouse. » Elle ponctua sa phrase d’un clin d’œil, arrachant un sourire au docteur.

« Sadiques, rien que ça ? » rétorqua Mme Lambert, feignant l’offense. « Vous devriez nous remercier. On vous endurcit pour la vraie vie. »

Fatima attrapa son hijab, mais ne le remit pas tout de suite. Elle se sentait étrangement à l’aise, comme si cette épreuve l’avait libérée d’un poids. « Ouais, merci pour la thérapie gratuite. »

Le Dr. Morel secoua la tête, amusé. « Filez, insolente. Et n’oubliez pas : la santé avant tout. »

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Histoire de visite médicale lesbienne.

 

mardi 13 mai 2025

Les femmes humiliées lors des fouilles.

Strip search, humiliation collective.
Fouille collective nue très humiliante en prison.


 Femmes humiliées lors d'une rafle de l'armée.

 

Prison dAbou Ghraib en 2004.

 

 La nuit vibrait encore de l’attaque au mortier dans Al-Mansour. Les blindés américains avaient envahi le quartier, et les rafles avaient rempli un camion de quinze femmes, âgées de 19 à 35 ans, arrachées à leurs foyers sans accusation. Amina, 24 ans, institutrice, tremblait à côté de Layla, 19 ans, étudiante pieuse, de Fatima, 32 ans, mère de famille, et de Noor, 28 ans, vendeuse au tempérament rebelle. Sunnites, chiites, chrétiennes, kurdes – leur diversité importait peu. Elles étaient des corps à soumettre, des esprits à briser, dans une détention administrative sans procès.

Le convoi s’arrêta à Abou Ghraib, la prison de l’horreur. Sous des projecteurs aveuglants, les femmes furent poussées dans une cour de béton, leurs pieds nus écorchés par le sol rugueux. « Déshabillez-vous ! » hurla un soldat, secondé par un interprète irakien, la voix tremblante de honte. Les femmes se figèrent. Amina, élevée dans la pudeur, sentit ses jambes flancher. Layla, en pleurs, serra son hijab contre elle. Fatima murmura une prière, ses mains crispées sur sa robe. Noor, plus dure, lança un regard de défi, mais ses doigts hésitaient.

Les gardes, tous hommes, ne patientèrent pas. Ils s’avancèrent, arrachant foulards, abayas, tuniques. Amina tenta de retenir sa culotte, un réflexe désespéré pour préserver un semblant de dignité. Un soldat la gifla, tirant le tissu si fort qu’il se déchira. Layla, en sanglots, s’accrocha à son soutien-gorge ; un garde le coupa avec un couteau, riant de ses cris. Fatima, paralysée, oublia ses chaussettes dans la panique ; un soldat les arracha, moquant ses « pieds sales ». Noor, déterminée à ne pas supplier, enleva tout sauf sa culotte, qu’un garde fit glisser lentement, savourant son humiliation. Une femme, chrétienne, tenta de cacher ses seins ; un coup dans le dos la força à se redresser. Les vêtements, symboles de leur identité, furent jetés dans un brasier, leurs odeurs de tissu brûlé emplissant l’air.

Nues, exposées, les femmes furent alignées pour une fouille humiliante. Des gardiennes américaines, visages durs, prirent le relais, traitant les prisonnières comme du bétail. Amina sentit des doigts gantés fouiller ses cheveux, arrachant des mèches. Une gardienne lui ouvrit la bouche, inspectant ses dents, sa langue, comme si elle cherchait des armes dans sa gorge. Ses oreilles furent sondées, son nombril scruté. Puis vint le pire : on lui ordonna d’écarter les jambes. Une gardienne, sans un mot, inspecta son vagin et son anus avec une lampe et des doigts intrusifs, ignorant ses tremblements. Entre ses fesses, la fouille était brutale, déshumanisante. Layla, à côté, sanglotait, incapable de supporter l’intrusion. Fatima, stoïque, serrait les dents, mais ses yeux trahissaient sa douleur. Noor jura à voix basse, ce qui lui valut un coup. Les gardiennes passèrent aux pieds, écartant les orteils d’Amina, grattant sous ses plantes comme si la saleté était une preuve de culpabilité. Chaque femme subit ce rituel, certaines hurlant, d’autres se murant dans le silence.

