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dimanche 14 septembre 2025

Humilier et ridiculiser une prisonnière.

Humiliation psychologique lors des interrogatoires.
Humilier toute nue devant les gardiens et gardiennes de prison.

 Ridiculiser et dégrader les détenues.


Dans les murs sombres de la prison d'Abu Ghraib en Irak, pendant la seconde Guerre du Golfe, les troupes américaines détenaient des femmes soupçonnées de liens avec l'insurrection. Ces prisonnières étaient à la merci de gardiens cruels et sadiques, qui avaient carte blanche pour briser leur esprit par l'humiliation et les abus. La discipline était absolue : soumission totale aux règles impitoyables, où la nudité forcée et les fouilles intimes par des mains masculines impitoyables étaient la norme pour maximiser la honte.

Dalila, une détenue musulmane voilée, accusée de soutien à la rébellion, était leur cible favorite. Pudique et fière, elle incarnait la résistance brisée. Confinée dans une cellule exiguë d'un mètre sur deux, vide et oppressante, elle était souvent extraite pour servir d'outil de distraction érotique aux gardiens. Nue en permanence – car pour les "prisonnières de haute importance" comme elle, l'humiliation maximale exigeait une exposition totale –, Dalila devait tourner sur elle-même, exhibant ses courbes sous tous les angles, la peau frémissante sous les regards lubriques. À quatre pattes, elle marchait, l'anus ouvert et vulnérable, bien visible, sentant l'air froid caresser ses parties intimes tandis que les rires moqueurs résonnaient.

Les gardes, mixtes hommes et femmes, savouraient la détresse dans ses yeux sombres, la honte brûlante qui rougissait sa peau mate. "Chienne, tu fais moins la fière comme ça ?", lançaient-ils en riant, profitant de sa pudeur innée pour amplifier leur plaisir sadique. Souvent désignée comme "le clown" de la prison, Dalila était traînée hors de sa cellule pour divertir la troupe. Les soldats dessinaient sur son corps nu des gribouillis pervers : "Spank me" en lettres grasses sur ses fesses rebondies, des insultes dégradantes tracées au marqueur indélébile sur ses seins et son ventre, transformant sa chair en toile vivante d'humiliation érotique.

Forcée à s'humilier verbalement, Dalila devait réciter d'une voix tremblante : "J'aime être nue devant mes maîtres supérieurs, les gardiens et gardiennes. Je suis fière d'avoir enlevé mon voile, mes vêtements et mes chaussures pour être enfin nue et libre." Chaque mot arraché renforçait sa soumission, un mélange enivrant de terreur et de résignation qui excitait les gardes.

 

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Discipline stricte en prison. 

vendredi 12 septembre 2025

Toute nue pour la visite médicale.

Se déshabiller pour la visite médicale sans pudeur
Toute nue pour l'examen médicale de la fac.

 

La visite médicale universitaire.

 

À l'Université de Paris, la visite médicale obligatoire pour les étudiantes de première année prenait une tournure encore plus humiliante. Léa, la libertine audacieuse en mini-jupe et top décolleté, Aisha, la musulmane voilée dans sa longue robe modeste, et Marie, la brunette ordinaire en jeans et sweat-shirt, attendaient nerveusement dans la salle d’attente du centre médical. Une pancarte à l’entrée précisait : « Pour des raisons d’hygiène, toutes les étudiantes doivent se présenter pieds nus. » Les trois filles, déjà mal à l’aise, ôtèrent leurs chaussures, exposant leurs pieds nus sur le carrelage froid. Léa arborait une pédicure rouge éclatante, Aisha des pieds délicats et légèrement calleux, et Marie des pieds simples, sans vernis, un peu rougis par la gêne.

