Squat et tousse nue lors de la fouille humiliante. |
Les interrogatoires renforcés et le processus d'avilissement des détenues.
Durant la seconde guerre d'Irak entre 2003 et 2011 les Etats Unis d'Amérique ont établi des procédures d'interrogatoire dites renforcés dans les centre de détention pour prisonniers de guerre, en particulier dans la célèbre prison d'Abou Ghraib ou des scandales médiatiques ont révélé au monde les sévices sadiques que les gardes américains ont imposé aux prisonniers irakiens.
Beaucoup de citoyens et citoyennes ont été arrêtés par erreur et brutalisés lors des interrogatoires.
Lors d'un audit sur les conditions de détention sur les mauvais traitements réalisé lors d'un audit sur les conditions de détention, un incident concernant une femme âgée d'une trentaine d'année a été rapporté. Elle est nommée "Dalia" dans le rapport et a capturée dans une rafle, elle travaille dans le commerce et gère plusieurs magasins, des voisins jaloux l'ont injustement dénoncé aux américains qui l'ont placé sous le statut de "prisonnière de haute valeur".
Bien qu'étant innocente et sans aucune informations dignes d'importance. En arrivant dans la prison, les gardes américains lui ont imposer une fouille intégralement nue, avec déshabillage en public devant des hommes, sans aucune intimité ni respect pour sa pudeur, et elle a du soulever ses seins, sautiller plusieurs fois, et faire des squats et tousser et marcher comme une grenouille afin de voir si des objets sont cachés dans ses orifices (chatte et anus), les surveillants sont même aller jusque à lui faire inspection entre les doigts de pieds et sous les aisselles etc.
La suspecte a aussi été forcer de défiler toute nue et pieds nus devant les autres prisonniers attachée les mains dans le dos.
Liens :
Pour certains interrogatoires, comme à la sûreté d'état, si un homme est arrêté et qu'il ne parle pas, on va chercher sa femme et on l'amène devant lui. Là, devant lui, sa femme est déshabillée par deux hommes, jusqu'à qu'elle soit complètement nue. Ensuite, toujours devant le mari, les deux hommes lui tripotent sa chatte, ses seins et lui claquent les fesses. Là, le mari s'effondre et parle.
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Oui très bonne méthode d'interrogatoire... pression familiale...
RépondreSupprimerEntendre sa femme hurler alors qu'un interrogateur joue avec une électrode sur son corps l'enfonce dans son vagin et son anus.
L'idée de la fessée est très amusante
Et allongée la femme du type couchée dos sur une table, les cuisses bien écartées, en face de son mari attaché assis sur une chaise, pour qu'il voit bien les électrodes qu'on enfonce dans le vagin de sa femme. Là, il va craquer.
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C'est imparable. Et s'il résiste à ça, il craquera lorsque qu'un bourreau au membre surdimmensionné violera sa femme en lui déchirant le vagin
RépondreSupprimerLes hurlement de terreur de sa femme le feront supplier d'arrêter et il dira tout en espérant qu'il la relâchent et arrêtent de la torturer.
RépondreSupprimerJ'aime l'idée de journées portes ouvertes dans les prisons.
RépondreSupprimerAssister et participer aux fouilles des détenues de tout âge.
Leur donner la fessee
J'aurais jamais cru qu'il y avait des portes ouvertes dans les prisons. Sinon moi aussi, j'aimerai assister à la fouille des femmes, à leur exhibition, et même à être fessées.
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Quand un homme est arrêté et qu'on amène sa femme devant lui pour le faire parler, il faut mettre en plus une pression psychologique. Comme par exemple, de bien regarder quand on va déshabiller sa femme, qu'on va la mettre à poil, bien lui craquer sa culotte, et que s'il s'obstine à ne rien dire, qu'on va lui tripoter ses seins et sa chatte, ensuite qu'elle sera torturée avec divers instruments en lui laissant deviner avec quoi. Efficace.
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L'univers carcéral est très méconnu du grand public.
