Nudité totale. |
Prisonnière placée nue et humiliée en confinement solitaire.
Attachée et exposée nue. |
Blog érotique et pornographique consacré au Bdsm ( Bondage Domination et Sado Masochisme). Les principaux fantasmes abordés : prisonnières nues, visites médicales, nudité forcée, fessées et autres punitions, bizutage, filles en pensionnat, exhib, pieds féminins, fétichisme etc. Suite de l'ancien blog https://camp-bdsm.blogspot.com
Nudité totale. |
Attachée et exposée nue. |
Marcher toute nue en public durant le bizutage. |
Dans cette école qui forme les futures infirmières et les aide soignantes chaque année, entre septembre et octobre pendant qu'il fait encore assez chaud, le bizutage est quelque chose de très intéressant à voir et qui fait partie du patrimoine folklorique de la ville.
Les étudiantes de première année doivent défiler complètement nues et pieds nus avec l'interdiction de couvrir leurs sexes, leurs seins, leurs fesses pour que tout le monde puisse regarder et profiter du spectacle des jeunes étudiantes à poil.
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Fille toute nue dans le parc. |
Pas de place pour la pudeur à poil ! |
L'armée américaine a choisi d'isoler les femmes prisonnières qu'elle détient dans une aile spécifique de la prison d'Abou Ghraib du coté de Baghdad et de leur imposer différents sévices spécifiques selon la presse internationale.
Des observateurs de la croix rouge dans un rapport confidentiel ont révélé que les femmes prisonnières de "haute sécurité" sont gardées dans des conditions très éprouvantes. Elles sont maintenues la plupart du temps dans de toute petite cellule qui ressemble plutôt a des cages de zoo.
Pire encore, les prisonnières sont entièrement nues, les responsables de l'armée reconnaissent que le déshabillage est une technique d'interrogatoire approuvée aux plus hauts cercles du pouvoir US. Les prisonnières sont contrainte de se dénuder totalement en arrivant sur le site, et doivent rester sans vêtements durant leur période de captivité.
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Prisonnière soumise à la nudité forcée.
Prisonnière attachée et exhibée nue. |
Dalia est une femme de 31 ans, ancienne fonctionnaire du régime irakien renversé par les Etats Unis lors de la seconde guerre du golfe (2003/2011). Lorsque les forces armées l'ont contrôler lors d'une opération de ratissage, le renseignement militaire a estimer qu'elle était susceptible d'avoir des informations importantes sur les insurgés, et certains dignitaires en fuite qu'elle connaissait et donc de l'arrêter et de la détenir plusieurs mois sans inculpation sous le statut de "détenue de sécurité".
Lorsque la prisonnière arrive sur le site dur, accompagnée par des marines, qui l'a "confie" aux personnel de la prison. Les marines l'ont traité avec courtoisie et respect.
Sur place la galanterie est terminée, de "Madame", elle passe à numéro 270917, elle est vêtue d'une tenue arabe traditionnelle chic et bien propre, d'un hijab, c'est une femme coquette, bien élevée.
Le cauchemar commence pour Dalia qui doit se déshabiller entièrement devant les gardiens hommes et femmes. C'est une pratique volontairement humiliante que d'obliger des femmes pieuses et honorables à se mettre nues devant les conquérants américains. Les psychologues et interrogateurs de l'armée utilisent le tabou culturel et religieux de la nudité pour soumettre les captifs, tout est fait pour mépriser et rabaisser la prisonnière et lui retirer non seulement ses vêtements mais aussi toute dignité et tout statut social.
C'est quasiment la première choses qui est faite lorsqu'une femme arrive : le déshabillage intégrale.
Dalia doit se dévoiler et retirer son hijab et le donner aux américains, et le reste de ses habits y passe aussi; elle doit les remettre pièce par pièce, tout, y compris la culotte de la prisonnière.
Le retrait des culottes et leur confiscation sont des enjeux important pour le staff car les sous vêtements féminins et les utilisent pour humilier les hommes en les forçant à s'exhiber en lingerie féminine ou avec une culotte sur la tête comme des idiots ...