L’infirmière, Mme Dupont, les appela d’un ton sec : « Mesdemoiselles, suivez-moi. L’examen se fera en groupe pour gagner du temps. Le Dr. Moreau et son interne, Julien, vous attendent. » La salle d’examen, stérile et intimidante, sentait l’antiseptique. Une table gynécologique trônait au centre, entourée d’instruments luisants et de miroirs grossissants. Le sol glacé sous leurs pieds nus amplifiait leur vulnérabilité. Le Dr. Moreau, un homme imposant au regard dominateur, les toisa. Julien, l’interne de 25 ans, semblait nerveux mais excité, ses yeux glissant sur leurs pieds exposés.

« Déshabillez-vous jusqu’à la culotte et le soutien-gorge, et asseyez-vous sur la table. Restez pieds nus, bien sûr, » ordonna le docteur, sa voix chargée d’une autorité implacable. Léa se dévêtit avec aisance, sa lingerie rouge contrastant avec ses pieds vernis, qu’elle remuait avec un sourire provocant. Aisha, tremblante, ôta sa robe et son hijab, révélant une culotte blanche et un soutien-gorge simple, ses pieds nus semblant si fragiles sur la table. Marie, rouge de honte, se déshabilla à contrecœur, ses pieds nus crispés contre le métal froid.

« Enlevez vos soutiens-gorge, » commanda le Dr. Moreau. Léa libéra ses seins voluptueux, ses tétons déjà durs sous l’air frais. Aisha, au bord des larmes, dégrafa le sien, exposant une poitrine menue, ses pieds se recroquevillant de honte. « Pas de pudeur ici, baissez les bras, » gronda le docteur. Marie suivit, ses seins moyens frémissant, ses pieds nus pressés l’un contre l’autre pour se réconforter.

Julien s’approcha, gants en latex, pour la palpation mammaire. « On vérifie les anomalies. » Il commença par Léa, soupesant ses seins, pinçant ses tétons durcis. « Bien fermes, et regardez ces pointes… Très sensibles, » commenta le docteur avec un rictus salace. Léa gloussa, ses orteils se crispant d’excitation. Pour Aisha, l’examen fut un supplice : Julien malaxa ses seins délicats, tirant doucement sur ses tétons sombres. « Votre corps réagit malgré vous, n’est-ce pas ? » murmura-t-il, ses yeux glissant vers ses pieds nus, qu’elle essayait de cacher. Marie subit le même traitement, ses tétons pincés sous les regards des autres, ses pieds nus exposés ajoutant à son humiliation.

« Maintenant, enlevez vos culottes et mettez-vous à quatre pattes sur la table, côte à côte. Pieds bien visibles, talons relevés, » ordonna le Dr. Moreau. Léa s’exécuta avec un frisson de plaisir, son sexe rasé luisant, ses pieds cambrés mettant en valeur sa pédicure. Aisha, en pleurs, révéla une toison soignée, ses pieds nus tremblants alors qu’elle se positionnait en levrette. Marie, mortifiée, exposa son intimité, ses pieds nus crispés contre la table. Le docteur s’approcha avec un thermomètre rectal. « Julien, prenez la température. Et notez l’état des pieds – l’hygiène est essentielle. »

Julien, lubrifiant le thermomètre, l’inséra d’abord dans l’anus de Léa, qui gémit doucement, ses orteils se recourbant. « Trois minutes. Et vos pieds sont impeccables, mademoiselle, » dit-il, effleurant sa voûte plantaire, ce qui la fit frissonner. Pour Aisha, l’invasion fut un choc, son corps se crispant, ses pieds nus se contractant sous l’humiliation. « Détendez-vous. Vos pieds sont propres, mais un peu secs. On vérifiera mieux après, » commenta le docteur, sadique. Marie haleta lorsque le thermomètre pénétra son anus, ses pieds nus tressaillant sous le regard perçant de Julien.

Ensuite, le lavement. Julien inséra une poire d’eau tiède dans chaque anus, une par une. Léa rit nerveusement, ses orteils s’agitant alors que le liquide la remplissait. Aisha murmura des prières, ses pieds nus crispés de honte. Marie serra les dents, ses pieds glissant légèrement sur la table. « Retenez cinq minutes, puis allez aux toilettes. Et marchez pieds nus, pas de chaussures dans cette salle, » ordonna le docteur, les forçant à rester exposées, leurs pieds nus ajoutant une couche d’humiliation.

