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Fouille et humiliation publique. |
Les gardiens américains de la prison de conté de Greenwood ont pour consigne d'humilier et de dresser les détenus pour réduire la délinquance et les incivilités. Le shérif est l'un des plus sévères du pays, il est très populaire et est appuyé par le gouverneur républicain pro Trump.
Mon épouse, Rania, une femme franco marocaine musulmane, qui était la pour ses études s'est faite arrêtée lors d'une manifestation en faveur de la Palestine et la police l'a conduite dans le centre de détention du conté.
Sur place, Rania était avec 3 autres femmes américaines, l'une est membre d'un gang, l'autre est probablement là pour fraude fiscal les gardiens les ont placé dans une salle réservée à l’accueil
D'une part, elles sont misent toutes nues et soumises à des fouilles et inspections très poussées devant tout le monde, y compris des hommes. Les gardiens aiment faire comprendre aux femmes quand ils leurs ordonne d’enlever leurs vêtement, tout bien sur, "Il faut tout montrer aux gardiens" ricane un des surveillants.
En Amérique les femmes peuvent être fouillées par des gardiens hommes au nom de l'égalité entre les sexes, et de plus sans aucune intimité devant tout le monde, les femmes culturellement pudiques et réservées comme mon épouses doivent elles subir le même processus humiliant : Se déshabiller et se faire fouiller en public.
Le shérif a décider que la nudité était naturelle, et dans sa prison, les femmes sont toutes traitées de la même façon sans distinction de religion: Nue, pieds nus avec fouilles des anus et des vagins, dessous les seins et entre les orteils.
Aucune intimité n'est prévue, surtout depuis le retour de Trump, ou les autorités sont autorisées à utiliser de méthodes punitives dont les fouilles corporelles et les mise à poil en publique font partie.
Les délinquantes sont en général humiliées pour l'exemple et en public pour générer de la crainte.
Lien :
Il est vrai quand on déshabille une femme pour la mettre à poil, ça génère de la crainte de la part de celle-ci. Ça devait sûrement être la même chose pour une jeune femme employée dans une agence immobilière, banque ou entreprise dans les années 60-70. Le directeur devait faire mettre à poil une femme qui commettait trop d'erreurs.Pour cela, il faisait venir la fautive dans son bureau. Là, il ne devait pas hésiter à lui relever sa jupe et baisser sa culotte pour lui administrer une bonne fessée. Ensuite, finir de la mettre à poil et de l'asseoir sur une chaise avec le paillasson à poils durs dessus.Une fois que la femme était assise, le directeur la prenait par les hanches et lui frottait la vulve sur le paillasson. Mais ce que je ne sais pas, c'est si le directeur employait cette méthode sur une jeune femme tout juste enceinte ?
RépondreSupprimerLe chef de service savait se faire respecter dans tous les cas. Mais que pensait le mari de la jeune femme dans tout ça ?Quand il voyait les fesses et la vulve de sa femme ?A moins qu'elle les lui caches pour un moment, jusqu'à temps que toutes traces disparaissent ?
Milky 2
Le plus souvent les souffres douleurs étaient les femmes célibataires, les filles mères.. vulnérables et sans défense.
RépondreSupprimerParfois aussi des femmes mariées dont le mari était ouvrier et risquait sa place s'il se plaignait.
Et puis le droit de cuissage faisait partie des mœurs et n'était pas contesté.
Il y a mêmes eu des cas ou le mari qui découvrait que sa femme avait été punie en voyant les marques sur ses fesses et la faisait avouer, lui redonne une rouste pour n'avoir pas été une bonne employée, lui rapprochant même de déshonorer la famille .
Les temps étaient durs pour les ouvrières et les employées.
Donc, si j'ai tout suivi, le chef de service pouvait faire venir la femme fautive dans son bureau pour la faire mettre à poil, lui regarder son vagin, tout en sachant que son mari ne dirait rien car il risquait sa place ?
SupprimerMilky 2
On a même déjà vu un chef de service humilier une ouvrière devant son mari penaud et qui baissait les yeux sans protester alors que sa femme a poil gémissait, fessee puis baisée par son chef
RépondreSupprimerReste à savoir si c'est le chef de service qui a déshabillé la femme devant son mari. Comme lis devaient certainement risquer le licenciement tous les deux, le mari préférait ne rien dire, laissant le chef la mettre à poil devant lui, lui donner une bonne fessée, et pour finir de l'humilier, la baiser devant lui.
SupprimerMilky 2
Il y a aussi une chose qui me fait cogiter :est -ce que le chef de service avait fait venir la femme et son mari dans son bureau, avant de mettre la femme à poil, de la fesser et de la baiser devant son mari ?
RépondreSupprimerMilky 2
Est-ce que cela arrivait fréquemment que le chef de service humilie une femme en présence de son mari ?
RépondreSupprimerMilky 2
Non très rare car la majorité des victimes étaient veuves fille mère, ou célibataire.
RépondreSupprimerIl n'y avait pas que les supérieurs hiérarchiques qui abusait d'elles. Certains propriétaires de logement ou gérants d'immeuble ne se gênaient pas pour humilier et punir leures locataires en les menaçant d'expulsion.
Si je comprend bien, les gérants d'immeuble ou propriétaires, humiliaient une femme devant son mari en les menaçant d'expulsion ?
SupprimerMilky 2
Devant les maris je ne sais pas en général les victimes étaient des mères célibataires, qui ne pouvaient pas se permettre d'être expulsees avec leurs enfants.
RépondreSupprimerL'une d'elle, Solange, acceptait d'être fessée pour des retards de paiement de loyers
Et certainement que cela a dû se reproduire souvent.
SupprimerMilky 2
Tous les jours de retard des loyers, tant que le loyer n'était pas totalement réglé.
RépondreSupprimerSolange devait se mettre nue et se laisser tripoter et insultée, rabaissée. Il lui crachait dessus, la giflait puis lui donnait la fessée en travers de ses genoux ou couchée sur le dos cuisses ecartees et relevées, la vulve offerte et ouverte
Peut être qu'après la fessée couchée sur le dos ,cuisses écartées et relevées ,il devait lui introduire ses doigts dans la vulve ouverte et offerte. Et peut-être pas que ses doigts d'ailleurs. Enfin je pense.
SupprimerMilky 2
Vous pensez bien Milky2.
RépondreSupprimerLes paiements en nature sont monnaie courante.
Moi je lui aurais introduit du dentifrice dans son vagin à cette Solange. Ça peut paraître sadique, mais je pense qu'après, elle n'aurait pas eu de loyer en retard, vu que son vagin aurait été brûlant, et qu'elle ne voudrait certainement pas que je réitère l'opération chaque fin de semaine.
SupprimerMilky 2