Les slips de femmes ont beaucoup de valeur au sein de la prison car ils sont rares du fait du nombre restreint de détenues et les gardes peuvent se les échanger à des prix allant parfois a plus de 250 dollars.
Les prisonnières riches portent souvent des culottes de bonne qualités et très sexy et les plus modestes des sous vêtements plus simples.
Les culottes sont bien sur interdites, Dalia comme les autres prisonnières sont gardées les fesses à l'air et sont donc toutes à égalité. "Les femmes sont "cul nus" ça leur fait pas de mal de se promener les fesses à l'air".
Lorsque Dalia est arrivée les gardiens ont parié entre eux pour savoir si elle se rase ou pas la chatte, d'ou la présence de nombreux spectateurs masculin lors des fouilles d'accueil des femmes.
Dalia s'épile le pubis, ça lui aura au moins éviter l'humiliation d'être raser, car la responsables américaines des surveillants dans son devoir de civilisation et d'émancipation estime que les irakiennes doivent avoir le sexe et l'anus bien lisse et propre comme les femmes américaines.
L'équipe de surveillants américains estime que les femmes doivent non seulement être nues, mais aussi exposée et exhibée publiquement et privées de toute intimité pour être montrer en exemple et être humiliées et punies. Les interrogateurs sont très partisans de cette technique simple et efficace à mettre en oeuvre. L'humiliation est très fortement ressentie lorsque les vêtements d'une femme sont en train d'être retirés en public en arrivant.
Pour les gardiens c'est à la fois un moyen de contrôle et de punition, car si elles sont prisonnières sont là c'est qu'il y a une raison et elles doivent en baver, mais aussi par méchanceté et pour s'amuser de voir la détresse d'une femme pudique obligée d'exposer ses parties les plus intimes et sans défense.
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Séquestrée et ligotée nue par un cambrioleur.
Les humiliants sévices subies par les prisonnières.
Les prisonnières humiliées alignées nues. |
Les gardiens et militaires américains pendant la seconde guerre d’Irak (2003/2011) ont déclenché plusieurs scandales en rapport avec les conditions de détention et le traitement des prisonniers de guerre dans les centres de détention de l’armée Us en Irak pendant la période et en particulier dans la prison d’Abou Ghraib prêt de Baghdad ou des sévices pervers et humiliant sont systématiquement imposés aux prisonniers. Les femmes prisonnières ne sont pas non plus épargnées par la méchanceté des gardiens.
Un ancien prisonnier de droit commun raconte avoir vue sa cousine Hoda se faire humilier et dresser publiquement par les gardes dans les couloirs de la prison d’Abu Ghraib.
« Ma cousine Hoda est arrêtée le 07 avril 2004 sur un malentendu par les troupes américaines à côté de son université où elle étudie le droit et tente de défendre les intérêts de ses concitoyens face aux occupants américains.
Il n’en faut pas beaucoup pour être emprisonné et arrêter au secret pendant plusieurs mois par les autorités Us. Le fait d’avoir été consulté en tant que juriste par la famille d’une personne suspectée de résistance et de faire partie de la rébellion a value à Hoda d’être emprisonnée sans aucune charges plusieurs mois pour « menace à la sécurité nationale » et soupçons d’appartenance à la rébellion.
Elle s’est faite arrêter sur le campus puis vue son statut de prisonnière de haute sécurité transférée à bord d’un véhicule militaire jusqu’à la prison d’Abou Ghraib.
Elle est arrivée et plusieurs autres femmes étaient là, il y avait jeune fille accusée de prostitution, et deux autres femmes bien habillées, l’une commerçante et une ancienne employée du ministère du pétrole.
Hoda et ses camarades sont d’abord invitées à remettre leurs papiers d’identité, argent, bijoux, montres,
Puis elles sont soumises à des relevés d’empruntes digitales et prélèvements d’ADN.
