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Anus exposée pour humilier. |
Dans un pensionnat catholique.
Dans le centre de la France, dans un établissement catholique , la cruauté prospère et la perversion prospèrent sous couvert de défendre la foi et les traditions.
Pour les filles pensionnaires dans ces établissements, une hiérarchie impitoyable règne, où les faibles sont brisés pour le plaisir des forts.
Éloïse, une jeune femme de 20 ans, douce réservée, est la victime désignée. Dès son arrivée, elle est devenue la proie d’un trio de pensionnaires sadiques mené par Victoire, une jeune femme charismatique à la cruauté raffinée, secondée par Adèle, brutale et impulsive, et Margaux, sournoise et observatrice.
Les bonnes sœurs, dirigées par Sœur Gertrude, une femme au regard d’acier, ferment les yeux sur ces sévices, qu'elle trouve amusant. Le père Anselme, prêtre autoritaire et énigmatique, va plus loin : il voit dans ces humiliations une forme perverse de « purification » et y participe indirectement, renforçant l’emprise des bourreaux. Sous leur autorité, Éloïse endure un calvaire quotidien.
Chaque soir, dans les dortoirs du pensionnat, Victoire, Adèle et Margaux convoquent Éloïse pour leur rituel d’humiliation. La jeune femme, pieds nus sur le parquet glacé, sent son cœur s’accélérer dès que Victoire claque des doigts. L’ordre est toujours le même : se déshabiller entièrement, sans exception. Éloïse, pudique, tremble à l’idée de se retrouver nue, exposée aux rires et aux regards cruels. Mais la moindre hésitation est punie.
Au début, Éloïse tentait de résister, serrant sa culotte contre elle ou gardant ses chaussettes dans un réflexe de pudeur. Ces supplications déclenchaient une avalanche de moqueries et de violences.
Une fois, alors qu’elle pleurait, « S’il vous plaît, laissez-moi garder ma culotte, je vous en supplie… », Victoire s’était approchée, un sourire aux lèvres. « Oh, la petite sainte veut cacher ses fesses ? Trop tard, tout le monde va voir va les voir ! Enlève ça, !»
Adèle, impatiente, avait arraché le sous-vêtement d’un geste brusque, giflant Éloïse au passage. « Ferme-la et vire tout, ou je te tabasse ! » Margaux, plus subtile, ajoutait en ricanant : « Tu crois que ta culotte va te servir ?»
Les chaussettes, dernier rempart de dignité, étaient tout aussi intolérables pour le trio.
Une autre fois, Éloïse, en larmes, avait murmuré : « Juste mes chaussettes, s’il vous plaît… Le sol est froid… » Victoire avait éclaté de rire. « Des chaussettes ? À poil, ça veut dire tu vire tout, donc les pieds nus, et plus vite que ça !» Adèle l’avait forcée à retirer ses chaussettes en la bousculant, puis l’avait frappée sur les cuisses pour « lui apprendre à obéir ».
Face à ces supplications, les bonnes sœurs, lorsqu’elles assistaient à la scène encourageaient les anciennes à éduquer la nouvelle.
Désormais conditionnée, Éloïse obéit presque mécaniquement. Pieds nus, elle se déshabille sous les ricanements, ses mains tremblantes défaisant chaque bouton. Mais l’humiliation ne s’arrête pas là. Victoire l’oblige à ramper à quatre pattes, imitant un animal, tandis qu’Adèle claque ses seins ou pince ses fesses, riant de ses cris. Margaux, toujours en retrait, consigne chaque détail dans son carnet, qu’elle lit à voix haute lors des « réunions » du trio pour prolonger la honte d’Éloïse.
Les sévices d’Éloïse ne sont pas un secret. Les bonnes sœurs, menées par Sœur Gertrude, y voient une belle traditions pour endurcir les faibles. « Les faibles doivent porter leur croix », répète-t-elle lors des messes, jetant un regard appuyé sur Éloïse, qui baisse les yeux, rouge de honte.
Le père Anselme, figure charismatique du pensionnat, est encore plus troublant. Lors des confessions, il interroge Éloïse sur ses « faiblesses », insinuant que son sort est une punition pour son manque de force. « Soumets-toi, être soumise et lesbienne n'est pas un péché», murmure-t-il, un sourire ambigu aux lèvres. Parfois, il observe les humiliations depuis l’ombre, prétendant « superviser » pour maintenir l’ordre.
Chaque année, à Pâques, l'établissement organise une cérémonie dans la chapelle, réservée à un cercle restreint de pensionnaires, de sœurs et du père Anselme. Officiellement, c’est une célébration de la résurrection du Christ. En réalité, c’est un rituel cruel où la victime désignée – cette année, Éloïse – est humiliée publiquement sous le couvert de la foi.
La nuit de Pâques, Éloïse est conduite dans la chapelle, pieds nus sur la pierre glacée, ses pas résonnant dans le silence. Les vitraux projettent des ombres inquiétantes, et les autres pensionnaires, forcées d’assister, forment un cercle muet. Victoire, vêtue d’une robe blanche parodiant la pureté, déclare : « Éloïse doit expier ses péchés de lesbienne possédée » Le père Anselme, brandissant un crucifix, approuve d’un signe de tête.
Sous ses ordres, Éloïse est déshabillée. Lorsqu’elle tente, dans un sursaut de désespoir, de garder sa culotte, elle murmure : « Pitié, juste ça… » Victoire la coupe d’un rire cruel : « Tu oses ? Enlève tout, ou je te fais laver le sol avec ta langue ! » Adèle arrache le vêtement, ajoutant : « Pleure encore, et je te fais ramper jusqu’à l’aube ! »
Sœur Gertrude, présente, intervient : « Cesse cette rébellion, Éloïse. Tu aime trop être la chienne des anciennes et te promener à poil !. »
Pieds nus, Éloïse est forcée de s’agenouiller, tremblante, sur le sol froid. Les bonnes sœurs entonnent un chant latin, leurs voix graves couvrant ses sanglots. Victoire verse de l’eau glacée sur son corps, prétendant la « purifier ».
Adèle, un fouet d’orties à la main, inflige de légères brûlures sur ses épaules, sous les murmures approbateurs de Sœur Gertrude. Margaux encourage les autres filles à jeter des tomates et autres déchets pour lapider symboliquement satan incarné dans cette diablesse soumise.
Lien :
C'est un genre de bizutage qu'Eloïse subit. Ce qui aurait pu être bien, c'est que le père Anselme aurait pu lui passer sa chatte à la cire de bougie. Car les bonnes sœurs et les curés, prêtres sont de très bons vicieux pour bizuter les nouvelles.
RépondreSupprimerMilky 2
Le père Anselme c'est lui qui après la confession purifiait les fille en mettant son goupillon d'eau bénite dans le vagin, le rectum puis la bouche des filles ... lui aussi qui utilisait le martinet à la fois sur les pensionnaires mais aussi sur le cul des sœurs pénitentes
RépondreSupprimerNelly
Le père Anselme était donc chargée d'accueillir les nouvelles pour les passer au bizutage. Car c'est un peu ça en quelque sorte, non ?
SupprimerMilky 2
Dans ce pensionnat pas de bizutage, c'était humiliations tous les jours.
RépondreSupprimerInspections intimes châtiments corporels