dimanche 11 mai 2025

La soirée chaude du bizutage ( ou d'intégration).

Bars et bizutage
Filles dansent nues et pieds nus au bizutage étudiant


 Bars étudiant durant le bizutage.

 

Les soirées d’intégration estudiantines sont des rituels légendaires, où l’alcool coule à flots dans les bars du centre-ville, et où les bizutages flirtent avec l’excès, mêlant traditions ancestrales et débordements charnels. Les mœurs sont plus libres, mais les hiérarchies estudiantines restent impitoyables, surtout pour les nouvelles, ciblées pour leur timidité ou leur air "coincé".

Le bar L’Antre du Vice, un bouge enfumé du centre-ville, est bondé ce vendredi soir. Les néons rouges clignotent, la bière bon marché inonde les tables, et une foule d’étudiants enfiévrés hurle des chansons paillardes. C’est la soirée d’intégration de la fac de droit, et le bizutage bat son plein. Les anciens, autoproclamés maîtres du chaos, ont orchestré un spectacle aussi cruel que lubrique, où les premières années, surtout les filles, sont les proies désignées.

Jessica, 19 ans, frêle brunette aux joues rosies par la honte, n’a jamais aimé les foules. Pudique, réservée, elle a grandi dans une petite ville où les regards indiscrets la mettaient déjà mal à l’aise. Ce soir, elle regrette d’avoir mis sa jupe plissée et son chemisier sage : ils font d’elle une cible parfaite pour les anciens, qui adorent briser les "saintes-nitouches". À ses côtés, d’autres bizutes tremblent, notamment Sophie, une blonde menue qui serre les pans de son cardigan comme un bouclier, et Clara, une étudiante en histoire au visage fermé, qui marmonne des supplications pour garder sa culotte en coton blanc.

Dans l’amphithéâtre, plus tôt dans la soirée, l’ambiance était déjà électrique. Les anciennes, vêtues de cuir et de rictus moqueurs, ont traîné Jessica, Sophie, Clara et trois autres bizutes sur l’estrade. "À poil, les coincées !" rugit la foule, un chœur de voix avinées. Les ordres claquent comme des fouets : "Enlevez tout, ou on le fera pour vous !" Jessica tremble, ses doigts maladroits s’emmêlent sur les boutons de son chemisier. Sophie, en larmes, s’accroche à sa culotte, bégayant : "S’il vous plaît… juste ça… laissez-moi la garder…" Une ancienne, une grande brune aux ongles vernis de rouge, éclate de rire et arrache le sous-vêtement d’un geste sec, le brandissant comme un trophée sous les hourras.

Clara, elle, croit s’en tirer en oubliant – ou feignant d’oublier – ses chaussettes rayées. "T’es sérieuse, la ringarde ?" aboie une ancienne, la forçant à les retirer sous les sifflets moqueurs. Une autre bizute, une rousse prénommée Manon, tente de négocier en gardant ses bas résille, arguant qu’ils "font partie du look". L’argument ne passe pas : une ancienne les déchire sauvagement, laissant des marques rouges sur ses cuisses. Pas d’échappatoire. La pudeur est un crime ici, et les plus timides sont punies avec zèle.

Nues sous les sifflets, les bizutes doivent exhiber leurs corps. Jessica tente de cacher ses seins, mais une ancienne lui écarte les bras d’un geste brusque. "Montre tout, poupée ! Ouvre grand, qu’on voie la marchandise !" Sophie, effondrée, sanglote en écartant ses cuisses, tandis que Clara, mâchoire serrée, obéit en fixant le sol. La foule exulte, certains filment avec des caméscopes VHS, vestiges d’une époque où l’intimité n’avait pas de prix. Manon, elle, bombe le torse avec un sourire crispé, espérant désamorcer l’humiliation par une fausse assurance.