Une fois toutes ces procédures terminées les prisonnières ont reçu chacune un petit carton d’environ 40 cm sur 40 avec un numéro et le nom de chaque détenue.
Les femmes doivent suivre une gardienne en marchant alignées et traverser une aile de la prison où sont gardés des hommes dont moi son cousins jusque à la salle d’admission.
La salle d’admission est ouverte et les fenêtres donnent sur la cours ce qui fait que les détenus et personnels de l’administration peuvent voir ce qui s’y passe.
Une fois dans cette pièce où elles sont attendues par l’équipe qui gère la partie de la prison où elles doivent être retenues.
Certains membres de la police militaires sont de vrais brutes de décoffrage. Pour les américains l’arrivée de nouvelles détenues est toujours un spectacle amusant certains aiment par sadisme voir la situation difficile dans laquelle se trouvent les femmes incarcérées.
Hoda et les autres reçoivent l’ordre d’enlever tout leurs vêtements et de les mettre dans le carton devant tout le monde hommes inclus !
Je la connais, elle porte le voile et elle est très pudique et réservée et n’a jamais oser se promener ne serait ce qu’en maillot de bain sur la une plage, c’est très difficile d’imaginer ce qu’elle peut ressentir lorsque l’ordre est tombé.
Les autres femmes aussi ont l’air anxieuses et désespérées sauf pour celle qui est ici pour prostitution qui a l’air un peu délurée et porte un jean et un T shirt avec des baskets blanches.
Les prisonnières doivent se déshabiller les unes devant les autres et devant un large public. Bien sûr que les américains les oblige les femmes à retirer leurs hijab (voiles) abayas (large robe traditionnelle arabe) pour les dominer mais ils vont bien plus loin et les force a enlever vraiment tout.
Les américains expliquent qu’ici ils sont les maîtres et qu’il n’y a pas de place pour la pudeur et la timidité.
Certaines tentent souvent comme Hoda et l’ancienne fonctionnaire du ministère de garder leurs culottes mais c’est impossible et elles doivent aussi les baisser et les remette aux geôliers. Les américains sont intraitable et ne font jamais aucune concession sur la question de la nudité et les femmes fières et pudiques comme ma cousine se retrouvent toujours les fesses à l'air ... Tout doit être ôter , bien sur tout les vêtements et sous vêtements, mais aussi les épingles à cheveux et les culottes ...`
la prostituée qui est pleine de tatouages et plutôt exhibitionniste a été réprimander pour avoir oublier de retirer ses chaussettes.
Les femmes sont traitées comme les hommes, totalement dépouillées et ensuite inspectées et fouillées en profondeur.
Ma si pudique cousine doit avec ses camarades d'infortunes exposer tout son corps et son intimité en public, ces jeunes femmes sont totalement nues et pieds nus après avoir déposer tout leurs vêtements dans les cartons qui sont ramassés par un gardien et ensuite placés dans la consigne. Elle a l'air dépitée de voir ses précieux vêtements confisqués et sans savoir quand elle pourra à nouveau les porter
Ma cousine et les autres sont laisser sans rien et doivent rester debout pendant un long moment, les gardes pour leur apprendre l'obéissance et la soumission et leur montrer qui est désormais le patron obligent les prisonnières nues à mettre les mains sur la tête et a tourner sur elle même lentement sous les regards et remarques méprisantes et moqueuses du staff pénitentiaire. Tout geste de pudeur est rigoureusement interdit, mettre sa main sur ses seins ou son sexe pour tenter de le dissimuler aux regards du public est proscrit par les gardiens.
La procédure oblige les nouvelles arrivantes à s'exhiber et tout montrer "Tout le monde peut voir que vous êtes toutes nues et bien dociles et obéissantes, il faut qu'on puisse tout voir, pas de pudeur ici.