Le processus se poursuivit, méthodique, implacable. Les femmes, encore nues, furent conduites à une table pour les mugshots. Une à une, elles durent fixer un appareil photo, les flashs brûlant leurs yeux. Amina, les joues inondées de larmes, entendit le clic de l’appareil immortaliser sa nudité. Layla tenta de baisser la tête ; un garde lui releva le menton de force. Les photos, elles le savaient, seraient diffusées, leur honte rendue publique.

Ensuite, une douche collective. L’eau, froide et puante, jaillissait de tuyaux rouillés. Les gardiennes hurlaient : « Lavez-vous, sales bêtes ! » Amina frotta son corps, essayant de se concentrer sur l’eau, mais les regards des gardes masculins, postés à l’entrée, la transperçaient. Fatima⁓Fatima, épuisée, s’appuya contre le mur, son corps tremblant. Noor, plus résistante, se savonna avec défi, mais même elle ne pouvait ignorer les rires. Layla, paralysée par la honte, se recroquevilla, à peine capable de bouger.

Puis vint l’épouillage. Une gardienne aspergea les femmes d’un produit chimique âcre, brûlant leur peau. Amina toussa, les yeux piquants. Layla, fragile, s’étouffa, tandis que Fatima murmura des prières pour ses enfants. Noor, malgré tout, lança un regard noir à la gardienne, qui répondit par un sourire cruel.

Chaque femme reçut un bracelet en plastique, gravé d’un numéro. Amina était désormais « 472 ». Plus un nom, juste un chiffre. Les formalités administratives suivirent : des formulaires en anglais, incompréhensibles, signés sous la menace. Amina apposa son empreinte digitale, les mains tremblantes. Layla pleurait doucement, Fatima fixait le vide, Noor serrait les poings.

Enfin, le cortège final. Enchaînées, les coudes tirés en arrière par des menottes, les quinze femmes paradèrent, nues et pieds nus, vers les cellules. Les couloirs gris d’Abou Ghraib résonnaient des insultes des gardes : « Avancez, chiennes ! ».

 

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Interrogatoire renforcé. 

lundi 12 mai 2025

L'humiliation et le dressage d'une nouvelle en pensionnat.

Humiliation hard en pensionnat de jeunes filles
Dressage sans pitié.

Élitisme et dressage en grande école.


Sainte-Clothilde, un pensionnat isolé dans les Alpes françaises, était un bastion de l’élite bourgeoise, où les filles de familles blanches et fortunées, héritières d’un conservatisme hautain, étaient formées à régner. Derrière les murs ornés de dorures, un système sadique prospérait : les nouvelles venues, surtout celles jugées « inférieures » par leur classe ou leur origine, étaient soumises à un rituel d’humiliations érotiques et cruelles. Les anciennes, dirigées par la cruelle Clémence, imposaient leur domination avec la complicité tacite de la direction, méprisant les « filles du peuple » et, plus encore, celles d’origine maghrébine ou africaine, même françaises de longue date.

Amira, 18 ans, boursière issue d’une famille modeste de Marseille, d’origine algérienne, venait d’arriver dans cet antre de privilèges. Elle rêvait d’ascension sociale, mais dès son premier jour, les regards des anciennes lui firent comprendre qu’elle n’était qu’une proie. Clémence, une brune au sourire venimeux, la toisa. « Une boursière », siffla-t-elle, le mot dégoulinant de mépris.