Après l’amphi, les anciennes organisent une "parade des délices", une tradition perverse où les bizutes, toujours nues, doivent défiler dans les couloirs de la fac, puis à travers le campus. Les rires et les quolibets pleuvent, des mains baladeuses frôlent leurs corps. Jessica, pieds nus sur l’asphalte froid, sent son cœur cogner. Sophie trébuche, ses chaussettes oubliées désormais un lointain souvenir, tandis que Clara murmure des jurons, maudissant chaque pas.

Le clou de la soirée, c’est le bar. L’Antre du Vice est le théâtre final de ce rituel dépravé. Les bizutes, toujours dévêtues, sont poussées à l’intérieur sous les hourras des clients, un mélange d’étudiants, de profs libidineux et de piliers de comptoir. La musique, un tube de synthpop des années 80, pulse dans l’air saturé de sueur et de désir. Jessica est hissée sur une table poisseuse, Sophie et Clara sur le comptoir, où elles doivent improviser des danses lascives.

Manon, la rousse, prend les devants. Elle grimpe sur le bar, ses hanches ondulant au rythme de la musique, ses mains glissant sur ses courbes avec une sensualité forcée mais convaincante. La foule hurle d’approbation, lançant des billets froissés. Sophie, maladroite, tente de l’imiter, ses mouvements saccadés trahissant sa panique. Une ancienne lui glisse un shot de vodka, qu’elle avale en grimaçant, et bientôt, elle se laisse aller, ses seins tressautant sous les flashs des appareils photo. Clara, elle, reste raide, ses déhanchés mécaniques arrachant des rires moqueurs. "Bouge ton cul, la nonne !" crie un client, jetant une poignée de pièces à ses pieds.

Soudain, les anciennes annoncent le clou du spectacle : un "concours de Miss Bizute". Chaque fille doit défiler sur le comptoir, nue, et exécuter une performance pour séduire la foule. Les critères ? "Charme, culot et chaleur !" ricane une ancienne, un mégaphone à la main. Manon ouvre le bal, jouant la carte de la provocatrice : elle s’agenouille, cambre le dos et lance des baisers, provoquant une ovation. Sophie, poussée par l’alcool, tente une danse plus audacieuse, se caressant les hanches sous les sifflets. Clara, toujours rétive, se contente d’un tour rapide, les bras croisés, ce qui lui vaut des huées et une pluie de serviettes en papier.

Jessica, dernière à passer, est paralysée. "Danse, ma jolie ! Montre-leur ce que t’as !" crie une ancienne, un verre de gin à la main. Elle monte sur le comptoir, les jambes flageolantes, et tente un déhanché timide. La foule, impatiente, scande : "Plus chaud ! Plus chaud !" Une ancienne lui tend un autre shot, qu’elle boit d’un trait. L’alcool embrume son esprit, et, portée par la musique, elle se surprend à onduler, ses mains frôlant ses seins. Les hourras redoublent, et pour la première fois, elle sent une étrange montée d’adrénaline.

Le concours s’achève dans un délire collectif. Manon est couronnée "Miss Bizute", une écharpe en papier toilette autour du cou. Mais le véritable défi suit : les bizutes doivent "servir" les clients. Pas de plateaux ni de verres, non. Elles doivent se pencher, offrir leurs courbes aux mains des spectateurs, qui rient et s’enhardissent. Jessica, forcée de s’asseoir sur les genoux d’un étudiant éméché, sent ses doigts rugueux explorer son dos. Sophie, à moitié ivre, rit nerveusement en dansant pour un groupe de profs. Clara, elle, refuse de bouger, mais une ancienne la pousse vers un client, qui lui glisse un billet dans les cheveux.

Dans ce chaos, une énergie perverse flotte. Certaines bizutes, brisées puis libérées par l’adrénaline, commencent à jouer le jeu, défiant leurs bourreaux avec une insolence nouvelle. Manon, portée par sa victoire, improvise un strip-tease théâtral sur le comptoir, arrachant des rires et des applaudissements. Jessica, elle, reste en retrait, mais une ancienne remarque son regard. "T’inquiète, chérie, l’an prochain, c’est toi qui donneras les ordres."

