mercredi 23 avril 2025

Incident nudité forcée en prison.

 

Nudité forcée en prison
Nue en cellule.

Femme nue dans sa cellule de prison.

Dans les entrailles de la prison militaire d’Abou Ghraib, Mounia, 32 ans, Irakienne, professeure de lycée respectée, gît nue, enchaînée, dans une cellule d’isolement. Cousine d’un ancien cadre du ministère de l’Intérieur, traqué par la coalition internationale, elle est devenue une "prisonnière de sécurité". Son crime ? Rien de prouvé. Son châtiment ? Une nudité imposée, crue, humiliante.

Mounia, femme pieuse, toujours drapée de la tête aux pieds, conforme aux codes de sa foi musulmane, a été dépouillée de tout. Son avocat, sidéré, raconte le choc : "Ma cliente, nue, exposée, enchaînée comme un animal." Officiellement, cette nudité est une mesure de "sécurité" pour prévenir la contrebande. Mais un responsable, sous couvert d’anonymat, lâche une vérité plus sordide : "On les force à rester nues pour les briser, pour les punir." Les femmes musulmanes, en particulier, sont visées, leur pudeur transformée en arme contre elles.

À son arrivée, Mounia a subi une fouille à nue, procédure standard. Mais ce qui suivit n’a rien de standard : on lui a refusé tout vêtement. "Pas d’autorisation", a-t-on justifié. Dans l’Irak brûlant, où la chaleur suffocante rendrait le port de vêtements facultatif selon certains gardes, elle est laissée à vif, sans voile, sans dignité, sans aucun signe de sa culture ou de sa religion. Le statut de "prisonnière de sécurité"

 Liens : Rapport visite prison

mardi 22 avril 2025

C'est le bizutage, les filles se déshabillent.

Les étudiantes se mettent nue au bizutage
Mise à poil au bizutage étudiante.

 Mise à poil en école de commerce.

Dans une grande école de commerce privée de banlieue parisienne, le bizutage des premières années était un rituel sadique, une mise à nu impitoyable orchestrée pour briser les nouvelles élèves, âgées de 18 à 20 ans, sous les regards lubriques des aînées, des garçons, de certains professeurs, du personnel administratif et des gardiens. La grande salle de l’amphithéâtre, transformée en théâtre de cruauté, résonnait de rires obscènes et de sifflets, tandis que les nouvelles, alignées comme du bétail, attendaient, tétanisées, l’épreuve qui allait les dépouiller de toute dignité.
 
 
Avant le carnage, les filles portaient l’uniforme obligatoire de l’école : une jupe plissée bleu marine, un chemisier blanc ajusté, une cravate assortie, des chaussettes blanches montant aux mollets, et des mocassins noirs. 
 
Camille, la blonde extravertie, avait déboutonné le haut de son chemisier pour un effet provocant, sa cravate lâche comme un défi. 
 
Léa, toujours dans la séduction, avait retroussé sa jupe pour dévoiler ses cuisses, ses chaussettes légèrement baissées pour un air rebelle. 
 
Amina, fidèle à sa pudeur religieuse, portait son uniforme avec un hijab blanc soigneusement épinglé, ses chaussettes couvrant chaque millimètre de peau. 
 
Sophie, élevée dans une famille catholique rigoriste, avait ajouté un cardigan gris pour masquer les courbes de son corps, ses chaussettes tirées au maximum. Inès et Nour, plus sobres, portaient l’uniforme sans fioritures, leurs visages crispés par l’angoisse.
 
Le silence fut pulvérisé par Clara, la meneuse des aînées, dont la voix tranchante claqua comme un ordre militaire. « À poil ! Tout, pas de sous-vêtements, rien ! Et enlevez vos chaussures et chaussettes. Pieds nus, tout de suite, ou vous allez le regretter ! » L’ordre, chargé d’une menace sexuelle à peine voilée, fit frémir l’assemblée. 
 
La foule – garçons braillards, surveillants au regard vicieux, professeurs complices – explosa en rires graveleux, leurs yeux déjà dévorant les silhouettes alignées.
 
 
Pour certaines, l’épreuve était un jeu à peine dérangeant. Camille, habituée aux plages nudistes et aux vestiaires mixtes, arracha son uniforme avec un rire provocateur, jetant ses mocassins et chaussettes comme des trophées. « Vous voulez un spectacle ? Le voilà ! » lança-t-elle, se tenant nue, les mains sur les hanches, sous les sifflets enthousiastes. Léa, fidèle à son personnage, fit glisser sa jupe et sa culotte avec une lenteur calculée, roulant ses chaussettes en boule et les lançant à un garçon qui hurla de joie. 
 
Pour elles, être nues, pieds nus sur le sol glacé, n’était qu’une occasion de dominer la foule par leur assurance.
 
