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Une prisonnière nue contrainte de faire du sport par les gardiens. |
Cruauté, sadisme, perversion en prison.
L'une des gardiennes de la tristement célèbre prison militaire américaine en Irak durant la seconde guerre du golfe (2003/2011) témoigne devant des enquêteurs officiels et lève le voile sur le sors réservé à certaines femmes incarcérées dans ce sinistre endroit et sur la question des tortures et des humiliations imposées aux prisonniers sur l'ordre implicite des plus haut dirigeants, du renseignement militaires et de la CIA qui ont intentionnel recruter des gardiens de prisons tordues et pervers et leur ont donner carte blanche pour humilier et maltraiter les captifs.
- Dans un premier temps, pouvez vous vous présentez et nous dire brièvement votre parcours jusque à devenir surveillante générale de la section des femmes du pénitencier militaire de l'armée américaine dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Baghdad ?
Je m'appelle Claire Simpson, et avant d'obtenir ce contrat comme responsables dans cette prison j'ai exercer différente activité dans la police, comme adjointe de sécurité dans un supermarché, et deux ans comme surveillante dans une prison avant d'être licencier pour avoir eu des problèmes avec la justice.
- Votre dossier montre des états de service pas forcément très exemplaire, violence contre des civils, humiliation de détenues, corruption et pots de vins. Votre recrutement dans une prison militaire américaine peut en effet interrogé , pourvoyez vous vous exprimer sur ceci avant d'entrer dans le vif du sujet ?
Les responsables militaires m'ont tout de suite contacter après leur avoir envoyer mon CV, ils m'ont dit que depuis le 11 septembre 2001 les choses avaient changées et que ce que j'ai fais aux USA pouvait etre une très bonne chose à l'étranger et que ça protégera le pays, l'engagement pour beaucoup a été présenter de cette manière.
- Vous voulez dire que c'était une sorte de "rédemption" pour vous et vos collègues ?
Non, mais que le fait de faire ce que nous avons fait était une manière de servir et protéger notre pays pour le rendre plus sur. De traiter les prisonniers de façon durs, de maintenir une discipline de fer, faire régner l'ordre. C'est pour cela que j'ai été recrutée plus pour certaines de mes activités extra professionnelles.
- Pouvez vous précisez ? quelles activités, nous avons du mal à nous suivre.
J'ai eu effectivement des petits problèmes avec la justice pour avoir utiliser mes fonctions de gardiennes de prison pour obtenir des avantages sexuelles de certaines prisonnières et reçu des fonds. Mais pour l'armée c'était un atout d'être une maitresse chanteuse capable d'exploiter des détenues pour assouvir mes envies et m'enrichir, ils m'ont prise directement en me disant de servir la patrie.
- Vous voulez dire qu'ils vous ont recruter pour torturer et maltraiter les détenus irakiens ?
Torturer, non bien sur que non, mais nous devions les conditionner à obéir pour les rendre plus docile et coopératif, c'était les ordres et les consignes qui m'ont été données lorsque j'ai mis les pieds dans cette prison.
- Pour le public et l'opinion mondiale c'est effectivement de la torture.
Je n'irais pas jusque là, nous n'avions pas le droit de tuer les prisonniers, ni de les mutiler ou leur faire physiquement mal, là effectivement cela aurait été de la torture, mais nos supérieurs nous ont donner un processus à mettre en place et un comportement spécifique avec la prisonniers pour les faire parler sans avoir recours à de la torture.
- Quel rôle vous ont donner vos supérieurs ? Etait ce des consignes écrites ou orales ?
Notre but était de faire respecter l'ordre et la sécurité du personnel américain, des prisonniers et de faire fonctionner la prison de façon normale et organisée. Et de lutter contre le terrorisme et protéger notre pays des attentats en aidant les services de renseignements à obtenir des informations pouvant sauver des vies.
- Concrètement quel été votre rôle en tant que responsable des gardiens dans la section ou sont retenues des femmes prisonnières ?
J'étais la responsable du maintient de l'ordre et de la sécurité, et de la bonne coopération des détenus avec les interrogateurs. C'était un travail difficile en coopération avec les policiers militaires qui nous donner les consignes et avec qui nous déterminions les processus de traitement des prisonniers.
- Sur une photo nous pouvons vous voir avec une cravache en train de faire sautiller une prisonnière nue dans les couloirs de la prison, comment justifiez vous ce type d'acte choquants ? Elle a été identifiée comme étant Amal E. 27 ans la soeur d'un responsable en fuite recherché activement par la coalition.
Comment pouvez vous justifier de telles pratiques ?
Les membres du renseignement nous demande de traiter les prisonniers comme pire que des chiens et de leur rendre la vie difficile et désagréable pour les rendre docile pendant les interrogatoires et sauver des vies.
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Fouille à nue et squat pour vérifier les orifices en prison. |
- Oui mais pourquoi était elle nue ? qu'avez vous fait de ses vêtements ce jours là ?