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Nue en enchainée totalement exhibée dans sa cellule de prison. |
Femme exhibée toute nue en prison. |
Pas de respect ni de pudeur en prison, à poil et c'est tout. |
Dans un foyer pour jeune fille qui accueille des femmes migrantes ou ayant des problèmes familiaux compromettant leur éducation, la discipline est très stricte et le directeur et les surveillants sont adeptes des punitions physiques (fessées) et autres châtiments corporels comme la falaka ou bastinado qui consiste à flageller la plante des pieds de la personne punie.
Les punitions se font toujours toutes nues pour rendre la sanction plus efficace car accompagnée d'humiliations et de hontes. Yasmeena n'est pas très bonne dans ses études, ni très disciplinée et respectueuse du règlement intérieur.
Elle se masturbe et se trifouille souvent la chatte au lieu d'étudier, de lire ou de faire le ménage et de tenir correctement sa chambre. De plus le directeur souhaite faire respecter la laïcité dans l'établissement et la jeune fille a été plusieurs fois prise en train de porter le voile hijab, totalement interdit comme tout les autres couvres chefs.
Outre l'obligation d'avoir la tête nue, les pensionnaires dans les locaux sont obligées de porter des tenues féminines, légère et peu couvrantes, en dehors des périodes de règles les filles doivent porter des petites jupes sans culotte, fesses à l'air, et sans soutient gorge sauf pour celles ayant de très grosse poitrines ce qui n'est pas le cas de Yasmeena.
Les chaussettes sont interdites et les pieds doivent être nus, les chaussures doivent être féminines, à talons, des sandales ou alors elles doivent rester pieds nus.
Yasmeena doit se défaire se son éducation religieuses pour devenir une fille libertine et sans pudeur respectueuse des règles.
Prise en train de se branler et de porter le voile, le directeur l'oblige a se mettre toute nue, chose simple car elle ne porte que des escarpins et une petite robe sans rien dessous comme toute bonne petite femme chaude mais lui fait garder son foulard pour mieux la punir.
la jeune fille est ensuite fouettée sur la plante des pieds, puis obligée de se mettre contre le mur toute nue avec une badine entre les fesses pour servir d'exemple.
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Punitions collectives et humiliante.
Prisonnière nue vers la salle d'interrogatoire |
Princesse réduite en esclavage. |
Prisonnière nue et enchaînée en cellule. |
Prisonnière nue contrainte de courir dans les escaliers. |
Les terriblement humiliantes "revue des anus" en pension. |
Deux soumises sodomisées. |
Prisonnière nue pour l'inspection. |
En 2004, en Irak pendant la seconde guerre du golfe les Etats Unis ont ouvert près de Baghdad dans le secteur d'Abou Ghraib l'une des prisons les plus dures et les plus redoutées ou sont détenues les personnes suspectées de liens avec l'ancien régime, le terrorisme ou de menacer la sécurité nationale US.
L'une des caractéristique qui choque plus est que les détenus sont gardés sans aucune vêtements pour l'immense majorité, y compris les femmes prisonnières. Un observateur de la Croix Rouge Internationale rapporte l'expérience de Yousra S, une jeune femme de 26 ans retenue en isolement sous le statut de prisonnière de "hautes valeur" par l'administration, sans aucune inculpation , mais totalement arbitrairement car son oncle est activement recherché par la coalition pour ses liens avec l'ancien régime.
Dans l'unité ou est gardée Yousra, les prisonniers doivent être complètement nus à tout moment, les femmes ne faisant pas exception et sont soumises aux même règles que les hommes. Yousra a donc été déshabillée et fouillée en arrivant et forcée de marcher nue dans les couloirs de la prison avant d'être placée totalement nue en cellule.
De plus les forces armées obligent les femmes à se dévêtir devant des hommes pour accroitre leur sentiment d'humiliation. En effet, Yousra est une femme musulmane arabe respectable, certes assez moderne, mais de culture très pudique et conservatrice. Elle n'a jamais porter de bikini en public et porte par respect des tradition le hijab, voile et de robes amples et pudique en présence d'étrangers lorsqu'elle sort dehors. Les responsables utilisent la nudité comme moyen de coercition psychologique pour soumettre et rendre docile plus efficacement.