Après le lavement, elles furent pesées et mesurées, toujours nues et pieds nus. Le Dr. Moreau inspecta leurs pieds de près, palpant les voûtes et les talons. « Léa, pédicure parfaite, mais un peu d’audace dans votre démarche, non ? Aisha, vos pieds sont délicats, mais trop crispés – détendez-vous. Marie, pieds ordinaires, mais propres. » Les commentaires, mêlés de sous-entendus, amplifiaient leur malaise.

Enfin, la position gynécologique : jambes écartées dans les étriers, sexes exposés, pieds nus bien en vue. Le docteur examina la vulve de Léa, écartant ses lèvres. « Humide, comme prévu. Et ces pieds cambrés… Vous aimez être regardée, n’est-ce pas ? » Léa frissonna, ses orteils se contractant. Pour Aisha, l’examen fut un calvaire : « Une vulve si pure, mais réactive. Vos pieds tremblent, c’est révélateur, » dit-il, insérant un spéculum avec des commentaires vicieux. Marie, les jambes écartées, sentit les doigts gantés explorer son vagin et son anus, tandis que Julien caressait distraitement la plante de ses pieds, ajoutant une humiliation subtile. « Bien dilatée. Et ces pieds, si sensibles… »

L’examen s’acheva sur un dernier ordre : "Rhabillez-vous" Les trois filles, marquées par cette domination psychologique et l’exposition de leurs corps – pieds nus inclus – quittèrent la salle, emportant avec elles un mélange de honte, de stress et d’étranges frissons.

 

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Lesbienne à la visite médicale. 

 

 

 

jeudi 11 septembre 2025

Une prisonnière parade nue dans les couloirs de la prison.

Nue en public en prison.
Femme parade nue dans les couloir de la prison.

 Défilé nue et humiliant en prison.

 

Le soleil de midi cognait sur la cour d'Abu Ghraib, transformant le sol poussiéreux en une plaque brûlante. Amina, trente-deux ans, se tenait debout, nue, les pieds nus écorchés par le béton rugueux. C'était son premier jour dans la prison, quelques heures à peine après son arrestation à Bagdad pour "suspicion de soutien à des insurgés". Son cousin, un vague rebelle, avait été vu chez elle ; cela suffisait pour faire d'elle une "détenue de haute valeur". Pas de procès, pas de sentence, juste un vide administratif et une humiliation méthodique.

La "fouille initiale" venait de se terminer. Dans une pièce aux murs métalliques, deux gardiens – un homme, le sergent Mike, et une femme, la caporale Sarah – l’avaient forcée à retirer son hijab, sa abaya, ses sous-vêtements, et même ses vieilles sandales. "C’est la procédure", avait répété Sarah, son ton aussi froid qu’un formulaire. Amina avait supplié, les joues trempées de larmes : "Je suis musulmane, c’est haram, laissez-moi mon voile !" Mike avait ricané, tenant le tissu noir entre ses doigts comme un trophée. "Ici, c’est nous qui décidons ce qui est sacré, ma belle." Sarah avait ajouté, légaliste : "Article 3, section 2 : tous les vêtements sont confisqués pour raisons de sécurité. Coopère, ou on prolonge la fouille." Amina, tremblante, avait cédé, sentant son identité s’effilocher avec chaque vêtement retiré.

Maintenant, ils l’emmenaient vers sa cellule, à travers ce qu’ils appelaient la "parade d’entrée" – un rituel cruel pour briser les nouvelles détenues. Amina était seule, pas de chaîne de prisonnières comme dans d’autres prisons, mais l’isolement rendait l’expérience encore plus pesante. Ses bras pendaient le long de son corps, ses coudes crispés par la honte, tandis qu’elle avançait, pieds nus, sur le sol inégal. Chaque pas était une épreuve : les cailloux s’enfonçaient dans ses plantes de pieds, et la poussière collait à sa peau moite. Elle baissait la tête, ses cheveux noirs tombant sur son visage, un maigre rempart contre la nudité imposée.

