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Elles dansent et se trémoussent nues dans un bar étudiant au bizutage. |
Danser et se trémousser à poil au bizutage.
Dans une petite université parisienne nichée au cœur du 13e arrondissement, l’automne marque chaque année le retour d’une tradition aussi légendaire que controversée : le week-end d’intégration, ou plutôt, le bizutage déguisé sous ce nom festif. Les anciens, autoproclamés gardiens des coutumes estudiantines, orchestrent une soirée où les nouveaux doivent se plier à leurs règles, dans un mélange d’excès, d’humour douteux et de débordements.
Camille, 19 ans, fraîchement arrivée de son village provençal, est une étudiante en première année de licence de biologie. Réservée, presque timide, elle a grandi dans une famille où la pudeur est une seconde nature. Habituée à porter des vêtements amples et à éviter les regards indiscrets, elle redoute déjà cette soirée d’intégration dont tout le monde parle avec un mélange d’excitation et de crainte. Mais, poussée par la pression sociale et la peur d’être mise à l’écart, elle se rend au vieux bar rock du quartier, un lieu aux murs tapissés de posters vintage et au sol collant de bière renversée.
À son arrivée, l’ambiance est électrique. La musique hurle, les lumières clignotent, et une foule d’étudiants s’agite dans une chaleur étouffante. Mais ce qui frappe Camille, c’est le spectacle qui s’offre à elle : plusieurs nouvelles, déjà intégrées au « rituel », déambulent dans le bar, entièrement nues, certaines riant nerveusement, d’autres visiblement au bord des larmes. Camille sent son cœur s’accélérer. Elle, qui rougit rien qu’à l’idée de porter un décolleté, se sent soudain projetée dans un cauchemar.
Un groupe d’anciens, portant des t-shirts fluorescents marqués « Bizutage Squad », l’intercepte à peine franchie la porte. « Bienvenue, la nouvelle ! » lance un grand barbu avec un sourire carnassier. « Ce soir, tu fais ce qu’on te dit. Et on commence fort : tout le monde à poil ! » Les rires fusent autour d’elle, et Camille, pétrifiée, tente de bafouiller une excuse. « Je… je ne suis pas très à l’aise, je peux peut-être juste… » Mais une fille aux cheveux bleus, une des anciennes, l’interrompt : « Pas de chichi, ma belle. C’est la règle. Si tu veux être des nôtres, tu joues le jeu. »
Camille sent ses joues s’enflammer. À la maison, elle ne se déshabille jamais devant personne, pas même sa propre sœur. Même à la plage, elle garde un paréo bien noué autour de la taille. Mais ici, pas d’échappatoire. Les anciens l’entourent, et elle comprend vite que résister ne fera qu’empirer les choses. Tremblante, elle commence à retirer sa robe à fleurs, un vêtement modeste qu’elle avait choisi pour se sentir en sécurité. Les sifflements et les rires des spectateurs, clients du bar mêlés aux étudiants, résonnent dans ses oreilles comme une tempête. Elle retire son soutien-gorge, puis sa culotte, chaque geste lui coûtant un effort surhumain. Ses mains tremblent, et elle tente de cacher son corps avec ses bras, mais un ancien lui tape sur l’épaule : « Pas de cachette, princesse. On assume ! »
Le pire arrive quand une fille lui ordonne d’enlever ses petites ballerines blanches, son dernier rempart contre l’humiliation. « Pieds nus, c’est la règle ! » Camille proteste faiblement : « Mais… le sol, il est dégueulasse… » Un éclat de rire général lui répond, et un ancien renchérit : « T’inquiète, ça forge le caractère ! » À contrecœur, elle pose ses pieds nus sur le sol poisseux, sentant la crasse et les éclaboussures de bière sous ses orteils. Elle grimace, mais n’a pas le temps de s’appesantir : on la pousse vers le centre de la piste.
Là, sous les regards avides des clients et les éclats de rire des anciens, Camille doit défiler, nue comme au premier jour, ses petits seins exposés et son corps frêle frissonnant dans l’air moite du bar. Les sifflets fusent, certains clients lèvent leur verre en riant, et elle entend des commentaires graveleux sur ses courbes. « Pas mal pour une coincée ! » lance un type au comptoir. Camille, rouge de honte, baisse les yeux, fixant le sol pour éviter les regards. Chaque pas est une torture, la sensation du sol sale sous ses pieds nus amplifiant son malaise.
Mais les anciens ne s’arrêtent pas là. Pour pimenter la soirée, ils imposent un jeu : les nouvelles doivent danser en duo, corps contre corps, sous les acclamations de la foule. Camille se retrouve collée à une autre fille, tout aussi mal à l’aise, leurs corps nus glissant l’un contre l’autre dans une chorégraphie imposée par les cris des anciens. La musique techno fait vibrer le sol, et Camille, au bord des larmes, tente de se concentrer sur les pas pour oublier les regards lubriques qui la transpercent.