Mais d’autres vivaient un enfer. Amina, pétrifiée, sentit son monde s’effondrer. Dans sa culture, la nudité était un tabou absolu, et l’idée de se dévoiler devant des hommes, des inconnus, était une profanation. « Je ne peux pas… », murmura-t-elle, ses mains agrippant son hijab. Clara s’approcha, son sourire venimeux dégoulinant de mépris. « Ton Dieu ne te sauvera pas ici. À poil, ou on te rase la tête après t’avoir déshabillée nous-mêmes ! » 
 
Un garçon cria : « Montre-nous tout, princesse ! » déclenchant des rires salaces. Amina, les larmes coulant sur ses joues, tenta de garder ses chaussettes, pensant que ce détail passerait inaperçu. Mais Clara, impitoyable, les arracha d’un geste brutal, exposant ses pieds nus au sol froid et à la foule hilare.
 
 
Sophie, élevée dans la honte du corps, était au bord de l’évanouissement. La nudité totale, sans même la barrière d’une culotte, était un péché mortel à ses yeux. Elle essaya de garder ses chaussettes blanches, marmonnant : « Ce n’est pas grand-chose, juste les chaussettes… » 
 
Mais une aînée, plus cruelle encore, les lui arracha, lui griffant la peau au passage. « T’es pas là pour cacher, t’es là pour montrer ! » aboya-t-elle. Sophie, nue, pieds nus, tenta de se couvrir avec ses mains, mais un surveillant lança : « Écarte les bras, ou on t’attache ! » La foule rugit, et un professeur, un rictus au coin des lèvres, détourna les yeux sans intervenir.
 
 
Inès, elle aussi, tenta de garder ses chaussettes, espérant que l’agitation masquerait son geste.
 
 Mais Clara, comme un prédateur, la repéra. « Toi, la discrète, t’as cru qu’on était aveugles ? À poil, et vite ! » 
 
Inès, humiliée, obéit, ses pieds nus tremblant sur le sol poussiéreux. Pourtant, elle se rapprocha d’Amina et murmura : « On est plus fortes qu’eux. Tiens bon. » 
 
Nour, à quelques pas, forma un rempart avec deux autres filles pour protéger Sophie, dont les sanglots étaient noyés par les cris de la foule. « On ne les laissera pas nous détruire », chuchota Nour, sa voix tremblante mais déterminée.
 
 
Les épreuves furent un crescendo de sadisme : défilés nus sous les flashes des téléphones, danses forcées où chaque mouvement exposait davantage leurs corps, poses obscènes imposées par les aînées. 
 
Être pieds nus amplifiait l’humiliation, le sol froid et sale rappelant leur vulnérabilité à chaque pas. Camille et Léa, jouant le jeu, dansaient avec une provocation assumée, leurs pieds nus frappant le sol comme un défi. Sophie, elle, avançait en titubant, ses pieds rougis par le froid, son corps secoué de sanglots. 
 

Les aînées, ivres de pouvoir, se repaissaient de l’humiliation qu’elles infligeaient. Les garçons, encouragés par l’absence de sanctions, hurlaient des commentaires sexuels, certains allant jusqu’à mimer des gestes obscènes. Les professeurs présents, censés incarner la morale, se contentaient de regards fuyants ou de sourires complices.


 

lundi 21 avril 2025

C'est le bizutage il faut marcher nue en public.

A poil en public au bizutage
Parader à poil pendant le bizutage.

La marche nue et public lors du bizutage étudiant.

 

Le soleil de fin septembre cogne sur le campus universitaire, transformant le chemin central en un ruban de bitume brûlant. Inaya, nue, les poignets liés dans le dos par une corde en nylon, avance en dernière position de la file des quatre amies, forcées à défiler dans le cadre du bizutage cruel de la phase deux. Les anciens, bandanas rouges au cou, encadrent le groupe, hurlant des ordres obscènes pour humilier les premières années. La foule, massée de part et d’autre du chemin, est un mur de regards avides, de sifflets et de rires moqueurs.

Clara, la cheffe des anciens, marche à côté, un mégaphone à la main. « Remuez vos culs, les salopes ! Faites les coquines, ou on vous le fera regretter ! » Solène, en tête, obéit avec un enthousiasme provocateur, ondulant des hanches, ses fesses rondes rebondissant à chaque pas. Ses seins généreux tressautent, attirant des cris enthousiastes. Mélanie, juste derrière, avance tête baissée, ses joues écarlates, ses seins menus frémissant sous l’effort, sa peau pâle luisant de sueur. Élodie, troisième, grogne des insultes à voix basse, mais ses hanches musclées roulent malgré elle, son corps athlétique captant les regards.

