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Toute nue et sans pudeur lors de l'interrogatoire. |
Une respectable prisonnière découvre la nudité forcée.
Sabrina a été profondément traumatisée par son séjour de trois mois en confinement solitaire dans la prison d'Abou Ghraib. Ce lieu infernal, où les forces américaines imposaient une domination absolue sur les détenues irakiennes, l'avait brisée psychologiquement, la forçant à une soumission totale à travers des rituels d'humiliation constants.
Comme pour les autres femmes irakiennes détenues par les forces américaines en isolement dans le quartier spécial du complexe pénitentiaire, les fouilles qui se déroulent totalement nues sont très fréquentes. Avant et après chaque sortie, chaque visite, les gardes estiment que les femmes doivent être vraiment punies. Ils savourent ces inspections dégradantes, forçant les détenues à ouvrir leurs chattes et leurs anus devant les gardes hommes, sous des regards lubriques et moqueurs. "Écarte plus grand, salope, qu'on voie si tu caches quelque chose dans tes trous", ricanaient-ils souvent, transformant chaque fouille intime en un spectacle d'humiliation pure. Sabrina sentait son esprit se fissurer à chaque fois, son corps exposé comme un objet, sa dignité respectable piétinée sous le poids de cette dégradation féminine impitoyable.
Comme les autres, Sabrina doit quitter ses vêtements dès son arrivée : abaya, hijab, robe, sous-vêtements, chaussures, chaussettes et tous ses effets personnels ont été confisqués sans pitié. Pour montrer leur pouvoir et leur domination totale, les détenues musulmanes sont contraintes à une nudité forcée permanente devant les gardiens. Pas de voile pour cacher leur honte, pas de tissu pour préserver leur modestie – juste une vulnérabilité crue, exposée à chaque instant. Sabrina, autrefois une femme fière et respectable, se sentait régresser à un état de soumission animale, son corps nu tremblant sous les regards insistants, son esprit hurlant en silence contre cette perte de contrôle absolue.
Comme les autres, elle fait moins la fière à devoir répondre aux questions des militaires en étant à poil et exposée. Les interrogateurs, avec un sadisme calculé, l'obligent d'abord à se présenter devant eux toute nue, les mains sur la tête, les jambes écartées. "Répète après moi : je suis une prisonnière nue, soumise et dégradée", ordonnaient-ils, forçant Sabrina à articuler ces mots humiliants d'une voix brisée, tandis que des rires étouffés résonnaient dans la pièce froide. Chaque interrogation devenait une séance de soumission psychologique, où ses réponses haletantes étaient entrecoupées de larmes de honte, son intimité offerte comme un trophée de guerre. La nudité forcée n'était pas seulement physique ; elle rongeait son âme, la transformant en une ombre de femme, éternellement marquée par cette humiliation en prison.
Au fil des jours, Sabrina apprenait à anticiper les ordres, à baisser les yeux devant les gardes, à accepter sa dégradation comme une seconde peau. Mais le traumatisme persistait, un feu intérieur qui consumait sa résistance, la laissant à jamais prisonnière de ces souvenirs de domination militaire et de nudité imposée.
Lien :
Au bizutage aussi, on force les filles à se mettre toutes nues. Si elles ne le font pas, on le fait pour elles.
RépondreSupprimerMilky 2
Pour une femme enceinte de 2 ou 3 mois, elle doit aussi être mise à poil pour être interrogée. Même en présence de son mari.
RépondreSupprimerMilky 2