Mike marchait devant, son treillis impeccable contrastant avec la vulnérabilité d’Amina. Sarah suivait, un carnet à la main, notant chaque détail comme une bureaucrate zélée. "Allez, bouge, Amina !" lança Mike, son ton oscillant entre l’ordre militaire et une moquerie presque joviale. "T’es pas au marché de Bagdad, ici, pas besoin de traîner !" Il se tourna à moitié, un sourire en coin. "Regarde, t’es libre comme Ève au paradis, non ?" La référence biblique, jetée comme une plaisanterie, poignarda Amina. Elle murmura une prière silencieuse, espérant qu’Allah lui pardonne cette indignité.

Le couloir métallique s’ouvrait sur une série de portes rouillées. D’autres soldats, postés à des checkpoints, la regardaient passer. Certains détournaient les yeux, gênés ; d’autres, plus jeunes, ricanaient ou murmuraient entre eux. Une voix lança : "Hé, c’est quoi ce tatouage sur son épaule ? Un code secret pour Saddam ?" Amina n’avait pas de tatouage, mais la remarque, absurde, visait à la ridiculiser. Sarah, toujours dans son rôle de gardienne "professionnelle", répondit : "Pas de tatouage, juste une vérification à faire. Notez ça pour le rapport." Tout était codifié, légaliste, comme si l’humiliation était une simple case à cocher.

Le pire était le contraste. Amina, qui n’avait jamais montré plus que ses mains et son visage en public, se sentait comme un animal exposé. Son voile, symbole de sa foi et de sa dignité, gisait quelque part dans un sac plastique étiqueté "Propriété de la détenue 472". Ses pieds nus, autrefois protégés par des chaussures modestes, étaient maintenant noirs de crasse, chaque pas un rappel de sa chute. Elle tenta de se redresser, de marcher avec une once de fierté, mais Mike s’en aperçut. "Oh, on fait la princesse maintenant ? Baisse les yeux, c’est mieux pour tout le monde." Son ton était dur, mais il ne la toucha pas – la violence ici était dans les mots, les regards, la nudité imposée.

Ils passèrent devant une salle où d’autres détenus, hommes, hurlaient derrière des barreaux. L’un d’eux cria quelque chose en arabe, un mélange de pitié et d’insulte. Amina rougit, ses joues brûlant sous la honte. Sarah s’arrêta pour noter : "Interaction non autorisée avec le bloc masculin. À signaler." Amina voulait disparaître, mais il n’y avait nulle part où se cacher. Elle plaça un pied devant l’autre, mécaniquement, comme un automate.

Enfin, ils atteignirent sa cellule : un cube de béton gris, avec un lit métallique et un seau. Mike ouvrit la porte avec un claquement théâtral. "Bienvenue chez toi, Amina ! Pas de tapis de prière, mais tu peux toujours parler à ton dieu comme ça, non ?" Il éclata de rire, et Sarah, pour une fois, sembla mal à l’aise. "Laisse-la, Mike. Elle est enregistrée. On a fini." Elle se tourna vers Amina, presque compatissante : "Tu restes ici jusqu’à nouvel ordre. Coopère, et ça ira mieux." Mais ses yeux disaient le contraire.

Amina entra, ses pieds nus frôlant le sol glacé de la cellule. La porte se referma avec un clang métallique. Seule, elle s’effondra sur le lit, les larmes coulant en silence. Elle murmura une sourate, les mains couvrant son visage, tentant de retrouver un fragment de sa pudeur.

 

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Défilé humiliant et nue en prison. 

 

 

 

 

 

mercredi 10 septembre 2025

Une détenue en confinement solitaire.

La prison ou les femmes sont gardées nues.
Toute nue et sans pudeur lors de l'interrogatoire.

Une respectable prisonnière découvre la nudité forcée.

