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dimanche 14 septembre 2025

Humilier et ridiculiser une prisonnière.

Humiliation psychologique lors des interrogatoires.
Humilier toute nue devant les gardiens et gardiennes de prison.

 Ridiculiser et dégrader les détenues.


Dans les murs sombres de la prison d'Abu Ghraib en Irak, pendant la seconde Guerre du Golfe, les troupes américaines détenaient des femmes soupçonnées de liens avec l'insurrection. Ces prisonnières étaient à la merci de gardiens cruels et sadiques, qui avaient carte blanche pour briser leur esprit par l'humiliation et les abus. La discipline était absolue : soumission totale aux règles impitoyables, où la nudité forcée et les fouilles intimes par des mains masculines impitoyables étaient la norme pour maximiser la honte.

Dalila, une détenue musulmane voilée, accusée de soutien à la rébellion, était leur cible favorite. Pudique et fière, elle incarnait la résistance brisée. Confinée dans une cellule exiguë d'un mètre sur deux, vide et oppressante, elle était souvent extraite pour servir d'outil de distraction érotique aux gardiens. Nue en permanence – car pour les "prisonnières de haute importance" comme elle, l'humiliation maximale exigeait une exposition totale –, Dalila devait tourner sur elle-même, exhibant ses courbes sous tous les angles, la peau frémissante sous les regards lubriques. À quatre pattes, elle marchait, l'anus ouvert et vulnérable, bien visible, sentant l'air froid caresser ses parties intimes tandis que les rires moqueurs résonnaient.

Les gardes, mixtes hommes et femmes, savouraient la détresse dans ses yeux sombres, la honte brûlante qui rougissait sa peau mate. "Chienne, tu fais moins la fière comme ça ?", lançaient-ils en riant, profitant de sa pudeur innée pour amplifier leur plaisir sadique. Souvent désignée comme "le clown" de la prison, Dalila était traînée hors de sa cellule pour divertir la troupe. Les soldats dessinaient sur son corps nu des gribouillis pervers : "Spank me" en lettres grasses sur ses fesses rebondies, des insultes dégradantes tracées au marqueur indélébile sur ses seins et son ventre, transformant sa chair en toile vivante d'humiliation érotique.

Forcée à s'humilier verbalement, Dalila devait réciter d'une voix tremblante : "J'aime être nue devant mes maîtres supérieurs, les gardiens et gardiennes. Je suis fière d'avoir enlevé mon voile, mes vêtements et mes chaussures pour être enfin nue et libre." Chaque mot arraché renforçait sa soumission, un mélange enivrant de terreur et de résignation qui excitait les gardes.

 

Lien :  

Discipline stricte en prison. 

20 commentaires:

  1. Pour les filles, au bizutage aussi elles étaient humiliées. Mises toutes nues, même devant leur copain si elles en avaient un. Ensuite c'était la chatte passée au cirage. Humiliant pour le copain qui était bien tenu et voyait sa nana se faire cirer la chatte. Même une femme en reprise d'études y avait droit aussi.
    Milky 2

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  2. C'est intéressant de découvrir qu'il y a aussi du bizutage en prison, avec les menes méthodes qu'en universités et dans les entreprises.
    Ce qui arrive a cette prisonnière me fait penser aussi aux traitements infligées aux souffres douleurs.
    Plus les humiliations sont fortes, plus c'est excitants pour les bourreaux
    Nelly

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    1. Mais en prison, le bizutage n'est pas mixte, car les hommes sont séparés des femmes.
      Milky 2

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  3. Je trouve que les bizutages en fac sont plus intéressants.
    Milky 2

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  4. Finalement, au bizutage, c'est comme un interrogatoire de la sûreté d'état. On déshabille une nana devant son copain, on la met à poil, et on lui tripote ses seins et sa chatte devant lui.
    Milky 2

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  5. Bientôt l'entrée en fac, mais ça m'étonnerait qu'il y ait du bizutage.
    Milky 2

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  6. C'était excitant tous ces bizutages où on voyait des filles toutes nues et la chatte passée au cirage, même devant le copain. Aussi un interrogatoire d'une femme devant son mari. Il voyait sa femme mise à poil, là ça peut délier des langues.
    Milky 2

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  7. Tiens,il n'y a plus de récits ni de photos de bizutage. Pourtant c'est très intéressant. Toutes ces filles ou femmes bizutées en fac ou en entreprise étaient ce qu'il y a de plus positif. Ces femmes qui subissaient une fausse visite médicale à l'embauche, qui en fait, était un bizutage. Toutes nues en position gynéco, et voir les collègues et les supérieurs hiérarchiques qui entraient, bien mater la femme, cuisses écartées, pieds dans les étriers ,en plus qui pouvaient la tripoter,devait être excitant pour la connaître intimement.
    Milky 2

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  8. J'aime beaucoup aussi l'univers carcéral, d'autant s'il existe des prisons de femmes gardées par des agents pénitentiaires masculins.
    Le bizutage en face, j'ai vécu, et on en a déjà beaucoup parlé ici
    Nelly

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    1. Ce que j'aime aussi, ce sont les interrogatoires sur les femmes. Tout ce qui peut leur arriver quand elles sont interrogées.
      Milky 2

