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mardi 1 octobre 2024

Les humiliations perverses que subissent les femmes en prison

 

Fouille des cavités nue en prison.
Prisonnière nue lors de la fouille anale et vaginale obligatoire.

Une prisonnière musulmane choquée par le processus d'incarcération.

 1/ Malika en 2024.

Aout 2024 , Malika est une femme d'origine irakienne musulmane sunnite mariée, mère de famille et est une brillante avocate, elle a 38 ans, elle habite dans une belle maison de la banlieue de Londres, en Angleterre, elle est naturalisée citoyenne britannique en 2011, et est d'origine irakienne. C'est une femme arabe, elle porte une longue et élégante robe arabe mauve et brodée, un grand hijab blanc de type satiné. Elle porte le voile depuis l'age de 14 ans, par piété et pour faire comme les femmes de sa famille très conservatrice.

Presque 20 ans après,  le fantôme de la prison d'Abou Ghraib hante encore ses jours et ses nuits. Son passage dans cette prison reste son pire cauchemar. Même plusieurs années après les faits, elle reste très choquée et a du mal à en parler à son entourage. Certes, de nos jours elle n'est plus autant sollicité qu'en 2006, date de sa sortie de prison, elle n'a pourtant passer que 5 mois dans le fameuse prison.

Même son mari ne sait pas exactement ce qui s'est passer, il sait juste qu'elle n'a pas été violée ni durement battue, elle lui a promis. Malika avait alors environs 19 ans quand elle est allée en prison, elle vivait encore en Irak, et comme plusieurs membres de sa famille étaient recherchés pour leurs liens avec l'ancien régime et leur participation à la résistance, les américains l'ont arrêtée sans motif précis, surtout pour faire pression sur les hommes de sa famille et les inciter à se rendre. C'est ce qui  explique probablement l'absence de violences physiques à son égard, et le fait qu'elle n'ait pas été interrogée durement.

Ceci dit, son estime d'elle même et ses croyances religieuses ont été misent à rude épreuve. Certaines phrases ou expression l'a font toujours frissonner. Ses joues deviennent toute rouge quand on évoque sa détention.

Malika a toujours refuser de répondre aux médias sur ses conditions de détention. Cependant, en fin de détention elle s'est plusieurs fois entretenue avec des membres du Comité International de la Croix Rouge (CICR). 

2/ La détenue n°20044558

Malika est arrivée à la prison d'Abou Ghraib en juin 2005 et elle est ressortie début d'année 2006 sous le numéro d'écrou n°20044558 . 

Les éléments que nous allons donner ci dessous sont factuels, car nous avons croiser plusieurs sources : les rapports du CICR, le rapport Taguba, le  rapport Faye, les avis de la commission d'enquête spéciale, les témoignages d'anciens gardiens et d'ancien détenus ayant acceptés de témoigner etc. Pour connaitre le mieux possible le parcours de Malika malgré ses silences.

Les personnes gardées en isolement à Abou Ghraib sont selon toutes les sources gardées sans aucun vêtements. D'ailleurs Malika lors de son arrestation portait une abaya beige et un foulard blanc et lors de sa libération elle portait juste un jogging, T shirt et des tongs, nous ne savons pas ce qui est arrivé à ses vêtement initiaux et l'ex détenue  reste très évasive quand ont lui demande.

Malika à l'instar des prisonnières irakiennes musulmanes détestent  devoir se déshabiller, pourtant, lors du processus d'admission la jeune détenue a été soumise à la fouille corporelle devant une équipe de gardes mixtes hommes femmes.

Le rapport stipule que : 

"Une soldate en uniforme ordonne à la détenue :

"Enlève ta montre, remet nous là avec tes bijoux, ton argent et tes papiers". En lui indiquant une petite boite de scellé. 

Ensuite sur un ton acide : "Débarrasse toi de tout cet accoutrement, il faut tout enlever et mettre ça dans la boite.