Le soir même, dans le dortoir éclairé par des chandelles, Clémence ordonna : « Déshabille-toi, lentement, sale petite Arabe. » Sous les rires des anciennes, Amira, tremblante, ôta sa robe, exposant sa peau mate. « Pas mal pour une moins-que-rien », railla une fille, tandis que Clémence lui pinçait les seins, arrachant un sursaut. « Ici, tu rampes, ou tu souffres. »

Les jours devinrent un enfer d’humiliations. Amira n’avait droit qu’à une tunique transparente, si courte qu’elle révélait ses cuisses, et devait marcher pieds nus sur le marbre glacé. Les corvées étaient son fardeau : elle servait les anciennes à table, ramassant leurs insultes – « Dépêche-toi, chienne ! » – tout en recevant des pincements sur les fesses ou les seins. Les douches étaient un calvaire : nue sous un jet d’eau froide, elle devait se savonner pendant que les anciennes la fixaient, certaines glissant des doigts sur son corps, l’une s’attardant sur son entrejambe, la forçant à se mordre les lèvres pour ne pas gémir.

Les fessées étaient quotidiennes. Pour une assiette mal lavée ou un regard jugé insolent, Amira était traînée dans une salle aux murs de pierre. « À quatre pattes, salope », ordonnait Clémence, un fouet en cuir à la main. Les coups claquaient sur ses fesses, chaque claque résonnant sous les rires. Parfois, après, une ancienne la forçait à rester dans cette position, lui pinçant les seins ou glissant un doigt entre ses lèvres intimes, riant de ses frissons. « Tu aimes ça, hein, pute du peuple ? »

Les « séances d’autocritique » étaient particulièrement humiliantes. Amira, nue, devait s’agenouiller devant les anciennes et réciter ses « fautes » : « Je suis une boursière indigne, une Arabe qui ne mérite pas d’être ici. » Chaque phrase jugée insuffisante valait une claque ou un pincement. Une fois, Clémence lui ordonna de se masturber devant elles, sous leurs regards moqueurs. « Montre-nous à quoi servent les filles comme toi », ricana-t-elle. Amira, rouge de honte, obéit, ses larmes coulées sous leurs insultes.

Les défis étaient incessants. Une nuit, on la força à ramper à travers le dortoir, un collier de cuir autour du cou, tirée par une laisse. Les anciennes jetaient des miettes sur son passage, criant : « Mange, chienne ! » Une autre fois, par une pluie battante, elles la firent marcher nue dans la cour, à quatre pattes, la boue collant à sa peau, tandis qu’elles riaient depuis les fenêtres. « Regardez la sauvage, elle est dans son élément ! »

Les « soirées de soumission », dans une crypte aux torches vacillantes, étaient le summum de la perversion. Amira, « l’exotique », était attachée par des rubans de soie, forcée de danser nue sur des musiques lancinantes. « Écarte les jambes, sale pute », ordonnait une ancienne, tandis qu’une autre lui pinçait les seins ou glissait un plumeau sur son corps, s’attardant sur ses zones sensibles. Un soir, Clémence lui banda les yeux et l’attacha à une chaise, laissant les anciennes, une à une, effleurer sa peau, pincer ses mamelons, ou caresser son entrejambe, murmurant des obscénités. « Devine qui te touche, petite traînée. »

Un autre défi la marqua profondément. On lui ordonna de ramper sous une table où les anciennes dînaient, nue, pour « divertir » leurs pieds. Elles la forçaient à lécher leurs chaussures ou à rester immobile pendant qu’elles pressaient leurs talons sur son dos, riant de sa soumission. Une ancienne, plus audacieuse, glissa un orteil entre ses cuisses, la faisant tressaillir sous leurs moqueries.

 

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Dressage des nouvelles. 

dimanche 11 mai 2025

La soirée chaude du bizutage ( ou d'intégration).

Bars et bizutage
Filles dansent nues et pieds nus au bizutage étudiant


 Bars étudiant durant le bizutage.