Inaya, dernière, sent chaque pas comme un coup de poignard. Ses pieds nus, délicats et peu habitués à la rudesse du sol, s’écorchent sur les graviers incrustés dans l’asphalte. La chaleur du bitume irradie à travers ses plantes de pieds, lui arrachant des grimaces qu’elle dissimule sous un masque de défi. Sa peau mate, luisante sous le soleil, expose chaque courbe de son corps : ses seins pleins, aux aréoles sombres légèrement durcies par la brise, son ventre plat, et son pubis soigneusement épilé, vulnérable aux regards. Ses cheveux noirs, libérés de son hijab, cascadent sur ses épaules, collant à sa peau moite.

« Regardez la voilée ! » hurle un étudiant dans la foule, déclenchant des rires gras. « Montre ton cul, la sainte ! » Inaya serre les dents, son cœur battant à tout rompre. Elle refuse de baisser les yeux, défiant les spectateurs d’un regard brûlant. Ses hanches, malgré elle, suivent le rythme imposé par Clara, qui tape des mains comme un métronome. « Plus sexy, Inaya ! Balance-toi, ou on te fait ramper ! »

Chaque pas accentue son humiliation. La corde mord ses poignets, tirant ses épaules en arrière, forçant sa poitrine à s’offrir davantage. La foule scande : « À poil ! À poil ! » Des sifflets fusent, mêlés de commentaires crus : « Joli cul ! » « T’as déjà baisé, la coincée ? » Un ancien, posté sur le côté, tente de filmer avec son téléphone, mais Marc, un autre organisateur, le stoppe d’un geste sec : « Pas de vidéos, crétin ! On a dit pas de preuves ! »

Le chemin traverse le cœur du campus, longeant la bibliothèque vitrée où des étudiants collent leurs visages aux fenêtres, et le parvis du bâtiment administratif, où même quelques professeurs observent, l’air amusé ou gêné. In Inaya sent la honte l’envahir, mais elle canalise sa rage. Elle pense à ses amies, à leur pacte de rester unies. Solène, devant, se retourne brièvement et lui lance un clin d’œil : « T’es une bombe, meuf ! » Inaya esquisse un sourire crispé, puisant du courage dans ce soutien.

À mi-parcours, Clara ordonne une pause humiliante. « Tournez-vous, montrez vos culs ! » Les filles obéissent, pivotent pour offrir leurs fesses à la foule. Inaya, les joues en feu, se plie, exposant son postérieur rond et ferme. Les cris redoublent : « Secoue-le, la voilée ! » Elle obéit à contrecœur, ses fesses frémissant sous les rires. La honte la submerge, mais elle se redresse, refusant de craquer.

La marche reprend, plus lente, pour prolonger l’épreuve. Inaya sent ses jambes trembler, ses pieds douloureux, mais elle avance, déterminée. Le chemin s’achève près de l’amphithéâtre en plein air, où le prochain défi attend. Clara hurle : « Bien joué, les putes !

 Lien :

 

Bizutage collectif.

dimanche 20 avril 2025

Humiliée pour paques

 

Bizuter en pensionnat catholique
Anus exposée pour humilier.

Dans un pensionnat catholique.

Dans le centre de la France, dans un établissement catholique , la cruauté prospère et la perversion prospèrent sous couvert de défendre la foi et les traditions. 
 
Pour les filles pensionnaires dans ces établissements, une hiérarchie impitoyable règne, où les faibles sont brisés pour le plaisir des forts.
 
 Éloïse, une jeune femme de 20 ans, douce réservée, est la victime désignée. Dès son arrivée, elle est devenue la proie d’un trio de pensionnaires sadiques mené par Victoire, une jeune femme charismatique à la cruauté raffinée, secondée par Adèle, brutale et impulsive, et Margaux, sournoise et observatrice.
 
Les bonnes sœurs, dirigées par Sœur Gertrude, une femme au regard d’acier, ferment les yeux sur ces sévices, qu'elle trouve amusant. Le père Anselme, prêtre autoritaire et énigmatique, va plus loin : il voit dans ces humiliations une forme perverse de « purification » et y participe indirectement, renforçant l’emprise des bourreaux. Sous leur autorité, Éloïse endure un calvaire quotidien.
 
Chaque soir, dans les dortoirs du pensionnat, Victoire, Adèle et Margaux convoquent Éloïse pour leur rituel d’humiliation. La jeune femme, pieds nus sur le parquet glacé, sent son cœur s’accélérer dès que Victoire claque des doigts. L’ordre est toujours le même : se déshabiller entièrement, sans exception. Éloïse, pudique, tremble à l’idée de se retrouver nue, exposée aux rires et aux regards cruels. Mais la moindre hésitation est punie.
 
 
Au début, Éloïse tentait de résister, serrant sa culotte contre elle ou gardant ses chaussettes dans un réflexe de pudeur. Ces supplications déclenchaient une avalanche de moqueries et de violences. 
 