RépondreSupprimerDes visites organisées pour les lycées, les familles, les collegues , et tout ceux qui le souhaite serait bénéfiques pour la prévention et faire prendre conscience aux détenues de leur misérable situation.
Elles devraient nue expliquer pourquoi elles sont en prison et raconter leur quotidien.
Les visiteur pourraient apprendre les méthodes de fouille et les mettre en pratique. Assister aux douches collectives, et aux punitions.
Est-ce que les hommes ont le droit d'assister à la fouille des femmes détenues?
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Pourquoi pas? Il s'agit d'égalité homme-femme.
RépondreSupprimerCe qui est le plus intéressant et efficace, qui doit certainement se faire dans certains pays ou sûreté d'état, c'est quand un homme est arrêté et interrogé, ensuite qu'on arrête sa femme pour l'amener face à son mari, qu'elle soit déshabillée devant lui pour qu'elle soit complètement nue.
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Honteuse et effrayée, à poil, les mains des bourreaux sur ses fesses, entre ses cuisses, sur ses nichons.
RépondreSupprimerLe mari doit devenir fou de voir sa femme tripotée, fessée devant lui
Oui, ça doit être stressant pour le mari de voir sa femme toute nue, tripotée par les interrogateurs ,qui passent leurs mains sur les seins, lui ouvrent la fente pour bien voir le vagin, en commentant ce qu'ils vont lui glisser dedans. Ils vont sûrement aussi la masturber, lui doigter l'anus, et lui donner une sévère fessée. Et ce n'est qu'un début, la suite...
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Eta voir attachée rn crois nue sur la table, les instruments de torture à proximité
RépondreSupprimerEt on peut imaginer pleins de choses que la femme va subir si elle est attachée en croix sur une table de tortures, en plus entièrement nue.
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Les boureaux vont espérer que le mari va résister le plus longtemps possible.. par quoi vont il commencer?
RépondreSupprimerJe pense que les bourreaux vont commencer par la torture des seins de la femme, avec pose d'électrodes.
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Ils palpent longuement les nichons exposés, tordent les mamelons entre leurs doigts.
RépondreSupprimerPuis ils prennent deux longues aiguilles électrodes et les plantent profondément dans les mamelles.
La femme hurle de peur et de douleur, le mari ferme mes yeux et serre les dents
Ensuite ils touchent la chatte de la femme, jouant avec les lèvres vaginales, les étirent, décapuchonnent le clitoris en tirant la peau d'un coup sec en arrière, tout ceci plusieurs fois, lui ouvrent la fente au maximum, puis lui introduisent un gode électrique dans le vagin assez profond, sous le regard du mari qui tremble et ouvre des yeux de fou.
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Mais je pense que pour certains, il n'est pas besoin d'en arriver là. Déjà, quand le mari voit sa femme amenée devant lui, que les bourreaux commencent à la déshabiller, au moment de lui enlever son slip, le mari craque et parle.
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Je suis totalement d'accord.
RépondreSupprimerVoir impuissant des mains grasses et sales palper et claquer les fesses nues, doigter la chatte offerte. Voir la bourreau mordre les mamelons de sa femme fera tout avouer par le mari..
Le pire c'est que les aveux n'arreteront pas les bourreau...
Ça se peut que ça n'arrête pas les bourreaux, même qu'il y a juste un peu d'aveu de la part du mari. Ils pourraient continuer en faisant des commentaires assez salaces comme du genre :"C'est vraiment la vérité ça ?Ou tu nous caches encore des choses ?Tu vois, on a déshabillée ta femme, elle est en slip et les seins nus,debout et menottée, mais on va un peu continuer, et tu vas regarder, car on va lui baisser son slip pour bien voir sa chatte"...
