Deux femmes prisonnières enchainées nues. |
Des sévices et la nudité forcée pour les femmes en prison.
Leyla Z, 28 ans a été capturée lors d'une opération de ratissage des Marines contre les rebelles en novembre 2004 dans le quartier de Baghdad ou elle habite. Sur le terrain son interrogatoire est resté correct et courtois, les soldats lui ont posé des questions simples sur son identité, son âge, sa profession, et pris note de ses informations personnelles.
Seulement cette jeune professeure irakienne est considérée comme une détenue pouvant avoir des informations stratégiques pour la coalition du fait qu'elle enseigne dans un lycée fréquenté par les enfants des élites de l'ancien régime, dont beaucoup d'ancien ministre.
Le renseignement militaire et la CIA ont donc décider qu'elle devait être retenue pour vérification, et elle a été placée dans un véhicule militaire et transférée dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib dans les environ de Baghdad, que l'armée américaine utilisent comme centre de détention et d'interrogatoire.
En arrivant dans la sinistre et tristement réputée prison, elle a été soumise aux procédures standard très humiliante et dégradantes que les militaires imposent aux prisonniers.
Dans un premier temps, il y a la fouille, qui doit être approfondie et qui se déroule nue, même pour les femmes comme Leyla. D'autres femmes irakienne comme Houda 31 ans sont aussi été incarcérées en même temps qu'elle, elles portent toute sauf Houda qui est en pyjama, une robe amples et large traditionnelle arabe, et un voile islamique (hijab) couvrant leurs chevelure. C'est des personnes culturellement pudique, réservées, et les gardes les ont regroupé ensemble pour les "accueillir".
Les gardiens ont reçu comme consigne d'être intraitable sur le déshabillage, c'est un élément clé du processus d'accueil. L'égo et la dignité de Leyla et des prisonnières doivent y prendre un coup.
Quelques semaines avant l'arrivée de Leyla et d'Houda, lors de l'arrivée des premières femmes dans cette prison, les gardiens américains se sont montrer plus respectueux avec les femmes qu'envers les hommes détenus. Les femmes lors des fouilles avaient la possibilité de garder leurs sous vêtements pour respecter les normes culturels et religieuses alors que les mâles étaient à poil, et elles avaient la possibilité de garder leurs vêtements civils et leurs voiles, et certaines femme placées en isolement pouvaient garder leurs culottes.
Quant aux chaussettes, c'était l'anarchie niveau réglementaire, une jeune détenue irakienne avaient pu conserver ses chaussettes lors des inspections en prétextant avoir froid aux pieds et les surveillants en question avaient accepté pour lui faire plaisir et ne pas l'embarrasser., Mais d'autre gardes, considéraient que ça peut être utiliser comme arme par destination et donc que c'est dangereux, obligeaient les prisonnières a les enlever lors des fouilles.
Mais depuis la visite du général Miller, l'ordre a été instaurer et les femmes sont soumises aux même conditions strictes que les hommes. Les prisonnières ont donc perdue tous leurs privilèges et obéissent au même régles que les hommes : la nudité totale.
Leyla et les autres détenues sont très choquée de se voir ordonner sévèrement par une grande soldate américaine blonde en anglais et en arabe de déshabiller.
Les nouvelles détenues ont été surprise par le fait de devoir se dévêtir tout de suite, en public, les unes devant les autres sans aucune intimité, et surtout devant des soldats hommes qui ricanent. Elles appréhendent toutes d'être exposées nues devant d'autres personnes que leurs maris.
J'adore le protocole de fouille intime, c'est le comble de la soumission.
RépondreSupprimerCela se pratique aussi lors des bizutages.
Rien de plus efficace pour faire connaissance.. surtout entre les deux gros orteils.
Il n'y a rien de tel pour faire connaissance de mettre les bizutes et les bizuths à poil, ça forme la cohésion de groupe.
RépondreSupprimerMilky 2
Pendant que les garçons organisent des concours de chatte et de nichons avec les bizutes, les filles font des concours de zizi et de couilles avec les bizuts. Avec défilés, examen minutieux. Le gagnant et la gagnante des bizuts doivent baiser entre eux en public ainsi que le perdant avec la perdante.
RépondreSupprimerEn attente de l'inspection des maquignons pour le foire aux truies africaine. Celle de gauche, avec ça entre les pattes aura du succès auprès des pervers
RépondreSupprimerCe sera leur tenue de travail dans une ferme, tous travaux sous le fouet et reproduction intensive, logées et nourries dans des soues à porcs
RépondreSupprimerMême bien ronde, en état de grossesse avancée, les femmes devront travailler durs et si elles ne ne sont pas assez productives elles seront fouettées à tour de bras.
RépondreSupprimerEnvoyées sur une foire aux bestiaux, mises aux enchères pour servir à entrainer les étalons aux saillies par le sexe et l'anuschez un éleveur de chevaux
RépondreSupprimerPour abréger leur peine et les tortures, certaines prisonnières comme ici sont proposées à des maquignons pour servir en abattage
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