La nudité est particulièrement dégradante pour les personne comme elle, mais après quelques semaines, vivre nue devient naturelle et habituel. Yousra n'a plus aucun problème et sa pudeur a comme disparue.
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Le rituel impudique de la fouille des orifices intimes des prisonnières. |
Avant d'être incarcérée et avilie Linda, 27 ans, était une femme respectable de la bourgeoisie citadine. Sauf qu'elle a été arrêtée par les forces spéciales américaines dans un raid sur sa maison. car son oncle est recherché par la coalition internationale comme membre de l'ancien régime renversé par les USA durant la seconde guerre en Irak de 2003/2011).
La prisonnière, jugée comme étant de "haute valeur" était détenue dans le secteur d'isolement de la prison réservé à ce type de prisonniers. Avant son incarcération, même si des rumeurs disaient que les américains humiliaient les prisonniers, elle n'y a avait pas crue, et elle n'aurait jamais oser imaginer être déshabiller et devoir s'exposer nue devant des étrangers dans des positions parfois obscènes.
Pourtant, lorsqu'elle est arrivée dans l'aile de détention en isolement pour les détenus avec son type de profil, dans un secteur de la prison en dur, ou les quelques femmes sont placée dans un couloir de l'aile principale à l'étage et les hommes sont en bas. Elle a été contrainte de se déshabiller sur ordre du staff de la prison. Les fouilles s'effectuent à nu sans respect pour l'intimité et la pudeur des femmes. Les gardiens ont pour consigne d'être intransigeant sur cette question car il en va de la sécurité, peu importe si ça peut être perçu comme humiliant par les captifs de guerre.
Linda n'avait pas droit au moindre traitement de faveur du fait qu'elle soit une femme. Le fait de retirer ses vêtements était une épreuve difficile. Pour une femme arabe et musulman qui porte le voile (hijab) plus par tradition que par convictions religieuses profonde elle doit d'abord retirer le couvre chef et dévoiler sa chevelure puis ses chaussures et le reste de ses vêtements, elle avait tenter de garder sa culotte et son soutien gorge mais les gardes n'avaient rien céder et lui ont confisqué aussi ses dessous.
L'une des particularité dans cette section d'isolement de la prison était que les détenus étaient confinés dans des petites cellules vide ne contenant qu'un très fin tapis de couchage sur une couchette surélevée et des toilettes "à la turque". Tout autre objet étaient strictement interdit.
Les détenus présent dans ce secteur devaient être complètement nus à tout moment. Après l'inspection corporelles Linda ne s'était pas vu remettre le moindre vêtements, ses affaires personnelles et ses chaussures avaient été mises sous scellés et consignés et aucun uniforme ne lui avait été remis.
Si la nudité imposée pouvait paraitre difficile à vivre et choquante pour des femmes pudique et pieuse comme Linda, qui s'était en quelques minutes retrouvée de presque intégralement voilée à totalement poil. Il faut dire qu'avec le temps la nudité est de plus en plus naturelle, avoir les seins, les fesses et le vagin exposés et visibles.
Le pire est ce dressage à la nudité, l'obligation régulièrement de devoir montrer sa chatte et son trou du cul sur commande comme un animal de zoo. Les pauvres femmes doivent se soumettre régulièrement à des sorte de "danse" obligatoire ou elles doivent exposer et ouvrir leurs fesses et leur chatte en public pour les montrer aux gardiens.
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Vidéos de femmes déshabillées en enchainées.
Prisonnière en uniforme pieds nus et enchainée en cellule. |
Femme durement fouettée nue lors de l'interrogatoire. |
Bondage et ligotage d'une femme prisonnière nue humiliée. |
Nue dans un bar au bizutage. |
Deux prisonnières nue torturées humiliées et fessées avec une canne. |
En 2004 lors de l'invasion américaine de l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massive et du sois disant soutien du régime au terrorisme international les Etats Unis ont eu beaucoup de difficultés à conquérir et surtout maintenir l'ordre contrôler et contrôler le pays. Les dirigeants US ont choisi de mener une politique agressive pour tenter de vaincre la rébellion et les atteintes aux droits de l'homme se sont multiplier.