 

Les soirées d’intégration estudiantines sont des rituels légendaires, où l’alcool coule à flots dans les bars du centre-ville, et où les bizutages flirtent avec l’excès, mêlant traditions ancestrales et débordements charnels. Les mœurs sont plus libres, mais les hiérarchies estudiantines restent impitoyables, surtout pour les nouvelles, ciblées pour leur timidité ou leur air "coincé".

Le bar L’Antre du Vice, un bouge enfumé du centre-ville, est bondé ce vendredi soir. Les néons rouges clignotent, la bière bon marché inonde les tables, et une foule d’étudiants enfiévrés hurle des chansons paillardes. C’est la soirée d’intégration de la fac de droit, et le bizutage bat son plein. Les anciens, autoproclamés maîtres du chaos, ont orchestré un spectacle aussi cruel que lubrique, où les premières années, surtout les filles, sont les proies désignées.

Jessica, 19 ans, frêle brunette aux joues rosies par la honte, n’a jamais aimé les foules. Pudique, réservée, elle a grandi dans une petite ville où les regards indiscrets la mettaient déjà mal à l’aise. Ce soir, elle regrette d’avoir mis sa jupe plissée et son chemisier sage : ils font d’elle une cible parfaite pour les anciens, qui adorent briser les "saintes-nitouches". À ses côtés, d’autres bizutes tremblent, notamment Sophie, une blonde menue qui serre les pans de son cardigan comme un bouclier, et Clara, une étudiante en histoire au visage fermé, qui marmonne des supplications pour garder sa culotte en coton blanc.

Dans l’amphithéâtre, plus tôt dans la soirée, l’ambiance était déjà électrique. Les anciennes, vêtues de cuir et de rictus moqueurs, ont traîné Jessica, Sophie, Clara et trois autres bizutes sur l’estrade. "À poil, les coincées !" rugit la foule, un chœur de voix avinées. Les ordres claquent comme des fouets : "Enlevez tout, ou on le fera pour vous !" Jessica tremble, ses doigts maladroits s’emmêlent sur les boutons de son chemisier. Sophie, en larmes, s’accroche à sa culotte, bégayant : "S’il vous plaît… juste ça… laissez-moi la garder…" Une ancienne, une grande brune aux ongles vernis de rouge, éclate de rire et arrache le sous-vêtement d’un geste sec, le brandissant comme un trophée sous les hourras.

Clara, elle, croit s’en tirer en oubliant – ou feignant d’oublier – ses chaussettes rayées. "T’es sérieuse, la ringarde ?" aboie une ancienne, la forçant à les retirer sous les sifflets moqueurs. Une autre bizute, une rousse prénommée Manon, tente de négocier en gardant ses bas résille, arguant qu’ils "font partie du look". L’argument ne passe pas : une ancienne les déchire sauvagement, laissant des marques rouges sur ses cuisses. Pas d’échappatoire. La pudeur est un crime ici, et les plus timides sont punies avec zèle.

Nues sous les sifflets, les bizutes doivent exhiber leurs corps. Jessica tente de cacher ses seins, mais une ancienne lui écarte les bras d’un geste brusque. "Montre tout, poupée ! Ouvre grand, qu’on voie la marchandise !" Sophie, effondrée, sanglote en écartant ses cuisses, tandis que Clara, mâchoire serrée, obéit en fixant le sol. La foule exulte, certains filment avec des caméscopes VHS, vestiges d’une époque où l’intimité n’avait pas de prix. Manon, elle, bombe le torse avec un sourire crispé, espérant désamorcer l’humiliation par une fausse assurance.

Après l’amphi, les anciennes organisent une "parade des délices", une tradition perverse où les bizutes, toujours nues, doivent défiler dans les couloirs de la fac, puis à travers le campus. Les rires et les quolibets pleuvent, des mains baladeuses frôlent leurs corps. Jessica, pieds nus sur l’asphalte froid, sent son cœur cogner. Sophie trébuche, ses chaussettes oubliées désormais un lointain souvenir, tandis que Clara murmure des jurons, maudissant chaque pas.