Sabrina a été profondément traumatisée par son séjour de trois mois en confinement solitaire dans la prison d'Abou Ghraib. Ce lieu infernal, où les forces américaines imposaient une domination absolue sur les détenues irakiennes, l'avait brisée psychologiquement, la forçant à une soumission totale à travers des rituels d'humiliation constants.

Comme pour les autres femmes irakiennes détenues par les forces américaines en isolement dans le quartier spécial du complexe pénitentiaire, les fouilles qui se déroulent totalement nues sont très fréquentes. Avant et après chaque sortie, chaque visite, les gardes estiment que les femmes doivent être vraiment punies. Ils savourent ces inspections dégradantes, forçant les détenues à ouvrir leurs chattes et leurs anus devant les gardes hommes, sous des regards lubriques et moqueurs. "Écarte plus grand, salope, qu'on voie si tu caches quelque chose dans tes trous", ricanaient-ils souvent, transformant chaque fouille intime en un spectacle d'humiliation pure. Sabrina sentait son esprit se fissurer à chaque fois, son corps exposé comme un objet, sa dignité respectable piétinée sous le poids de cette dégradation féminine impitoyable.

Comme les autres, Sabrina doit quitter ses vêtements dès son arrivée : abaya, hijab, robe, sous-vêtements, chaussures, chaussettes et tous ses effets personnels ont été confisqués sans pitié. Pour montrer leur pouvoir et leur domination totale, les détenues musulmanes sont contraintes à une nudité forcée permanente devant les gardiens. Pas de voile pour cacher leur honte, pas de tissu pour préserver leur modestie – juste une vulnérabilité crue, exposée à chaque instant. Sabrina, autrefois une femme fière et respectable, se sentait régresser à un état de soumission animale, son corps nu tremblant sous les regards insistants, son esprit hurlant en silence contre cette perte de contrôle absolue.

Comme les autres, elle fait moins la fière à devoir répondre aux questions des militaires en étant à poil et exposée. Les interrogateurs, avec un sadisme calculé, l'obligent d'abord à se présenter devant eux toute nue, les mains sur la tête, les jambes écartées. "Répète après moi : je suis une prisonnière nue, soumise et dégradée", ordonnaient-ils, forçant Sabrina à articuler ces mots humiliants d'une voix brisée, tandis que des rires étouffés résonnaient dans la pièce froide. Chaque interrogation devenait une séance de soumission psychologique, où ses réponses haletantes étaient entrecoupées de larmes de honte, son intimité offerte comme un trophée de guerre. La nudité forcée n'était pas seulement physique ; elle rongeait son âme, la transformant en une ombre de femme, éternellement marquée par cette humiliation en prison.

Au fil des jours, Sabrina apprenait à anticiper les ordres, à baisser les yeux devant les gardes, à accepter sa dégradation comme une seconde peau. Mais le traumatisme persistait, un feu intérieur qui consumait sa résistance, la laissant à jamais prisonnière de ces souvenirs de domination militaire et de nudité imposée.

 

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Confinement Solitaire BDSM. 

mardi 9 septembre 2025

La nudité lors des visites médicales étudiantes obligatoire.

 

Nue pendant la visite médicale.
Une patiente se fait peser nue lors de la visite médicale.

Visite médicale étudiante à l'ancienne.

 

Le couloir du dispensaire universitaire, un boyau glacial aux néons tremblotants, semblait tout droit sorti d’un film d’horreur de série B. Nous étions en 1980, et la visite médicale annuelle des étudiantes était un rite de passage où l’humiliation rivalisait avec la bureaucratie. Alignées en sous-vêtements, pieds nus sur le carrelage gelé, les filles formaient une mosaïque humaine : des origines diverses, des tempéraments allant de la pudeur monacale à l’exhibitionnisme décomplexé, toutes soumises au regard tyrannique de Madame Dubois, l’infirmière en chef. Avec son chignon d’acier et son sourire de guillotine, elle semblait dire : « Vous êtes à moi, et vous allez le sentir. »

Tout commençait dans le gymnase reconverti en annexe médicale, où l’odeur de désinfectant se mêlait à celle de l’angoisse. « En sous-vêtements, mesdemoiselles ! Et plus vite que ça ! » aboya Madame Dubois, claquant des mains comme un metteur en scène sadique. Les aides-soignantes, surnommées les « Cerbères », patrouillaient, prêtes à bondir sur la moindre récalcitrante. Les vêtements s’entassaient sur des bancs : jeans délavés, jupes à volants, chemisiers à motifs psychédéliques, et surtout, les chaussettes – un festival de socquettes blanches, de modèles à rayures fluo, et même de vieilles chaussettes trouées, témoins des budgets étudiants.