 

Lien :

 

Bizutage hard et public. 

 

13 commentaires:

  1. C'est la vraie consolation du bizutage, savoir que l'année prochaine, on sera à la place des bizuteurs..
    Que l'on va pouvoir choisir une nouvelle et l'avenir à notre guise, en espérant presque qu'elle se rebelle pour que ce soit encore us amusant..

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, pour la tradition se perpétue, les bizutes de l'année d'avant deviennent bizuteuses l'année d'après. Elles passent donc aussi la chatte au cirage des nouvelles bizutes, quand ce n'est pas des bizuteurs qui le font.
      Milky 2

      Supprimer
  2. Nelly Trouvez-vous ça bien de passer la chatte d'une nana ou d'une femme en reprise d'études au cirage ?A part le bleu de méthylène, auriez vous osé après lui avoir enlevé son slip, cirée la chatte de la nana ou de la femme, ou au dentifrice avec introduction de celui-ci dans son vagin ?
    Milky 2

    RépondreSupprimer
  3. Milky2. Je trouve que c'est équitable, pas de passe droit.
    Culotte retirée et confisquée, cuisses écartées et tenues fermement..
    Chatte exhibee et examinée par tout ceux qui le souhaite, puis tubé de cirage enfoncé dans le vagin et l'anus..
    Vous utilisiez du cirage liquide ?
    Nelly

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Quelquefois oui. C'était comme un tube de dentifrice, en appuyant dessus pour faire sortir le cirage. On faisait asseoir la nana sur une chaise, on lui ecartait les cuisses en grand, on lui ramenait les fesses au bord de la chaise, ce qui fait qu'elle était en position semi-couchée. Ensuite on lui ouvrait la fente et on appliquait l'embout du tube dans l'entrée de son vagin, ce qui fait qu'en appuyant sur le tube, le cirage entrait dans le vagin. On mettait un gant en caoutchouc et on la doigtait pour bien imprégner de cirage liquide tout son conduit vaginal jusqu'au col de l'utérus .Ensuite on lui en passait sur toute sa vulve, clitoris décapuchonné compris. Quand tout ça était fait, on la faisait lever de la chaise, on lui remettait son slip, non sans avoir au préalable badigeonné le fond à l'endroit de sa chatte, avec le cirage. Ce qui fait que son slip collait bien sur sa chatte, parce qu'on ne se gênait pas pour bien la toucher pour faire rentrer le slip dans la fente. Autrement c'était du cirage en boîte appliqué avec une brosse à dents. On frottait bien pour que ça irrite ses muqueuses, et que le cirage entre bien dans la peau. Il y avait aussi le dentifrice avec la mème méthode. Je sais, c'est un peu sadique mais bon, excitant quand on le faisait.
      Milky 2

      Supprimer
  4. J'imagine, les poils de chatte colles par le cirage..
    Excellente méthode
    Le cirage etait de suelle couleur? Noir? Marron? Blanc? Incolore?
    L'anus aussi passe au cirage?
    Nelly

    RépondreSupprimer
  5. Pour les blondes, on employait du cirage noir ou marron, et pour les brunes, du cirage blanc. Enfin, tout ça dépendait des stocks qu'on avait. Excellente méthode en effet, et je peux vous dire que la fille bizutée avait son vagin bien rempli et sa vulve bien badigeonnée. Pour ce qui était du cirage en boîte, on en mettait d'abord sur une brosse à dents, ensuite on frottait la vulve avec, et on rentrait un peu la brosse à dents dans le vagin pour frotter aussi un peu l'intérieur en faisant des allers et retours. Dans le dernier cas, on lui irritait bien les muqueuses à force de frotter. Son anus quant à lui était passé au cirage liquide. On employait les mêmes méthodes avec le dentifrice.Vagin et anus étaient passés au dentifrice, mais on en introduisait plus dans le vagin pour que la fille bizutée sente bien la brûlure dedans et l'irritation de la vulve. Pour les femmes en reprise d'études, c'était le même tarif. Surtout pour une jeune maman, on s'arrangeait pour bien lui irriter les muqueuses et brûler son vagin. Alors, excitée par mon récit, ou dégueu ?Moi je pense que vous auriez aimé bizuter une nana ou une femme en reprise d'études comme cela, je me trompe ?
    Milky 2