Un étudiant rapporte que lui et sa fiancée, Sara ont été arrêtés par les forces spéciales américaine car un de ses cousin éloigné est suspecté d'être impliqué dans la résistance et est recherché. Elle n'a aucune nouvelle de lui depuis plusieurs années et n'a aucune implication dans la rébellion et est totalement innocente.
Les troupes d'élites ont fait irruption dans la maison familiale pour la capturer et ils ont par la même occasion arrêter plusieurs personnes dans le quartier dont le futur époux de Sara.
Ils ont été ligotés et bâillonnés avant d'être jetés dans un fourgon militaire avant d'être transférés dans un centre de détention et d'interrogatoire militaire.
La jeune fille et les autres captifs sont soumis aux traitements standard que les USA imposent. Sur place la jeunes filles et d'autre malheureuses arrêtées avec elle, bien que très pudiques et voilées de la têtes aux pieds sont obligées et se déshabiller devant les militaires américains. Celles qui tentent de résister sont mises à poil de force avec leurs vêtements découpés.
La nudité est imposée systématiquement et les autres prisonniers dont sont petit ami ont pu voir Sara toute nue et honteuse menottée les mains dans le dos. Les responsables et stratèges américains considèrent la nudité forcée comme un outil coercitif et de discipline très efficace et facile à mettre en oeuvre qui ne coute rien (pas la peine d'acheter des uniformes orange ou jaune de prisonniers). C'est très humiliant et déstabilisant pour Sara car elle n'a jamais exposé son corps dénudé et c'est dégradant pour elle d'être moquée et vue par tour le monde sans aucun vêtements. Les américains exhibent les femmes prisonnières nues comme des trophées pour rabaisser le plus possible leurs égos et les rendre docile.
Les pauvres victimes sont pour le plaisir des gardiens forcer d'écarter grand leurs fesses pour ouvrir leurs chattes et anus pour des inspections publique en profondeur.
Ensuite dans la salle d'interrogatoire, Sara est molestée et subie divers châtiments corporels en compagnie d'autres détenues d'infortune. Elles sont soumises notamment au supplice de "la perche" qui consiste à attacher toute nue la captive à une sorte de perche de perroquet pour lui fmetre des coups de cannes dans les fesses et oui flageller les plantes des pieds (falaka, bastinado).
Après les pieds des suspectes sont aussi longuement chatouiller et lécher jusque a ce que ce soit insupportable
Torture d'une prisonnière nue avec la perche du perroquet (ass and feet). |
Elles sont aussi promener nues et forcer de servir les repas des hommes, de faire le ménage jusque a ce que les services de renseignements obtiennent des aveux pour envoyer les femmes prisonnières à Guantanamo Bay ou à Abou Ghraib.
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Visite d'une prison réputée pour sa dureté.
Femme nue attachée et exhibée aux barreaux de sa cellule. |
Durant la seconde guerre du golfe entre 2003 et 2011, une période ou les Etats Unis ont envahi l'Irak, renverser le gouvernement et occuper le pays plusieurs années. Les américains dans le cadre de la lutte contre le terrorisme ont ouvert toute une série de centre de détention officiels ou officieux et des prisons secrètes partout dans le monde.
Bien que l'imposition de la nudité aux captifs de guerre n'a rien d'originale et soit pratiqué depuis des siècles que ce soit durant l'antiquité ou les romains faisaient parader nus les prisonniers défaits, au moyen âge et pendant la période moderne. Dans cette prison le déshabillage des prisonniers est ouvertement et sans le moindre complexe admis par les autorités militaires comme une pratique imposée faisant partie du processus officiel.
Suite à la révélation dans les médias du scandale des prisonniers humiliés, les dirigeants US ont tenter de présenter ça comme des actes isolés orchestrés par des brebis galeuses. Sauf que de multiples témoignages divers et variés contredisent cette version.