Aïcha, voilée et réservée, incarnait la gêne absolue. Elle ôtait son foulard avec des gestes lents, comme si chaque mouvement était une trahison. Ses chaussettes grises, qu’elle tenta de garder comme un ultime bouclier, furent vite repérées. « Les chaussettes, mademoiselle ! On n’est pas chez les nonnes ! » siffla une Cerbère. Aïcha, rouge de honte, se retrouva en culotte blanche et soutien-gorge démodé, ses pieds nus crispés sur le sol. À l’opposé, Valérie, la rebelle peroxydée, faisait un show. Elle laissa tomber son haut avec une lenteur calculée, révélant une lingerie noire audacieuse, et lança ses chaussettes léopard comme des confettis. « Profitez du spectacle, les filles ! » lança-t-elle, déclenchant des rires.

Marie, la catholique fervente, marmonnait des prières en défaisant sa jupe, ses chaussettes beiges montant jusqu’aux mollets, un choix d’une austérité biblique. « Dépêchez-vous, ce n’est pas l’heure de la messe ! » railla Madame Dubois. Sonia, d’origine antillaise, était déjà en culotte, ses chaussettes arc-en-ciel à moitié baissées, chantonnant du zouk. « C’est pas un défilé de mode ! » grogna une aide-soignante, mais Sonia riposta : « Mes chaussettes, elles ont plus de style que votre blouse ! »

Les internes, jeunes médecins en herbe, observaient depuis un coin, prétendant consulter des dossiers. Pierre, le plus culotté, lançait des piques : « Jolies chaussettes, mademoiselle… un cadeau de grand-mère ? » dit-il à Marie, qui vira écarlate. Valérie contre-attaqua : « Occupe-toi de ta stéthoscope, docteur, mes chaussettes ont plus de fans que toi ! » Aïcha, elle, fixait le sol, priant pour disparaître.

Mais Madame Dubois veillait. Quand elle surprit Leila et Claire en train de glousser tout en bataillant avec leurs chaussettes dépareillées, sa voix claqua : « Vous deux ! Baissez vos culottes, et vite ! » Les filles, pétrifiées, furent traînées au centre, forcées de se dévêtir sous les regards mi-choqués, mi-amusés. Leurs chaussettes – à pois pour Leila, une vieille grise pour Claire – ajoutaient une note comique à leur humiliation. « Retournez dans le rang ! » ordonna Madame Dubois. Leila, mortifiée, se cacha derrière Claire, qui haussa les épaules : « Au moins, nos chaussettes font jaser ! »

Une fois déshabillées, les étudiantes furent alignées dans le couloir, en culotte, soutien-gorge et pieds nus, exposées comme des trophées dans une vitrine perverse. Les chaussettes, abandonnées sur les bancs, semblaient narguer leurs propriétaires, vestiges d’une dignité envolée. Aïcha serrait ses bras contre sa poitrine, son regard fuyant les passants – étudiants égarés ou techniciens de surface – qui jetaient des coups d’œil curieux. Valérie, elle, bombait le torse, sa culotte en dentelle rouge défiant quiconque de la juger. Marie triturait un chapelet imaginaire, tandis que Sonia lançait des blagues osées, indifférente aux regards.