Lorsque Amal est arrivée elle a été soumise au processus appliqué aux "détenus de sécurité" c'est à dire aux personnes soupçonnées de liens avec l'ancien régime, la rébellion, ou de menacer la coalition ou les intérêts américains. Lors de son arrivé nous avions discuter avec les responsables des interrogatoires pour décider que selon son statut, elle devait être gardé nue en permanence et sans aucun confort (literie, dignité) sauf si elle parle et donne des informations importantes.
Lorsqu'elle est arrivée nous l'avons forcer a se déshabiller pour la fouille "strip search" obligatoire, nous lui avons pris ses effets personnels, papiers, bijoux, retirer son voile (hijab), ses vêtements, et ses chaussures comme nous faisons dans tout prison pour s'assurer qu'aucun détenus ne fasse entrer de contrebande, d'armes ou de produits dangereux.
- Mais ces fouilles selon plusieurs témoignages ont lieu en public devant des hommes, et elles se déroulent complètement nue pour les femmes comme pour les hommes. N'est ce pas dégradant ?
Ecoutez, la prison se trouve dans une zone de guerre, avec des personnes potentiellement dangereuses, avec peu de moyens donc nous le pouvons pas exercer notre métier dans les meilleurs conditions, ne pas oubliez le contexte avant de nous blâmer. Et puis ce n'est pas non plus très grave de mettre à poil des gens, il n'y a pas mort d'homme et c'est un pays chaud ...
Quand cette prisonnière là, Amal est arrivée, bien sur qu'on l'a bien inspectée et qu'on à bien regarder avec une lampe torche dans son cul, dans sa chatte, dans sa bouche, dans ses oreilles, sous sa langue, entre ses orteils et elle était clean.
- Ce genre de traitement sont dégradants et s'apparente à des mauvais traitements, et ça ne s'arrête pas là, dans la prison d'Abou Ghraib une bonne partie des détenus étaient nus en permanence comme Amal, c'est très dégradant et vexatoire d'imposer la nudité à des personnes de cultures pudiques et conservatrices, est ce une politique assumée par la police militaire ?
Oui bien sur, en dehors des fouilles qui exigent d'être à poil nous avions garder sans vêtements une bonne partie des prisonniers. Amal aussi comme je vous l'ai dis plus tôt la nudité complète et permanente lui à été imposée et je l'ai mise en oeuvre.
Après je ne vois pas le problème de garder Amal nue, c'est une prison dois je vous rappeler. Nous ne lui avons rien fait de mal.
Les supérieurs nous avait demander de bien insister sur le retrait des vêtements et de jouer sur les peurs et les tabous culturels et religieux des personnes emprisonnées.
- Vous voulez dire que la nudité était une méthode à part entière et une pratique ordonnée et admise par la hiérarchie ?
Oui, bien sur. D'une part nous sommes la pour dominer et montrer la supériorité des américains sur leurs ennemis et imposer nos règles que ça plaise ou non. Amal était nue ? oui et je ne vois pas le mal, L'humiliation doit faire partie de la punition et c'est très efficace pour faire parler les suspects lors des interrogatoires.
Oui bon elle a pleurer et n'était pas contente d'être dénudée, mais la nudité est dans ce type de situation est pleinement justifiée.
Les irakiennes comme elle, moi je les met à poil, Amal je l'avais dressée et soumise et je lui avais appris l'humilité. Je lui avais fait enlever tout ses vêtements et son voile en bafouant ses sentiments religieux et culturelles, j'ai fait en sorte que sa chatte et son anus soient exposés le plus possible dans des positions indécentes pour le divertissement du staff.
Les agents du renseignement m'avaient plusieurs fois demander de "dresser" les femmes comme elle, pour en faire des exemples. Voila ici c'est les règles américaines, pas d'accoutrement exotique, les femmes ultra couverte on n'accepte pas , nous les découvrons, avec les collègues nous sous amusions bien à les rabaisser et les vexer et les faire se promener toutes nues alors que 5 minutes avants elles étaient toutes habillées avec l'interdiction de porter des vêtements !
J'ai aussi obliger Amal a se présenter nue devant d'autre prisonniers a écarter ses fesses pour bien qu'on puisse voir l'intérieur de son cul. J'ai fait ça pour son bien et lui permettre de révéler la vrai salope lesbienne soumise qui est en elle.
D'autre fois pour la punir je l'obligeait a rester sur un pieds en équilibre et les mains sur la tête et gare à elle sur elle pose l'autre pieds !
J'aime aussi lui faire lécher mes bottes, faire d'elle une vraie chienne
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Humiliation : une femme nue lèche les bottes de sa gardiennes de prison. |
J'aime bien aussi l'obliger à s'auto lécher ses plantes de pieds sales et ses orteils devant tout le monde en rigolant lui faire perdre toute dignité !
- Mais c'est horrible ceux sont des mauvais traitements et limite de la torture que de faire ça !
C'est pour son bien et pour le notre, nous lions l'utile à l'agréable. J'aime dresser et punir les prisonnières pour un oui ou pour un non.
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