    RépondreSupprimer
  6. C'est certainement une expérience très troublante et excitante.
    Une femme mure à poil qui décide au milieu de jeunes étudiantes devant des jeunes étudiants moqueurs.
    Puis tenue exposée de façon humiliante, doigtée et passée au cirage. Comment ne pas aimer.
    Nelly

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est vrai que l'on aimait bizuter une femme en reprise d'études. Mais c'est surtout sur une jeune maman entre 25 et 30 ans que c'était le plus excitant. Quand on la déshabillait, qu'on lui enlevait sa culotte, qu'elle était toute nue, on aimait jouer avec les poils de sa chatte. On tirait dessus, on décapuchonnait son clitoris qu'on tordait un peu, puis on lui étirait les lèvres de son vagin, d'abord les grandes, puis les petites qu'on faisait dépasser les grandes pour qu'elle crie que ça lui fasse mal. Après on ouvrait la fente à fond et on faisait entrer le cirage liquide dans son vagin. On en mettait assez pour qu'il soit bien rempli. Ensuite c'était les lèvres de son vagin qui étaient passées au cirage, mais avec du cirage en boîte enduit sur une brosse à dents pour bien frotter ses lèvres. On frottait bien pour irriter ses muqueuses et malgré ses cris, on continuait à frotter pour bien faire entrer le cirage dans la peau.On lui frottait bien toute la vulve, même le clito pour tout noircir. C'était un moment d'excitation intense quand on lui frottait la vulve au cirage, déjà même avec le cirage liquide dans son vagin, c'était déjà bien. Mais on aimait mieux frotter sa vulve au cirage, car on lui irritait ses lèvres en même temps.
      Milky 2

      Supprimer
  7. Et vous seriez tombé sur moi, je n'aurai pas hésité à vous bizuter. Je vous aurai mise toute nue, bien sûr j'aurai enlevé votre culotte, et je vous aurai passé la chatte au cirage, rien à voir avec le bleu de méthylène. J'en aurai aussi introduit dans votre vagin ouvert avec le cirage liquide,que je vous aurai bien rempli. Ensuite, votre chatte, je vous l'aurai bien frotté jusqu'à temps de bien irriter vos muqueuses. Ça vous va ?
    Milky 2

    RépondreSupprimer
  8. Si c'est pour être acceptée et respectée ensuite par le groupe, ça me convient très bien.
    J'aurais eu honte toute nue, exposée, et à votre merci.
    J'aurais eu mal aussi pendant ce rituel sadique du cirage.
    Très belle initiation J'aurais été fière ensuite de l'avoir fait..
    Il y aurait certainement des âmes charitables parmis les étudiants pour m'aider à nettoyer ce cirage au plus profond de mon intimité
    Nelly

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Eh bien moi je vous aurai bien nettoyer la chatte jusqu'au fond de votre vagin pour bien enlever le cirage. Normal, après vous avoir fait ça d'avoir un minimum de conscience pour vous l'enlever. Et qui sait, peut-être que ça aurait donné lieu à autre chose...
      Milky 2

      Supprimer
  9. Pour nettoyer du cirage, il faut appliquer du bicarbonate de soude et un peu de vinaigre blanc ca mousse un peu et cela peut irriter kes muqueuses vaginale et la vulve, mais c'est le plus naturel.
    Sinon essence de térébenthine, mais gare aux effet secondaires.
    Nelly

    RépondreSupprimer