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Un interrogateur s'approche de la femme, et en regardant le mari droit dans les yeux passe ses mains dans l'élastique du slip de la femme et le lui baisse d'un coup sec. A ce moment-là, entre une femme dans la trentaine dans la salle d'interrogatoire, s'arrête direct devant le mari, et en levant sa main droite, paume tourné vers elle doigts tendus, montre ses ongles longs et affinés au mari s'adresse à celui-ci : "si tu t'obstines à ne rien dire de plus,regardes bien mes ongles, je vais labourer les seins de ta femme, les striés de griffures. Et si ça ne suffit pas, comme on lui a baissé son slip, je m'occuperai de sa chatte,lui toucher le clitoris du bout de mon ongle pointu. Ensuite, je rentrerai le bout de cet ongle dans son ouverture vaginale. Mais t'inquiètes pas, un homme va d'abord lui passer toute sa chatte à la vaseline, de sorte que mon ongle glisse mieux dans son vagin, et ça ne suffit pas, j'ajouterai un deuxième ongle et ainsi de suite. Tu as intérêt à nous en dire plus, car je préfère te prévenir,quand mon ongle sera un peu rentré dans sa chatte, je le bougerai d'avant en arrière, puis de droite à gauche et vice-versa,ensuite de haut en bas. Je préfère te dire que ta femme va un peu saigner du vagin ,alors qu'en dis-tu ?"
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Je pense pour qu'il y est un impact plus psychologique, lorsque la femme est amenée devant son mari, il ne faut pas lui dire de se déshabiller elle-même. Elle doit être déshabillée par deux hommes qui font des commentaires assez salaces tout en regardant le mari.
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Oui totalement, effeuillage tantôt lent, tantôt brutal.
RépondreSupprimerCommentaires très humiliants sur la pilosité, la forme et la taille des seins, les odeurs corporelle.
Des questions également auxquelles elle est obligée de répondre.. sur leur rapports sexuels,
Oui totalement vrai aussi. Tantôt la femme est déshabillée lentement, tantôt brutalement. Tout cela en regardant bien le mari, c'est un impact psychologique. En plus comme tu dis, en demandant s'il la baise bien, qu'il ne la laisse pas sur sa faim sexuellement.
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Une autre pression psychologique, c'est quand le mari est assis, attaché, que sa femme est déshabillée devant lui, qu'on la laisse en slip, et qu'au fur et à mesure des questions, la réponse ne plaît pas aux interrogateurs, un de ceux-ci s'approche de sa femme, passe ses mains dans l'élastique du slip, s'amuse un petit moment avec, et au moment où le mari s'y attend le moins, baisse le slip de sa femme d'un coup sec sur ses genoux, pour découvrir sa chatte. Là le mari doit parler plus, parce qu'après...
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Aux interrogatoires, on déshabille souvent une femme devant son mari si celui-ci n'est pas coopératif. Elle est donc mise à poil devant son mari. Un autre lieu aussi, et c'est en fac, pour le bizutage, si on sait qu'un mec a une copine, ça n'empêche pas qu'elle soit bizutée devant lui. On l'amène devant son copain, et elle est déshabillée et mise à poil devant lui.
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Souvent
RépondreSupprimerEn plus, comme pour les interrogatoires, la copine du mec est souvent tripotée par les bizuteurs. Chose excitante pour eux mais pas pour le copain, qui voit sa nana à poil.
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Comment ça, souvent ?
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Il y a aussi quand la femme est amenée devant son mari, la laisser un petit moment avec son mari puis à un moment où la femme s'y attend le moins, lui donner un ordre bref et autoritaire :"A poil "
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En principe ,c'est une fille de deuxième année qui déshabille la nana de son copain pour l'humilier. Mais ça se peut que ce soit aussi un mec qui le fasse par vengeance.
RépondreSupprimerMilky
C'est vrai pour qu'un interrogatoire soit efficace, il faut déshabiller la femme devant son mari.C'est un impact psychologique important, surtout pour le mari, quand les bourreaux l'oblige à regarder sa femme se faire déshabiller,le moment où on va lui enlever son slip,que les interrogateurs vont aussi lui contempler sa chatte, qui va sûrement être tripoter, en plus si elle a des poils, les lui ébouriffés,voire qu'un bourreau les lui prend à pleine main et tire dessus, avec pour plus tard d'autres réjouissances. Le mari doit parler en voyant cela, en hurlant d'arrêter de la torturer.
RépondreSupprimerMilky