Selon les soldats, la nudités est générale et omniprésente et parfaitement ordinaire et que le staff trouve cela normal car ça fait parti du processus mis en place par le renseignement militaire. Pour les soldats et employés divers qui travaillent dans le centre de détention, la nudité est une méthode approuvée par les plus haut responsables.
Des observateurs internationaux ayant pu visiter la prison ont constater que les prisonniers étaient forcés de défiler nus les uns devant les autres et devant les les gardiens ayant d'être placés nus en cellule.
Un témoin anonyme se souvient avoir traverser l'aile de la prison et vue une jeune femme prisonnière attachée avec un bandeau sur les yeux complètement nue et pieds nus aux barreaux d'une cellule dans le couloir. Ses seins et ses parties intimes étaient visibles par tout le monde.
Lorsque cet observateur, choqué et surpris a demander aux responsables pourquoi cette femmes se trouve dans cette situation dégradante. Il lui a été expliquer que cette jeune femme de 27 ans nommée Jada a été évaluée a son arrivé par une commission du renseignement militaire et placée sous le statut de prisonnière de haute sécurité dans le cadre de la guerre contre le terrorisme. Elle est la nièce d'un responsable de l'ancien régime en fuite ce qui justifie son placement en détention sans inculpation ni explication pour une durée indéterminée selon la loi américaine faite votée par Georges W Bush connue sous le nom de "Patriot Act" et fortement critiquée par les organisations de défense des droits de l'homme.
Vue son statut juridique et ses antécédents, ses vêtements, chaussures, effets personnels et même ses bijoux lui ont été confisquée durant la fouille à nu d'admission et elle a été conduite nue dans sa cellule.
Il est a noté que les inspections et fouilles peuvent être pratiqué par des gardes hommes ou femmes sur les détenus et que les prisonnières se déshabillent souvent devant des hommes, ce qui est une violation des convention de Genève et des préceptes religieux.
Les interrogateurs et les psychologues considèrent que mettre nue une femme de culture traditionnel très conservatrice est très efficace pour la soumettre et la rendre docile, et ça permet aussi de montrer aux prisonniers mâles que si leurs femmes, filles, soeurs cousines sont arrêtées, elles seront misent nue devant des hommes et exhibées sans le moindre respect pour leur pudeur et dignité.
Jada qui comme la plupart des femmes arabes irakiennes ne sort que voilée a du retirer ses vêtements, c'est très traumatisant et honteux dans sa culture. Les autorité US affirme pratiquer des fouilles qui nécessite la nudité complète des prisonnières sans distinction de religion, et que leurs vêtements sont confisqués et mis sous scellés. Du point de vue des gardiens ce n'est pas humiliant ni un abusif de d'enfermer des personnes sans vêtements et les femmes nues distraient bien les gardes.
L'une des surveillante se souviens de cette détenue " Elle était timide et réservée, pudique, couverte de la tête aux pieds, quand nous lui avions appris qu'elle allait devoir se déshabiller complètement elle a fait une de ces tête. Elle avait le visage rempli de détresse et de honte. Les gardiennes sont en général sans pitié, assez méchantes et cruelles et elles font mettre à poil les femmes comme Jada sans états d'âmes.
Elle a supplier pour garder au moins sa culotte, les gardes sont intraitables et font souvent des paris pour savoir si les prisonnières ont des chattes poilues, lisses ou taillées. Jada a le sexe tout doux et parfaitement rasé ce qui a fait un heureux élu parmi les gardiens qui à remporter 30 dollars.
Jada doit exposer sa chatte et son anus devant ces pervers un peu sadique et très voyeur qui se marrent bien en la dégradant de cette façon et en profitant de sa détresse et qu'elle soit toute nue sans défense.
La prisonnière parade ensuite à poil et pieds nus comme un trophée comme le veut la tradition de la prison.
Ensuite pendant la journée la prisonnière est attachée nue les yeux bandés aux barreaux de sa cellule comme les autres personnes privées de liberté.
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La règle de la nudité en prison.