Le clou de la soirée, c’est le bar. L’Antre du Vice est le théâtre final de ce rituel dépravé. Les bizutes, toujours dévêtues, sont poussées à l’intérieur sous les hourras des clients, un mélange d’étudiants, de profs libidineux et de piliers de comptoir. La musique, un tube de synthpop des années 80, pulse dans l’air saturé de sueur et de désir. Jessica est hissée sur une table poisseuse, Sophie et Clara sur le comptoir, où elles doivent improviser des danses lascives.

Manon, la rousse, prend les devants. Elle grimpe sur le bar, ses hanches ondulant au rythme de la musique, ses mains glissant sur ses courbes avec une sensualité forcée mais convaincante. La foule hurle d’approbation, lançant des billets froissés. Sophie, maladroite, tente de l’imiter, ses mouvements saccadés trahissant sa panique. Une ancienne lui glisse un shot de vodka, qu’elle avale en grimaçant, et bientôt, elle se laisse aller, ses seins tressautant sous les flashs des appareils photo. Clara, elle, reste raide, ses déhanchés mécaniques arrachant des rires moqueurs. "Bouge ton cul, la nonne !" crie un client, jetant une poignée de pièces à ses pieds.

Soudain, les anciennes annoncent le clou du spectacle : un "concours de Miss Bizute". Chaque fille doit défiler sur le comptoir, nue, et exécuter une performance pour séduire la foule. Les critères ? "Charme, culot et chaleur !" ricane une ancienne, un mégaphone à la main. Manon ouvre le bal, jouant la carte de la provocatrice : elle s’agenouille, cambre le dos et lance des baisers, provoquant une ovation. Sophie, poussée par l’alcool, tente une danse plus audacieuse, se caressant les hanches sous les sifflets. Clara, toujours rétive, se contente d’un tour rapide, les bras croisés, ce qui lui vaut des huées et une pluie de serviettes en papier.

Jessica, dernière à passer, est paralysée. "Danse, ma jolie ! Montre-leur ce que t’as !" crie une ancienne, un verre de gin à la main. Elle monte sur le comptoir, les jambes flageolantes, et tente un déhanché timide. La foule, impatiente, scande : "Plus chaud ! Plus chaud !" Une ancienne lui tend un autre shot, qu’elle boit d’un trait. L’alcool embrume son esprit, et, portée par la musique, elle se surprend à onduler, ses mains frôlant ses seins. Les hourras redoublent, et pour la première fois, elle sent une étrange montée d’adrénaline.

Le concours s’achève dans un délire collectif. Manon est couronnée "Miss Bizute", une écharpe en papier toilette autour du cou. Mais le véritable défi suit : les bizutes doivent "servir" les clients. Pas de plateaux ni de verres, non. Elles doivent se pencher, offrir leurs courbes aux mains des spectateurs, qui rient et s’enhardissent. Jessica, forcée de s’asseoir sur les genoux d’un étudiant éméché, sent ses doigts rugueux explorer son dos. Sophie, à moitié ivre, rit nerveusement en dansant pour un groupe de profs. Clara, elle, refuse de bouger, mais une ancienne la pousse vers un client, qui lui glisse un billet dans les cheveux.

Dans ce chaos, une énergie perverse flotte. Certaines bizutes, brisées puis libérées par l’adrénaline, commencent à jouer le jeu, défiant leurs bourreaux avec une insolence nouvelle. Manon, portée par sa victoire, improvise un strip-tease théâtral sur le comptoir, arrachant des rires et des applaudissements. Jessica, elle, reste en retrait, mais une ancienne remarque son regard. "T’inquiète, chérie, l’an prochain, c’est toi qui donneras les ordres."

 

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Bizutage hard et public. 

 

dimanche 4 mai 2025

Discipline et autorité en foyer pour jeunes filles.

 

Chatiment corporels et humiliations en foyer.
Fessée nue et pieds nus en pensionnat.