Lien :
Le bizutage était une chose qui faisait peur, surtout aux nanas qui avait un copain ou en reprise d'études ou enceinte. Mais elles y passaient quand même.Elles étaient bizutées comme les autres, déshabillées, mise à poil, et la chatte passée au cirage. Une femme en reprise d'études était bien plus cirée que les autres, aussi fessée et tripotée partout avec tirage des poils de la chatte, etirage des lèvres vaginales avant de la passer au cirage. Excitant non ?
RépondreSupprimerMilky 2
J'aime beaucoup le bizutage décrit, la mise à nu en public et l'obligation de danser, et tout montrer
RépondreSupprimerPour les filles, c'est très humiliant de se faire déshabiller et se faire mettre toutes nues. Pour les jeunes mamans en reprise d'études ,c'est très gênant de se faire toutes nues par des plus jeunes qu'elles, en plus qu'il y a le badigeonnage de leur chatte fait par un jeune étudiant.
RépondreSupprimerMilky 2
Une variante fu déshabillage que j'aime beaucoup.
RépondreSupprimerChaque ancien à un numéro.
Chaque fille bizute tire a tour de role un numéro au sort.. avec une roulette ou une carte.. et l'ancien désigné doit ôter un vêtement à la fille et le garder.
Et ce jusqu'à ce que toutes les filles y compris les maman en reprise d'étude soient toutes toute nues.
Les bizutes nues effectuent les défilés et gages du bizutage, puis doivent se rappeler pour chacun de leur vêtement qui lui a ôter et aller le demander à genoux.. les anciens peuvent alors imposer de nouveaux gages avant de rendre chaque vêtement..
Nelly
Bonne idée ce genre de bizutage. Mais pour ma part, je préfère quand la nana est toute nue et qu'elle doit défiler devant tout le monde la chatte recouverte de cirage, avec au passage des claques sur les fesses, le pincement de ses tétons. Une fois terminé, j'aime aller l'aider à se laver. Faire partir tout le cirage qui est collé sur sa chatte, en passant un gant sur sa vulve. Cela peut donner suite à pleins de choses...
SupprimerMilky 2
Le plus intéressant à mon avis, c'était quand on bizutait la nana d'un mec.On l'amenait devant lui et là, c'était le déshabillage. On ne le faisait pas caché, car c'était pour humilier un peu plus son petit copain. Pendant qu'il était bien sûr attaché, on déshabillait sa nana. Le pied quand on lui degrafait le soutien-gorge, et vraiment le must, c'était quand on lui enlevait son slip, qu'elle était complètement à poil. Son copain criait, mais on lui disait de bien regarder la suite. On lui pinçait les tétons, tirait les poils de sa chatte, décapuchonnait le clitoris, et pour finir, on la masturbait un peu en lui disant :"c'est comme ça qu'il te fait ton copain ou plus vite ?Réponds-nous, car après, on va passer ta chatte au cirage ".Le copain répondait de pas lui faire ça, mais on lui répondait que c'était comme ça ici la tradition du bizutage. La fille n'a pas osé nous répondre tellement qu'elle était un peu gênée, ce qui n'a pas empêché de lui passer quand même toute sa vulve au cirage. Je ne sais pas si d'autres bizutages se passaient avec humiliation, mais c'était excitant de voir cette nana déshabillée devant son mec et en plus cirée.
RépondreSupprimerMilky 2
Je me demande s'il y a du bizutage dans les émissions de télé-réalité comme secret story ou d'autres ?
RépondreSupprimerMilky 2
Je pense qu'il y a duvbizutage dans toutes les communautés, donc pourquoi pas dans le casting des émissions de télé-réalité...
RépondreSupprimerMais je.ne connais pas ce milieu, et je ne peux pas le confirmer.
Nelly
Dans Secret Story, les nanas sont bien faites. Elles ont un corps sublime, elles doivent trier au casting. Sinon je ne sais pas comment elles pourraient être bizutées. A notre époque, on aurait su, mais là, il y a trop d'interdits.
SupprimerMilky 2
Il y a dans le bizutage, une peur du garçon surtout quand il voit que l'on commence à déshabiller sa nana. Même elle est honteuse, de se faire mettre toute nue devant son copain. Pareil pour une femme en reprise d'études qui se fait enlever sa culotte par des plus jeunes qu'elle, en plus si c'est une jeune maman, qui au final se fait cirer sa chatte. Stressant pour elle.
RépondreSupprimerMilky 2
Très excitant pour les jeunes de dominer une femme mûre. Découvrir ses fesses molles, son anus, sa chatte humide, et ses nichons moelleux.
RépondreSupprimerExcitant aussi de la fesser, la fouiller, la tripoter. En fait se l'approprier, en faire leur jouet.
Nelly