« Silence ! » hurla Madame Dubois, brandissant une règle en bois. Malheur à celles qui osaient parler. Fatima, surprise en train de chuchoter, fut tirée du rang. « Vous trouvez ça drôle ? » siffla l’infirmière, avant de lui administrer une fessée théâtrale, sous les rires nerveux. Puis, dans un élan de cruauté, elle ordonna à Fatima de remettre sa culotte… sur la tête. « Et vos chaussettes sur les mains, pour faire bonne mesure ! » ajouta-t-elle, sadique. Fatima, rouge mais hilare, obéit, ses chaussettes à rayures pendant lamentablement.

La salle d’examen était un autre cercle de l’enfer. Pierre, l’interne à peine diplômé, jouait les apprentis sorciers avec un zèle suspect. « Tout nu, mesdemoiselles, on n’a pas toute la journée ! » lançait-il, un sourire narquois aux lèvres. Poids, taille, tout était noté sous l’œil de Madame Dubois, qui cherchait la moindre faille. « Trois kilos de trop, mademoiselle Leclerc ? Trop de croissants ? » ironisait-elle, provoquant des ricanements.

L’examen devenait plus vicieux. Pierre palpait les seins avec une lenteur exagérée, son « Tout va bien ici » sonnant comme une provocation. La prise de température rectale, annoncée comme une sentence, faisait grimacer les plus aguerries. « Baissez-vous, ce n’est qu’une formalité, » assurait-il, mais son ton trahissait un amusement malsain. Aïcha, qui avait débuté la journée en tremblant, lança un regard de défi à Pierre, comme si sa pudeur s’était muée en audace. Valérie, fidèle à elle-même, plaisanta : « C’est un thermomètre ou un accessoire de cinéma, docteur ? »

Les touchers rectaux et vaginaux, administrés avec une froideur clinique, étaient le clou du spectacle. « Détendez-vous, » murmurait Pierre, mais les filles grimaçaient sous ses sarcasmes.

Ceux et celles qui ont vécu ces visites médicales collectives en gardent un souvenir indélébile, mélange de malaise, d’absurde et d’une étrange nostalgie. Entre l’autorité implacable des soignants, les chaussettes abandonnées comme des reliques, et les rires nerveux, c’était un théâtre où la pudeur était mise à nu. Aïcha, qui était arrivée voilée et tremblante, quitta le dispensaire en riant avec Valérie, son voile légèrement de travers, ses chaussettes soigneusement rangées dans son sac. « Si je dois être à poil, autant que ça vaille le coup, » glissa-t-elle, un sourire espiègle aux lèvres. Valérie tapa dans ses mains : « T’es une championne ! » Même Madame Dubois, en les voyant partir, esquissa un rictus, comme si, l’espace d’un instant, elle reconnaissait leur victoire.

 

Nue à la visite médicale de la fac
Examen clinique d'une étudiante nue à la visite médicale.

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Visite médicale autoritaire et humiliante. 


lundi 8 septembre 2025

Interrogatoire renforcé et nudité totale

 

Prisonnière nue
Nue pendant un interrogatoire.

Une détenue sous statut de "haute sécurité.

Les manuels d'interrogatoire préconisent la nudité totale lors des interrogatoires, et cette technique est appliquée pendant la seconde guerre d'Irak (2003/2011) par les États Unis dans les centre de détention.

Les femmes irakiennes soupçonnées de terrorisme, de liens avec l'ancien régime ou insurrection sont détenues au secret et soumises à des traitements humiliants. comme la nudité forcée.

Elles sont considérées comme des "détenues de sécurité" et donc sont interdites de porter le moindre vêtements et sont interrogées nues et pieds nus.

Comme elles sont musulmanes conservatrices et pudique, la nudité est jugées très efficace pour les humilier et les ramollir. elles sont obligées de se mettre toutes nues devant tout le monde.

La présence d'hommes est requise pour accroitre le sentiment d'humiliation, car enlever ses vêtements devant le sexe opposé est bien plus dégradant.

C'est préférable de faire pression sur elles pour qu'elle retire elles même leurs habits, sinon la force et contrainte physique est utilisée.

Nue et pieds nus, elles disent plus facilement la vérité. En prison la religion et la culture n'ont pas leur place.

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Interrogatoire renforcé.