Stricte punition en pensionnat.


Dans un pensionnat pour jeunes femmes situé au cœur d’une région attachée aux traditions d’excellence et à l’ordre, la discipline est une valeur cardinale. Ce foyer accueille des jeunes filles de 18 à 26 ans, placées par décision de justice, par l’Aide Sociale à l’Enfance ou par leurs familles, souvent pour des troubles familiaux ou des comportements jugés déviants. L’objectif est clair : les remettre sur le chemin de la réussite par un cadre strict et des valeurs intransigeantes, où aucune entorse au règlement n’est tolérée.

Le règlement intérieur, d’une rigueur absolue, proscrit toute manifestation religieuse ostentatoire, imposant une laïcité inflexible. La pudeur, considérée comme un frein à l’esprit collectif, est également bannie : douches communes, inspections corporelles pour détecter drogues ou objets interdits, et visites médicales collectives sont la norme. Les châtiments corporels, héritage d’un passé autoritaire, restent en vigueur pour briser toute résistance et forger l’obéissance.

Aïcha, une jeune femme d’origine maghrébine, arrivée à la rentrée, défie ces règles. Musulmane pratiquante, elle persiste à porter son hijab et refuse de se plier aux exigences vestimentaires – jupes courtes et uniformes ajustés – ainsi qu’aux douches collectives, invoquant sa foi et sa pudeur. Malgré les avertissements répétés des surveillantes et une mise en garde formelle du directeur, Aïcha campe sur ses positions, défiant l’autorité du pensionnat.

Le directeur, un homme inflexible aux allures de tyran, décide qu’il est temps de mater cette rébellion. Aïcha est convoquée dans la salle de punition, une pièce austère aux murs nus, où l’humiliation est une arme aussi affûtée que la douleur. On lui ordonne de se déshabiller entièrement, de retirer chaque vêtement sous le regard glacial des surveillantes.

Nue, pieds nus sur le sol froid, Aïcha tremble, mais la véritable punition commence. La fessée, administrée à mains nues par une surveillante robuste, est méthodique, chaque claque résonnant dans la pièce. Les larmes coulent, mais ce n’est que le début. Pour briser son ego, on la force à rester exposée, immobile, face à un miroir, afin qu’elle contemple sa propre déchéance. « Regarde-toi, Aïcha. Voilà ce que devient une rebelle ici, toute nue, les fesses rouges », tonne le directeur.

La sanction ne s’arrête pas là. Le pensionnat pratique aussi le bastinado, un châtiment ancestral consistant à fouetter les plantes des pieds. Aïcha est allongée, ses chevilles attachées, et une canne fine s’abat sur ses voûtes plantaires. Chaque coup arrache un cri, la douleur irradiant jusqu’à ses os. Les surveillantes, impassibles, comptent les coups, tandis que le directeur rappelle que cette souffrance est le prix de son insubordination.

Pour parachever l’humiliation, Aïcha doit traverser le réfectoire, toujours nue, sous les regards des autres pensionnaires. Cette exhibition publique, conçue pour anéantir toute trace de fierté ou de pudeur, la laisse brisée, ses sanglots étouffés par la honte. « Que ceci serve de leçon à toutes ! » proclame le directeur, sa voix résonnant comme un verdict.

Dans ce pensionnat, l’ordre triomphe toujours. Aïcha, désormais silencieuse, a appris que la désobéissance n’a qu’un seul issue : la douleur et l’humiliation, jusqu’à ce que l’ego cède et que la soumission devienne la seule voie.

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Histoire de fessée.

samedi 3 mai 2025

Les bizutes à poil lors des soirées d'intégration.

pas de pudeur pendant le bizutage
Deux filles nues et pieds nus pendant le bizutage.