Une fois, alors qu’elle pleurait, « S’il vous plaît, laissez-moi garder ma culotte, je vous en supplie… », Victoire s’était approchée, un sourire aux lèvres. « Oh, la petite sainte veut cacher ses fesses ? Trop tard, tout le monde va voir va les voir ! Enlève ça, !» 
 
Adèle, impatiente, avait arraché le sous-vêtement d’un geste brusque, giflant Éloïse au passage. « Ferme-la et vire tout, ou je te tabasse ! » Margaux, plus subtile, ajoutait en ricanant : « Tu crois que ta culotte va te servir ?»
 
Les chaussettes, dernier rempart de dignité, étaient tout aussi intolérables pour le trio. 
Une autre fois, Éloïse, en larmes, avait murmuré : « Juste mes chaussettes, s’il vous plaît… Le sol est froid… » Victoire avait éclaté de rire. « Des chaussettes ? À poil, ça veut dire tu vire tout, donc les pieds nus, et plus vite que ça !» Adèle l’avait forcée à retirer ses chaussettes en la bousculant, puis l’avait frappée sur les cuisses pour « lui apprendre à obéir ».
 
Face à ces supplications, les bonnes sœurs, lorsqu’elles assistaient à la scène encourageaient les anciennes à éduquer la nouvelle.
 
Désormais conditionnée, Éloïse obéit presque mécaniquement. Pieds nus, elle se déshabille sous les ricanements, ses mains tremblantes défaisant chaque bouton. Mais l’humiliation ne s’arrête pas là. Victoire l’oblige à ramper à quatre pattes, imitant un animal, tandis qu’Adèle claque ses seins ou pince ses fesses, riant de ses cris. Margaux, toujours en retrait, consigne chaque détail dans son carnet, qu’elle lit à voix haute lors des « réunions » du trio pour prolonger la honte d’Éloïse. 
 
 
Les sévices d’Éloïse ne sont pas un secret. Les bonnes sœurs, menées par Sœur Gertrude, y voient une belle traditions pour endurcir les faibles. « Les faibles doivent porter leur croix », répète-t-elle lors des messes, jetant un regard appuyé sur Éloïse, qui baisse les yeux, rouge de honte. 
 
Le père Anselme, figure charismatique du pensionnat, est encore plus troublant. Lors des confessions, il interroge Éloïse sur ses « faiblesses », insinuant que son sort est une punition pour son manque de force. « Soumets-toi, être soumise et lesbienne n'est pas un péché», murmure-t-il, un sourire ambigu aux lèvres. Parfois, il observe les humiliations depuis l’ombre, prétendant « superviser » pour maintenir l’ordre.
 
Chaque année, à Pâques, l'établissement organise une cérémonie dans la chapelle, réservée à un cercle restreint de pensionnaires, de sœurs et du père Anselme. Officiellement, c’est une célébration de la résurrection du Christ. En réalité, c’est un rituel cruel où la victime désignée – cette année, Éloïse – est humiliée publiquement sous le couvert de la foi.
 
 
La nuit de Pâques, Éloïse est conduite dans la chapelle, pieds nus sur la pierre glacée, ses pas résonnant dans le silence. Les vitraux projettent des ombres inquiétantes, et les autres pensionnaires, forcées d’assister, forment un cercle muet. Victoire, vêtue d’une robe blanche parodiant la pureté, déclare : « Éloïse doit expier ses péchés de lesbienne possédée » Le père Anselme, brandissant un crucifix, approuve d’un signe de tête.
 
Sous ses ordres, Éloïse est déshabillée. Lorsqu’elle tente, dans un sursaut de désespoir, de garder sa culotte, elle murmure : « Pitié, juste ça… » Victoire la coupe d’un rire cruel : « Tu oses ? Enlève tout, ou je te fais laver le sol avec ta langue ! » Adèle arrache le vêtement, ajoutant : « Pleure encore, et je te fais ramper jusqu’à l’aube ! » 
  Sœur Gertrude, présente, intervient : « Cesse cette rébellion, Éloïse. Tu aime trop être la chienne des anciennes et te promener à poil !. »
 
Pieds nus, Éloïse est forcée de s’agenouiller, tremblante, sur le sol froid. Les bonnes sœurs entonnent un chant latin, leurs voix graves couvrant ses sanglots. Victoire verse de l’eau glacée sur son corps, prétendant la « purifier ». 
 
Adèle, un fouet d’orties à la main, inflige de légères brûlures sur ses épaules, sous les murmures approbateurs de Sœur Gertrude. Margaux encourage les autres filles à jeter des tomates et autres déchets pour lapider symboliquement satan incarné dans cette diablesse soumise.
 
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