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  9. Je crois que vous, Nelly, en avez assez de parler de bizutage. Pourtant, ça vous excitait quand vous bizutiez des filles avec votre copain de l'époque. Milky 2 me semble plus accroc à cela. Il est vrai que l'un comme l'autre, vous aimiez surtout bizuter une fille devant son mec. Si je vous racontais les bizutages que j'ai connu et vu, ou même que l'on m'a raconté, il faudrai tout un livre pour tout écrire. Mais bon, je pense que Nelly en a assez d'écrire tout ça, et peut-être que Milky 2,lui est plus réceptif à voir écrire tout ça, peut-être que ça l'exciterait même. Mais ne me dites pas, Nelly, que vous n'aimeriez pas voir écrit d'autres façons de bizuter les filles. Quelquefois plus durement que ce que vous avez vécu et fait par la suite.
    Rodgers

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  10. Certainement Rodgers, si vous avez des exemples.
    C'edt vrai que ce que j'ai subis puis fait subir me semblait déjà tres hard et humiliant.
    De même que pour les abus en entreprise, je ne peux parler que des témoignages que j'ai collectés.
    Nelly

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    1. C'est vrai que j'ai des exemples de bizutage sur les filles, de part ce que j'ai vu et connu. Comme a vu Milky 2,nous c'était à peu près idem.Les filles étaient bizutées trash, avec mise à poil, et aussi la chounette passée au cirage, ou bien une pommade chauffante comme du dolpic qui était aussi introduit dans le vagin. Si la fille avait un copain, elle était bizutée devant lui, on l'obligeai quelquefois à regarder. Surtout quand on la déshabillait, on lui craquait sa culotte, ensuite cuisses écartées, on lui tripotait sa chounette, tirait sur les poils, écartant bien les lèvres à fond. Je pense que là, rien déjà que ce récit, ça vous excite, car vous aimer le hard, j'ai lu dans vos récits. Même en entreprise, il y avait bizutage.Femmes embauchées mises à poil, fausse visite médicale, etc...Tout cela était bien jadis, car on pouvait mettre une femme même mariée à poil et la tripoter,lui donner une bonne fessée déculottée, sans avoir des casseroles de plainte derrière nous. Heureuse époque !
      Rodgers

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  11. Je vois que plus personne n'ose parler de bizutage ici. Nelly, avez vous vraiment vu des filles se faire bizuter devant leur petit copain ?Ou c'est un fantasme de votre pure imagination ?En ce qui me concerne, j'ai vraiment vu des filles se faire bizuter devant leur copain. On attachait d'abord son mec pour ne pas qu'il soit trop violent. Ensuite, devant lui, on déshabillait sa copine, jusqu'à la mettre carrément à poil. Si elle était rebelle, on lui donnait une bonne fessée, ce qui la calmait un peu. Après, on regardait son mec, et on branlait le clito de sa copine, des yeux révulsés qu'il avait. Surtout qu'on hésitait pas à lui enfiler 2 ou 3 doigts dans la chatte en faisant des va et vient de plus en plus vite et de plus en plus fort. De toute façon, on lui tripotait ses seins et aussi ses fesses. Et bien entendu, le clou du spectacle, toujours devant son mec, passage de la chatte de sa copine au cirage. On trouvait ça normal à ce moment-là, et puis c'était le bizutage, et les filles savaient qu'elles allaient y passer. En principe, une fille bizutée devant son mec, ne restait pas longtemps avec lui, trop la honte. Et lui, trop humilié.
    Rodgers

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  12. Et je rajouterais même, qu'on obligeait le copain à regarder sa copine se faire bizuter, avec toutes les réjouissance décrites.
    Rodgers

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    1. Et vous aviez vraiment obligé le petit copain à regarder sa copine se faire bizuter ?
      Jacomo

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    2. Oui, on obligeait le petit copain à regarder sa copine se faire bizuter. D'abord, on l'attachait bien ferme, et c'est après qu'on déshabillait sa nana devant lui. Tout lui était enlevé, même son sg et son slip. On la mettait complètement à poil. Ensuite venait le tripotage de ses nichons, ses tétons, ses fesses et bien entendu, sa chatte. On lui branlait le clito, on tirait sur ses poils,on lui ouvrait bien sa fente en étirant ses lèvres à fond. Déjà, son petit copain était comme fou, mais venait le badigeonnage de sa chatte. On lui passait toute sa vulve au cirage jusqu'au clito qu'on décapuchonnait. Pas mal de filles étaient bizutées de même, alors en plus, quand elle avait un petit copain, c'était le même principe, et on trouvait cela bien. Mais je n'en ai pas vu beaucoup que cela excitait. En principe, le copain hurlait et pleurait de voir sa nana se faire déshabiller, fesser si elle bougeait trop, et surtout le badigeonnage de sa chatte. Très humiliant pour lui. Je ne sais pas l'avis de certains, car il y a moins de commentaire maintenant, car des habitués se taisent.
      Rodgers

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  13. En fait je crois que tout a déjà ete dit
    Nelly

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    1. Oui, mais une question à laquelle je n'avais pas pensé :quand la nana était bizutée, son copain était attaché et était obligé de regarder au début ou simplement vers la fin ?
      Milky 2

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  14. Sur les prisonnières, elles sont souvent de fois humiliées par les gardes hommes. Comme elles sont toutes nues, c'est très facile de les tracer des obcenités sur tout le corps.
    Milky 2

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