Le bizutage dans les bars

 

 

Dans la France des années 1980, les bars universitaires des villes étudiantes vibrent d’une énergie malsaine à la rentrée. Les néons clignotent, l’air est saturé de fumée et de sueur, et les rires résonnent comme des coups de fouet. C’est la saison du bizutage, un rituel cruel où les nouvelles étudiantes sont livrées à la tyrannie des anciens. Les patrons de bars se frottent les mains : la foule afflue, étudiants en quête de sensations fortes et curieux attirés par l’odeur de la dépravation. Les autorités locales et les directions des grandes écoles, complices silencieuses, laissent faire, drapant cette barbarie dans le voile de la tradition.

Ce soir, dans un bouge crasseux où la bière coule à flots, deux jeunes femmes se retrouvent piégées sous les regards voraces. Claire, une campagnarde élevée dans la rigidité d’un foyer catholique, et Amina, une musulmane discrète, habituée à la modestie imposée par sa culture, sont des proies idéales. Étudiantes en première année d’IUT de techniques de commercialisation, elles sont étrangères à l’ambiance décadente du lieu. Leur timidité, leur pudeur, sont des faiblesses que les anciens flairent comme des prédateurs.

Encadrées par un cercle d’anciens – garçons et filles aux sourires carnassiers –, elles sentent le poids de l’autorité perverse qui s’abat sur elles. « Déshabillez-vous. Maintenant. Tout. » L’ordre claque, implacable. Autour d’elles, une quinzaine d’autres nouvelles, déjà nues, frissonnent sous les spots brûlants. Certaines, brisées, fixent le vide ; d’autres, plus dociles, esquissent un sourire forcé. Quelques-unes osent protester, mais leurs cris sont étouffés par les huées de la foule. Les anciens, inflexibles, imposent leur loi avec une jubilation sadique. « Pas de chichi. Tout le monde à poil, sans exception. »

Claire, pétrifiée, agrippe sa jupe longue comme un bouclier. Amina, le visage fermé, murmure une prière inaudible, ses mains tremblantes serrant son foulard avant qu’on ne le lui arrache. La foule, impatiente, scande : « À poil ! À poil ! » Une ancienne, une blonde au regard glacial, s’avance et attrape Claire par le menton. « Tu crois que t’as le choix, petite sainte-nitouche ? Enlève tout, ou on le fait pour toi. » Amina, poussée par un garçon au rictus malsain, vacille mais obéit, ses doigts maladroits défaisant les boutons de son chemisier.

Chaque vêtement qui tombe est une capitulation. Soutiens-gorge, culottes, chaussettes – rien n’est épargné. Nues, exposées, elles tentent de se protéger, bras croisés, mains plaquées sur leur intimité. Mais les anciens ne tolèrent aucune résistance. « Redressez-vous ! » aboie un garçon, sa voix chargée de mépris. « Vous cachez rien. On veut tout voir. » Une ancienne, amusée, tire les bras d’Amina en arrière, exposant sa poitrine à la foule hilare. Claire, rouge de honte, est forcée de lever les mains, sous les sifflets et les flashs des appareils photo jetables.

Pour briser leur esprit, on les oblige à défiler, pieds nus sur le sol collant, à travers le bar bondé. « Avancez, montrez-vous ! » ordonne une voix, tandis qu’une main claque sur les fesses d’Amina, arrachant un sursaut. La foule, déchaînée, savoure leur humiliation. Les anciens, maîtres d’un jeu pervers, imposent des règles tordues : interdiction de se couvrir, obligation de sourire, de regarder les spectateurs dans les yeux. « Vous êtes à nous ce soir, » ricane un ancien, son souffle chargé d’alcool. « Et vous restez à poil jusqu’à l’aube. »

Dans ce bar, sous les lumières crues des années 80, Claire et Amina découvrent la brutalité d’un monde où la pudeur est une offense et l’obéissance, une sentence. Le bizutage, avec son parfum de tradition, n’est qu’un prétexte à une domination malsaine, un spectacle où la perversion se pare de rires et de cris, sous les applaudissements d’une foule complice.

 

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Humiliée en pensionnat.