"Devant tout le monde ? mais il y a des hommes !"

"Oui et alors c'est leur travail, des fesses et des chattes ils en voient tous les jours il ne faut être être modeste ici, et si tu le veux ils peuvent d'aider à faire ce "strip tease" ils sont comme tu le vois assez costauds ..."

"Il faut tout enlever, d'abord les chaussures ..."

Malika se penche et défait ses converses avant de les tendre à l'américaine qui les fait examiner par ses camarades.

"Retire ton foulard"

Malika obtempère et libère sa belle chevelure noire.

"Donne nous ta robe"

La prisonnière prend quelques instant pour enlever son abaya, elle ne porte en dessous que des sous vêtements très sexy noirs en dentelle.

 "Les chaussettes sont interdites" et la détenue découvre ses jolis pieds nus.

"Ah non" grogne la jeune femme.

"Quoi tu n'es pas contente d'être pieds nus ?"

"Soutien gorge tout de suite ou je te l'arrache !" hurle un garde pour la brusquer.

 Puis on lui hurle :

"La culotte !"

"Défait tes cheveux, enlève les élastiques et les broches si tu en a".

La jeune prisonnière est inspectée de la tête aux pieds, ses oreilles, sa bouche et sa dentition sont examinés comme si elle était une bête de foire. On lui palpe les seins et le nombril, elle doit remuer ses orteils et se faire contrôler la plante des pieds.

Mais le pire c'est quand elle doit s'allonger sur le bureau des jambes écartées comme chez le gynéc pour se faire inspecter et fouiller le vagin et l'anus."

 

Malika a été contrainte subit  une fouille corporelle avec inspection de son anus et de son vagin à chaque entrée et sortie du quartier d'isolement, à chaque visite du CICR, bref quasiment une fois par jours.

De plus elle est restée nue et pieds nus la plupart du temps en isolement.


Lien : 

Gardien de prison.

9 commentaires:

  1. C'est la position que faisait prendre un chef d'entreprise dans les années 70-80, pour punir une employée qui avait commis une erreur assez importante. Bien sûr, après lui avoir donné une bonne fessée, car ensuite, il pouvait à loisir lui regarder son sexe et son anus, tout en commantant l'aspect, et parfois, en y introduisant ses doigts.
    Milky 2

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  2. Absolument, c'est la position là plus humble pour une subordonnée envers un supérieur. C'est vrai dans les entreprises, dans les prisons, et en fac.
    Totalement offerte au bon vouloir de l'autorité

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    1. Dans les fac, c'était la position pour le bizutage des femmes en reprise d'études. Après les avoir déshabillées, une fois toutes nues, il fallait qu'elles prennent cette position. En plus, même mariées,,elles avaient aussi du dentifrice introduit dans leur vagin, puis toute la chatte enduite avec. Pour que ça brûle et irrite bien les muqueuses.
      Milky 2

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  3. Un patron ou chef d'entreprise ne se gênait pas pour faire prendre cette position à une femme pour des erreurs successives. Même mariée, il s'en moquait. Il faisait déshabiller la femme devant lui et dans son bureau,ou si elle hésitait, c'est lui-même qui la deshabillait. Ensuite couchée dos sur le bureau, il la detaillait et commentait sur son sexe, tout cela en la tripotant bien, comme ouvrir sa fente pour regarder l'intérieur de son vagin, tirer sur les poils pubiens, étirées les lèvres, décapuchonnait son clito, et aussi lui insérer un ou deux doigts dans son vagin.

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    1. C'était la position idéale pour le bizutage d'une nana devant son copain. On la faisait mettre dans cette position, mais c'était les bizuteurs qui lui tenait les mains au dessus de la tête, et d'autres dans le creux de ses genoux, cuisses bien repliées et ouvertes comme sur la photo. Dans cette position, elle montrait tout à tout le monde, et c'est comme ça que sa chatte était cirée, ou que du dentifrice était introduit dans son vagin.
      Rodgers

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